Pierre Bourdieu Le sens pratique PDF

Title Pierre Bourdieu Le sens pratique
Author Hugo Lucien
Course Le sens de la pratique
Institution Université de Poitiers
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Summary

Cours sur le sens de la pratique de Pierre Bourdieu...


Description

Pierre Bourdieu, Le sens pratique Préface Considération importante pour Bourdieu : avant d’étudier les « sciences sociales » il faut observer « les conditions de la connaissance » soit transférer l’objet = objectiver le rapport à l’objet. Le danger est de dissocier la thèse théorique à la « pratique » (qui dans ce cas signifie la démarche utilisée, par le chercheur). L’opposition C. Levis Strauss et Sartre est intéressante -> c’est l’opposition d’une nouvelle façon de concevoir l’activité intellectuelle à un intellectuel « total » proche du politique. Cette opposition a encouragé d’autres chercheurs à trouver un entre deux : vocation scientifique + vocation éthique/politique. C’est ce que Bourdieu fait dans son travail sur l’Algérie -> Dans le cadre de la lutte sociale pour l’indépendance -> volonté de concilier l’intention pratique et celle scientifique. Cependant il a conscience de plusieurs problèmes qui s’imposent à lui ou à la démarche structuraliste. Cette préface les présente (en gras dans ma fiche). Il a conscience du contexte émotionnel dans lequel il écrit. Il étudie les rituels kabyles avec un «enthousiasme méta scientifique» qu’il reconnaît. Il avait premièrement renoncé à cet objet de recherche à cause de l’ethnocentrisme des recherches de l’époque, qui décrivaient des pratiques pour justif ier racisme et colonialisme. A l’exception de plusieurs auteurs qui l’inspirent, ex : Nouschi l’encourage à observer les lois foncières et leur influence sur les sociétés kabyles (même celles éloignées du colon). Il avait retiré « traditions » et « rituels » de la liste des objets légitimes puis il y revient car retirer de l’ensemble la connaissance et reconnaissance de certaines traditions = primitivisme, racisme par le mépris. Nouveauté essentiel du structuralisme : méthode structurale ou « relationnelle » = fait de caractériser tout élément par les relations qui l’unissent aux autres en un système et dont il tient son sens et sa fonction. Remet en cause la distinction de Leipriz ou Hegel entre « la vérité de fait et la vérité de raison ». Il faut penser les faits historiques comme des systèmes de relations intelligibles et cela dans une «pratique scientifique». Les mythes et les rites en avait longtemps été écartés : étudiés dans leur ensemble individuel, pas dans une lecture en relation systémique, ex : le déchiffrement mot à mot, indépendamment du système, sorte de grand dictionnaire de termes individuels : empêche d’observer la valeur « relationnelle » de chaque chose (=décontextualisation des choses). Bourdieu souligne le danger d’une re-contextualisation par des interprètes intéressés pour donner du sens, on re-spiritualise les religions. Tradition et religion deviennent des objets étudiés de façon intéressée : on étudie la science comparée des mythes pour en faire ressortir les invariants en prouver l’universalité et encourager la fidélité. Dans les années 60’s, l’ethnologie des pays maghrébins souffre de 2 difficultés : de nombreuses choses sont impensables faute de dispositions ethniques ou politiques d’autres sont impensables faute d’instrument de pensée (méthodologie, concept, etc). Ces travailleurs de l’ethnologie des pays maghrébins sont parfois dépourvus de formation au travail scientifique. Tout cela explique la faible qualité des sources. Néanmoins, certain travaux ethnologiques lui ont servi, ex : Servier, la correspondance de symbolique entre rites agraires et rites de passage ou de C. Lacoste sur les contes Kabyles. L’autre danger en opposition à « l’empilement » déjà évoqué (décontextualisé), c’est de voir le tout comme un ensemble de traits intuitivement maîtrisables (dégager des significations « évidentes », directement). Ainsi, il faut choisir une autre voie résumable dans cette phrase :

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« Que chacun de ces traits signifie seulement ce que les autres ne signifient pas et que, en lui-même (partiellement) indéterminé, il ne reçoit sa détermination complète que de sa relation à l’ensemble des autres traits, c'est-à-dire en tant que différence dans un système de différences. » Pour expliquer un rite (cad l’arracher à une séquence d’actes immotivés dans son ensemble), il faut restituer chaque symbole et acte dans sa singularité et en tant qu’intersection de tous les ensembles de différences (les détails isolés, ne signifient rien). Ex : Le lien de la foudre et du soc (vocabulaire commun, impact du soc comparée à l’impact de la foudre, mythes commun qui raconte que l’ancêtre de la famille partant labourer, aurait creusé là où la foudre était tombée et aurait trouvé un morceau de métal qu’il aurait greffé à sa charrue … pour labourer). Première limite de la logique pratique : travail de tenir ensemble des contradictions, mais la cohérence est vraie jusqu’à un certain point, la cohérence parfaite du système est un idéal des structuralistes (ex: des ambiguïtés objectives se sont avérées inclassables). • Seconde limite : la logique pratique est influencée par le travail d’objectivation des instruments utilisés : schéma, tableau, plan, même la simple transcription écrite. Ces outils fournissent des modèles, sont intéressants car fondent une certaine cohérence mais deviennent faux si on les croit réels (si on les considère comme des principes des pratiques). Il ne faut pas voir ces modèles comme des principes véritables, comme performatifs. => « La pratique n’implique pas –ou exclut—la maitrise de la logique qui s’y exprime » p. 25 •

Danger dans l’interprétation : il ne faut pas confondre modus operatum et modus operandi, cad, il ne faut pas croire que les pratiques sont produites par des règles d’engendrement. Un pratique se définie par l’incertitude, le flou, elle a pour principe des règles inconscientes (des « schémas pratiques, opaques »), sujet à varier selon la situation. « Les démarches de la logique pratique sont rarement tout à fait cohérentes, et rarement tout à fait incohérente. » « les rites sont des pratiques qui sont à elles-mêmes leur fin, qui trouve leur accomplissement dans leur accomplissement même » (soit par ce que ca se fait ou par ce que ca doit être fait). Le chercheur recherchant à tout prix la compatibilité ou incompatibilité : les pratiques rituelles vont parfois appréhender le même objet de façon différente ou des objets différent de façon identique. Pb inhérent à l’ethnologie : pb de la définition du rapport à l’objet. La distance avec l’objet est ce qui ≠ la sociologie de l’ethnologie. Bourdieu est plus objectiviste qu’intuitionniste : il faut objectiver la distance, utiliser des techniques d’objectivisation, en rupture avec l’expérience première. Cette distance n’est pas tant liée à la ≠ de culture ou de « mentalité », mais liée à l’écart entre deux rapports au monde, théorique et pratique, du fait d’une distance sociale (l’effet de l’écart des conditions). Il parle de sa difficulté de chercheur occidental au Maghreb, de son privilège épistémologique d’observateur (mais reste vague sur méthode d’objectivisation, évoquant juste des « épreuves »). Cette prise de distance a son extrême : le « philologisme » (Volochinov) soit la propension à traiter les mots et textes comme si ils n’avaient d’autres raisons d’être que d’être déchiffré par des savants. -> sorte de dédoublement quand la rupture avec l’expérience est trop grande. -> mène à l’appropriation de l’interprétation, de façon déconnectée des textes sacrés par exemple. Il exprime le besoin de tenir ensemble compréhension pratique de théorie des rituels. Il faut restituer le sens pratique, ce rapport pratique au monde est à la fois compréhension immédiate mais aveugle à elle-même. La représentation qu’on se fait entre primitif/civilisé est établie par cette relation observateur/observé. Entre celui qui vit la pratique et celui qui la regard, cette ≠ vient de l’activité intellectuelle, l’objectivisation. En somme : il ne faut ni faire des discours (sans réalité empirique), légitimé par la science, ni faire une étude rompant avec la distance, donc personnalisée => seul moyen de construire un sujet : faire une socioanalyse de l’analyse de la pratique et utiliser cette socioanalyse comme instrument.

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Livre I : Critique de la raison théorique Avant propos Réflexion : Bourdieu se demande comment construire une « bonne » science de la pratique (pour lui, il faut analyser la logique spécifique et les conditions sociales de possibilité de la connaissance savante, ainsi que la logique spécifique de la connaissance pratique). La science sociale divise subjectivisme et objectivisme, mais ces modes de connaissance sont en fait également indispensables. • Subjectivisme : réfléchir sur l’expérience vécue du monde social (phénoménologie) • Objectivisme : établir des régularités objectives, indépendantes des volontés individuelles Il faut dépasser cet antagonisme tout en en conservant les acquis : montrer qu’en tant que modes de connaissance savants, le subjectivisme et l’objectivisme s’opposent au mode de connaissance pratique, qui est au principe de l’expérience ordinaire du monde social. Réflexion critique sur les limites de l’entendement savant : les conditions sociales de production du discours savant ne sont en général pas analysées, et les savants ne livrent donc pas la « vérité » mais ce qu’ils en perçoivent, depuis leur point de vue situé. Bourdieu cherche non à discréditer la connaissance savante, mais à lui donner plus de validité. Problème : on pose souvent la différence entre connaissance pratique et connaissance théorique en termes de valeur. En effet, les savants défendent l’idée que le savoir qu’ils produisent serait supérieur au sens commun (afin de se constituer en tant que profession, ils s’approprient le monopole du discours sur tel ou tel aspect du monde social et s’affirment capables de transcender les points de vue particuliers pour livrer la « vérité »).

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Chapitre 1 : Objectiver l’objectivation Réflexion sur les présupposés de l'objectivisme (« l'inconscient épistémologique du structuralisme »). Saussure : le vrai médium de la communication, n'est pas la parole mais la langue (système de relations objectives qui rend possible la production du discours et son déchiffrement). Pousse à considérer que la langue est la condition d'intelligibilité de la parole, mais masque le fait que la parole est aussi la condition de la langue car elle est à l'origine des innovations / transformations de la langue. → Saussure adopte un point de vue où la structure (= la langue) prime sur l'histoire individuelle / collective (= l'utilisation de la langue par la parole). Ce point de vue présuppose un certain rapport à l'objet : Saussure adopte le point de vue du « spectateur impartial » qui cherche à « comprendre pour comprendre ». Problème 1 : exemple de l'opposition stérile entre : • les grammairiens (qui étudient le langage pour lui-même) • et les orateurs (qui manipulent le langage pour produire un discours). La maîtrise de la grammaire ne suffit pas à donner la maîtrise de la langue : le langage est fait pour être utilisé de manière opportune (la phrase doit s'adapter à la situation). La relation entre la langue et la parole n’est donc pas qu’une relation de modèle à exécution, ce qu'oublient les grammairiens. Il faut tenir compte et de la langue (la structure, le code) et de la parole (l'action individuelle) dans l'étude d'un discours. Problème 2 : exemple de l'ethnologie. L’observateur reste toujours dans sa position, l’observation participante n’est jamais vraiment possible - le statut d'observateur implique une rupture sociale avec la population observée, car dans l'analyse le point de vue de l'observateur est différent de celui de la personne qui agit. ➢ Exemple des relations de parenté : sur l’arbre généalogique, on ne sait pas quelles relations sont seulement « officielles » et quelles relations sont réellement entretenues. Si analyse uniquement des relations « théoriques », possibilité de faire des analyses faussées car ce sont les relations pratiques qui comptent, qui fonctionnent car elles remplissent des fonctions pratiques. La projection dans l’objet d’un rapport d’objectivation non objectivé produit des effets néfastes (exemples : projeter dans la réalité ce qui en fait n’existe que sur le papier, ou voir dans des actions visant seulement à agir sur le monde social une interprétation du monde social). ➢ une rupture avec la vision savante permettrait à l’observateur de prendre en compte dans son analyse son propre statut de non-participant (qui est la limite des conditions de productions de la théorie) Problème de l’observateur : croire que l’action ne trouve son accomplissement que lorsqu’elle est interprétée (il faudrait déchiffrer l’action). ➢ Le discours objectiviste tend à considérer que le modèle construit pour interpréter les pratiques est un pouvoir susceptible de les déterminer (il traite des abstractions, comme la « culture », comme des réalités pouvant contraindre directement les pratiques, et il personnifie les collectifs, comme la « bourgeoisie », et en fait des sujets responsables d'actions historiques) ➢ la règle évoque ainsi tour à tour la régularité immanente aux pratiques, le modèle construit par la science pour en rendre raison ou la norme consciemment posée et respectée par les agents. Le passage de la régularité (ce qui se produit avec une certaine fréquence) au règlement (consciemment édité et respecté) ou à la régulation inconsciente est un glissement du « modèle de la réalité » (on décrit juste la réalité) à la « réalité du modèle » (on pense qu'une règle oriente la réalité). → problème : cela rend la règle ou la « structure » toute-puissante, les agents ne sont plus que des supports de la règle et leurs actions sont ne sont que des manifestations de la structure.

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Chapitre 2 : L’anthropologie imaginaire du subjectivisme L’objectivisme universalise le rapport savant à l’objet de la science et le subjectivisme universalise l’expérience que le sujet du discours se fait de lui-même. Bourdieu parle de la philosophie de l’action de Sartre qui décrit les pratiques comme des stratégies explicitement orientées par référence à des fins explicitement posées. Cependant cette vision est mise à l’épreuve par le monde social. Sartre s’inscrit en opposition avec la sociologie « objective » objectiviste. Par exemple dans la notion de classe sociale, il refuse les descriptions «objectives» de cette classe «objective» comme classe de conditions et de conditionnement, donc de dispositions et de styles de vie durable. Il s’inscrit en opposition à l’idée que le social transcenderait « l’égo ». L’intérêt de l’analyse sartrienne est de faire voir que le principe et l’enjeu de la lutte entre l’objectivisme et le subjectivisme sont l’idée que la science de l’homme se fait de l’homme. (soit de l’objet mais aussi du sujet de la science). On ne retrouve pas cette conception uniquement chez Sartre. Volontarisme des fictions anthropologiques auxquelles les défenseurs de l’idéologie de « l’acteur rationnel » doivent avoir recours pour fonder sur la seule décision rationnelle la conduite rationnelle de l’acteur rationnel. La théorie de l’action oscille entre une vision objectiviste qui soumet les libertés et les volontés à un déterminisme extérieur et la vision subjectiviste qui substitue aux antécédents de la relation causale les fins futures du projet et de l’action intentionnelle (les espérances des profits à venir). Les constructions anthropologiques auxquelles les défenseurs de la théorie de « l’acteur rationnel » doivent avoir recours pour assumer les conséquences du postulat théorique selon lequel l’action rationnelle ne saurait avoir d’autres principes que l’intention de rationalité et le calcul libre et informé d’un sujet rationnel constituent une réfutation par l’absurde de ce postulat et invitent à chercher le principe des pratiques dans la relation entre des contraintes externes qui laissent au choix une marge très variable et des dispositions qui sont le fruit de processus économiques et sociaux plus ou moins complétements irréductibles à ces contraintes ponctuellement définies. Il s’agit de reconnaître des formes d’action autre que l’action rationnelle ou la réaction mécanique.

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Chapitre 3 : Structures, Habitus, Pratiques La théorie de la pratique rappelle que les objets de connaissance sont construits. Cette construction se fait via un système de dispositions structurées et structurantes qui se constitue dans la pratique. La pratique est un lieu de dialectique entre des produits objectivés et des produits incorporés cad entre les structures et les habitus. Habitus « système de dispositions durables et transposables, structures structurées prédisposées à fonctionner comme structures structurantes, c'est à dire en tant que principes organisateurs de pratiques et de représentations qui peuvent être objectivement adaptées à leur but sans supposer la visée consciente de fins et la maîtrise expresse des opérations nécessaire pour les atteindre. » L'habitus n'est en rien le produit d'une obéissance à des règles. Les réponses de l'habitus se définissent par rapport à des potentialités objectives c'est à dire des choses à faire ou à ne pas faire. Selon Bourdieu, le monde pratique se constitue, dans sa relation avec l'habitus, comme système de structures cognitives et motivatrices. C'est un monde empreint d'un caractère téléologique (notre habitus nous fait nous comporter systématiquement de telle manière dans telle ou telle situation). L'idée étant que les dispositions durablement inculquées par les possibilités et impossibilités tendent à exclure toute pratique improbable, qualifiée d'impensable. En outre, les anticipations de l'habitus, fondées sur des expériences passées, confèrent un poids démesuré aux premières expériences. L'habitus produit donc des pratiques individuelles et collectives. Il assure la « présence active » des expériences passées et garantit la conformité des pratiques. L'habitus constitue ainsi une sorte « d'intériorisation de l'extériorité ». Il assure ainsi une forme de liberté conditionnelle et conditionnée à la fois éloignée d'une création imprévisible, nouvelle et d'une reproduction mécanique. L'habitus tend à engendrer toutes les conduites raisonnables, de sens commun c'est à dire ayant toutes les chances d'être positivement sanctionnées car objectivement ajustées à la logique d'un champ déterminé. On ne peut expliciter, comprendre les pratiques qu'en mettant en relation les conditions sociales qui ont engendré l'habitus (principe durable producteur des pratiques) ainsi que les conditions sociales dans lesquelles il est mis en œuvre. L'habitus est la « présence agissante de tout le passé dont il est le produit ». La logique réelle de l'action met en présence deux objectivations de l'histoire, l'objectivation dans les corps et l'objectivation dans les institutions. L'habitus comme sens pratique opère la réactivation du sens objectivé dans les institutions. Il permet de s'approprier les institutions et donc de les maintenir en vie. « La propriété s'approprie son propriétaire ». L'institution n'est complète et viable que si elle s'objective durablement dans les choses et dans les corps. Les habitus engendrent des pratiques mutuellement compréhensibles, ajustées aux structures, dotées d'un sens objectif. Il y a donc un accord entre le sens pratique et le sens objectivé qui produit un monde de sens commun. Au sein d'une classe, l'homogénéité des habitus rend les pratiques et œuvres immédiatement intelligibles et prévisibles, semblant aller de soi. En ce sens l'habitus permet l'économie de l'intention. L'habitus de classe résulte de l'homogénéité des conditions d'existence. Bourdieu parle d'une orchestration sans chef d'orchestre. Bien sur, les membres d'une même classe n'ont pas fait les mêmes expériences et dans le même ordre. Néanmoins, tout membre d'une même classe a des chances plus grande que quelqu'un d'autre d'une classe différente d'être confronté aux situations fréquentes pour les membres de sa classe. Les rapports entre l'habitus de classe et l'habitus individuel peuvent être définis ainsi. Une diversité dans l'homogénéité. Idée que chaque habitus individuel est une variante structurale des autres où s'exprime sa singularité. Le poids écrasant des premières expériences tend à assurer la constance de l'habitus...


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