L\'inégalité entre les filles et les garçons à l\'école PDF

Title L\'inégalité entre les filles et les garçons à l\'école
Course Sociologie de l'éducation
Institution Université de Haute-Alsace
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L’inégalité entre les filles et lesgarçons à l’école.Introduction :a) L’éducation scolaire, apprendre le métier d’élève : Les enfants vont apprendre le métier d’élélève à la petite école. Métier d’élève : -> Ecouter le professeur. -> Rester assis. Ce que ferai un enfant qui n’a pas app...


Description

L’inégalité entre les filles et les garçons à l’école. Introduction : a) L’éducation scolaire, apprendre le métier d’élève : - Les enfants vont apprendre le métier d’élélève à la petite école. - Métier d’élève : -> Ecouter le professeur. -> Rester assis. - Ce que ferai un enfant qui n’a pas appris le métier d’élève : -> Il se baladerai...etc. -> Il pourrai tourner le dos au prof ou lui dire : « Qu’est ce que tu fais là ? »/ - Donc, enfant doit apprendre règle de la vie en société. - Education scolaire = Socialisation de la jeune génération aux -> Normes sociales (Durkheim). -> Normes scolaires (Bourdieu).

b) Le siècle des filles : - Pas de sociologie possible s’il n’y a pas de connaissance de l’histoire. - Car, le sociologue s’interresent aux phénomènes sociaux contemporains, mais sait que ces phénomènes sont le fruit d’une histoire. - 1971 : Nbr de filles = Nbr garçons université. -> En égalant les garçons elles ont changé le sexe de certaines discipline (comme la socio). -> 1990 : Elles vont les dépasser. - Chaque mois du XXème siècle a été plus important pour croissance formation scolaire filles que tous les mois depuis l’an mille. - 1865 : Jules Simon : « Les filles ont exactement les même droits à l’instruction que les garçons ». -> « Préparer des mères aux générations futures ». -> Pas juste entasser les enfants dans les garderies. -> « Devenir un grand peuple industriel sans cesser d’être agricole ». -> « Donner aux enfants une mère ». -> En fait, c’est former les filles, mais les former à l’économie du foyer. -> Manière discriminante de concevoir l’éducation des filles. -> Une éducation, oui, mais à condition qu’elle soit utile au mari, aux enfant, et à l’économie du foyer et du pays (dans la mesure où les femmes aller éviter aux hommes de dépenser paye de l’usine dans l’alcool...etc). -> Donc, à la base approche inégalitaire et discrimante de la volonté d’éduquer les filles.

c) Différence aujourd’hui dans chaque étape du scolaire : - Ecole primaire : -> Les garçons redoublent plus. - Collège : -> Garçons orientés plus souvent de façon précoce hors de la voie générale que les filles. - Lycée : -> Filles obtiennent souvent de meilleurs résultats, notamment mention au bac. - Supérieur : -> Plus de filles accèdent à l’université.

d) Rapport des filles à l’éducation, un changement social supersonic : - Rare sont les changements sociaux qui s’effectuent à des rythmes ausi soutenu. -> Sauf diffusion télévision dans les 60es. - Pourtant, la progression de la proportion de filles en éducation passe presque inaperçue. -> Personne n’en parle. -> Puisque c’est surtout des hommes qui parlent justement.

I. La montée des filles. 1. Démonstration du phénomène : a) Support, Baudelot et Establet, Aller les filles ! : - Le discours du sociologue est fondé sur des enquêtes. -> Quantitative : -> Statistiques historiques. -> Statistiques comparatives. -> Qualitative : -> Entretiens. -> Questionnaire... - 1992 : Baudelot et Establet, Aller les filles !. -> Progression lente mais certaines nbr filles école. -> Progression par accout augmentation nbr garçons. -> Dans les filière : -> 29% des filles obtiennent un bac générale. -> 20 % des garçons.

b) Qq jalons historiques : - 1861 : Première fille à passer le bac. -> Avec une dérogation. - 1880 : Loi Camille See ouvre enseignement secondaire aux filles. - 1925 : Ouverture d’une école polytechnique de filles. -> Grande école qui forme des ingénieurs. - 1963 : Mixité des collèges (appellés CES à cette époque). - 1969 : Plus de bachelières que de bacheliers.

- 1972 : 7 pionnières entrent à polythechnique. - 1975 : Mixité des 1er et 2nd degrés. - 2012 : Polythechnique -> 61 filles pour 369 garçon - Depuis qu’elles passent le bac, les filles réussissen Livre sérieux de socio : Enquête, entretiens...etc.

c) Qq chiffres :

- Les proportions de réussite dans les filières sont équivalentes. -> Mais, idée reçu que dans les filières scientifiques réussissent moins bien que les mecs. -> C’est faux. -> Mais, tout de même plus de garçons que de filles en filière scientifique. - Différences dans la fréquentation des filières. -> Répartition inégale selon classe préparatoire : -> FIlles : Bcp en lettres, en commerce, mais très peu en sciences. -> Très peu de filles dans les filières comme physique, maths...etc. -> Bcp de filles dans les master managment, concours école de commerce...etc.

d) Des différences selon le dvp des pays : - Pays industrialisés : -> Plus de filles qui accède à l’université. -> Ecart entre filles et garçons se sont amenuisé. - Pays en voie de dvp : -> Moins de filles accèdent à l’université. -> Fort écart entre les deux sexes. => Plus une éco° est riche, plus elle va se donner les moyens de l’égalité entre les filles et les garçons.

2. Pour quelles raisons les sociétés ont tant tardé à éduquer les filles. a) Question de mentalité : - On ne se posait pas la question. - Car idée que les filles devaient tenir un certain rôle social. -> Faire des enfants pour la patrie. -> S’occuper de ses enfants...etc. - Désignation a priori du rôle des femmes. - Donc on ne se poser pas la question de leur éducation scolaire.

- Tout au plus on leur proposer une éducation religieuse. -> Jeunes filles étaient prise en charge par religieuse. -> Elles apprenaient à lire des prières. -> Pour pouvoir transmettre à leurs enfants une éducation morale et religieuse. -> Le but n’était pas qu’elles s’émancipe par le savoir...etc mais pour la bonne morale du foyer et donc, du pays.

b) Les choses vont se bousculer lors de la Révolution française : - Olympe De Gouge, Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. -> Revendique le fait que les révolutionnaire pensent l’égalité entre les hommes mais oublient les femmes. -> Elle réclame la constitution des droits de la femme. -> Elle ne va pas être entendu et va être très isolée. -> Mais, la quetion égalitaire va commencer à s’installer. - Mais, très vite, les révolutionnaires vont penser l’éducation du peuple. -> Pas question de laisser l’éducation du peuple au curé et à l’Eglise. -> Car Eglise allégence à monarchie et aristocratie. -> Donc, l’éducation des filles ne doit plus être assurée par l’Eglise. -> On se pose la question de l’éducation des mères, des femmes. -> Car, le pb c’est que si on les laisse se faire éduquer par eglise elle vont enseigner des morales sensibles à la monarchie et à l’aristocratie. - Ce qu’on fait : -> Il faut éduquer les femmes pour qu’elle deviennent de bonnes mères républicaines, et les sortir des mains de l’Eglise. -> Mais, pas n’importe quels enseignements : -> Couture. -> Maths, pour tenir les comptes du foyer. => La question de l’éducation des femmes nait de la Révolution française. -> Mais, ça va être particulièreent difficile et long pour les femmes d’accéder à la même égalité que les hommes. -> Elles vont longtemps être traitée comme des sous-citoyennes.

II. Comment expliquer ces différences sexuées ? 1. Ces différences peuvent-elles être expliquées par un niveau en maths différents ? a) Idée, les filles sont nulles en maths et n’aiment pas ça : - Or, quand on creuse, on s’aperçoit qu’au différent niveau scolaire, l’hp est erronnée. -> Score en maths des filles et des garçons sont comparables. -> En plus, il y a peut être un effet pygmalion derrière. -> Donc, ce ne sont pas les performances qui expliquent que les filles vont plus s’orienter dans des voies littéraires que scientifiques.

b) Ceux qui s’orientent vers les maths selon genre et niveau : - Très mauvais : -> Garçon : Quelques uns le veulent. -> Filles : Presqu’aucune ne veut. - Très bon niveau : -> Garçon presque tous veulent. -> Filles : Autant que de garçons mauvais.

c) Représentation de ses capacités en maths selon genre : - Ceux qui sont objectivement très bon en mathématiques : -> Garçons : 84% le reconnaissent. -> Filles : 55% le reconnaissent. - Filles sont très sévères envers elle même vis-à-vis maths. -> Elles font vraiment confiance aux profs et aux institutions. -> Une petite erreur et elles se démontent et se sentent nulles. - Garçon sont fiers d’eux, même quand ils ne sont pas bons. -> Même quand ils sont pas bons, ils disent qu’ils le sont. -> S’ils n’ont pas de bons résultats, c’est la faute du prof, de l’institution.

d) Définition des maths selon genre et niveau : - Garçon fort : -> Parle de logique, raisonnement. - Garçon faible : -> Résultat, Formule, Problème, Exercice. - Fille forte : -> Trouver, Résoudre, Chercher, Problème, Exercice. => Représentation maths quasi identique entre filles fortes et garçons nuls. - Les caractéristiques sexuées transforme la relation des élèves à une discipline.

III. Représentations sexuées, stéréotypes et 1. Le partage des tâches domestiques vu par les lycéens. a) Pour les filles : - Elles vont s’occuper de : -> Vaisselle, Sol, Cuisine. - Leur conjoint : -> Réparations, Voiture, Jardinage. - Ce que font les deux : -> Courses, Factures, Un peu vaiselle.

b) Pour les mecs : - Eux : -> Réparation, Voiture, Jardinage, Un peu facture. - Conjoint : -> Sol, Cuisine, Vaisselle.

- Les deux : -> Les courses, Factures, Un peu vaiselle.

c) Qu’illustre ces réponses : - Montre que la société, par leur socialisation, les prépare à être complémentaires. - Les jeunes couples disent qu’ils n’ont pas eût besoin de discuter de qui va faire quoi. -> « Ca s’est fait naturellement ». -> Or, c’est précisemment la culture, l’éducation, la socialisation de chacun (notamment par les jeux : Poupée pour les filles...) qui prépare progressivement à cette projection dans la vie de couple.

d) Des projections sexuées dans l’avenir, Facteurs dans le choix d’un métier : - Garçons : Argent. -> D’après enquête récente, garçons encore absolument persuadé de devoir gagner bcp d’argent pour séduire. -> Certains garçons disent avoir choisi la filière S, sans aimer les maths, mais pour avoir un bon métier et un bon salaire. -> Question : Pourquoi tu veux gagner de l’argent ? -> « Parce que ce sera à moi de gagner de l’argent pour ma famille. ». -> On leur a mis dans la tête par socialisation. - Filles : Temps libre. -> Les filles se projettent dans leur vie future en prévoyant du temps libre pour caler la 3ème journée. -> S’occuper de leur travail, mais aussi de leur famille, de leur foyer. -> On leur a mis dans la tête que ce sera un travail qui doit être compatible avec le travail au foyer.

e) Les stéréotypes masculins et féminin : - Filles : -> Coquette, Douce, Faible, Discrète, Souriante, Timide, Docile, Ordonnée. - Mec : -> Charmant, Exubérant, Coléreux, Energique, Courageux, Comabttif, Dominateur, Indépendant, Orgueilleux, Direct, Désodonnée, Cruel. - Stéréotypes présent autant chez les filles que chez les mecs. - Ces stéréotypes vont être des qualités qu’on va rechercher dans une relation amoureuse. - Encore ajd on est tjs dans les mêmes caractéristiques. - Ex : -> Orgueil pour un mec, ça passe, Orgueil pour une fille c’est intolérable. -> Mec désordonné = Admis. -> « C’est normal, c’est un garçon ». -> Fille désordonnée. -> C’est innenvisageable. - Qu’est ce qui forge ces stéréotypes ? -> La socialisation.

-> Réaction des parents et autres référents différentes selon que telle ou telle action soit commise par un mec ou une fille. -> Modèle d’imitation différent...etc. -> Ex : Héros : Atila, Jules César. -> Justifie l’aspect cruel d’un homme. -> Dès la maternelle on voit ces différences chez les enfants de 2-3 ans. -> Lorsqu’une petite fille perd son bonnet elle subit des remarques très fermes, bcp plus que lorsqu’il s’agit d’un petit garçon. -> Car on estime que c’est pas si grave, au fond, ca fait de lui un « vrai mec » qu’il soit un peu désorganisé. Réflexion d’une étudiante de master : - A quoi ca sert de faire plusieurs années d’études pour comprendre qu’il y a des innégalités. Ca on le savait avant. - Mais c’est une réflexion erronée. -> Ex des gilets jaunes. -> Les innégalités s’expriment, et les sociologues vont être là pour penser et comprendre ce qui se passe. -> Ils expriment un sentiment d’injustice sociale -> Question des innégalités au sein de ce mouvement. - Donc, oui la question des innégalités depuis 1789 est au centre de la société. -> Et ajd elle esst au centre de toutes les questions des sociétés de l’humanité. - La sociologie va tenter de comprendre les mécanismes socaiux pour trouver des leviers pour orienter ces mécanisme et créer des sociétés moins innégalitaires, plus progressistes.

2. Mixité des structures, sexismes des mentalités. a) Ecole mixte et stéréotypes de sexe : - Mixité des structures : Oui l’école est mixte dans ces structures. -> Il n’y a plus ajd d’école de filles et d’école de garçons. -> Autrefois les structure étaient déjà sexuées. - Mais, la mixité des structures n’empêche pas que perdure du sexisme dans les mentalités. - Le concept de stéréotype de sexe : -> Indique que chaque garçon/fille construit son identité personelle en prenant position sur des attentes sociales à leur égard. -> Ces attentes sont différentes qu’on soit un garçon ou une fille. -> Ne pas confondre modèles sociaux/Comportements effectifs des individus : -> Tout ce que le sociologue est amené à constater : Construction de l’identité personnelle ne s’effectue pas de la même manière selon fille/Mec -> Donc, Stéréotype : Répertoire virtuel d’attente sociale.

b) Mec : Culture de l’agon ou culture du chef : - Agora, Extérieur, Combat, Lutte, Rhétorique, Pouvoir, Combat/guerre, Compétition, Force physque. - Le garçon est bercé par des modèles (personnages, héros) sont des chefs, qui affirme leur identité dans l’opposition avec autrui.

c) Fille : Culture de l’intime : - Foyer, Intérieur, Soin aux autres, Discrétion, Parole intime. - Jeu de dinette. - Eduquer à l’anticipation des réactions affectives. - Intérêt et respect des règles, qui régissent les garçons.

d) Acteurs préférés : - Mec comme fille choisissent des acteurs et non des actrices. - Mec choisssent par rapport narcissique d’identification au modèle. - Fille : Choisissent en fonction rapport sexuel de la future adulte qu’elle seront.

e) Les jeux dans les cours de récré : - Mec : Maximum de partenaire, Max d’espace, Peu de règles. -> Joute verbale. -> Manifestation de menace physique. => On marque son territoire et son autorité. - Fille : Peu d’espace, Max de règle, Partenaire choisit sur le volet. - Et quand ça s’inverse ça choque. -> Ex : Principal dans un lycée qui disait lycée de fille alors que plus de mec. -> Mais il disait ça parce qu’il y avait un groupe de filles dans le collège qui effectué les rôle normalement attribués aux garçons. -> Lorsqu’une minorité se manifeste -> On a l’impression qu’elle est partout et qu’elle envahit l’espace.

f) Il y a des dérogations à ces règles : - Ex : France culture. Une artiste interrogée, elle dit qu’elle a fait du karaté. -> Elle a dit que dans tout ce qu’elle a fait elle a tjs été la seule femme, la première femme.

Aller feuilleter : L’histoire de la virilité (en plusieurs volume). -> Preuve de la virilité dans la posture. -> Jambes écartés...etc. Avant : Le rose était la couleur des garçons et les filles le bleu.

3. Loi non écrite de la socialisation scolaire : L’avantage aux filles. a) Rapport à l’école moins conflictuelle chez les filles : - On va voir pq à l’école pour les filles ca se passe de manière moins conflictuelle qu’avec les garçons. - Reprenons le concept de métier d’élève. -> Il faut apprendre les attitudes qu’on attend de soi : Son métier d’enfant, son rôle de sujet...Etc. -> Là, les filles tiennent un notable avantage. -> A l’école : Importance de la présentation de soi.

-> « Bonne présentation », ranger son sac, ses stylos, tenue des cahiers...etc. -> Estéthique de l’ordre. -> Et, dans la socialisation primaire : -> Fille préparé à bien se présenter dans le regard des autres. -> Fille mieux préparé à se dvp dans un espace restreint (comme l’espace scolaire). -> Elle son fortement influencées à s’épanouir dans l’espace domestique. -> Alors que les mecs on les envois à l’extérieur, faire du vélo...Etc. - Création d’une culture féminine de l’intime, face à l’enfance du chef pour le mec.

4. Loi non écrite de la compétion scolaire : L’avantage au garçon. a) Quel avenir scoalire pour les victimes de l’enfance du chef ? - Mecs Primaire-Collège : Oui, on le voit. -> Moins bons résultats. -> Cahier sales, déchirés, brouillon. - Mais, sur le long terme, cette socialisation en marge du système scolaire leur donne une confiance en eux indépendante du verdict scolaire (du prof). -> Les moments où il faut savoir s’imposer, se mettre en avant. -> Les garçons tirent profit d’une culture d’abord marginale, d’une culture de l’agon. -> Culture de la lutte du combat, de la compétition, de la rivalité. - Dans les 1ère années : Victime de l’enfance du chef. -> Mais ensuite ils en tirent profit. -> Car, loi scolaire non écrite de la compétition. -> Ce ne sont que les petits chef, entrainé à gagné, qui ont des chances de s’en sortir. -> Alors que les filles qui n’ont pas été éduqué à cette compétition vont y être confronté, mais, de façon désarmé.

b) Mais cette transformation du défaut en qualité dépend de l’origine sociale : - Il faut réussir à faire arriver les enfants jusqu’à ce moment où scolaire devient compétition. - Parents favorisés : Vont pouvoir contenir les écarts aux normes scolaire de leur fils. -> Et le faire arrivé jusqu’au moment de la compétition. - Parents défavorisé : Ouï ouï ouï.

c) Les filles : Victimes de la loi non écrite scolaire de la compétition : - Filles vont rester plus longtemps que les mecs dans la filière générale. - Mais elles vont galérer à intégrer les filières d’excellence à forte compétition. -> Car pas préparé à compétition.

d) Conclusion scolarité mecs : - En désavantage dans les premières années, du fait de leur culture du chef. -> Car, On les renforce positivement lorsqu’ils contestent. -> On attend pas d’eux qu’ils soient obésissant. -> Mais on veut qu’il soit obéissant à l’école quand même. -> Garçons souvent dans la contestation de la maitresse... - Il vont le payer : Heures de colles...etc. -> Plus origine sociale défavorisée plus ils vont le payer cher. -> Car parents ne vont pas parvenir à contenir cette désobéissance. -> Ils vont donc, pour la plupart être orienté vers des filières technologique et pro. - Ceux qui parviennent à s’en sortir. -> Ils vont arriver avec un avantage certains sur les filles à l’université. -> Car ils ont bénéficié de cette culture du chef qui leur donne une surestimation du chef, une assurance. -> Ils vont bcp mieux que les filles négocier un salaire...etc. Permet de comprendre pq mec nul en maths se dit bon et fille forte en maths à du mal à se dire forte. Les filles : Victimes de la loi non écrite scolaire de la compétition mais avantage dans la conformité avec le système scolaire.

5. Quels scénarios pour demain ? a) La partie se joue à 3 : 1. La famille. 2. L’école. 3. L’entreprise.

b) L’école : - C’est par elle que tout a commencé. -> Elle a accepté que les filles soent scolarisées. - Elle a donné aux filles la possibilité de vivre une expériecne tangible d’égalité entre les sexes. -> Occasion d’éprouver à l’école une citoyenneté plein et entière. - Sans l’école : Très peu de chance pour que les choses bouge. - L’école joue le rôle de foyer d’innovation sociale (très en avance sur famille et entreprise). -> Pour l’égalité des sexes : Lois sur la mixité. - Ajd enseignant et école estime que le pb de la progression de l’égalité des filles et des mecs ne doit plus être cherché à résoudre à l’école mais dans la famille et l’entreprise. -> Que entreprise donne salaire égale. -> Que famille arrête d’acheter bleu/rose. - Mais attention, pas totalement vrai.

-> L’école a bcp plus fait progressé l’égalité entre les sexes que famille ou entreprise, c’est OK. -> Mais, attention, il y a encore bcp de choses à faire du côté de l’école.

c) Le complexe de cendrillon, Colette Dowling : - Les femmes sont invités à investir...


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