Outils de gestion PDF

Title Outils de gestion
Course Outils de Gestion
Institution Université Savoie Mont Blanc
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Outils de gestionExamen = questions de cours + réflexion sur un sujet (ex : la trésorerie d’entreprise est un problème  pour les entreprises)T hème 1 : identifier les partenaires del’entreprise (comme...


Description

Outils de gestion Examen = questions de cours + réflexion sur un sujet (ex : la trésorerie d’entreprise est un problème pour les entreprises)

Thème 1 : identifier les partenaires de l’entreprise (commerciale) Chapitre 1 : La gestion des flux dans l’entreprise (commerciale) Mission d’une entreprise commerciale = acheter pour revendre Le commerce commence par l’achat Une entreprise commerciale est une entreprise qui fait du commerce et qui achète pour revendre, mais aujourd’hui également de collecter et diffuser de l’information (big data). Contextualisation : la société Bricolex : les relations de Bricolex avec ses partenaires :

Il y a des parties prenantes dans une entreprises (le personnel) ou extérieures (banques, fournisseurs etc.). Au niveau microéconomique (économie d’entreprise), les flux de Bricolex avec les partenaires sont également très utiles pour saisir, comprendre, analyser, administrer l’activité de l’unité commerciale. Les banques sont là pour financer et l’entreprise rembourse à partir de ses entrées d’argent. Le personnel est une partie prenante importante de l’entreprise en fournissant un travail, et,

en contrepartie, l’entreprise va verser une rémunération qui comprend des salaires mais pas que (une voiture de fonction est un élément de rémunération). La raison d’être d’une entreprise, c’est sa clientèle. L’entreprise réalise des ventes et le client rémunère le produit, le service que l’entreprise lui a fourni. Vendre des services et avoir une contrepartie monétaire. L’entreprise cotise aux organismes sociaux (rémunération brute/rémunération nette = différence = part donnée aux organismes sociaux pour bénéficier d’allocations chomages, familiales, etc.° mais il y a également une charge de part sociales patronales (assurances chômage, vieillesse, arrêts maladies également payées par les entrepreneurs qui les versent aux organismes sociaux alors que ce n’est pas elles qui vont bénéficier de ces prestations sociales mais leur personnel) L’état perçoit un certain nombre d’impôts et taxes et offre en échange des biens et services non-marchands, cad mis à disposition pour tout le monde, fournit à la collectivité gratuitement ou à un prix inférieur à son cout de revient (ex : infrastructures routières qui sont prises en charge par l’état sous toutes ses formes, régions etc. et l’entreprises a ses biens non-marchand à disposition qu’elle va avoir besoin) L’entreprise ne peut pas fonctionner sans fournisseur. Elle fait des achats auprès des fournisseurs qui fournissent matières premières ou biens d’équipements et l’entreprise, en échange, paie ses acquisitions. Tout au long de la vie de l’entreprise, il y a des apporteurs de capitaux (ex : actionnaires, fonds de pension), amène des fonds à l’entreprise et en échange espèrent recevoir un dividende.  Schéma global d’une entreprise avec ses différents partenaires qui sont en lien avec les entreprises et on diverses relations qui se nouent entre eux.

Les flux peuvent être en volume, en produit ou monétaires. On voit apparaître des notions comme le marché aval, le marché amont, le marché de l’unité commerciale. On peut partir du centre de l’entreprise Bricolex et on revoit des noms de partenaires vu précédemment. Il faut bien comprendre que l’entreprise est en économie, la seule entité qui créée de la richesse. On appelle cette richesse créée la « valeur ajoutée ». C’est la seule source de richesse économique et cette richesse économique s’appelle la valeur ajoutée qui signifie « le prix de vente hors-taxes moins la valeur des consommations intermédiaires »  VA = PVHT – CI. L’entreprise a besoin d’un certain nombre de matériaux dont elle en fait la somme, la somme du travail etc. et elle en obtient un « cout de revient ». Ensuite, la création de richesse se fait car elle va vendre son travail plus cher que le cout de revient car le client va reconnaitre la valeur de son travail et qui lui permet d’obtenir le bien ou service qu’il a besoin. Le client a accepté de valoriser cela. S’il n’y a pas de client, il ne peut pas y avoir de valeur ajoutée car c’est le client qui créée cette valeur ajoutée. C’est quelque chose de fondamental à comprendre. C’est le mécanisme. Dans le schéma « les flux de Bricolex avec ses partenaires », l’élément central n’est pas l’entreprise (elle est positionnée au centre juste pour faciliter la compréhension du système), mais si on enlève le client, tout le système s’écroule car il n’y a pas de règlements et l’entreprise ne peut pas régler son personnel, ses fournisseurs et ses apporteurs de capitaux : l’entreprise qui n’a pas de capitaux ne peut pas se fournir ni bénéficier de travail. Le schéma se base sur la création de valeur ajoutée. La trésorerie : on voit arriver une flèche règlements et on voit partir une flèche règlement qui se divise en plusieurs flux auprès de différents partenaires. La gestion de la trésorerie est un élément très important de la gestion d’entreprise puisqu’il est impossible de faire coïncider les recettes avec les dépenses. Il va y avoir une période où tous les clients vont régler (factures arrivent à échéance = nombre important de règlement) et période où tout a été payé : excès, dont l’entreprise va se servir pour régler son personnel. Mais ça peut être l’inverse, on peut faire le règlement de notre personnel alors que le client va régler dans

seulement 20 jours (ou cas grave : le client ne va pas pouvoir payer). Une entreprise peut être mise en défaut de payement : carnet de commande plein : production, payer gens, matières premières alors que clients n’ont pas encore payés. Plus l’entreprise va bien et plus sa gestion est délicate, il faut être vigilent sur la gestion de l’entreprise. Tout part du client, qui va effectuer des règlements, et, l’entreprise, à partir de ses règlements, va effectuer un paiement : il peut y avoir un décalage entre paiements et règlements, on peut soit être dans un souci de gérer le trop plein (les clients nous ont déjà payés mais on n’a pas encore rémunéré notre personnel ni nos fournisseurs), ou pas d’entrée d’agent = on n’a payé nos fournisseurs et personnel mais clients n’ont pas encore payés = sérieuses difficultés. 3 types de concurrences : Il y a la concurrence sur le marché aval, c’est-à-dire la concurrence qui concerne les clients. L’entreprise est en concurrence avec toutes les autres entreprises pour attirer le meilleur personnel possible. Quand elle recrute, elle veut recruter les meilleurs, mais l’entreprise d’à côté a aussi comme mission de recruter les meilleurs. Cette concurrence-là n’est non pas auprès de ses clients mais pour avoir les meilleurs fournisseurs, les meilleures équipes, les meilleurs apporteurs de capitaux etc. les entreprises se font concurrences dans le marché de l’unité commerciale pour bénéficier dans tous ses domaines. Il y a également une concurrence dans le marché amont : c’est le marché du travail. Les fournisseurs se livrent concurrence pour avoir des clients, et les travailleurs (personnel) également (plusieurs peuvent postuler pour le même emploi). Comme on analyse l’activité économique d’une nation par les relations entre les différents agents économiques (ménages, entreprises, administrations, institutions financières), l’activité de l’unité commerciale est étudiée sous la forme d’opérations avec ses différents partenaires (clients, fournisseurs, personnel, banques, organismes sociaux, détenteurs de capital).  Entre parenthèses = toutes les parties prenantes.

I-

Les opérations d’une unité commerciale :

1) La notion de flux L’unité commerciale effectue avec ses partenaires des opérations qui se traduisent en transferts de biens ou de monnaie entre eux. Le terme « flux » est utilisé pour évoquer cette expression de mouvement, d’échange exemple : l’unité commerciale Bricolex vend des marchandises à un client (flux de marchandises = ventes) et en échange, il y a un flux de monnaie = paiements (mais ce n’est pas forcément simultané). Les flux fonctionnent en sens contraire.

2) La notion d’emploi et de ressource Une opération d’échange donne toujours naissance, dans la comptabilité de l’unité commerciale, à deux flux de sens réciproque. : un flux d’origine et un flux de destination. Le flux d’origine se traduit par une ressource et le flux de destination par un emploi. La comptabilité a pour objet d’enregistrer les flux quantitatifs de l’unité commerciale et a pour convention de porter à droite la ressource (appelée « crédit ») et à gauche l’emploi (appelé « débit »).

Ex : Bricolex achète pour 200 euros de marchandises. Sa ressource est son solde créditeur ) la banque (elle a de l’argent sur son compte en banque qu’elle peut utiliser pour acheter des marchandises). Elle va destiner, employer cette ressource en achetant pour 200 euros de marchandises.

Origine de l’opération : le compte en banque de Bricolex Il s’agit d’une ressource car l’unité commerciale possède une provision de 200euros sur son compte  Destination de l’opération : l’achat de marchandises Bricolex emploie ses fonds disponibles sur sa banque pour régler ses achats. La comptabilité a pour objet d’enregistrer les flux quantitatifs de l’unité commerciale et a pour convention de porter à droite la ressource (appellée « crédit ») et à gauche l’emploi (appellé « débit »). On présente ça dans un tableau à plusieurs colonnes : Opération Règlement insertion

Emploi Montant emploi Ressource Annonces et 700 Banque insertion

Montant ressource 700

3) L’équilibre emplois / ressources Le total Ressources doit toujours être égal au total Emplois (principe de la partie double). Exemple : bricolex vend à Delaunay pour 1750euros de marchandises, dont 1000 euros sont réglés par chèque dès livraison, le solde à un mois (créance client delanay). Quand on fait la somme des deux colonnes : débit et crédit : la somme doit toujours être égale. Opération

Emploi

Vente de marchandises

Banque Client

Total

Montant emploi 1000 750 1750

Ressource Ventes de marchandise s

Montant ressource 1750

1750

La comptabilité, ca sert à comptabiliser tous ls flux entre les partenaires de l’entreprises, et c’est aussi une aide pour prendre des décisions dans la gestion de l’entreprise, et c’est aussi un garant de l’éthique, de la loi. Les emplois et les ressources doivent être égaux ; Le principe

du total est garant de la transparence du fonctionnement légal de l’entreprise. Si l’entreprise a plus de ressources que d’emplois c’est qu’elle a des ressources pas liées avec ses partenaires (ex : blanchiments d’argent). Mais si elle emplit plus qu’elle n’a de ressource c’est qu’elle a une relation avec un partenaire qui n’est pas un échange (ex : financement d’un parti politique, d’une organisation). Tous les tableaux se finissent par deux chiffres égaux. D’autre part, tout entreprise doit tenir une comptabilité pour éviter qu’elle dissimule des ressources à l’état pour diminuer le montant de ses ressources pour payer moins d’impôt et moins de taxes : si il y a une différence, on va se poser des questions car ce n’est pas possible. La comptabilité est donc aussi un outil fiscal, pour déterminer le montant de l’impôt (ex : impôt sur les bénéfices). Equilibre emploi / ressources pour éviter cela.

Quand l’entreprise vend et achète, ses flux vont être en sens inverse. Si les flux entraînent dans la comptabilité de chacun des partenaires un enregistrement comptable de valeur équivalente, ils s’effectuent en sens inverse. Exemple : l’achat de 1000 euros de marchandises chez Bricolex entraine l’enregistrement d’un achat de 1000 euros (emploi) chez le client Dupuy et son paiement (ressource). Le fournisseur Bricolex, quant à lui, effectuera l’enregistrement d’une vente de 1000 euros (ressource) et son règlement (emploi). Les comptabilités de l’entreprises sont liées, si une fraude, on s’en apercevra facilement car ses comptabilités sont vues dans une autre entreprise.

II-

Les différents types de flux dans l’unité commerciale

Les flux réels portent sur les biens matériels et physiques. Ce sont des prestations de services et le travail du personnel. Les flux monétaires sont la contrepartie du flux réel. Certains flux, pourtant, ne sont pas que monétaires. Ce sont des paiements de marchandises, des emprunts et apports de capitaux…

III-

Flux externes et flux internes

1) Les flux externes Ces flux portent sur des biens et services (ventes, achats), des prestations financières (services financiers) ou des prestations publiques (impôts et taxes). Exemple : Bricolex a emprunté 10000euros à la banque Crédit Lyonnais pour réaménager sa vitrine.  Bricolex emprunte à la Banque CL (partenaire extérieur), qui va lui apporter des flux externes monétaires, un versement des fonds.

2) Les flux internes : Moins fréquents que les flux externes, ils sont constitués des transferts de matières premières et de produits semi-finis entre ateliers, des transferts de fonds du magasin au

siège social. Ils serviront de base au calcul du coût d’achat ou de production, au calcul des prix de revient des produits. L’étude de ses flux internes permet à l’entreprise de faire ses choix. Ce sont les flux qui enregistrent les opérations à l’intérieur d’une entreprise mais peuvent aussi être un moyen pour externaliser les flux. Exemple : le personnel faisant les ménages en écoles ne sont pas fait en interne mais en externe (une entreprise de ménage est embauchée par l’école et le métier de l’école est de transmettre les connaissances, pas de faire le ménage, donc elle peut externaliser ce métier là pour le faire faire par des entreprises dont c’est leur métier) Exemple : un supermarché qui dispose d’un rayon « traiteur » achète du jambon au rayon « charcuterie » et des endives au rayon « fruit et légumes » pour faire des endives à la flamande. Il y a ainsi des flux internes entre les différents rayons : achats de matières premières aux rayons « charcuterie » et « fruits et légumes » pour produire des produits finis vendus au client.

3) Flux entrants et flux sortants Les flux entrants

Les flux sortants

Un flux entrant est une opération qui génère pour l’unité commerciale une dépense monétaire. Un flux entrant constitue un emploi. Un flux sortant est une opération qui génère pour l’unité commerciale une rentrée monétaire. Un flux sortant constitue une ressource

On y retrouve essentiellement les achats, les charges et les acquisitions d’immobilisations. Il s’agit essentiellement des ventes, et des cessions d’immobilisations.

4) Flux d’exploitation et flux d’investissement Les flux d’exploitation

Les flux d’investissement

Ces mouvements réguliers ou répétitifs constituent l’exploitation de l’unité commerciale. L’ensemble des flux réels et monétaires liés à l’exploitation sont des flux d’exploitation.

-

L’unité commerciale acquiert des immobilisations pour exercer son exploitation. Comme ces opérations sont irrégulières, ponctuelles, les flux qui y sont liés sont dix « flux d’investissement ».

-

-

Marchandises, matières premières… Stock Ventes Charges courantes (électricité, loyer, téléphone, personnel…) Constructions Matériel (de bureau, de transport, mobilier…)

IV- L’incidence des flux sur le résultat 1) Les flux générant des pertes Certains flux occasionnent une perte pour l’unité commerciale qui détruit de la valeur : la consommation physique de matières, de fournitures… ; la production ; les pertes matérielles suite à des vols ou à des invendus (démarques, rebuts…) ; la dégradation de la valeur des biens (dépréciation obsolescence, cession avec moins-value) ; l’utilisation de facteurs de production sans contrepartie positive (consommation pour son usage ou production immobilisée).

2) Les flux générant du bénéfice L’unité commerciale créée de la valeur du fait de la rétribution de son action économique. Ainsi, c’est en ajoutant une marge commerciale au prix d’achat pour constituer le prix de vente qu’elle pourra régler ses charges et générer du bénéfice. Exemple : des marchandises achetées 800 euros sont revendues 1000 euros. La revente engendre un bénéfice de 200 euros pour Bricolex. Opération

Emploi

Ventes de marchandises

Achats de marchandises Résultat (bénéfice)

Total

Montant emploi 800 200 1000

Ressource Ventes de marchandises

Montant ressource 1000

1000

Les questions d’examen peuvent porter sur la valeur de l’activité commerciale : qu’est-ce que l’activité commerciale ? quelle est sa valeur ? comment évolue-t-elle ? est ce quelle est rémunérée par le client ? Egalité : emploi = ressource  ce qui fait que l’entreprise n’a pas recourt à des emplois ou ressources fictives.

Thème 2 : identifier les partenaires de l’entreprise (commerciale) Chapitre 2 : le cycle d’exploitation et le besoin en fonds de roulements d’exploitation dans l’entreprise (commerciale) Il y a un décalage entre les entrées d’argent et ce que l’entreprise doit. La gestion de ce décalage est un acte de gestion d’entreprise très important. L’entreprise peut avoir des prommesses de chiffres d’affaires très importantes mais peut être en difficultés car elle n’a pas les moyens de faire face à ses propres dépenses car elle ne va pas encaisser l’argent de ses commandes immédiatement quand le client commande.

Chaque ressource est affectée à un emploi et chaque emploi est affecté à une ressource. La ressource d’une entreprise est l’emploi de l’autre entreprise. Le grossiste Hubert Claude & fils distribue des Fruits et Légumes à des entreprises (ses clients) qui le règlent à 45 jours. Or, il paie ses fournisseurs à 30 jours. S’il connaît une progression régulière de son CA, il s’inquiète des difficultés ponctuelles de sa trésorerie en fin de mois. Les entreprises s’engagent à payer 45 jours (tous les achats ne se font pas au comptant, il y a des délais de paiement entre 30 et 120 jours). Cette entreprise qui est payée à 45 jours paie ses fournisseurs à 30 jours donc elle ne sera pas payée au moment où elle va payer ses fournisseurs et va avoir un déficit pendant 15 jours entre le moment ou elle a payé ses fournisseurs et ou elle est payée. L’entreprise peut être florissante, avoir un gros chiffre d’affaires, mais la gestion de ce déficit sera difficile, car plus le chiffre d’affaire est gros, plus l’écart (= le déficit) sera grand. Entre le moment où la grande surface va payer et où les consommateurs vont acheter la nourriture, il va se passer 4 mois. Pendant le délai de

paiement du fournisseur, l’entreprise a placé l’argent des clients. Le principal de leurs gais ne va pas se faire sur la vente du produit mais sur la récupération du cash et le placement de son cash, donc entre le moment où on l’a payé et où elle paie ses fournisseurs. Elle va espérer attirer les consommateurs en disant que ce n’est pas cher, mais l’achat devient secondaire au profit du placement du cash sur les marchés financiers, et c’est pour ça sur les organismes de distribution sont devenus des banques et des assurances car leur importance de cash leur permet de l’être. Les clients d’un grossiste ou d’un fournisseur sont peu nombreux. Bonduelle n’a que 5 clients. On représente un cinquième du portefeuille de la personne en face de nous, carrefour est en position de force lors des négociations car il sait que si Bonduelle le perd, il perdrait 20% de son chiffre d’affaires.

I-

Le cycle d’exploitation d’une unité commerciale

L’activité de l’unité commerciale repose sur un cycle d’exploitation. On appelle « cycle » la répétition régulière d’opérations pendant une période donnée. La période de référence est l’année comptable, qui peut être différente de l’année civile. Exemple : une unité commerciale peut clôturer ses comptes au 31 mars ; l’exercice comptable portera sur la période du 1er avril au 31 mars. ...


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