Le Modèle du Big Five PDF

Title Le Modèle du Big Five
Author Jean Luciano
Course Psychologie du développement
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
Pages 2
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Summary

Le Modèle du Big Five...


Description

Le Modèle du Big Five Modèle américain d’organisation de la personnalité à la base. Le plus utilisé aujourd’hui Réunis autour de cinq traits principaux : - Extraversion - agréabilité - Conscience - Stabilité émotionnelle - Ouverture La plupart des personnalités semblent se retrouver à l’intérieur du Big Five On sous-estime souvent la part qui provient de la situation dans l’explication du comportement Perspective Interactionniste : la conduite résulte de dispositions internes mais aussi des propriétés des situations, les deux sont en interaction constante Perspective Personnologiste : l’accent est mit principalement sur la personne et ses composantes, ses ressentis, son vécu etc, en opposition avec la perspective interactionniste La Théorie de l’Apprentissage social de Bandura insinue un déterminisme réciproque entre environnement, comportements et variables cognitives et personnelles telles que les croyances, les valeurs Le sentiment d’efficacité personnelle est le jugement que les personnes font à propos de leur capacité d’organisation, de stratégies pour atteindre leur but Les différences individuelles se fondent à la fois sur une certaine hérédité et par le biais du milieu, l’inné et l’acquis se mélangent. Il y a donc des facteurs héréditaires, des facteurs environnementaux et une différence du développement en fonction des individus et de leur histoire On a un exemple de l’influence des facteurs génétiques par le biais d’une étude sur les jumeaux de Galton. En comparant des jumeaux monozygote (le même foetus) et dizygote (pas le même), il va remarquer que l’environnement joue un rôle plus important que l’hérédité puisque les jumeaux monozygotes (donc très ressemblants) ne sont ressemblent pas tant que ça lorsqu’ils sont séparés et élevés dans des milieux différents Zazzo va nous parler de l’effet de couple qui amène visiblement à plus de différenciation : lorsque deux jumeaux sont élevés sur le même toit, l’un cherche d’avantage à se différencier de l’autre pour affirmer sa personnalité. C’est un processus de différenciation. C’est un point de vue opposé à celui de Galton, les jumeaux se ressembleraient d’avantage si ils sont séparés puisqu’ils ne vont pas

chercher à se différencier de l’autre Rosenthal et l’expérience de la schizophrénie et des enfants remis à l’adoption. Probabilité de devenir schizophrène plus forte dans une famille ou un parent est ou a été schizophrène. Cette étude montre surtout qu’il n’y a pas vraiment de déterminisme, les enfants ne vont pas forcément finir eux aussi schizophrènes et la plupart s’en sortent très bien, c’est cependant un facteur de risque (l’hérédité) Kellerhals et Montandon sur les pratiques éducatives familiales . Ils vont repérer quatre dimensions de la personnalité en demandant à des parents quelles caractéristiques feraient de leur enfant quelqu’un d’épanoui : on remarque l’autorégulation et la sensibilité dans les milieux favorisés ; l’accommodation dans les milieux défavorises ; la coopération en cas d’absence de corrélation entre le milieu social et la pensée des parents. On remarque que les petits espaces défavorisés amènent à plus de respect de l’autre Conclusion : Les facteurs génétiques s’actualisent ou non en fonction des facteurs environnementaux C’est l’approche épigénétique qui va analyser ce développement via l’interaction entre les gènes et l’environnement...


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