Psycho clinique - Résumé fiche PDF

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Course Conceptions psychologiques actuelles de la pensée
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
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Conceptions psychologiques actuelles de la pensée

Responsable : Rui Da Silva Neves

Psychologie Clinique, Psychopathologie, Psychanalyse Cours 1 : Symptôme du pt de vue de la psychologie de la santé, du pt de vue de la psycho clinique et du point de vue psychopathologique Cours 2 : Affecte Cours 3 : Emotion du pt de vue de psycho de la santé

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Conceptions psychologiques actuelles de la pensée

Chapitre 1 : Les différentes définitions du symptôme Introduction :

Symptôme : plusieurs points de vues

Grand courant psycho : Plaque tournante de ces 2 courant initiaux, entre la philosophie et les sciences de la nature avec une idée mécanique de l’appareil psychique, qui vont donner tonalités à certains courants 20ème siècle, Freud Idée de pulsion : discipline psychanalyse ne peut pas être réduite ni à un humanisme ni philosophique ni comme une science de la nature . La psychanalyse née de son association avec Charcot. Pour Freud, le discours pourrait être tenu indépendamment de celui qui le prononce . Toujours pour Freud, il y a des paralysies qui sont liés à : • lésions organiques systèmes de représentation troué + altération du système de représentation • → les mots agissent sur les maux Connaître la cause du symptôme ne garantit pas qu’il disparaisse.

1)

Première différence

Approche médicale de la psychologie : Nécessaire de reconnaître que le savoirs est du coté du praticiens. Le symptôme prédéfinis par praticien Approche psychanalytique : Il y a symptôme dès qu’un sujet parle, le symptôme est dans la parole du sujet. C’est le point fort de différence avec approche médicale. Entre ces deux approches on ne parle pas du même symptôme. Du coup le suivi clinique ne sera pas le même.

2) Autres points de différences Lagache Psycho clinique = préalable de la psychologie intégrative soit on rassemble toutes les théorie → unité de la psycho, il propose alors des buts de la psycho clinique. Elle s’intéresse à la personne en globalité 3 buts de la psychologie clinique : conseiller, guérir, éduquer ou rééduquer GROSSE DIFFÉRENCE AVEC FREUD : il a l’idée de ce qu’est un individu ou même encore une maladie Freud Symptôme psychanalyse = résistance qui s’oppose à l’existant= opposition au savoir du praticien La pulsion s’éduque très mal. Si elle est refoulée elle réapparaîtra par le biais du symptôme. Le symptôme clinique lui est dit prédéfini.

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Conceptions psychologiques actuelles de la pensée

II. Définition du symptôme par la médecine Médecine : science humaine encrée dans culture historique, école qui essaie de savoir si la maladie est une expérimentation ou une expérience Opposition entre 2 façons d’envisager la maladie : • expérimentation • expérience Le symptôme = manifestation de la maladie qui permet de déceler celle-ci il doit être constaté objectivement par un observateur. Il y a des symptômes visibles à l’œil nu, d’autres au microscope, d’autres en échographie, en IRM … • Symptôme est objectif = perceptible aux examens Symptômes subjectifs = angoisse, la douleur, ce qui concerne les affects du sujet • • Symptôme signal : symptôme initial d’une maladie, douleurs prémonitoires. Signe, manifestation d’une maladie, d’une affection, d’un état. Symptôme inquiétant, • alarmant, grave. => le symptôme = pur signe, objectif ou subjectif, relié à un état morbide, c’est-à-dire une mauvaise santé, qu’il permet de déceler. Il peut être un signe prémonitoire d’une maladie, d’une affection ou d’un état comme la fièvre signe d’une infection. La guérison passe par l’éradication du symptôme pour annuler l’état morbide. •

En médecine on ne traite pas simplement le symptôme, mais aussi sa cause, qui est toujours distincte de celuici.

Psychologie clinique le symptôme fait référence à l’inconscient : Expression d’un conflit inconscient → naissance à un phénomène de compromis entre le désir refoulé et les • exigences de l’instance refoulante. • Manifestation subjective d’un trouble • Ce qui révèle manifeste un état de choses ; signe, indice avant-coureur d’un phénomène, d’un processus : manifestation généralement visible d’un état d’esprit, d’un sentiment, d’une pensée • Événement, phénomène mettant au jour ou présageant un état, un processus, l’évolution de quelque chose • Manifestation, phénomène, venant à la place de ce qui ne se dit pas : « le symptôme, c’est le mutisme chez le sujet supposé parlant » (Lacan) Freud La santé mentale impliquait la présence de symptômes La disparition du symptôme n’était pas synonyme de guérison => La santé n’est pas l’éradication du symptôme, ni la normalisation du sujet MAIS Santé = accès à un bonheur, à satisfaction pulsionnelle et à différents biens • •

De ce fait, même pour la psychanalyse, l’idée du bonheur, si elle engage un ressenti du côté du sujet, est aussi prise dans les filets des discours organisant une époque culturelle.

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III. Différence entre le symptôme de la psycho clinique et celui de la psychanalyse A. Conception du normal et du pathologique Conception du normal et du pathologique est en fonction de l’épistémologie à laquelle on se réfère. Approche psychanalytique La conception se veut continue (pas de différence qualitative entre le normal et le pathologique) •

Approche utilisée par les classifications internationales (DSM) des troubles mentaux La conception repose sur une vision catégorielle du pathologique et du normal

L’analyse sémiologique est une des étapes préalables à un diagnostic. Etape 1 : À partir de l’observation et des propos du patient, on recense les symptômes en tentant de les hiérarchiser en fonction de leur importance Etape 2 : On les regrouper en syndrome (un syndrome est un ensemble de signes, de symptômes, qui, d’apparence parfois disparate, forment une entité reconnaissable en raison soit de leur association constante, soit d’une même cause). → Les symptômes sont exprimés par le patient ; ils sont la manifestation subjective de la pathologie. Les signes sont observés par le clinicien, ils sont dits objectifs. En identifiant les signes, en les remaniant, en les reformulant, le clinicien donne une signification aux symptômes rapportés par un patient. Ce ce dont se plaint le patient n’est pas la même chose que ce que le clinicien observe

En psychanalytique Au départ : on s’appuyait sur un référentiel issu de la médecine Puis : changement : il n’y a plus l’idée d’une version uniquement pathologique du symptôme → La structure n’est plus signe d’un état pathologique, mais d’une modalité d’être au monde pour un sujet = impossibilité de toute classification des symptômes puisque chaque sujet se retrouve à devoir faire avec son propre symptôme qui est assimilable à la singularité.

B. Exemple des phobies La phobie = crainte exagérée à certaines situations, voire l’évitement de certaines situations, de certains objets ou phénomènes Catégorie des troubles anxieux, mais contrairement à l’anxiété, la phobie se tourne vers une seule chose Clinique médicale Plusieurs catégories de phobies : • phobies imaginaires construites sur l’imagination • phobies situationnelles comme la phobie de l’avion, du train etc phobies sur des endroits, comme la peur • • naturelles comme la crainte de certains milieux animale • • accidentelle-médicale comme la panique devant le sang Selon l’OMS, les phobies sont assez rependues car 1/10 personne souffre de phobie Psychopathologie La phobie se reconnait à la présence des symptômes suivants, qui doivent être présents sur une période excédant 6 mois : • Une peur irraisonnée, intense et excessive sur certains phénomènes Une réaction immédiate et irréfléchie quand le sujet est face au problème • • Une conscience du caractère excessif et non justifié de la crainte

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Un savoir de la part de la personne de cette excessivitée et un évitement systématique des situations redoutées

Il y a des outils qui permettent de l’identifier. Les théories cognitivo-comportementales La phobie = comportement appris et renforcé au cours de la vie du patient. La nature de l’objet phobogène = mécanismes cognitifs qui ancrent le patient dans sa phobie. → Cette approche privilégie le rôle des pensées et des croyances. Le symptôme résulte d’un traitement de l’information erroné → il faut repérer apprentissages et conditionnements pathogènes et favoriser un autre apprentissage ou un déconditionnement. C’est une indication thérapeutique pour le traitement des phobies. Le traitement consiste à aider le patient à repérer ses croyances et ses idées erronées. Les approches systémiques Le symptôme est déterminé par la communication due l’individu avec son entourage, son milieu de vie, son système qui permet de comprendre l’apparition et le maintien de son symptôme.

La phobie permet d’éviter l’angoisse Dans l’approche psychanalytique Phobie = signal d’alarme qui prévient que si le sujet va plus loin, il pourrait être angoissé. On évite l’angoisse qui est un affect ou une pulsion sans objet = moyen de traiter l’angoisse Fin d’un traitement clinique = espace entre refoulement, retour du refoulé, levée du refoulement et condamnation qui sera le terrain du travail clinique psychanalytique. Freud La phobie vient seulement permettre à l’angoisse d’être localisée, devinée, prédite, exactement comme si la phobie était un signal d’alarme. → en aucun cas l’angoisse ne pourra disparaître, c’est-à-dire sans laisser de trace, même si l’on restitue d’une façon ou d’une autre au sujet, toute expérience laissait de façon irrémédiable des traces chez un sujet traces qui dans la plupart des cas sont inconscientes. Clinique médicale Plusieurs théories : • Conditionnement acquis de l’expérience • Approche systémique s’intéresse au milieu dans lequel évolue l’individu

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Chapitre 2 : Les émotions comme symptôme I.

Qu’est-ce qu’une émotion ? Émotion : état affectif brusque, intense et passager (10ène de secondes) = réaction à un stimulus

Vient de « ex movere » movere : s’émouvoir, remuer, bouger, ébranler, agiter. Ce qui nous met en mouvement. Chose qui nous change de l’état où nous étions auparavant. Réaction soudaine impliquant différentes composantes : - Physiologique : rythme cardiaque, sudation, notre organisme est modifié - par l’émotion. - Comportementale : avoir envie de courir, l’émotion influence ce qu’on va faire. - Cognitive : ressent de la peur

A différencier :

Affect Sentiment

Humeur

Ensemble des manifestations subjectives accompagnant les sensations, les sentiments, les émotions et certaines pensées. Plus paradigme psychanalytique, plus diffus. Composante psychologique des émotions. Plus durable et moins intense que les émotions. Ensemble des dispositions des tendances dominantes qui forment le tempérament, le caractère. Colore l’ensemble de la personne et a une influence sur émotion. Plus stable et durable, relation étroite et influence entre émotion et humeur. Humeur déprimée influence une émotion de tristesse.

Plusieurs types d’émotion Eckman 6 émotions primaires universelles : Colère ; Peur ; Dégout ; Surprise ; Joie ; Tristesse Émotions secondaires : Mélange de plusieurs émotions primaires, elles ne sont pas universelles (comme la jalousie ou le mépris) et ont une forte composante culturelle, liée à l’expérience.

Plutchik (1980) 8 émotions de base : extase, vigilance, rage, aversion, chagrin, étonnement, terreur, adoration • • • •

II.

Ces émotions de bases ont des dégradés plus doux. Les émotions peuvent être modulées par l’intensité. Les émotions de face sont des contraires. Il y a des émotions à l’intersection de deux émotions.

Les émotions dans une perspective évolutionniste

Darwin Perspective psycho-évolutionniste des émotions : émotions biologiquement ancrées = décrites essentiellement dans le contexte de l’évolution par sélection naturelle. → fonction universelle

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Le traitement émotionnel Comment notre système cognitif traite les émotions ? Traitement hautement adaptatif : répond à un événement sans attendre des processus plus complexe (plus lent). Le cerveau traite rapidement des caractéristiques sensorielles simples. → Permet de répondre rapidement à une situation émotionnelle (Le Doux, 1993).

Étapes : (1) Le cerveau de façon consciente et rapide, appréhende les situations comme étrange ou dangereuse. (2) Le cerveau déclenche des alarmes qui dirigent la cognition vers l’identification du stimulus, évaluation du danger et la planification de l’action. On réagit rapidement et après on réfléchit à ce qu’on va faire. (3) Les centres émotionnels traitent plus rapidement l’information que les centres de la planification et de décision. Ce sont eux qui commencent à agir. Ex : il est 4h du matin, on est dans une rue sombre et on voit une silhouette étrange, de suite le cerveau va alerter d’un danger donc sans réfléchir on change de trottoir, ou on rentre dans un immeuble, on s’arrête. Puis au bout d’un moment, le centre de décision et de planification décide en effet de fuir pour se sauver.

• • •

Les émotions ont une fonction d’adaptation par rapport à l’environnement Les émotions permettent à l’individu de réagir immédiatement dans les situations où la survie est en jeu. Les émotions régulent l'attention, contrôlent la survenue d'événements auxquels il faudrait s'adapter et donnent l'alerte quand ils surviennent.

Les émotions n’ont pas la même tendance comportementale adaptative en fonction de leur valence. •

Émotions positives : entraîne un comportement d’exploration : comportements indispensables à notre développement Ex : la joie → rapprochement, exploration de l’objet ou personne



Émotions négatives : plus grande différentiation des émotions négatives pr nous adapter et survivre. Pour une émotion négative telle qu’une critique au travail, il faut 20 compliments pour oublier cette critique.

III.

Émotion et cognition

Avant, Descartes Émotion et cognition = deux entités séparées Aujourd’hui Émotion et cognition = indissociables : • •

Émotion nous alerte : elles présentent les problèmes que les cognitions vont résoudre.Elle nous indique ce qui est important pour nous et nous permet d’organiser l’action : Envoie d’un signal de danger. La cognition nous permet de la comprendre. La pensée est nécessaire pour : - Analyser la situation : Est-ce que ce que j’ai en face de moi est réellement un serpent ; - Pour valider ou corriger notre réponse automatique et notre perception de la situation : Non, ce j’ai en face de moi n’est qu’un tuyau d’arrosage ; - Pour planifier et décider quelle action exécuter réellement : Je peux continuer ma route tranquillement et réfléchir à ce que je ferai si éventuellement je croise un vrai serpent sur ma route.

(1) Le système émotionnel nous donne ainsi des indices = aide à focaliser l’attention sur des possibilités négatives et à fournir une réponse immédiate qui nous en éloigne.

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(2) Une analyse rationnelle de la situation vient ensuite, mais après que le traitement émotionnel ait déjà réduit les options.  Augmente la pertinence et l’efficacité de la décision Intégration émotion & cognition donne des réponses les plus adaptées. Cognition donne du sens à notre expérience émotionnelle.  Les émotions favorisent les prises de décisions (réduction du choix, analyse rapide de la situation) Exemple, cas de Phinéas Cage : Il travaillait dans les chemins de fer et un jour il s’est retrouvé avec une barre de fer dans le crâne mais a survécu physiologiquement mais mentalement, il n’arrivait plus à s’intégrer et ne ressentait plus les émotions. Incapacité de prise de décision rationnelle + Incapacité à ressentir des émotions

ÉMOTION ET COGNITION SOCIALE Adaptation aux autres. Nos expressions émotionnelles + tendances comportementales → donne infos sur notre état interne et nos intentions Être lisible et sensible aux émotions des autres permet une meilleure synchronisation. Ex : autisme : difficulté à reconnaître les émotions. → Théorie de l’esprit : capacité d’attribuer des états mentaux à soi et aux autres et de mieux comprendre et anticiper le comportement des autres.

IV.

Les émotions dans la construction de soi

A. La régulation émotionnelle Emotions = processus automatique que nous ne pouvons pas contrôler Régulation émotionnelle : capacité à contrôler à un certain degré ce que l’on ressent Pour cela, on limite l’exposition aux stimuli ou on contrôle en partie nos pensées et nos actes. Ce contrôle implique la reconnaissance de nos émotions lorsqu’elles émergent et la capacité de les gérer pour atteindre nos buts. • • •

La régulation émotionnelle consiste à utiliser des stratégies destinées à contrôler une ou plusieurs composantes des émotions. La régulation émotionnelle a pour but d’exprimer les émotions de façon socialement admise. La régulation émotionnelle permet de mieux contrôler ce qu’on laisse paraître de son état intérieur.

B. Développement de la régulation émotionnelle Augmentation de la régulation émotionnelle : - Bébé : cri de manière incontrôlée, exprime les émotions mais ne les régulent pas, c’est l’adulte qui joue ce rôle. - Jeune enfant : (2-3ans) capable de chercher de l’aide et du réconfort, mais a encore besoin de son parent pour réguler ses émotions. - Age préscolaire : (Maternelle) capable de nommer ses émotions et en parler, il commence à y avoir des stratégies avec le doudou qui est l’objet transitionnel qui permet à l’enfant de s’autoréguler. - Age scolaire : réfléchir sur ses émotions, utiliser différentes stratégies pour réduire la détresse et l’anxiété. - Adolescent et adulte : compréhension de soi plus importante, plus complexe, manières propres à chacun de réguler l’émotion. La régulation émotionnelle joue un rôle sur l’expression de l’émotion : -

Habileté équilibrée : qd on laisse voir son émotion et les réguler de manière adaptée. Ex : lors d’une agression au lieu de s’énerver dire « Mais pourquoi me dis-tu cela, ça me blesse énormément ! » Hyper contrôle : cela empêche les personnes de s’adapter à leur environnement et produit du stress.

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Ex : personnes qui ont besoin de tout contrôler, sauf que les émotions ne se contrôlent pas donc les émotions deviennent insupportables et les gardent pour eux Absence de contrôle : troubles sociaux. Ex : lors d’agression la personne va frapper son agresseur.

C. Schémas émotionnels Nos différentes expériences émotionnelles ainsi que les sensations, les éléments physiologiques, les souvenirs associés et des indices situationnels vont s’organiser • Schémas émotionnels (Greenberg et al., 1993). Schémas émotionnels interviennent à différents niveaux de traitement de l’information. - Intègrent notre histoire d’apprentissage émotionnel, - Constituent le niveau le plus fondamental de traitement de l’information.

Les schémas émotionnels attribuent du sens et apportent une signification émotionnelle à notre vie, à nos réactions somatiques. Précédent l’évaluation cognitive, niveau le plus fondamental de traitement de l’information.

V.

La place des émotions en psychothérapie

A. Les pathologies des émotions Les émotions : • fonction adaptative • optimiser les relations et interactions entre l’individu et son environnement. Mais dans certains cas, l’émotion perd sa fonctionnalité et devient source de souffrance et ...


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