Linguistique anglaise PDF

Title Linguistique anglaise
Course Introduction à la linguistique
Institution Université de Picardie Jules Verne
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Summary

Cours complet de linguistique. 3ème année de LLCE anglais.
...


Description

Partie 1 - l'analyse linguistique : objectifs et methodologie. 1) Description VS explication On utilise le preterit en anglais pour des faits présent, passé, futur. On va donc s'interresser à "pourquoi cette forme et pas une autre ?". On ne va pas décrire mais expliquer. 2) Langue et Discours En linguistique LANGUE et DISCOURS sont tout à fait different. Le terme "langage" ne va etre que rarement utilisé, c'est une faculté universelle, il n'est pas observable. Le lanagage se manifeste à travers les hommes qui parlent, les langues, les milliers de langues naturelles qui sont parlées dans le monde. Suivant les langues ont ne peut pas forcement traduire exactement la meme chose. Malheureusement on parle d'appauvrissement de la langue. La langue se manifeste a travers les paroles, les discours que l'on fait quotidiennement.

Langage = Langue + Discours. Le langage est l'ensemble = langue (système) + Discours (l'usage) Longtemps on est parti de ce que l'on peut observer, ce que l'on connait d'une langue sont les paroles que l'on entend quotidiennement, la grammaire se cantonnait donc qu'a se niveau là. Alors on ne pouvait que décrire. La grande révolution était l'apposition de la notion de système = une forme à une valeur en système et c'est cette valeur qui conditionne l'emploi de celle ci dans un discours. Le grammairien doit remonter au niveau du système et ne doit pas se contenter de la forme. N ne doit pas QUE décrire le sytème on doit creuser. On doit remonter au système des modaux par exemple. L'existence d'un système de la langue met les linguistes d'accord. Un élément n'est rien en dehors du système auquel il appartient = c'est une approche structuraliste . = C'est l'idée que derrière ce qui peut apparaitre illogique en surface, il y a une rationalité sousjascente. = Des invariantes structurelles sous-jascentes Grace a cela on va pouvoir expliquer ce qu'il se passe en surface au niveau de l'emploi. Si on regarde derrière l'apparent on va comprendre, cela a été une révolution. L'idée est de retrouver le général derrière le particulier. Le linguiste qui a imposé cette notion de système = SAUSSURE. Ce qui correspond au général est ce qui suit : 3) De l'INVARIANT aux EFFETS DE SENS

C'est le principe de base de la grammaire contemporaine = toute forme avant d'etre employée en discours a une valeur fondamentale en langue, c'est à dire en système. Cette valeur fondamentale est aussi appelée valeur de base OU l'invariant (valeur de la forme au niveau du système). On oppose cela à l'effet de sens de la forme. L'invariant est une valeur unique et conditionne les emplois de la forme que l'on appelle effet de sens. Pourquoi dit on UN invariant et X effets de sens car par exemple : BE+V-ing on va donner une valeur à celui ci mais il va y avoir plusieurs effets de sens car on peut exprimer des tas de choses avec cette forme. L'invariant donne naissance à plusieurs effets de sens. La distinction entre l'invariant et l'effet de sens a permis de quitter la simple description pour devenir explicative.

DO = invariant. Par exemple Les grammairiens se refusent à dire qu'il y a des exceptions. Par exemple : nearly et almost veulent dire la meme chose mais non, il y a une difference, piour cela les linguistes vont remonter dans le système et trouver un fait qui va les differenciers. Il n'y a pas de synomymes, ni d'homonymes ... Le morphème S = il y a un dénominateur commun a toutes ces variantes mais donc le S est un invariant. Par exemple : le S de la 3eme ps, le S du possessif ou encore le S du pluriel. Cest le même mais pas tout à fait, ils ont le même invariant. 4) Interpréter Donner la defintion de l'invariant, quel est l'effet de sens produit et expliquer pourquoi mettre celui ci et pas un autre car il produit tel ou tel effet de sens. Le langage servirait a transmettre au sens telegraphique du terme, des informations. Tous les enoncés ne donnent pas forcement d'informations = fonction d'établir le contact = fonction phatique. Des tas d'énoncés ordinaires qui ne transmettent pas d'informations et il n'y a pas besoin de décoder ce que l'émetteur vient de dire. Certains énoncés ne sont pas a prendre au pied de la lettre. Tous les énoncés doivent être interprétés. (Les scientifiques n'arrivent pas a faire converser un robot, tellement le mecanisme est complexe.) Les facteurs qu'il faut prendre en compte pour comprendre le sens d'un énoncé : Tous les énoncés sont chargés de choses implicites. Comprendre un énoncé est aussi le déduire, il faut inférer sur l'énoncé. Le role de l'interlocuteur est loin d'etre celui d'un simple récepteur, il doit toujours mettre en oeuvre des stratégies inférentielle (= déduction). /!/ Il ne faut pas confondre le sous-entendu avec le présupposé. "Pierre ne fume plus" on présuppose donc qu'il fumait avant. Car on ne peut pas répondre "je n'ai jamais dit ca ...". Le sous-entendu pourrait être : "tu devrais en faire autant, ne plus fumer" et alors là effectivement on pourrait répondre "je n'ai pas dit ca ..." Alors qu'on peut sous-entendre "Il pleut !" Donc on ne peut pas sortir, on peut répondre "je n'ai pas dit ca" en effet on peut sortir quand meme malgré la pluie Avec les sous entendu on peut faire passer des tas de choses et apres s'en defendre de ne pas l'avoir dit. Alors que les présupposés on ne peut pas les contester. Il y a dans un énoncé en plus de ce que les mots posent ce qu'ils présupposent et ce qu'ils sousentendent (c'est ce qu'on dit sans le dire tout en le disant). Comprendre le sens d'un énoncé est finalement comprendre pourquoi dans telle situation, tel locuteur m'adresse tel énoncé = la pertinence allocutive car un énoncé est toujours adressé à quelqu'un. Pour inférer cette pertinence il faut des opérations bien plus complexes qu'une simple opération de décodage. Les facteurs qui interviennent, pour permettre cette inférence (déduction) par l'autre de la pertinence de l'énoncé. Indices (clues) contextuels Indices prosodiques (intonation ...) L'intonation est décisive, c'est toujours l'intonation qui s'emporte sur la forme syntaxique. (Ex : tu viens ? C'est une question alors que la forme montre que c'est une affirmation) Les indices prosodiques , les indications fournis par la voix, dans la voix il y a l'intonation, l'accentuation, le débit, le silence (le silence est éloquent, un silence qui parle). Il

faut que ces bruits soient sous-entendu par une intention pertinente de communication. (Humhum ... = ca me gene, il y a un souci, tais toi ...) Indices kinésiques (ce qui relève du mouvement) , mimo-gestualité : un haussement d'épaule, on va le considérer comme un énoncé a part entiere = ca m'est égal. Le mouvement des yeux, la direction du regard (si on fixe plus que la durée normale), le dégré d'imperture des yeux (où vont les yeux, vers le bas, le haut..) mais il faut toujours avoir cette intention de communiquer. Mais cela relève aussi de la compétence culturelle (cela inclus toutes les regles qui permettent le deroulement d'une conversation normale et si on ne connait pas ces regles socio-culturelles on ne peut pas communiquer, déduire, comprendre...) Par exemple la distance entre les interlocuteurs, en Amérique du Sud les gens sont beaucoup plus proches les uns des autres : Proxémique. Regle de la parole : dans certaines cultures quelqu'un peut se mettre en retrait et monopoliser la parole. Tout est codifié culturellement. On a intégré ces règles culturelles. En linguistique on va privilégier la syntaxe mais onva ajouter tous ces précedents facteurs. L'intonation infère beaucoup.

Comprendre un énoncé consiste pour l'interlocuteur a inferer (pas automatique, pas de décodage) la pertinence de l'énoncé que lui adresse le locuteur. Ce processus d'inférence s'appuie sur la prise en compte simultanée (on prend toutes les informations en même temps) d'indices à la fois contextuels/situationnels et linguistiques mais dans lesquels il faut inclure les indices kinésiques et prosodiques. Un énoncé en lui même ne donne jamais son sens. Mais seulement des indices destinés a mettre sur la voie du sens. (Il faut pour cela inférer). Le sens se construit à deux.

II) Partie 2 - grammaire anglaise (approche interlocutive) 1) Caratéristiques morphologiques de l'anglais (+ voir poly n°3) Tout élément grammatical qui peut affecter soit un nom soit un verbe. Pour un verbe : -ed / -s / -ing / la marque 0 Pour un nom : -s / -ed / -ing / Le morphème est la plus petit unité linguistique En anglais les mêmes marques morphologiques s'additionne au verbe mais aussi au nom. 5) Catégories grammaticales en fonctions (Voir poly n°4) 6) Principales structures syntaxiques Ordre des constituants = ordre cannonique. SujetVerbeObjet 1) "He wiped the clean blade" = il a essuyé la lame du couteau qui était propre - adj antéposé (posé avant) 2) "He wiped the blade clean" = structure resultative = Il a essuyé le couteau dans le but d'etre propre. Apposé (posé après). = 2 relations prédicatives amalgamée en une seule. 1) he wiped the blade. = COD 7) The blade (got) clean. = blade = sujet. Il faut qu'il y ait un lien de cause a effet entre deux relations prédicatives. He ran upstairs = ran = la facon dont il est monté en haut. = structure resultative. Il faut d'abord lire upstairs puis ran.

8) Temps et aspects

Time = temps extra linguistique Tense = temps grammatical - prétérit : référence au passé/ un fait futur / poser une question En francais il y a 5 temps simple de l'indicatif : passé simple / imparfait / présent / futur simple / futur conditionnel (encore plus hypothetique que le futur simple) Passé simple - ai / as / a Futur Simple - ai / as / a Imparfait - ais / ais / ait Futur Conditionnel - ais / ais / ait Ils ont donc un lien , ils ont les mêmes terminaison. En anglais il y a 2 temps simple de l'indicatif : Présent / Prétérit Présent - (he) work-S Prétérit - (he) work-ED - (he) IS work-ING - (he) WAS work-ING - (he) HAS work-ED - (he) HAD work-ED - (he) HAS BEEN work-ING - (he) HAD BEEN work-ING Il y a plusieurs formes pour exprimer un fait présent et passé. Entre les temps du présent il y a une différence d'aspect (ex : works / is working) : c'est la facon dont on envisage le procès. En revanche "has worked" et "had worked" il y a une différence de TEMPS. work-S = présent simple work-ED = prétérit IS work-NG = forme progressive (en train de ... Mais pas que) BE + V-ing WAS work-ING = préterit de BE + V-ing HAS work-ED = present perfect (relatif au passé composé en francais) HAVE + V-ed HAD work-ED = past perfect (relatif au plus que parfait en francais) Preterit de HAVE + V-ed HAS BEEN work-ING = present perfect avec BE + V-ing HAD BEEN work-ING = past perfect avec BE + V-ing

9) La forme BE + V-ing Il y a deux elements : l'auxiliaire BE et le participe présent V-ing. Il y a le sens de BE et le sens de V-ing Tout fonctionne par systeme et la forme en question n'a que cette forme car elle s'oppose a la forme simple. L'invariant : ce que la forme dite progressive n'est pas. Définition inédéquate : la forme en question décrirait une action en cours au moment ou on l'énonce. = FAUX (car elle n'est pas généralisable) (contre-exemple : commentaire (sportif) en direct on utilisera le présent simple / et on utilisera cette forme pour exprimer le fait (par exemple) que l'on part demain quelque part - I'm leaving for London tomorrow) une opposition entre dynamisme et statisme. Tout ce qui est dynamique, qui se developpe (rejoint un peu l'idée précédente) = BE + V-ing. Tout ce qui est statique serait au présent. = FAUX une opposition entre forme qui dure et celle qui est ponctuelle. Present pour ponctualité et cette forme pour une durée : FAUX. La forme en question souligne la caractère incomplet , inachevé de l'événement. = FAUX VERITABLE DEFINITION : Avec la forme simple on a un simple constat. Avec la forme BE +V-ing on est au dela du simple constat. Le locuteur met en avant sa vision personnelle (un commentaire appréciatif / une explication donnée, une interprétation). Il y a donc des effets de sens très variés.

Il y a toujours une dimension contrastive, le locuteur envisage des points de vue divergents. Il y a toujours un decalage entre les interlocuteurs. Le locuteur n'exprime pas seulement son point de vue mais en se demarquant d'autres point de vue (en aucun cas une généralité) Cela peut aussi avoir une valeur de jugement, une interprétation tout à fait subjective de la part de l'interlocuteur, cela peut meme etre de la contradiction, voire polémique. Egalement, le caractère inattendu de l'action. Mais aussi, une opposition, une confrontation des volontés. On dit souvent que les verbes de perceptions ne peuvent pas se mettre a la forme Be + V-ing, sauf dans un cas ou "see" serait synonyme d'hallucinations. Or, cela est faux, car on peut le mettre sous cette forme car il y a un caractère inattendu. "Look, it's raining" : il y a un decalage entre les interlocuteurs, un le sait et l'autre ne le sait pas. Verbes performatifs : How to do thing with words : "swear" "promise", les grammairiens disent qu'on ne peut les laisser seulement à la forme d'un présent simple, sinon il perd son sens performatif, on serait dans le cas de décrire ce que l'on fait sur une photo sinon. Quand on a un imparfait a traduire doit on mettre la forme simple ou le BE+V-ing ? Le contraste entre les deux personnes nous permet de mettre BE + V-ing. La dimension contrastive fait changer cela. Un fait une action, l'autre en fait une autre , donc il va falloir mettre la forme BE + V-ing. Quand il s'agit de l'enchainement chronologique des faits à l'imparfait, si l'important est dans les faits alors : prétérit forme simple. 10) Les formes auxiliées avec HAVE (present et past perfect) Have been / Had been PRESENT PERFECT / PRETERIT On peut hesiter entre le prétérit simple et le present perfect. La difficulté est par rapport au français a cause du passé composé. "I have washed the dishes" present perfect = l'invariant du present perfect est que cette forme etablie explicitement un lien entre l'evenement évoqué au passé sous forme de participe passé et la situation présente. Cela fait reference au PRESENT = PRESENT Perfect. Il y a un résulat qui n'est inférable qu'en contexte. On attire le regard/l'attention sur ne incidence quelconque présente de l'événement. Le present perfect : Un lien établie entre le passé et le présent. On "I washed the dishes" préterit = on veut enumerer ce que l'on a fait hier, on va evoquer simplement dans la chrnologie qui s'est dérooulée les evenements "-by the way what does that glove conceal ? (Qu'ets ce que ce gant cache) -j'ai perdu une main = PRESENT PERFECT car incidence presente du pourquoi il porte un gant. -Is your diformity is heriditory -je l'ai perdu in the London Blite = PRETERIT car fait passé : il reveint sur les circonstances pour lesquelles il a perdu sa main. = dimension explicative. " "-I have been to London" = un lien est crée avec le present (wah tu as un accent londonien ; oui car je suis allée a Londres) ou (oh je ne connais pas Londres, je ne sais pas comment je vais me debrouiller ; je peux t'aider aujourd'hui car j'y suis allée) - maintenant cette experience est utile pour le present.

PAST PERFECT / PRETERIT

Le past perfect marquerait une antériorité chronologique par rapport au preterit, si on veut evoquer un fait encore plus passé que le préterit. MAIS ce n'est pas toujours le cas. "She had killed the pigeon which Ella clapped out of their garden" = POURTANT Ella l'a chassé du jardin AVANT de le tuer. Donc logiquement ca aurait du etre l'inverse... Donc ce n'est pas une question d'un evenement avant l'autre Le past perfect s'emploie beaucoup moins souvent que le plus que parfait en francais. Il faut qu'il y est une dimension explicative. Il faut voir dans le texte "I often go to the cinema , la semaine derniere je suis allé voir Superman, la semaine d'avant j'avais vu James Bond et demain j'irai voir une comedie musicale" = preterit , il énumère simplement ce qu'il a fait. "The news of his death came to me as a shock. La semaine d'avant nous etions allé au cinéma ensemble et everything seemed to be ok" = past perfect , il explique le choc qu'il a eu car la semaine d'avant il allait tres bien Avec "ago" il faut la plupart du temps mettre du prétérit, même si parfois il est correct de mettre le present perfect. Have : avoir Have got : posséder, le resultat du verbe Get. I have a shower : je prends ma douche I have got a shower : je suis le proprietaire de la cabine de douche. HAVE + BE + V-ing Au present perfect ou past perfect : L'événement est complétement terminé , on va garder la dimension explicative et on va y ajouter la dimension de jugement / analytique. "You have been drinking !" = en voyant l'autre arriver en titubant (indice situationnel) : le locuteur a deduit qu'il a bu. "Toi, tu as bu !" Souvent l'enonciateur va mentionner les indices qui lui permettent d'arriver a cette conclusion. J'explique l'état dans lequel je me trouve en ce moment, je m'excuse car je suis trempé donc I have been washing my car. Souvent une déduction, ou le pourquoi on est dans un état particulier ... J'ai lavé ma voiture : -I washed my car -I have washed my car -I have been washing my car

= une énonciation de plusieurs faits = elle est propre regarde j'ai lavé ma voiture = je suis trempé , mais j'ai lavé ma voiture.

Who has opened the window : Who has been opening the window :

= La fenetre est ouverte en ce moment, il fait froid = Il fait froid, deduction, mais la fenetre est fermée

11) Le préterit (-ed) Est une relation prédicative définitivement acquise dans le sqens non susceptible d'etre remise en question. C'est une stratégie d'imposition. On ne peut pas revenir dessus, c'est terminé, définitif. Le present simple en anglais peut avoir reference au futur mais pas du tout au passé. Si un present fait reference au passé (en francais) alors il faudra mettre une forme composée. 12) La base verbale non marquée

On l'emploie quand on met un imperatif, on peut la repérer a la 3eme personne du singulier. En francais cette forme serait traduite par un subjonctif. Vu qu'il n'y a pas de morphologie particuliere en anglais, il n'y a donc pas de subjonctif en anglais. Dans une complétive qui depend d'un verbe qui vise l'aspiration d'une realité nouvelle. On l'emploie : il faut que le semantisme du verbe de la principale couvre un champ qui va de la simple suggestion à l'ordre en passant par l'insistance, si dans la principale il y a ces elements alors dans la completive nous auront BV non marquée (nue : he be / he have / I do ...) La relation prédicative est non actualisée. Dans de nombreux cas en francais, l'imperatif est un mode non actualisé. 13) L'auxiliaire DO Do ets un verbe lexical / Should : auxilaire modal au preterit / about : preposition suivit d'un nom / What : pronom interogatif / was doing : le verbe do au temps preterit et a l'aspect BE + Ving / for : conjonction (il a le sens de "car") / could : auxiliaire modal can au preterit / though : une conjonction de subordination / alone : adj / for : une preposition (pas le sens de "car") / congenial middle-aged : un adj + un adj composé en ED 14) Le système des auxiliaires modaux Il faut se demandet qui est derriere le modal : He may be late (une relation predicative entre "he" et "be late"). May vient du locuteur. Il n'y a pas de relation syntaxique entre may et be late. Il faut commenter le temps du modal (preterit/ present) silil est au preterit "might" ce n'est pas forcement du passé, cela peut etre du futur. Il faut egalement dire un mot sur ce qui suit le modal. Il y a 4 formes possibles apres un modal : infinitif passé (sur un fait passé) La negation : soit la negation porte sur le modal lui meme ou bien sur le predicat qui le suit. May exprime une hypothèse / une possibilité : YOU MAY LEAVE NOW (là c'est une autorisation) Must : certitude ou obligation Pour l'hypothese il s'agit d'une interpretation epistémique / et une interpretation radicale : pour la permission + une interpretation déontique : You may leave now : il donne a "you" la permission au sujet de faire quelque chose. He may have missed his train : il emet une hypothese sur l'absence du sujet. You must stop smoking : on dit a "you" qu'il doit ...


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