L\'ouverture des économies grossemy l1 lea PDF

Title L\'ouverture des économies grossemy l1 lea
Course Économie
Institution Université de Picardie Jules Verne
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Summary

CM de Economie LEA L1
Prof: M.Grossemy...


Description

Chapitre 4 : L’ouverture des économies On ne peut pas comprendre l’économie aujourd’hui quelque soit le domaine sans prendre en compte les échanges internationaux. Les échanges internationaux existent toujours. Un pays ne peut pas produire tout ce dont il a besoin. Les échanges internationaux se sont particulièrement développés au XXème siècle et plus précisément à partir du début des années 80. Les économies sont aujourd’hui interconnectées. Elles sont de plus en plus interdépendantes. On emploi le terme de Mondialisation des économies. Aujourd’hui une économie évolue sur le marché mondial et non sur le marché international. Chaque économie a tendance à se spécialiser. On parle de Spécialisation International des économies. Grâce aux exportations, la spécialisation d’une économie doit permettre de financer les importations des productions qui ne sont pas réalisées dans le pays (production délaissée). Il y a une imbrication dans l’économie, elles sont imbriquées les unes aux autres. Le destin d’une économie va donc dépendre d’une autre économie. Cela peut être un avantage : la croissance économique dans un pays (la création de richesse) va se propager dans d’autres pays. (Un pays riche va acheter dans d’autres pays et leur donnera alors de la richesse) Mais elle peut aussi propager la crise. I-

La progression des échanges internationaux A- L’ouverture croissante des économies

L’ouverture des économies a permis une forte progression des échanges internationaux, même si tous les pays (ou secteur économiques) ne sont pas impliqués de la même façon. L’ouverture peut être mesurée par des indicateurs comme le taux d’ouverture. 1) Le taux d’ouverture Taux d’ouverture = [(Exportations + Importations) / 2] / PIB PIB : C’est la production de biens et services dans un pays. On compare la valeur de l’échange par rapport à tout ce qui est produit dans le pays. Taux d’ouverture française aujourd’hui : 27%

Sur 100 millions de biens et services produits en France, il y en a 27 qui sont importés ou exportés. L’économie française est une économie ouverte sur le monde depuis la fin des années 70. 2) Le déterminant a. La taille du pays L’abs de ressources naturelles dans un pays fait de l’ouverture vers l’extérieur une nécessité. Les pays qui disposent d’un territoire géographique étendus disposent généralement de matières premières, de ressources naturelles suffisantes (ou presque). Ils disposent aussi d’un large marché domestique (intérieur). Il aura donc à priori tendance à être moins ouvert sur l’extérieur. Ex : Les Etats-Unis ont un taux d’ouverture de 7%. L’économie américaine est avant tout basée sur le marché intérieur. Taux d’ouverture de la Chine : plus de 20%. Son développement est basé sur les exportations et non pas sur son marché intérieur. Les petits pays ont souvent des taux d’ouverture très élevés. Ex : Le Luxembourg. Son taux d’ouverture : 125%. Il échange plus qu’il ne produit. Ce pays dépend presque complètement de l‘extérieur. De même pour le Pays-Bas et la Belgique. b. La spécialisation productive Un pays se spécialise dans un domaine en matière de production. Les pays développés (Etats-Unis, Royaume-Unis, France…) ont orientés récemment leur spécialisation selon Réduction du poids de l’industrie traditionnelle (charbon, bois, textile…) Accroissement du pouvoir du secteur technologique (câble, antenne de téléphonie mobile…) et des secteurs « pointus » (la finance et l’informatique). Accroissement du secteur des services (tertiarisation des économies) et du secteur des services à la personne. Ce modèle de spécialisation est parfois qualifié de bipolaire. Car il est axé sur 2 spécialisations opposées : secteurs sophistiqués, financiers, TIC, audio visuel, contre des secteurs plus basiques et protégés de la concurrence internationales (ex : service à la personne). Ce type de spécialisation (bipolaire) oblige à apporter massivement des produits industriels, traditionnels (acier, fer, textiles…), qui devront être compensés par les exportations de produits plus sophistiqués. Si un pays est en déficit commercial (= importations > exportations), cela signifie que le choix de son mode de spécialisation n’est pas le bon pour l’instant. Remarques : Les pays émergeants (Chine, Inde…) sont particulièrement ouverts sur le reste du monde. Certains d’entre eux commencent à développer leur marché intérieur.

L’Allemagne exporte 50% de son PIB. Un produit sur deux fabriqués est exportés. Ce pays n’a pas adopté ce modèle bipolaire. Il continu de s’appuyer sur son secteur industriel et en particulier sur l’industrie de haut de gamme (voitures). B- Les échanges extérieurs de la France 1) La France échange principalement des biens Les importations et les exportations de la France échangent principalement des biens (80%). Ce chiffre insiste sur le choix de spécialisation. La France a suivi le modèle bipolaire. Donc, l’industrie traditionnelle a souffert de ce choix de spécialisation. La France s’est axée plutôt vers des secteurs de pointe en s’appuyant sur des changements nationaux de l’industrie française. Cette politique s’est traduite par une désindustrialisation massive. La France a perdue la moitié de ses emplois industriels. Aujourd’hui, la France essaye de contrer cette tendance de désindustrialisation. Ex : En 2012 a été créé un ministère du redressement productif. Récemment a été créée la banque publique d’investissement. Son objectif : Financer les industries. C’est aussi la politique de recherche de compétitivité, par des aides à l’exportation, La France a également mis l’accent sur le secteur des services (commerces, distributions, loisirs, banques...). Ce secteur des services est relativement épargné par la concurrence étrangère. De plus, l’évolution démographique de notre pays laisse apparaitre un secteur émergent en pleine croissance : le secteur des services d’aide à la personne. 2) La France échange principalement avec les pays développés La France échange d’abord avec des économies qui lui sont comparable, des économies similaires. Plus de 60% de nos échanges (importations + exportations) se font avec les 28 pays de l’Union Européenne. 13% des échanges se font avec des pays développés hors Union Européenne (Etats-Unis, Australie, Canada) Le reste se fait avec les autres partis du monde : les pays émergents et les pays moins avancés

Plus précisément, notre premier client et premier fournisseur est l’Allemagne. Mis à part l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne ont des échanges privilégiés avec la France. 3) Mesure des échanges et interprétations L’instrument privilégié pour mesurer les échanges d’un pays avec le reste du monde, est la balance des paiements. Une balance des paiements est composée de 3 comptes : transactions courantes, capital et financier. Compte de transaction courante : c’est le compte le plus important. Ce compte va enregistrer les flux monétaires qui résultent des échanges de biens, de services ou de revenus. Ex : c’est dans ce compte que seront enregistrés les importations et les exportations de biens et services. Il se traduit par un solde : S’il est excédentaire  Plus d’argent est rentré. On a plus exporté qu’importé Cet excédent constitue (pour l’économie française) une capacité de financement. S’il est déficitaire  Plus d’argent est sortis. On a plus importé qu’exporté. On peut donc dire que l’économie a vécu au dessus de ses moyens. L’économie à un besoin de financement. Compte de capital : fonctionne de la même façon que le précédent. Il est beaucoup moins important (en volume). Il retrace surtout les échanges de brevets (d’invention…) Ce compte peut aussi avoir un solde excédentaire ou déficitaire. Si on additionne les transactions courantes et le compte capital on obtient une stricte correspondance de ----------Sur le compte financier sont enregistrés les échanges de flux financier. Si le compte des transactions courantes est déficitaire, ça signifie que l’économie a un besoin de financement. Le pays va emprunter à un autre pays. De l’argent va entrer sous la forme d’un emprunt. Le solde d’une balance des paiements est toujours équilibré : elle est toujours égale à 0. En 2012, le solde des transactions courantes est déficitaire de - 44 423 milliards d’euros  Elle a plus importé qu’exporté. Depuis 2005 la France est en déficit qui s’accroit d’année en année. Selon la plupart des analystes, il y a 3 raisons principales : - Il y a peu de PME (>500 salariés) orientés à l’exportation, contrairement à l’Allemagne.

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La compétitivité prix est moins bonne qu’ailleurs. (Compétitivité : Capacité d’affronter ses concurrents sur les marchés, grâce à un prix plus faible) Ex : les Ets agroalimentaire bretonne. Elles exportent sur des marchés très concurrentiels, notamment vers les pays du MoyenOrient. Or les coûts de production sont plus chers en France, donc les prix sont plus élevés. - La faiblesse de la compétitivité hors prix. Compétitivité par la qualité des produits, par la qualité du SAV, le positionnement par le secteur porteur, la capacité à innover. L’éco Française est mal positionnée d’un point de vue sectoriel. On constate avec ce déficit que c’est le modèle de spécialisation qui est remis en question. [Le 07/11/13 La banque Européenne a annoncée une diminution de 0,25 points de son taux d’intérêts. Ca veut dire que les banques payent moins cher pour emprunter auprès de la BCE. Les banques répercutent cette diminution dans les taux d’intérêts facturés à leurs clients, notamment dans les taux d’intérêts à crédit accordés. Ce qui est attendu est une relance des crédits. Mais il y a des effets contraires. Le taux de change (la valeur) de l’euro a chuté de 10%. Deux conséquences : - Ca renchérit le prix des importations (facturées dans une autre devise que l’euro) Si la valeur de l’euro a baissé par rapport au dollar, il faudra plus d’euros pour obtenir le même prix en dollars. - Dynamise les exportations (de la zone euro vars le reste du monde) Le prix des produits facturés en euro a diminué. Pour un importateur américain ça lui revient moins cher d’acheter en euros (-10%)] II-

Les échanges internationaux de B&S

Les flux mondiaux d’échanges de B&S par produits, par pays… reflètent la division internationale du travail. A- L’orientation géographique des échanges. 1) La croissance des Echanges Internationaux (EI) Les échanges internationaux se sont particulièrement développés à partir des années 1980 : c’est le début de la mondialisation des économies. Les marchés deviennent de + en + interdépendants et interconnectés. Les échanges ont augmentés, avec cependant des périodes de contraction ; En 2009 le commerce mondial a baissé de près de 10% en un an. La crise de 2007-2008 a fait chuter les demandes mondiales, alors exportations et importations chutent également. Cette contraction est un fait sans précédent depuis la 2nd Guerre Mondiale. 2) Les caractéristiques actuelles des EI

(Echanges Internationaux = Commerce Mondial) 

La domination des pays développés

Le commerce mondial est dominé par les pays développés, qui réalisent environ 65% des exportations mondiales. Dans les années 1970 c’était 75%. Entre temps sont apparus les pays émergents, les nouveaux pays industriels etc… Ces pays sont regroupés autour de trois pôles dominés, qui forme la Triade. Les Etats Unis restent dominant dans le commerce mondial, ils sont notamment le 1er exportateur au monde de service. Le Japon a vu sa part régresser depuis 1990. L’Europe reste le plus grand marché du monde. L’UE est le 1er exportateur mondial de B&S (40%) Au sein de l’UE, la position de plusieurs pays s’est modifiée. L’Allemagne est le 1er ou 2ème exportateur mondial de marchandises, devant les Etats Unis. (Environ 10% des exportations mondiales de marchandises) La Gde Bretagne, la France, l’Italie, l’Espagne… ont vu leur position se dégrader. (Depuis les années 80) La France se trouve entre la 6ème et 8ème place mondiale d’exportations de Biens. Il y a un déclin relatif des pays développés. Il est lié à l’insertion (sans cesse croissante) de plusieurs pays asiatiques sur les marchés. 

L’insertion des pays asiatiques dans le commerce mondial

A partir du début des années 60, certains pays d’Asie ont commencé à mener une politique économique axée sur l’exportation. 4 initiateurs : Hong Kong, Singapour, Taiwan et Corée du Sud (surnommé les 4 Dragon) Ces 1er Nouveaux Pays Industrialisés (NPI) ont été suivis par d’autres pays asiatiques (surnommé les Tigres d’Asie) Début de reforme en chine 1978 avec une baisse importante des tarifs douaniers et création de zones économiques spéciales dont le but est d’attirer les investisseurs étrangers. En même temps elle mène une politique de promotion des exportations et grâce à ça, on peut dire que très rapidement dès la fin des années 80, la Chine s’impose comme un acteur essentiel du commerce mondial. Entre 1980 et 2006 le commerce extérieur de la Chine a augmenté en moyenne de 15% par an. En 1980, la part de la Chine dans le commerce mondial c’est moins de 1%. Aujourd’hui, elle est de 10%. 

La marginalisation des autres régions

Mis à part le Brésil, la Russie, et qql pays du Moyen Orient (exportateur de pétrole), les autres régions du monde sont en marge du commerce mondial, et en particulier de toutes les régions marginalisés, c’est l’Afrique noir qui représente une part extrêmement faible du commerce international : 3%. Si on enlève l’Afrique du Sud et les qql pays Africains qui exportent du pétrole (Nigéria, Algérie…), c’est moins de 1% pour le continent Africain. B- L’orientation sectorielle des EI 1) Les échanges de marchandises  La domination des produits manufacturés Le commerce mondial est dominé par les échanges de produits manufacturés. Le commerce de marchandise concerne les échanges de produits agricoles, de produits des industries extractives et de produits manufacturés. On constate que les exportations de produits agricoles sont ceux qui progressent le moins. Entre 1950 et 2006 elles ont augmentés en moyen de 3,5% par an. Alors que sur la même période, le commerce total de marchandise avait une progression moyenne de 6%. Ces échanges de produits sont à relier aux fortes variations de prix Ex : En 1973, il y eut un quadruplement du prix du pétrole. Aujourd’hui, ces échanges représentent environs 20% des marchandises. Parmi ces produits manufacturés, on observe sur le long terme, une diminution relative de 3 produits principaux : le fer, l’acier et le textile. Par ailleurs, le secteur le plus dynamique dans le commerce mondial, c’est le commerce des machines et outils, les câbles etc… et les marchandises liées au développement des réseaux de communication informatique. Le commerce de marchandise reflète la Division Internationale du Travail (DIT) DIT signifie que les pays se sont spécialisés sur la production de certains biens. Pdt longtemps, les exportations des pays en développement étaient constitués de produits primaire. Les pays développés étaient constitués de produits manufacturés. Cette DIT a tendance à se modifier du fait qu’un nombre de + en + important de pays (pays émergents : Chine, Inde, Brésil...) produisent et vendent des biens manufacturés. 

C- Les justifications théoriques de l’échange international Chaque coéchangiste doit trouver un intérêt dans l’échange international

Les économies sont complémentaires et doivent donc se spécialiser Depuis le début des années 90 il y a des parties qui ne répondent pas à cette logique de complémentarité. Pourquoi est ce que 2 pays vont produire et vendre la même chose ? 1) Les avantages comparatifs des nations Il y a tjr eu des échanges de B&S entre pays, car un pays ne dispose pas de tout ce qu’il a besoin. Auteurs :  Adam SMITH (1723-1790) Il a écrit un livre « De la richesse des nations » où il dit que le moyen d’accroitre la richesse d’un pays est l’échange. Un pays a intérêt à importer un bien si sa prod° nationale (de ce B) est + coûteuse que l’importation. (=importer à l’étranger un produit même si on peut le fabriquer car ça revient moins cher.) Ex : Drap Vin

Angleterre 100 120

Portugal 110 80

Le Portugal a intérêt à importer des draps et se spécialiser dans le vin. L’Angleterre à intérêt à importer du vin du Portugal. Elle s’enrichira alors puisqu’elle dépensera moins que si elle le fabriquait elle-même. Et donc se spécialiser dans les draps. Smith parle d’avantage absolu : Ici le Portugal possède d’un avantage absolu dans la production de Vin et l’Angleterre d’un avantage absolu dans les draps. Qd un pays ne possède pas d’avantage absolu, la théorie de Smith ne peut expliquer autre chose.  David RICARDO (1772-1823) Il va compléter l’approche de Smith Même si un pays ne dispose d’aucun avantage absolu, il va monter que les pays ont qd mm intérêt à se spécialiser et à échanger pour améliorer leur bien être. Il emploi la notion de coût (avantage) comparatif (relatif) a. La notion de coût (avantage) comparatif (relatif) R. va calculer le coût d’un bien exprimé en un autre bien Ex : Angleterre

Portugal

Coût relatif Vin/Drap Coût relatif Drap/Vin

120/100 = 1.2 100/120 = 0,83

80/90 = 0,88 90/80 = 1,12

En Angleterre : il faut avoir 1,2 unité de drap pour avoir une unité de vin b. L’intérêt de l’échange Hypothèse qu’on est en économie fermée : pas d’échange Si l’Angleterre veut produire une unité de vin supplémentaire, il faudra 100 hommes années Il faudra se priver d’1,2 unité de draps. Comparativement ça coutera 1,2 unité plus chère de produire une unité de vin en plus. A l’inverse, si l’Angleterre veut produire une unité de draps supplémentaire, il lui faudra 120 hommes années supplémentaire et se priver de 0,83 unité de vin Il est donc plus avantageux de produire des draps car elle renoncera à moins d’unité que si elle produisait du vin, même si dans l’absolu il faudrait produire des draps au Portugal. Le Portugal devra lui se spécialiser dans le vin. Comparativement, il coûte plus cher de produire du vin en Angleterre, donc elle a tout intérêt à importer le drap R dit que chaque pays va ainsi se spécialiser dans la prod° du B pour lequel il dispose soit du + grand avantage comparatif, soit parce qu’il a le désavantage le – grand 2) L’amélioration du bien être global Ricardo montre que chaque pays trouve ainsi un intérêt à l’échange. Le bien être global s’en trouve augmenté du fait de l’échange 1ère idée : Sans spécialisation : Produire 2 unités de vin et 2 unités de draps : on additionne tout (100+120+90+80=390 homme année de ressource) 2ème idée : Avec spécialisation Angleterre, drap  2 unités de draps : 200 Portugal, vin  2 unités de vin : 160 200+160=360 Ca revient moins cher que sans spécialisation, on gagne 30 hommes année L’ouverture des frontières entraine alors des améliorations de bien être pour tous les pays. La théorie de Ricardo est à la base du fonctionnement actuel des échanges internationaux inter-branche (échange internationaux de produits différents entre pays)

3) Les échanges intra-branches 1 échange sur 3 aujourd’hui est un échange intra-branche (échange de produits similaire entre pays) Depuis les années 75, la proportion des échanges intra-branches a augmenté 1ère explication : L’approche de Paul KRUGMAN dans les années 80, économiste américain : l’un des 1ers à montrer que les marchés sont imparfaits. Il insiste alors sur le fait que le prix n’est plus le seul critère de choix K dit qu’une partie des échanges intra-branche exprime une demande de différence. 2ème explication : L’approche de DIPP (Division Internationale des Processus Productifs), développé par Jean-Paul MUCHIELLI L’activité de la production d’une entreprise est découpée et réalisée dans différents pays....


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