Linguistique et acquisition d’une langue seconde II PDF

Title Linguistique et acquisition d’une langue seconde II
Course Linguistique et acquisition d'une langue seconde II
Institution Université Laval
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Ceci contient les notes pour les cours du 9 septembre au 7 octobre...


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Linguistique et acquisition d’une langue seconde II

Cours 1 Acquisition vs apprentissage : acquisition = fait de développer l’habileté de quelque chose sans nous avoir enseigné explicitement le fonctionnement apprentissage = fait de développer des savoirs suite à un enseignement explicite Neuroéducation : connaissances qu’on a au niveau du cerveau au service de l’enseignement,volet neuro-architectural La L1 influence le développement d’une L2 : transferts linguistiques Interlangue : système langagier de la personne au cours de son développement. Entre l’état initial et l’état final. État initial = premier input reçu dans la L2/présuppose nos connaissances sur la langue d’une certaine façon État final = moment où il n’y a plus de progressions possibles malgré toutes les erreurs qui peuvent y avoir L’aptitude, l’attitude et la motivation sont tous des facteurs reliés à l’âge

Types d’acquisition d’une L2 Tôt vs tardif L2 vs L3-L4 Langue seconde vs langue étrangère Milieu formel vs milieu informel

Quelques observations importantes La L1 influence le développement d’une L2 Transfert phonologique Transfert syntaxique

Transfert lexical Transfert pragmatique Il y a un système interne cohérent (structuré, logique, prévisible) qui sous-tend l’acquisition/production d’une L1 ou d’une L2 La L2 qui se développe chez les apprenants est structurée, logique (cognition + environnement) et prévisible, et a des caractéristiques qui ne proviennent ni de la L1 ni de la L2 (erreurs développementales), d’où le concept d’interlangue. Productions non cibles qui ne sont ni des copies de la L1 ni des copies de la L2. L’acquisition d’une L2 suit une séquence développementale commune/similaire d’un groupe de locuteurs à l’autre L’ordre d’acquisition de la négation en anglais. Stade 1 : no placé avant l’élément concerné No bicycle ; I no like it. Stade 2 : don’t devant l’élément concerné He don’t like it ; I don’t can sing. Stade 3 : la négation après les auxiliaires You cannot go there ; She don’t like rice. Stade 4 : la négation maîtrisée (temps et morphologie) We didn’t have supper ; She doesn’t want to go. L’ordre d’acquisition des morphèmes en anglais Stade 1 : -ing ; pluriel ; copule be Stade 2 : auxiliaire be ; articles Stade 3 : passé irrégulier Stade 4 : passé régulier ; possessifs ; 3e personne du singulier Ce qui arrive en premier, ce sont les choses les plus saillantes, les plus fréquentes et les plus simples.

Ce qui arrive en dernier, ce sont les structures les plus rares, les plus complexes et celles qui s’entendent le moins. Le succès d’acquisition d’une L2 est variable États finaux très hétérogènes, disparates Fossilisation Facteurs cruciaux qui contribuent aux différences de succès : L’âge (biologique, biographique) L’aptitude (cognitif), l’attitude (socio-affectif), la motivation (socio-affectif)

Objectifs de la recherche sur l’acquisition des L2 Fournir des explications cohérentes pour les faits attestés dans le domaine (ex. : les caractéristiques du développement d’une L2 et du traitement d’une L2, la variabilité du succès en L2 ou encore les impacts de la L1) Développer de meilleures méthodologies de recherche

Informations en rafales Facteurs linguistiques : caractéristiques de la langue (L1 plus ou moins complexe peut faciliter ou rendre plus difficile l’apprentissage de la L2) ·

Facteurs cognitifs : mémoire, attention

·

Facteurs biographiques : contexte d’apprentissage, type d’input (formel, informel)

·

Facteurs biologiques : âge du début d’acquisition, âge en général, âge peut renvoyer à la

maturation (développement du système neuronal) qui va jusqu’à 25 ans ou au vieillissement ·

Facteurs socio-affectifs : motivation, désir de passer pour un natif, relation avec

l’enseignant ·

Apprentissage vs acquisition : apprendre des règles, apprendre à écrire vs acquérir la

langue de façon inconsciente, automatique

·

Acquisition : pour pouvoir prouver, il faut faire des scans du cerveau

·

Appropriation : inclut l’acquisition et l’apprentissage ; terme plus générique

·

Beaucoup d’apprentissages dans la L2, moins d’acquisitions

·

Avant 7 ans, quand on a commencé à apprendre la L2, sur le long terme, ce sera très

bénéfique pour l’apprentissage. Si on apprend la L2 après 7 ans, il sera plus difficile de passer pour un natif. À partir de 16 ans, le succès est très variable. 0-7 ans : optimal 7-15 ans : bon 16+ : imprévisible ·

Maitriser le système sonore dans la L2, c’est le domaine le plus difficile.

·

Immigrants : sous-sco ou sco

·

Problème de formation des profs + problème d’hétérogénéité des classes font en sorte

que les objectifs de francisation ne sont pas atteints.

Cours 2 Le système mémoriel

La mémoire sensorielle Fonction : conserver les informations (stimuli) fournies par les sens (sous-systèmes : mémoire iconique, échoïque, etc) ; elle ne nécessite aucune attention particulière. Durée de maintien des informations : généralement moins d’une seconde La mémoire sensorielle = le passage obligé pour retenir une information à court terme et à long terme. Les 5 sens sont rattachés aux organes sensoriels, donc à la mémoire sensorielle La mémoire sensorielle, c’est-ce qui nous permet de ressentir des choses La mémoire sensorielle, c’est ce qui permet à la vision d’être smooth

La mémoire de travail

La mémoire de travail (MT) intervient lorsqu’on prête attention à un stimulus enregistré par la mémoire sensorielle (ex. : verbal, visuo-spatial, olfactif) Fonction : maintien à court terme d’informations conscientes pour utilisation immédiate = espace de travail Tâches de résolution de problèmes et manipulation d’informations linguistiques (ex. : production orale, écriture, lecture, traduction simultanée) Durée de maintien des informations : quelques secondes s’il n’y a pas d’autorépétition à environ une minute s’il y a eu de l’autorépétition, donc si on ne pratique pas, tout va être oublié après 1 minute.

La MT a une capacité limitée (empan mnésique = le nombre d’éléments qui peuvent s’y maintenir en rappel immédiat = 7 +/- 2) L’attention détermine ce qui sera encodé en mémoire de travail, et éventuellement en mémoire à long terme déclarative (voir définition de l’attention à la fin du document). Les ressources attentionnelles (attentional resources) : on dispose d’un pool, d’un réservoir attentionnel, qui peut être divisé mais qui est limité. Plusieurs traitements peuvent être réalisées en parallèle, tant qu’on ne dépasse pas la limite. Le réservoir attentionnel peut varier pour un même individu (stress, anxiété, fatigue, drogue, alcool peuvent diminuer les ressources). Si on atteint les limites des ressources attentionnelles, deux possibilités s’offrent à nous : Soit la performance se dégrade Soit une tâche sera priorisée et le traitement sera plus séquentiel La division de l’attention rend difficile la formation de mémoires conscientes. Mais le degré de mise en mémoire lors d’une attention divisée variera selon l’interférence ou non entre les différents types de stimuli (les 5 ans). La mémoire de travail demande souvent à porter attention sur plus d’une chose à la fois, et ce travail conscient a donc un coût : plus la mémoire de travail est sollicitée, plus il y a des coûts computationnels impliqués (voir définition des coûts computationnels à la fin du document). Il y a un principe fondamental en psychologie du comportement selon lequel il est très difficile d’accomplir plus de deux ou trois tâches conscientes en même temps. La conséquence est une baisse de la vitesse de réaction et baisse de la précision.

La mémoire à long terme (MLT) Contrairement aux mémoires précédentes qui effacent les données aussitôt après leur traitement, la MLT stocke les informations pendant une longue période et même pendant toute la vie.

·

Le concept de MCT est incomplet, vaut mieux parler de mémoire de travail

e ·

Mémoire de travail = fait de prendre des informations sur lesquelles on a porté.

Attention et les répéter. Si on les répète assez, elles vont passer en MLT. ·

Les 5 sens sont la porte d’entrée, ensuite on doit porter une attention, ce qui mènera à la

MDT, si on répète assez ou. S’il y a bcp d’émotions, ça va être stocké dans la MLT. ·

Le corps. Est fait de façon à ce qu’on minimise les dépenses énergétiques.

·

Le cerveau brûle 20%de toutes les dépenses du corps et représente 5% de notre masse

totale. ·

La MLT est fait de 2 sous-systèmes, qui sont faits d’autres sous-systèmes. o Savoirs et apprentissages : § Explicite/déclarative : choses qu’on est capable d’expliquer, de verbaliser · Épisodique : événements de notre vie · Sémantique : là où les mots et les définitions sont stockés § Acquisition : · Implicite : informations stockées de façon involontaire et on n’est pas capable d’expliquer ce que c’est o Procédurales : habiletés o Conditionnements émotionnels : pleurer o Effet d’amorçage : fait qu’en réponse à des stimuli pris par nos 5 sens, des réactions en chaine sont créées par le cerveau. (sons, images). Ex : dire « Allemagne » + réaction. Latent. o Réflexes conditionnés : Pavlov

·

Un patient atteint d’Alzheimer perd accès aux informations stockées dans la partie

explicite de la MLT en début de maladie ·

La contextualisation sert à l’effet d’amorçage afin que les informations soient latentes et

qu’il soit plus facile pour eux de faire l’activité.

·

Mémoire iconique : visuelle

·

Mémoire échoïque :

·

Mémoire de travail : opère sur quelques secondes, stock pendant quelques secondes,

manipule l’information et porte attention ·

Modèle de Baddley : dans la mémoire de travail, il y a un administrateur central

(attention) ·

La mémoire n’est pas pour se souvenir parfaitement du passé, mais plutôt à prévenir

l’avenir, à anticiper un danger ·

La mémoire est une reconstruction des événements passés et non une représentation

exacte ·

Encodé. = élément sonore qui devient électrochimique

·

Tu dois pouvoir inhiber des choses afin d’avoir une bonne attention

·

MDT est toujours en train d’inhiber la L1, ce qui fait en sorte que c’est plus fatigant. On

est prédisposé à faire des erreurs. Plus la tâche est complexe, plus nos ressources attentionnelles sont épuisées rapidement. ·

Cécité d’inattention : si on ne porte pas attention, aucune information ne sera

emmagasinée. ·

Coûts computationnels : travail conscient. Se mesure via des scans. Travail biochimique.

·

MLT : il faut vraiment pratiquer et vouloir transférer les informations en répétant

·

Pour donner des chances à l’information de transférer dans la MLT, il est utile d’impliquer

du vécu et des émotions ·

La mémoire est associative. Deep processing.

·

Une bonne façon de mémoriser l’encodage à long terme, c’est de constamment

challenger les apprenants afin de rappeler le contexte. ·

En parlant la L1, la mdt fonctionne (préparation du discours, ajustement du discours à

l’interlocuteur), mais la MLT procédurale est surtout impliquée. ·

Plus on automatise des comportements, plus on fait plein de choses en meme temps

·

Les enfants portent attention au contexte et au sens

·

Le voc et la grammaire s’apprennent de façon incidente

·

L’enfant apprend à associer des phrases, des mots, à des événements

·

L’enfant a une MDT limitée

·

La mémoire consciente se met à se développer à partir de 6 ans, ce qui rend

l’apprentissage plus difficile ·

Aphasie (produire des mots), alzheimer, parkinson, viennent attaquer tout ce qui est

automatique

Cours 3 ·

L’acquisition d’une langue est à 95% une habileté.

Traitement cognitif d’une L2 · En l2, on enseigne comment poser des questions, comment prononcer les sons · L’attention est davantage présente en L2 · Hippocampe, lobe frontal, amygdales : beaucoup de mouvements lorsque l’on parle en L2 · Il y a un déclin de la mémoire déclarative au début de la vingtaine (vitesse de réaction + vitesse de traitement). Néanmoins, plus on est stimulé cognitivement, moins ce déclin sera important. · Structures/propriétés linguistiques à apprendre/produire sont complexes : au niveau du nombre de mots, de syllabes, de phonèmes · Contrôle conscient de tout · Il y a moyen de mettre l’accent sur le développement d’habiletés · Avant 5 ans : procédural plus que déclaratif Facteurs influençant la rétention mémorielle · L’aptitude

· Fréquence d’utilisation · Richesse du contexte ; encodage multi-sensoriel (les 5 sens) · Motivation · État émotionnel · Degré d’interférence entre les types de stimuli o Trop d’informations d’une même nature tue l’information § Du bruit pendant un cours : trop de stimuli sonores · Lien avec le passé ou non · Le type d’encodage déclaratif o Brut (shallow processing) : Dire simplement « hund » et demander de répéter (très pauvre, probabilités d’oubli élevées) o Sémantique (deep processing) : Associer le son « hund » à une image de chien (plus facile de récupérer l’information) o Épisodique (deep processing) : Apporter le chien et montrer le mot « hund » (plus facile de récupérer l’information) · Le mode (engagement cognitif) o Actif o Passif

Premières théories d’acquisition des L2 Historique des théories · Analyse contrastive · Analyse des erreurs · Concept d’interlangue · Études sur l’ordre de dév des morph

· Hyp de la cons créa · Théorie krashen · Théorie neuroling du bil

Hypothèse de l’analyse contrastive (HAC) · L’origine de cette hypothèse, c’est le béhaviorisme · Différences entre notre habitude et l’habitude de la l2 peuvent être prédites pour cerner les difficultés · Transfert positif : facilitant o Ex : r en allemand et en français · Transfert négatif : interférence o Ex. : Ich bin 12 Jahre alt/I am 12 years old -> je suis 12 ans · Sous-estimation des erreurs o On fait des erreurs qui n’étaient pas prévues o Ex. : He comed yesterday (he came yesterday) -> application de la règle générale · Surestimation des erreurs o On prévoie des erreurs qui n’arrivent pas o I them see pour je les vois (cognitivement, c’est plus exigeant dire je les vois que je vois les, alors lorsqu’on apprend quelque chose de plus facile, on l’acquiert mieux). · Les langues s’influencent entre elles

Analyse des erreurs · La surestimation et la sous-estimation des erreurs a mené à une division de deux branches de l’HAC

o HAC forte § Les erreurs sont prédites o HAC faible § Des erreurs sont prédites · Générativisme o On est capables de produire des phrases que l’on n’avait jamais entendues o Pauvreté du stimulus o Faculté de langage qui est en nous o Avec un minimum d’input, on peut faire un maximum de phrases · Types d’erreurs o Erreur : divergence entre la L1 et la L2 ; quelque chose qu’on a produit par rapport à la L2 ; erreur de compétence o Faute : lapsus ; erreur de performance ; effet d’une distraction, du stress, de la fatigue, du bruit ambiant · Erreurs intralinguales o Système de la langue qu’on apprend qui n’est pas facilitant o Simplification : si la langue est un peu trop complexe, on va la simplifier. o I studied English for 2 year -> I’ve studied English for 2 years · Erreurs interlinguales o Interférences entre la L1 et la L2 · Problèmes de cette théorie o Stratégies d’évitement o La source des erreurs ne peut pas être déterminée par cette théorie o Les erreurs sont variables (fardeau cognitif)

Hypothèse de la construction créative · La langue maternelle n’a aucune influence ; il n’y a pas de transfert · Finalement, il y a un ordre naturel d’acquisition des morphèmes en L1, mais en L2 aussi · Problèmes o Aucune explication pour les mécanismes universels § Mémoire § Attention o Études cognitives non encore poussées

Théorie de l’input/monitor de Krashen · Précurseur des neurosciences cognitives · On est guidé par quelque chose d’inné · Input compréhensible : zone proximale de développement/i+1 · Filtre affectif : facteurs affectifs négatifs qui nuisent à l’apprentissage · Origine o Ordre. D’Acquisition des morphèmes n’est pas constant ; il y a des divergences entre les groupes ; on n’apprend pas tous. À la même vitesse (renvoie au filtre affectif) · Le moniteur, c’est notre attention, notre mdt qui nous écoute toujours en permanence. Si on commet une erreur, on se corrige subtilement. Pour se corriger, il fallait savoir qu’on faisait une erreur. Cela relève des apprentissages. · Le système acquis renvoie à la mémoire procédurale. · Stress = manque de contrôle sur quelque chose · Problèmes o Difficile à prouver (ajout d’un élément nouveau)

o On ne peut pas démontrer les composantes de façon isolée ; elles sont trop interreliées

Cours 4 Japonais On parle Japonais principalement au Japon et au Brésil. Il y a 4 systèmes d’écriture en même temps Logogr. : aucune information sonore ou sémantique La Chine a adopté une écriture simplifiée en 1959 Kanas : mots d’origine étrangère Hiragana : mots grammaticaux/terminaisons/système syllabique

Phonologie du japonais Le système phonologique du japonais fait partie des 7 systèmes les plus simples au monde Il y a 25 consonnes/voyelles Les Japonais sont moins habiles à discriminer à cause de la simplicité de leur système phonologique. le “z” se prononce “dzzz” en japonais, sauf pour le mot “suzuki”. on peut donc utiliser ce mot pour isoler le son français “z” et arriver à les faire prononcer ce phonème. phonotaxe = syntaxe des sons attaque = début de syllabe -> 3 consonnes (strict) coda = fin de syllabe -> 4 consonnes (ambidextre) Phonèmes -> phonotaxe -> prosodie v = voyelle

c = consonne n = nasal q = première partie d’une géminée (col-lègue ; gram-maire) homorganique : granby devient grambé (bilabial)

Syntaxe sujet/objet/verbe on ajoute des morphèmes

Pragmatique Langue pro-drop = on laisse tomber le pronom

Vocabulaire

Difficultés Sons “r” prononciation masculin/féminin déterminants conjugaison reprise des pronoms

Influences translinguistiques Influences = pragmatique (contexte), phonologie

Le rôle de la L1 en acquisition de la L2 : perspectives antérieures et actuelles Antérieures H.A.C. : Hypothèse de l’analyse contrastive H.C.C. : Hypothèse de la construction créative

Actuelles Quand et comment la L1 influence-t-elle la L2?

Comment la L1 influence la L2? Selon l’hypothèse de l’analyse contrastive (HAC), l’influence de la L1 se traduit en termes de transfert (de propriétés linguistiques) Transfert non-perceptible : transfert positif (ne s’entend pas, utilise le bagage d’habiletés) Transfert perceptible : transfert négatif (productions non cibles perceptibles, s’entend, on sait la langue maternelle, donne des erreurs)

Erreurs de commission Les apprenants peuvent produire ou accepter les structures de leur L1 qui ne font pas partie de la langue cible. i.e. : accepter de dire I want that you come instead of I want you to come. (french translation) i.e. accepter de dire Je suis douze ans au lieu de J’ai douze ans (traduction de l’anglais/de l’allemand)

Erreurs d’évitement Les apprenants peuvent éviter ou sous-utiliser les structures de la langue cible qui diffèrent

des structur...


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