Traduction-anglaise - Voici les cours pour la l1 LEA semestre 1 en Traduction Anglaise. PDF

Title Traduction-anglaise - Voici les cours pour la l1 LEA semestre 1 en Traduction Anglaise.
Course Anglais
Institution Université de Lorraine
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Summary

Voici les cours pour la l1 LEA semestre 1 en Traduction Anglaise....


Description

Traduction anglaise semestre 1 L1 Le cours va être en 3 phases : 1ère phase : Qu'est-ce que traduire ? 2ème phase : Un point sur les temps et en particulier sur les différents présents 3ème phase : Extraits de textes, phrases, petits paragraphes ____________________________________________________________________ Traduire : 1) 2) 3) 4) 5)

The early bird catches the worm My sister is full of beans : she is always running, jumping, talking... Do you have any specials ? Today's special is roasted chicken Hier, il n'est pas venu, il m'a posé un lapin

1) 2) 3) 4) 5)

L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt Ma sœur déborde d'énergie : elle est toujours en train de courir, sauter et parler... Qu'avez-vous comme spécialités ? Le plat du jour c'est du poulet rôti Yesterday, he didn't come/(he didn't turn up), he stood me up

Dialogue : En quoi puis-je vous aider ? Je voudrais deux baguettes s'il vous plait Et avec ceci ? Un pain de campagne C'est pour combien de personnes ? How can I help you ? I would like two baguettes please Anything else ? A farmhouse/country bread How many people does it serve ?

Introduction : En français, on a “thème” et “version”. Le thème a pour OBJET de VÉRIFIER les connaissances linguistiques dans la langue étrangère. Au contraire, la version a pour OBJET de VÉRIFIER la COMPRÉHENSION de la langue étrangère ainsi que la RÉDACTION EN FRANÇAIS. Bien sûr, la traduction est étroitement liée à l'enseignement de la langue. L'ESIT (École Supérieure d'Interprétation et de Traduction), deux profs de cette école, Edmond Cary et Marianne Lederer ont écrit un certains nombres d'ouvrages sur la traduction. Marianne Lederer met l'accent sur l'aspect interprétatif de la traduction que l'on ne peut réduire à la traduction pure et simple de mots et de phrases. Donc quand on traduit, on ne traduit pas “un mot = un autre mot” ou “une phrase = une autre phrase”, on INTERPRÈTE. Elle insiste sur la DÉVERBALISATION : il s'agit de retenir le sens de ce que l'on a compris du texte pour ensuite transcrire ce sens en se libérant des mots et de la structure des phrases de la langue de départ, puis de reverbaliser dans la langue d'arrivée. Quand on a un texte, plus que les mots, on regarde D'ABORD le SENS. Dans un deuxième temps, on revient au mot pour pouvoir traduire le sens d'une langue à l'autre. Marianne Lederer fait une DISTINCTION entre la TRADUCTION LINGUISTIQUE et la TRADUCTION INTERPRÉTATIVE. La traduction interprétative est une traduction PAR ÉQUIVALENCE (des équivalences qui s'établissent entre les textes) et la traduction linguistique est une traduction PAR CORRESPONDANCE, correspondances s'établissent entre les ÉLÉMENTS LINGUISTIQUES à savoir les mots et les expressions. La traduction linguistique, c'est la traduction littérale. Exemple de la traduction par correspondance : a cat = un chat. En français, on est obligés de trouver une équivalence à l'expression anglaise, par exemple : “He stood me up” = “Il m'a posé un lapin”. Définition de Marianne Lederer : “Dans une traduction par équivalence, la tâche du traducteur est de s'imprégner de la réalité extralinguistique, d'en éprouver le cognitif et l'affectif et de le réexprimer. Toute traduction comporte, certes, des correspondances entre des termes mais elle ne devient texte que grâce à la création d'équivalence.” La réalité extralinguistique est TOUT CE QUI ENTOURE LE MOT. Le cognitif, c'est la connaissance qu'on a d'un mot, d'une expression, par exemple le cognitif de “la baguette” c'est la connaissance qu'on a de la baguette. L'affectif c'est, dans certaines expressions ou certains paragraphes, que l'auteur a voulu mettre de L'ÉMOTION. La traduction, c'est un texte à part entière c'est-à-dire que quand on lit une traduction, on ne doit PAS sentir que c'est une traduction mais on doit avoir l'impression que c'est un texte écrit, de base, dans notre langue. Définition d'Edmond Cary : “La traduction est une opération qui cherche à établir des équivalences entre deux textes exprimés en des langues différentes, ces équivalences étant toujours et nécessairement fonction de la nature des deux textes, de leur destination, des rapports existants entre la culture des deux peuples, leur climat moral, intellectuel, affectif, fonction de toutes les contingences (= contraintes) propres à l'époque et aux lieux de départ et d'arrivée.” Idées centrales : Il n'y a PAS de correspondances STRICTES entre les idées et les expressions linguistiques. Il convient donc de prendre en compte notre bagage cognitif ainsi que prendre en compte L'IMPLICITE.

Défintion du “bon traducteur” : Le “bon traducteur” doit échapper aux correspondances et créer des équivalences pour trouver les mots qui, dans la langue d'arrivée, désigneront pareillement l'idée, le fait, l'émotion désignées dans la langue de départ. SECTION 1 : CINQ AXIOMES POUR UNE BONNE TRADUCTION 1er axiome : Une traduction doit transmettre L'INFORMATION donnée par le texte de départ sur la réalité extralinguistique, c'est ce qu'on appelle L'ÉQUIVALENCE DÉNOTATIVE 2ème axiome : Une traduction doit respecter LE STYLE de la langue de départ, c'est ce qu'on appelle le REGISTRE DE LA LANGUE, c'est ce qu'on appelle L'ÉQUIVALENCE DE CONNOTATION 3ème axiome : Une traduction doit être conforme au GENRE du texte traduit, c'est ce qu'on appelle L'ÉQUIVALENCE DE NORME. 4ème axiome : Une traduction doit être adaptée aux connaissances du lecteur pour être comprise, c'est ce qu'on appelle L'ÉQUIVALENCE PRAGMATIQUE. 5ème axiome : La forme de la traduction doit produire le même effet esthétique que le texte de départ. Conséquence de ces axiomes : Une traduction n'est pas un travail SUR LES MOTS mais SUR LE SENS GLOBAL DU TEXTE. La fidélité d'une traduction va au SENS et NON AU MOT. Quand on traduit, on doit donc être fidèle AU SENS. Dès que le traducteur perçoit un sens qui s'intègre de façon COHÉRENTE dans le suivi du texte, il est en possession d'une UNITÉ DE TRADUCTION qui est une UNITÉ DE SENS. 10/10/2017 : Publicité “Sony” : “You make it a Sony” : “Avec vous, c'est un Sony” ; “C'est vous qui en faites un Sony” ; “Sans vous, ce n'est pas un Sony” Publicité “Unilog management” : “Work and Grow” : “Faites mieux que travailler : progressez” Publicité “Candino” : “Timing up your own challenge” : “À chacun son temps, à chacun son défi” “Trois ans dit-il lentement, la regardant avec un mélange de surprise et de colère (“amazed anger”). “Trois ans ! Et voilà que tu me jettes.” Elle ne répondit pas immédiatement (“at once”). Elle se rendait compte à quel point (“monstrousness”) ce qu'elle faisait était monstrueux et ne pouvait pas s'empêcher d'agir ainsi (“could not help herself”) Elle l'avait aimé auparavant (“then”). Désormais, il l'exaspérait. “Je ne te jette pas”, dit-elle sur la défensive (“defensively”). “Sans blague !” hurla-t-il avec ironie (“in derision”), le visage crispé (“clenched”) par la douleur et la rage. “Comment t'appelles-ça alors ?”

“Je ne sais pas”, dit-elle désemparée.

17/10/2017 : SECTION 2 : TRADUIRE LA CULTURE ET LES CONTRAINTES IMPOSÉES AU TRADUCTEUR Le terme “culture” a une définition restreinte qui renvoie au domaine d'activités intellectuelles et artistiques. En anglais, la définition est beaucoup plus LARGE (du dictionnaire “Longman”) : “The believes, way of life, art and customs that are SHARED and ACCEPTED by people in a PARTICULAR SOCIETY.” La définition anglaise nous dit que la culture est d'abord un MODE DE VIE dont les manifestations sont PROPRES à une COMMUNAUTÉ LINGUISTIQUE. Définition du site “Le Français dans le monde” : “La culture, c'est l'implicite partagé par une communauté”. Ces traductions nous disent que le traducteur doit être BI-CULTUREL et adopter UN RÔLE DE PASSEUR entre deux cultures DIFFÉRENTES. La traduction devient alors UN MODE D'ACCÈS au texte de départ. Remarque : Gommer certains aspects culturels est une faute de traduction car le traducteur doit combler la méconnaissance du lecteur de certaines références culturelles. Par ailleurs, il ne doit pas sous-estimer la capacité d'adaptation et de compréhension du lecteur qui, à la fin de la lecture, aura assimilé un certain nombre de données culturelles En conséquence, il est impossible d'avoir une identité complète entre le texte de départ et le texte d'arrivée. Traduire, c'est en permanence faire des choix, c'est constamment négocier, c'est-à-dire, c'est adapter le texte pour qu'il soit lu par le public cible. Par conséquent, il est évident que certaines références culturelles seront perdues. Exemples de public cible : – Le public Américain : Tous les ouvrages qui sont publiés dans le monde entier, sont publiées en anglais britannique. Tous les ouvrages devront être adaptés en anglais américain et notamment en matière de GRAPHIE. Par exemple, tous les mots qui se terminent par “our” en anglais se termineront par “or” en anglais américain (colour → color). D'autres mots seront complètement différents même s'ils désigneront la même chose, par exemple : “Lift” en anglais britannique deviendra “Elevator” en anglais américain pour le mot “Ascenseur” en français. – Le lectorat jeune ou grand public : On va changer certains noms pour que le public français puis s'identifier à l'histoire – Le public érudit : Par exemple, le traducteur, qui travaille pour la célèbre édition de La Pléïade, va tout conserver, il ne va rien changer, il n'y aucune perte – Un public scientifique : Pour un public scientifique, la référence culturelle n'est pas très importante, elle devient PÉRIPHÉRIQUE. – Le public commercial : Tous les documents à visée commerciale (modes d'emploi par exemple), le traducteur va devoir transformer des choses pour qu'on puisse lire correctement le mode d'emploi – Traduction d'un texte littéraire : Umberto Eco, Sylvère Monod, Angela Carter.

UMBERTO ECO a écrit un livre qui s'appelle “Lector in fabula, le rôle du lecteur”. Dans cet ouvrage, il explique qu'un texte est CONSTAMMENT actualisé par le lecteur, c'est-à-dire que lire n'est pas un acte NEUTRE. Il se noue entre le lecteur et le texte une série de relations complexes, de stratégies singulières qui, le plus souvent, modifent sensiblement la nature même du texte de départ. ANGELA CARTER, elle, dit quelque chose d'assez proche des paroles d'Umberto Eco. La définition de la lecture pour Angela Carter : “Reading a book is like rewriting it for yourself. You bring to a novel anything you read, all your experience of the world. You bring your history and you read it in your own terms” “Lire un livre c'est comme le réécrire pour soi. Vous apportez à un roman tout ce que vous lisez, toute votre expérience du monde/Quand vous lisez un roman, vous y apportez toutes vos expériences de lecture et du monde. Vous y apportez votre vécu et vous vous l'approprier.” Angela Carter nous dit qu'un texte aura autant de lectures différentes que de lecteurs différents. Tout le monde ne percevra exactement les mêmes choses car nous ne sommes pas tous égaux devant la culture et notre niveau de récupération de données culturelles dans un texte dépend de l'étendue de nos connaissances. Conclusion : Le traducteur doit être en permanence à l'affût des références à la culture étrangères. Il devra alors juger de leur nécessaire adaptation ou non en fonction du public cible. Par exemple, le “you” en anglais, l'anglais pense “you” et non pas “tu” ou “vous” Umberto Eco a écrit un deuxième ouvrage qui est fondateur pour la traduction qui s'appelle “Dire presque la même chose”. Cet essai est une illustration des problèmes que posent la traduction à travers des situations que Eco a vécu en tant qu'éditeur, auteur et traducteur. “En traduction, la fidélité au texte n'est pas la reprise du mot à mot mais du monde à monde”. La note de bas de page, c'est Sylvère Monod estime que “la vocation naturelle de la note du traducteur est d'être un aveu d'impuissance, celui du traducteur a établir, par la traduction seule, un pont efficace entre deux civilisations, deux modes de pensée incarnées dans deux langues comportant des divergences qui les rendent inconciliables”.

SECTION 3 : TRADUIRE L'INTERTEXTUEL ET L'HUMOUR

JULIA KRISTEVA crée le mot “intertextualité” en 1958, elle dit : “Nous appellerons “intertextualité” cette interaction textuelle qui se produit à l'intérieur d'un seul texte” GÉRARD GENETTE dit en 1979 : “L'intertextualité est la présence littérale d'un texte dans un autre” MICHAEL RIFFATERRE dit en 1980 : “L'intertextualité est la perception par le lecteur de rapports entre une œuvre et d'autres. Ces autres œuvres constituent l'intertexte de la première” L'intertextualité est la présence d'un texte dans un autre texte. Le traducteur doit reconnaitre la présence d'un texte dans un autre, c'est-à-dire l'intertexte et faire preuve de DISTANCE CRITIQUE pour transmettre L'EFFET INTERTEXTUEL dans la langue d'arrivée. Prendre une distance critique est faire en sorte de ne pas “boire” toutes les paroles d'un texte, il faut l'analyser et transmettre dans la langue d'arriver toute cette intertextualité. Traduire l'humour : L'humour est ce qu'il y a de plus DIFFICILE à traduire, le but de l'humour étant d'amuser, la traduction doit produire le MÊME effet auprès des lecteurs que dans le texte de départ. Traduire l'humour demande beaucoup de créativité d'autant plus que l'élément humoristique est profondément ANCRÉ dans notre culture. Conclusion générale : En règle générale, une traduction est dite “réussie” si elle peut se substituer à l'originale, ça veut dire que le lecteur ne doit JAMAIS avoir le sentiment qu'il lit une traduction. En traduction, il faut en permanence NÉGOCIER, la vraie question sera celle des choix de traduction orientée par la finalité de cette traduction, concernant le public cible et le niveau de culture. Edmond Carry résume la traduction en disant : “Que traduisez-vous, quand, où, pourquoi ? Voilà les vraies questions dont s'entoure l'opération de traduction.” La fidélité en traduction n'est pas la finalité AU MOT mais AU SENS GLOBAL DU TEXTE. La traduction n'est pas seulement un exercice de transcription linguistique mais c'est la reformulation d'un texte qui a sa propre unité. Méthode de travail : Première phase : la première lecture du texte, c'est une lecture synthétique qui va dégager le sens, la structure, les idées principales et les LIENS DE CAUSALITÉ (c'est l'articulation du texte). Deuxième phase : la deuxième lecture du texte (c'est une lecture analytique) qui va permettre un repérage des EFFETS STYLISTIQUES, une reformulation parfois de passages mal-écrits et une explication des allusions culturelles. Troisième phase : la réexpression du texte dans la langue d'arrivée, de sa compréhension pour éviter de rentrer systématiquement dans une logique de correspondance

Traduire au présent (simple, progressif, perfect) :

1) Je lis une page sur internet en ce moment 2) Les prix montent, la valeur de l'euro baisse 3) Je rends visite à mes parents dimanche prochain 4) En ce moment, il travaille dans un supermarché 5) Il faut toujours qu'il invite ses amis pendant le week-end 6) L'eau bout à 100 degrés 7) D'ordinaire, le facteur passe avant midi 8) En France, on conduit à droite 9) Il travaille dans une banque 10) Notre avion part Jeudi à 22h 11) Le film parle d'une fille qui part à Londres 12) Fred pense à rentrer bientôt à la maison 13) Fred pense que Tarantino est un metteur en scène génial 14) Je travaille ici depuis 10 ans 15) Je suis marié depuis 5 ans 16) Je suis marié depuis 2012 17) J'écris depuis une heure 1) I am reading a page on the internet at the moment OK

2) Prices are going up, the euro value is going down PAS OK 3) I am visiting my parents next Sunday PAS OK 4) At the moment, he's working in a supermarket OK 5) He is always inviting his friends during the weekend! PAS OK 6) Water boils at 100 degrees OK 7) Usually, the postman come before midday OK 8) In France, we drive on the right-hand side OK 9) He works in a bank OK 10) Our plane is leaving at 10 p.m on Thursday PAS OK 11) The movie is about a girl who goes to London OK 12) Fred is thinking about coming back home soon PAS OK. Fred réfléchit à propos de quelque chose. Ici, to think décrit une activité mentale et physique 13) Fred thinks that Tarantino is a great director OK 14) I have worked here for ten years PAS OK 15) I been married for 5 years PAS OK 16) I have been writing for one hour PAS OK 14/11/2017 : Le Present Progressive (ou Present Continuous) s'emploie pour parler de : – Ce qui se passe maintenant au moment où je parle : I am reading a page on the Internet at the moment. Je lis une page sur Internet en ce moment – Ce qui se passe ces temps-ci, pour exprimer une tendance, une fluctuation : Prices are going up; the value of the Euro is going down. Les prix montent; la valeur de l'euro baisse – Ce que l'on a prévu de faire dans un futur plus ou moins proche : un projet personnel I am visiting my parents next Sunday. Je rends visite à mes parents dimanche prochain I vist my parents every Sunday → Présent simple car habitude

– Ce qui est ponctuel, temporaire (par rapport à ce qui est permanent) He is working in a supermarket at the moment. En ce moment, il travaille dans un supermarché Il travaille dans un supermarché → He works in a supermarket – Avec l'adverbe “always” (toujours) pour traduire l'agacement du locuteur He is always inviting his friends during the weekend! Il faut toujours qu'il invite ses amis pendant le week-end ! NE PAS TRADUIRE, ICI, LE VERBE “Falloir” par “To have to” l'expression “Il faut toujours que” en français n'a pas le sens global de l'obligation mais traduit l'agacement qu'on va rendre par le présent progressif + “always” Il invite toujours ses amis les week-end → He always invites his friends during the weekend (on traduit ici l'habitude et non l'agacement) Present simple : Le Présent Simple s'emploie pour parler de : – Une caractéristique, une propriété : The sun rises in the east. Le soleil se lève à l'est Water boils at 100°C. L'eau bout à 100°C – Une habitude, une répétition (avec usually, always, never, every day, every year, each time etc.) : The postman usually comes before noon. D'ordinaire, le facteur passe avant midi – Une vérité générale, des usages et coutumes : In France, people drive on the right-hand side of the road. En France, on conduit à droite – Ce qui est permanent, un état des choses, une situation, un constat : He works in a bank. Il travaille dans une banque – Un événement futur programmé (avec un horaire officiel, etc.) Our plane leaves at 10 p.m on Thursday. Notre avion part jeudi à 22h00 – Un discours qu'on rapporte (un match à la télé, un film, un roman, etc.) The film is about a girl who leaves to London. Le film parle d'une fille qui part à Londres He throws the ball to...and falls on the grass. Il lance le ballon à … et tombe sur l'herbe 1) 2) 3) 4) 5)

Marie sait jouer du piano (pas traduire par “Marie can play”) Je veux aller à New-York pour les vacances Cette pomme a un goût très sucré Son parfum (à cette femme) sent bon Le patron a l'air fâché aujourd'hui

1) 2) 3) 4) 5)

Marie knows how to play the piano I want to go to New-York for my holidays This apple taste very sweet Her perfume smells good The boss looks angry today

Le Present Perfect : Le Present Perfect décrit une action qui a commencé dans le passé et qui continue dans le présent : espace de temps DÉFINI entre passé et présent → traduction en français par le PRÉSENT : I have worked here for ten years ne se traduit par “J'ai travaillé ici pendant dix

ans” mais par “Je travaille ici depuis dix ans” Ce temps décrit une action finie mais NON PRÉCISÉE DANS LE TEMPS → traduction en français par le passé composé : I have been to London, traduction : “Je suis allé à Londres” Le Present Perfect traduit une action finie mais dans une PÉRIODE DE TEMPS NONTERMINÉE → traduction en français par le passé composé : “I have been to London this year”, traduction : “Je suis allé à Londres cette année”. Pour nous, l'action est terminée, pour un Anglais, l'action n'est pas terminée car on est dans l'année EN COURS. Le Past : On utilise le Past pour une action finie et PRÉCISÉE DANS LE TEMPS, exemple : I went to London last year. Les ver...


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