Nędznicy - Streszczenie Nędzników po polsku PDF

Title Nędznicy - Streszczenie Nędzników po polsku
Course Historia literatury francuskiej
Institution Uniwersytet Gdanski
Pages 9
File Size 187.1 KB
File Type PDF
Total Downloads 22
Total Views 122

Summary

Streszczenie Nędzników po polsku...


Description

Nędznicy - Victor Hugo (1862) 1) Pourquoi le réalisme romantique ou le romantisme réaliste? Il a les caractéristiques des deux: Le réalisme - La couleur locale : les descriptions détaillées : la maison de Bienvenu, le couvent Picpus, la maison Gorbeau - La situation politique, économique, sociale - La présence de toutes les couches sociales

Le romantisme - L’aspect historique bien approfondi - La vie intérieure du personnage : déchirement, solitude - La construction de l’intrigue : rebondissement, analepse, prolepse - Le penchement pour les contrastes, le style antithétique, les exagérations - La présentation de la nature liée étroitement à l’état psychique d’un personnage dans un moment donné - Le mélange des genres : un roman historique, roman policier, roman populaire, il y a des épisodes comiques, tragiques, etc., c’est une somme des toutes formes littéraires.

2) C’est un roman historique. Les événements évoqués: – la Révolution (1789) – la bataille de Waterloo (1815) – le cordon sanitaire contre la fièvre jaune (1821) – Louis XVIII décide d’aider au roi d’Espagne, Ferdinand VII (monarchie absolue) (1822) – une expédition militaire, une victoire française, Ferdinand VII revient sur le trône et il obtient le pouvoir absolu (1823) – la campagne d’Espagne; « le cordon sanitaire » (1823-1824) – la date de l’évacuation progressive de derniers troupes françaises (1828) – la révolte de républicains qui tend à l’abdication de Louis-Philippe et au changement du régime – l'épidémie de choléra à Paris (1832) → Le 1er juin 1832, Lamarque (général républicain) meurt du choléra; ses obsèques le 5 juin 1832. – l’émeute à Paris (5-6 juin 1832) → A l'occasion des obsèques du général Lamarque, député de l'opposition, les groupes républicains profitèrent de l'événement pour faire une grande manifestation, ça s'acheva par une violente répression; les insurgés qui s'étaient retranchés rue du cloître Saint-Merri (ou Merry) furent en grande partie massacrés par la garde nationale.

3) C’est un roman social. Le roman de Hugo était considéré comme dangereux à cause de son expression sociale et ce qui en résulte, politique. Il stigmatise toutes les injustices économiques, sociales, etc. « L’Etat n’est pas et ne peut pas être autre chose que laïque. » (1849) ⇒ Il représente toutes les classes sociales:

-

le clergé, l’aristocratie, la noblesse, la bourgeoisie, les ouvriers, les paysans (Les bas-fonds de la société deviennent un héros collectif décrit avec le même soin que Jean Valjean.)

⇒ Le dénoncement de l’ordre social : - la monarchie qui ne prend pas le soin de ses sujets, - le clergé qui vit sa vie à côté des autres, (Bienvenu Myriel) - la bourgeoisie qui ne veut pas partager ses richesses avec les pauvres ⇒ L’inclusion des idées humanistes dans l’œuvre hugolienne: - le désir de réformer une société injuste où on a oublié les idéaux de la Révolution : liberté, égalité, fraternité; - l’abolition de la peine de mort (la description de la guillotine, le traumatisme psychique de Bienvenu), - la défense des droits de la femme, de l’enfant, il lutte contre le statut inférieure de la femme, - il insiste qu’on respecte des droits de l’homme. ⇒ Les problèmes de l’actualité sociale : - la prison pour rien, - le manque d’éducation → l'éducation était obligatoire au premier degré seulement, gratuite à tous les degrés, - le manque de travail, - le travail mal payé, - la misère générale, - il réclame un enseignement et un travail pour tous; 4) Le héros romantique: - Le roman montre un homme qui est condamné au destin cruel à cause de sa naissance. - Être pauvre signifie ne pas avoir de possibilité de vivre en tant qu’homme honnête. - La vie de Jean Valjean est une suite des souffrances. - Sa condition sociale basse le force à s’opposer à la loi sévère. - Un forçat fugitif corrige les fautes résultant de mauvaise loi ou foie. - « Valjean n’est pas un criminel qui expie mais un innocent qui donne sa vie pour sauver ensemble innocents et criminels ». - Le moment du bonheur est celui de la mort. - Jean Valjean est un héros romantique, il possède tous les traits présents dans le portrait du personnage dans le théâtre romantique. 5) La Nature: - Il contient de nombreuses descriptions de la nature - La description de la nature dans le roman de Hugo assume des fonctions multiples. Elle indique l’atmosphère, elle dramatise l’histoire, elle évalue la société. Les descriptions de la nature prennent la forme de topoï : locus amoenus, lieu agréable et locus terribilis. Chacun est chargé d’une valeur symbolique. Il s’agit

toujours de moyens qui rythment et renforcent les impressions évoquées : répétitions, anaphores, parallélismes, énumérations, accumulations, épithètes, comparaisons. Les constructions antithétiques introduisent un élément de surprise au cours de passages descriptifs et dévoilent, ce faisant, la nature antithétique de l’univers. - La référence à la nature devient le principe expliquant le psychisme du héros. La description de la nature crée un espace physique et émotionnel, elle peut être close ou ouverte, enclore le héros dans son angoisse ou l’ouvrir sur l’univers. - Les spectacles de la nature sont parfois amicaux, parfois sévères. La description de cette dernière passe par le regard d’un personnage donné (focalisation interne) et par le regard du narrateur (focalisation zéro). - Elle reflète les sentiments des héros, leur situation, leur point de vue ou constitue un fond pour exprimer une vérité universelle, indiquer le rôle de l’homme et de la nature dans l’univers. - C’est surtout par les yeux de Jean Valjean que nous observons la nature. Les nombreuses descriptions dévoilent son psychisme ainsi que son évolution. → Au début, à travers ses descriptions, nous voyons une âme tourmentée, déchirée, effrayée, désorientée, mais avec le changement de psyché, la nature devient plus amicale avec lui au fil du temps. Les détails de la description sont justifiés par le regard attentif et aigu d’un forçat habitué à analyser son entourage avec une précision raffinée, ce qui résulte du fait que, pour rester en vie aux galères, il faut être particulièrement attentif, réagir à la vitesse d’un éclair, rester vigilant à chaque instant pour éviter le danger voire la mort. - Les descriptions de la nature ne sont pas des pauses, un temps mort dans l’action du roman. Celles motivées par le regard du personnage, dans la plupart des cas, s’intègrent à la trame narrative du roman, complètent la construction psychique du personnage. - Dans le roman on observe la présence des descriptions qui présentent l’état d’âme du héros « glissé ». Les galères finies, la vision d’une nouvelle vie n’en est pas moins pénible. Jean Valjean marche toute la journée, fatigué, affamé, personne ne veut lui vendre de quoi manger et lui offrir un endroit où coucher et il doit finalement chercher un abri dans la colline. Le narrateur s’attarde sur la colline et le forçat en indiquant les dépendances entre les deux. → Dans cette colline peinte en couleurs foncées, il ne retrouve qu’un seul arbre difforme. La présence de cet arbre unique n’est pas, bien sûr, hasardeuse. Il symbolise le forçat chassé, difforme comme cet arbre, plongé dans les ténèbres. Son psychisme est d’abord déformé par les années de galères, puis il est déformé par les lois, par la société qui le chasse et ne l’accepte pas ; il ne pense qu’à la vengeance, son cœur est plein de mauvais sentiments. Cet élément de la nature, arbre frissonnant, souligne la solitude du héros. De la description du ciel noir se dégage une double impression : l’horreur et l’aliénation. L’aspectualisation négative du ciel sert à souligner l’état psychique du héros, son angoisse et souligne aussi l’attitude négative de la société envers l’ancien forçat. - Jean Valjean est repoussé par la société et la description de la nature dramatise le récit, son histoire, elle la complète. La description se dédouble en quelque sorte : les aspects particuliers de la nature sont une métaphore soit de la

société soit du sentiment ressenti par le héros. L’image de la nature évoque ainsi un paysage moral. - Les relations sociales présentées dans le roman ont pour modèle, très souvent, celles qui règnent dans la nature, parmi les animaux. Un coup d’œil suffit pour s’apercevoir que Hugo n’observe pas seulement les points communs entre l’homme et la nature mais qu’il les met également en relief. L’homme est plongé dans la nature et, bon gré mal gré, y retrouve le reflet de son âme. - Par l’intermédiaire de la description, Hugo montre les relations entre la nature et Dieu, la nature et la société, la nature et l’homme, l’individu. → Pour Monsignore Bienvenu Dieu se manifeste à travers la nature. L’ouverture d’esprit de Monsignore Bienvenu va de pair avec l’espace ouvert créé par le ciel semé d’étoiles. - La description du jardin de la rue Plumet illustre l’état d’âme de Cosette, une fille qui grandit sans mère. → Son âme n’est pas limitée par des règles, il n’y a personne qui pourrait veiller au développement de la jeune fille. Ses sentiments qui éclosent sont pareils au bouton des roses ou des herbes mauvaises, un peu sauvages. Cette description rend le spectacle d’une nature féconde, vierge, libre, indomptée par l’homme. → Le jardin de la rue Plumet est décrit élément par élément. La description riche, pleine d’épithètes, d’énumérations contient des connecteurs logiques entre les phrases. Elle exprime l’idée d’unification, le sentiment de l’harmonie parfaite créée par Dieu. La tonalité de cette description est lyrique ; à travers l’image du jardin transparent l’âme enchantée du narrateur rend hommage à la beauté de la nature, chef d’œuvre de création, de Dieu, et dont la richesse s’exprime par des accumulations de substantifs, de comparaisons, d’épithètes descriptives et métaphoriques. Les parallélismes qui rythment l’énoncé introduisent une harmonie comprise comme divine. Le génie créateur de Hugo apparaît ici avec toute sa force. - Un certain manque dans la vie de Cosette et Jean Valjean s'exprime dans l’énumération de parallélismes avec les trois occurrences de « sans » dans cette citation: « Il pensait à cette forêt de Montfermeil ; ils l’avaient traversée ensemble, Cosette et lui ; il pensait au temps qu’il faisait, aux arbres sans feuilles, au bois sans oiseaux, au ciel sans soleil ; c’est égal, c’était charmant. ». → La nature dépourvue de sa beauté printanière ou estivale n’évoque pas de sentiments négatifs, le bonheur résultant de la présence de Cosette à côté de Jean Valjean, qui le rend indifférent à la nudité de la nature. Pour tous les deux, Cosette et Jean Valjean, une nouvelle vie commence. Ils laissent leur passé derrière eux pour se plonger dans un avenir inconnu. Donc, tout comme la nature, ils sont « sans », sans passé, qui est à oublier, sans relations sociales et familiales. - Il y a également des images où la nature ne va pas de pair avec la situation de l’homme. La nature est plongée dans le bonheur, l’homme tue l’homme puisqu’il ne sait pas trouver d’autre voie pour communiquer. - La nature antithétique de l’univers apparaît dans la description de la barricade. La couleur rose du reflet sur le toit fait écho à la couleur grise des cheveux de l’homme mort. Cette description indique la séparation entre les affaires humaines et celles de la nature La lutte tragique, puisque sans espoir de victoire, reste invisible ; le lever de soleil est le même qu’avant.

I. Fantyna Rok 1815, miasteczko Digne. Przesadnie długi opis życia biskupa Myriel, który był zwany Mile Widzianym (Bienvenu), bo aż przesadnie rozdawał wszystkie pieniądze na pomoc biednym. Nawet zrezygnował z mieszkania w pałacu i oddał go na szpital. Był przykładem dobroci. Pewnego dnia Jean Valjean wyszedł z 19 lat na galerach. Dostał tylko 5 lat kary za kradzież chleba, a że nie uczył się na błędach to resztę dostał za kilka prób ucieczki z galer. Ogólnie zarabiał tam grosze, ale za te 19 lat dostał jeszcze mniej niż myślał, że dostanie. Galernicy mają jakieś papiery, które muszą pokazywać i ich skreślają w społeczeństwie. Jean podjął się pracy w porcie, ale dali mu o wiele mniej niż się umawiali, bo był galernikiem. Jean poczuł straszną niesprawiedliwość i się wkurzył na społeczeństwo, nie dziwię mu się. Pojechał do miasteczka Digne i nikt nie chciał go przyjąć. Jedynie biskup Myriel go przyjął. Jean był zdumiony i nieufny, więc w nocy uciekł kradnąc srebrną zastawę. Policja go zgarnęła i przyprowadziła do biskupa, gdzie ten skłamał, że to wszystko była darowizna i na potwierdzenie słów podarował mu jeszcze dwa srebrne świeczniki. To wydarzenie zmieniło Jeana Valjeana, postanowił przestać być nędznikiem i stać się dobrym człowiekiem. Dwa lata później. W Paryżu było sobie czterech kolesi z czterema dziołchami, a jedną z nich była Fantyna. Kolesie sobie wyjechali przekazując dziołchom list pożegnalny. A jeden z nich zrobił Fantynie dziecko. Ta była w kropce. Zostawiła córeczkę Cosette u spotkanej na ulicy pani Thenardier (pozory myliły jakoby była dobrą matką xD), za kilka franków miesięcznie. Fantyna przeniosła się do miasteczka Montreuil-sur-Mer, gdzie merem był pan Madeleine (a tak naprawdę Jean Valjean). On wzbogacił miasto wprowadzając tanie nowinki technologiczne związane ze sztucznym szkłem. Ogólnie to wszyscy go wielbili, tylko policjant Javert, który znał Jeana jako galernika miał podejrzenie, że to on po tym, jak Madelaine uratował życie Faucheleventowi podnosząc na barkach ciężki wóz, którym był przygnieciony. A Javert widział tylko galernika z taką siłą. Inni dowiedzieli się o bękarcie Fantyny i ta straciła pracę. A Thenardierowie żądali coraz większych sum za opiekę nad Cosette. Fantyna z miłości do córki strasznie się stoczyła, sprzedała swoje włosy, dwa zęby i została kurtyzaną. Pewnego dnia jakiś bogaty duper wrzucił jej śnieg za suknię i sprowokował bójkę. Javert zatrzymał Fantynę, ale Madelaine zażądał jej uwolnienia i odstawienia do szpitala, bo była w złym stanie. Dodatkowo obiecał Fantynie, że pojedzie po jej córkę. Kilka dni później Javert przychodzi do mera: “panie weź mnie zwolnij, bo jestem zły”. Myślał, że mer jest Jeanem Valjeanem (co jest prawdą) i nakablował na niego innym, a tu w jakimś innym miasteczku ujęli złodzieja, który niby jest Valjeanem. No i Jean miał zagwozdkę czy cieszyć się, że nie będzie ścigany, czy oszczędzić tego człowieka i się przyznać. A że chciał być dobrym człowiekiem to pojechał tam na proces. Miał dużo przeszkód na drodze, ale dojechał. W sądzie nie chcieli mu uwierzyć, to Jean powiedział, że Javert może potwierdzić jego tożsamość i podał swój adres i nara.

Javert go odwiedził w najgorszym momencie. Jean był przy łóżku Fantyny, która myślała, że ten wcześniej pojechał po Cosette. Jean nie chciał jej wyprowadzać z błędu, ale skurwiel Javert to zrobił, dodał też info o prawdziwej tożsamości mera i biedaczka wyzionęła ducha. Jean Valjean wrócił dożywotnio na galery. II. Cosette Nudny, za długi opis bitwy Waterloo. Ważne jest tylko co się stało po bitwie: Thenardier obrabowywał trupy i PRZYPADKOWO uratował życie pułkownikowi Pontmercy’emu (ojciec Mariusa). Jean Valjean chociaż raz skutecznie uciekł z galer pozorując swoje utonięcie - jakiś gostek się topił to pozwolili mu wskoczyć do wody i go uratować. (Jakimś trafem Jean miał przy sobie wszystkie pieniądze, które zarobił będąc merem, nie rozumiem jakim cudem) Jean przybywa do Montfermeil po Cosette. Oberżyści Thernardierowie wykorzystywali ją jako służącą, kazali pójść po ciemku do lasu po wodę. Tam Jean pomógł jej nieść wiadro. Chciał się u nich zatrzymać i najpierw miał spać w stajni za podwójną stawkę, bo wyglądał jak biedak, ale jak okazało się, że jest bogaty to nagle dali mu najlepszy pokój. Kupił Cosette lalkę, pani Thenardier była zazdrosna, chciała się pozbyć Cosetty, więc dobrze się stało, że Jean chciał ją wykupić. Za 1,5 tysiąca franków dobili targu. Jean i Cosette pojechali do Paryża, mieszkali w ruderze. Jednak Javert nie uwierzył w jego śmierć i też był w Paryżu, na podstawie pogłosek zaczyna go szukać. Jean i Cosette uciekli przez wysoki mur do klasztoru. Tam pracuje jako ogrodnik jego ziomek Fauchelevent, który miał u niego dług wdzięczności. Ten pomaga mu przyjąć tożsamość swojego brata (zamieszana w to była trumna) i załatwił mu też pracę ogrodnika, a Cosette stała się uczennicą w klasztorze. III. Marius Mija 8 lat. W ruderze Gorbeau mieszka rodzina Jondrette’ów (a tak naprawdę Thenardierów), w której skład wchodzą państwo Thenardier, nastoletnie Eponina i Anzelma oraz ok 12 letni Gavroche, który był ulicznym dzieckiem, bo matka go nie kochała. Ich sąsiadem był Marius Pontmercy. Ogólnie jego dziadek wydziedziczył jego ojca z rodziny za bycie za rewolucją i za Napoleonem. Dziadek wychowywał Mariusa i zabronił synowi kontaktów z nim. Gdy ojciec Mariusa umiera, ten nie zdążył się z nim pożegnać, ale dostał od niego list, gdzie ten mu powiedział, że zawdzięcza życie Thenardierowi i żeby Marius się za to mu odwdzięczył (strasznie wkurzał mnie ten wątek). Marius dowiedział się więcej o ojcu i też stanął po stronie rewolucji. Straszliwie się pokłócił z dziadkiem, został wyrzucony z domu. Był pupilem dziadka, więc ten kazał służbie wysyłać mu 600 franków co pół roku, lecz Marius z honoru nie przyjmował ich, już wolał głodować. Marius spotyka grupę studentów, z Enjolrasem na czele, którzy są republikanami i szykują się na rewolucję. Jednak w przeciwieństwie do musicalowej wersji, Marius się do nich nie przyłącza. Zaprzyjaźnia się z jednym z nich - Courfeyrakiem. Marius zaczyna zarabiać na życie tłumaczeniami (ogólnie nie znał języków tylko się ich nauczył do pracy). Ukończył też studia prawnicze. Pewnego dnia w Ogrodzie Luksemburskim zauważył Cosette w towarzystwie Jeana. Cosette z brzydkiego kaczątka zamieniła się w łabędzia, więc zauroczyła Mariusa. Miała wtedy jakieś 15 lat. No i tutaj zaczynają się podchody, codziennie się na siebie gapią, ale ani słowa nie powiedzą. Raz jej było widać podwiązkę, to kurde mieli wzrokową kłótnię mimo, że nigdy nie wypowiedzieli ani słowa do siebie. Ubzdurał sobie, że ona się nazywa Urszulką, bo raz Jean zostawił swoją chustkę na ławce, a tam były inicjały U.F. od jego aliasa Ultym

Fauchelevent. Jean zauważył te wzrokowe podchody i przestał przyprowadzać Cosette do tego parku; ta posmutniała. Marius zainteresował się swoimi sąsiadami (bo zwykle był zbyt w siebie zapatrzony, by to zrobić) po tym, jak Eponina i Anzelma zgubiły paczkę listów proszących bogatych o jałmużnę, lecz na każdym był inny podpis. Marius oddaje listy Eponinie, od której aż bije bieda, więc daje jej kasę. Marius znajduje dziurę w ścianie i sobie podgląda sąsiadów - żyją w strasznej nędzy. Akurat wtedy Jean wszedł do ich mieszkania razem z panem Thenardier (nie poznali się, obaj pod fałszywymi nazwiskami). Jean był znany z dobrotliwości, bo zawsze rzucał groszem biedakom. Chwilę przed Thenardier wybił okno i rozbił krzesło, żeby wyglądali na jeszcze biedniejszych. Jean niestety miał miało kasy, więc miał wrócić wieczorem. Marius chciał go śledzić, by poznać adres jego “Urszulki”, ale nie miał kasy na to. Więc wrócił do dziury, gdzie się dowiedział, że Jondrettowie planują zasadzkę na Jeana. Thenardier go jednak poznał i razem z bandytami chce od niego wyciągnąć więcej kasy, bo uważa, że 1,5 tysiąca franków za Cosette to było za mało i że ją mu ukradł. Marius idzie na policję nakablować Javertowi, dostał od niego pistolet i nakaz obserwacji sytuacji. Wieczorem Jondrettowie i 4 bandytów związują Jeana i każą mu pisać list do Cosette, którą chcą porwać dla okupu. Jean pisze list pod fałszywy adres, ale kupuje tak sobie czas. Jondrette się wkurzył, ogólnie grubo było, Marius już miał strzelać do niego, gdy ten wykrzyczał, że naprawdę nazywa się Thenardier. Marius czuł do tego nazwiska respekt i nie wiedział co zrobić, bo ten się okazał najgorszym sortem człowieka. Javert wpada do budynku i aresztuje bandytów, którzy byli poszukiwani. Ku jego zdziwieniu ofiara (Jean) ucieka przez okno. Thenardierowie zostają aresztowani. IV. Idylla ulicy Plumet i epopeja ulicy Saint-Denis Eponina odnalazła na prośbę Mariusa adres Cosette. Marius stał się stalkerem i codziennie obserwuje dziewczynę w jej ogrodzie. Ta się boi, bo czuje się śledzona. W końcu ten zostawia jej kartkę przesiąkniętą miłosnymi myślami. Oczywiści...


Similar Free PDFs