Résumé Livre Rouge Psychologie PDF

Title Résumé Livre Rouge Psychologie
Course Histoire et thèmes
Institution Université Grenoble-Alpes
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RESUME LIVRE 1-Psychanalyse Les relations de Freud, avec Charcot et Bleuler, ont entraîné des révolutions dans sa pensée. Au début utilisait l'hypnose, pour susciter la catharsis et purifier, puis est passé aux associations libres.

Les grands périodes de l'évolution de la pensée freudienne La théorie de la séduction : La libido est la pierre angulaire de sa théorie. La névrose est causée par un traumatisme sexuel vécu tôt dans la vie, un autre vécu tardivement qui l'entraîne. Pansexualisme. Complexe d'Oedipe : le noyau nucléaire des névroses. Interprétation des rêves : « voie royale qui mène à l'inconscient ». Contenu manifeste=ce dont la personne se souvient. Contenu latent=à l'origine de la production du rêve. 3 catégories de rêves, selon leur rationalité et leur vraisemblance : -simples, représentent un besoin physiologique. -raisonnables, cohérents et simples. -obscurs, représentent des problèmes inconscients importants. Déplacement d'affect=isolement, détachement, déplacement et fixation d'une charge affective attachée à 1 représentation, sur 1 autre représentation. Condensation de représentations=combinaison de représentations, en une seule. 1e topique : conscient, préconscient, inconscient : barrière refoulante entre le pré-conscient et l'inconscient, contre les désirs de l'inconscient. Contre-investissement= « bouclier » défense du préconscient contre les irruptions des représentations et affects de l'inconscient. L'inconscient dynamique influence le comportement. Le plaisir est le processus primaire,qui régit l'inconscient, la logique et la raison sont le processus secondaire qui régit le conscient. Stades libidiques : oral, anal, génital. 5 psychanalyses : le cas Dora. 3 transferts : positif, négatif, érotique. (grâce à Dora)Névrose de transfert, contre-transfert. Théorie sans cesse modifiée, métapsychologie. 2e topique : ça, moi, surmoi : pour expliquer des faits troublants, narcissisme=construction du moi par série d'identifications à autrui. Moi maternel L'assoc libre, la règle fondamentale : ses transgressions sont des résistances, complexes pour Jung. 2 formes=mutisme et logorrhée. Modalités d'expression de la résistance : 3=incste, cste, précste. Dés-affectivité, apathie, mensonge, oubli de la séance, attitude étrange. Déf et champ de l'interprétation : but=comprend le sens latent d'un cptm ou proc mental. Phénos clés=rêves, résistances, transferts. Bon moment de l'interprétation : quand l'intervention de l'analyste fera effet de pontage, quand la distance pour un matériel entre le cst et l'incst sera la bonne. Indices = lapsus, actes manqués. Spécificité de la psychanalyse : la seule thérapie à utiliser la règle fondamentale. Le psychanalyste « confesseur » et devenu « interprète ». La neutralité bienveillante a été remplacée peu à peu par la majorité, par des échanges interhumains.

2-Clinique une pratique te une discipline., 1 méthode et 1 domaine. Centrée sur la subjectivité, la singularité, l'holisme. Outils et supports théoriques nombreux. Histoire et définition : médecine du XVIIe, relation médecin-malade. Janet : étude de cas, observation. Freud : relation sujet-observateur => 1e théorie psy des troubles psys. Lagache, Boutonnier. Conflit neurosciences-psychanalyse. Lien avec la pathologie : pathologie du psychologique=pathologie qu'on peut interpréter en psychologie. psychologie de la pathologie=analyse psy d'un élément pathologique. Psychopathologie=savoir + conception générale . INTERSECTION

Démarche clinique méthode clinique : armée/mains nues. Observation,implication . Données=discours, cptm, symptômes Positionnement théorique et psychique du clinicien : objet= réalité psychique du patient, ce qu'il dit est plus important que ce qu'on observe. Pas d'objectivité. Rencontre essentielle. Théorie pratique. Savoirs théoriques, savoirs-faire, savoir-être. Méthodes= – étude de cas=centrale, typique. Caractères personnelles du fonctionnement psychologique, et leurs causes. Prise en compte des éléments et informations des proches. Existe-t-il des régularités , des invariants en clinique. – Observation=analyser et organiser les données, standardisée ou non.



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Entretien clinique=la parole du sujet est centrale. Butes des interventions du clinicien=comprendre, cerner et libérer pour évoluer. Dimension du discours du patient=référentielle, modale, illocutoire. Interventions du clinicien=réitération, déclaration, interrogation. Principes=neutralité bienveillante, respect des défenses et résistances, transfert, contre-transfert, empathie, contenir. Mécanismes de défense=identification, projection, clivage, restriction, recours au factuel. Tests et échelles=mesurer et comparer. Tests cognitivo-intellectuels et neuropsychologiques, inventaires de personnalité. Rorschach, TAT. Activité ludique et artistique= médiation par jeu et art.

Théories et approches psychanalyse : notions d'incst, pulsions infantiles refoulées. Maladie=trouble de la constitution du moi. Mécanismes défensifs, refoulement, déni, projection. Différentes écoles : Klein, Anna Freud, Lacan. Comportementalisme:les comportements pathologiques sont des réponses apprises, dues à l'interaction avec l'environnement (conditionnement opérant et renforcement). Cognitivisme : esprit=espace de traitement de l'information. Schémas irrationnels, dysfonctionnels. Phénoménologie : subjectivité, vécu, ressenti, holisme. Humanisme : né de l'opposition psychanalyse et behaviorisme. Centré sur la créativité, les valeurs, réalisation, forces positives, libre-arbitre. La maladie est un échec de la réalisation de soi. Systémisme : théorie des systèmes. Homéostasie. Accent sur l'environnement et la communication.

Interventions du psychologue clinicien L'identité professionnelle : triple mission, clinique, institutionnelle, FIR. Domaines d'intervention : souffrance psychologique, + centré sur les mécas de la pathologie que la maladie. Autres domaines : handicap, gérontologie, addiction. Différents lieux et différentes conditions.

Types d'interventions Diagnostic et évaluation, le bilan psychologique : après recueil et analyse des donnée,s évaluer et orienter. Sémiologie=description des signes cliniques. Préférence de l'évaluation au diagnostic. Psychothérapie : 400 méthodes, en fonction des théories et critères. Institution : la majorité y travaille, par réunions, groupes et ateliers. Conseil psychologique : pour résoudre un problème, accompagner, soutenir. Gestion de la crise : urgences, physiques et psychologiques, individus ou groupes. Recherche : 2 conceptions= traditionnel-scientifique VS non-objectivante. Amener des hypothèses, observer, vérifier.

Conclusion Les concepts et les méthodes sont très nombreux. Les réflexions épistémologiques et éthiques sont nécessaires.

3-Pathologie objets=troubles psys+souffrance+difficultés signes → tableau clinique -->comprendre

Du normal au pathologique déraison=>aliénation=>variation. 3 étapes de la démarche pathologique=description, compréhension, explication Le normal et le pathologique sont ils deux catégories distinctes et se situent-elles sur le même continuum ? C'est la durée et l'intensité qui déterminent la maladie.

Troubles anxieux angoisse=anxiété L'attaque de panique : très soudaine, dure de qqs minutes à qqs heures. Trouble anxieux généralisé : doit durer au moins 6 mois. Troubles phobiques : d'espaces, sociales, spécifiques. TOCs: idéative, phobique, impulsion, compulsions. Etat de stress aigu : consécutif à une situation dangereuse. État de stress post-traumatique : 6 mois après.

Troubles de l'humeur humeur=O des dispositions affectives et instinctives qui déterminent la tonalité fondamentale de l'activité psychique, entre les 2 pôles. Épisode dépressif majeur : dysthimie=état dépressif léger-modéré. Troubles bipolaires : humeur normale=euthymie accès maniaque : hypomanie accès mélancolique : au-dessus de la dépression, selon les dires des malades pire que toute douleur psychologique. Étiologie : modèle biopsychosocial. La première prise en charge est médicamenteuse, puis intervient une prise en charge psychosociale.

Troubles psychotiques perte de contact avec la réalité. Si un thème : délire systématisé. Si plusieurs thèmes : délire polymorphe, non-systématisé. Psychoses aiguës : bouffées délirante aiguë=brève, brutale, . Psychose puerpérale=psychose aiguë réactionnelle. Entre le 5e et le 25e jour après. Psychoses chroniques : psychoses dissociatives=schizophrénies = -syndrome délirant/schizophrénique/paranoïde et syndrome dissociatif : nombreux facteurs.

Psychoses non-dissociatives ou délires chroniques : 3 types=-délire paranoïde -psychose halluchronique -délire paraphrénique.

Psychopathologie de l'enfant et de l'adolescent Grandes variations individuelles à cet âge. Plusieurs facteurs à prendre en compte : âge, sexe, niveau de développement, Conditions de vie, milieu social. Troubles anxieux:+ diffuse t globale que chez l'adulte. Le diagnostic est difficile. Anxiété de séparation, anxiété généralisée, TOCs, phobie,s phobie sociales. AdPs. Dépression et conduites suicidaires : symptômes différents. TS rares, mais violentes. Déficience intellectuelle, troubles du langage et des apprentissages : 3-5a = période critique. Déficit de l'attention et hyperactivité Troubles oppositionnels ou troubles des conduites. Troubles envahissants du développement :-autisme Conduites de dépendance : -troubles liés à la consommation de substances -troubles des comportements alimentaires : anorexie et boulimie.

Pathologies du vieillissement Variations quantitatives du vieillissement normal. États dépressifs : différencier dépressifs vieillis et dépressions inaugurales tardives. États démentiels : affections cérébrales. Atteinte chronique, évolutive, acquise. L'étiologie est inconnue. Types nombreux et causes variées. Alzheimer : troubles globaux, de la mémoire, langage, gestes, comportement.

4-DEVELOPPEMENT Déf et origines Life span=vie entière 2tude des caractéristiques générales et des différences interindividuelles, pour comprendre et prévenir. Étudiée par Platon, Erasme, Montaigne, Rousseau, Darwin, Preyer et Carmichael. Thèmes : personnalité, fonctions mentales, motricité, affectivité, conduites sociales.

L'étude du changement Des facteurs de changement multiples : interactions complexes entre cerveau, culture, éducation, exp personnelle. 3 types de changement : -âge. -groupe de sujet -changements particuliers. L'horloge biologique et l'horloge sociale : (Gesell) maturation=processus séquentiel de changements programmés génétiquement. Environnement : xps culturelles. Un changement dans un aspect du dév a des répercussions sur les autres aspects. Puberté : beaucoup de changements. Période critique : pendant laquelle le sujet est particulièrement sensible à la présence ou absence de certaines xps. Période sensible=l'enfant est très réceptif à certaines xps.

Des changements quantitatifs, qualitatifs et non linéaires plus de savoirs et de savoir-faire, et de manières différentes de penser et agir. Le développement normal 'est pas linéaires, il y a des ruptures, des ralentissements, des régressions.

Les méthodes Aproches comparatives. Longitudinale, transversale, séquentielle. Les combinaisons sont possibles.

Théories de référence et fondateurs Piaget : constructiviste, activité du sujet. Équilibration=action exercée sur le monde + l'adaptation entraîne le développement et la stabilité, par accommodation et assimilation. Stades : sensorimoteur/préopératoire/opérations concrètes et formel. Les affects et la cognition sont inséparables. Vygotski, Wallon Zazzo Bruner : point commun=importance accordée au milieu social. Vygotski : dév = socialisation instruments culturels Le langage est le principal instrument. Interpsychologique=social vs intrapsychologique=individuel ZPD=écart entre les caps de l'enfant à réaliser seul des apprentissages et ces mêmes capacités, avec l'aide ou le guidage d'autres personnes (=agents du développement) Wallon:le dév. Est un produit de facteurs biologiques et de facteurs sociaux. Stades : émotionnel, sensorimoteur-projectif, personnalisme, catégoriel, puberté, adolescence. Le langage a une place spécifique dans la cognition. Zazzo : spécialiste de l'étude des jumeaux. Conception holistique. Bruner : le dév du langage est le moteur du développement de l'intelligence. Soutien de l'adulte permet de intéresser, simplifier, motiver, et souligner les aspects les plus importants d'un apprentissage. Interaction mère-enfant. Bowlby : l'attachement est un besoin primaire, indépendant, a une fonction de sécurisation et de socialisation. La mère est une figure d'attachement. Le lien avec elle est très important. MIO : modèles interopérants.

Travaux récents, quelques exemples bébés : grande évolution, nouvelles méthodes et apports des sciences cognitives. Vision agnosique n'existe plus. capacités perceptives du fœtus et du bébé : fonctionnelles avant maturation totale, limitées, avant et après naissance. Évolution : toucher, olfaction, gustation, audition, vision. A 7 mois : perçoit, discrimine, mémorise des séquences sonores. compétences cognitives, sociale set émotionnelles des bébés : capables de catégorisation, permanence de l'objet. Dès naissance et même avant, ils apprennent. Le développement cognitif simple=>complexe 0-2 ans : sensorimoteur-projectif 2-12 ans : opérations concrètes après : opérations formelles. Arrêts décalages, régressions. Conception remise en question. Psy dév cognitive : traitement de l'information, organisation de la mémoire, et développement d ela métacognition. Le développement de la communication et du langage commence avant la naissance premières acquisitions : communication multisensorielle avec la mère. LAE=langage adressé à l'enfant. Formats d’interaction. développement lexical : lent au début, s’accélère ensuite. Langage télégraphique. Le lexique se développe toute la vie. la lecture et l'écriture : procédure logographique. La théorie de l'esprit : la compréhension du monde mental: 3ans : prise en compte des désirs d'autrui. 5Ans : croyances. 8Ans : savoirs et pensées. 12 ans analyse des comportements.

Conclusion recherche des causes des phénomènes psychologiques et étiologie. Interaction entre dév et éducation. Apport important : évaluation des compétences et différences individuelles des enfants. Secteurs : famille, éducation, santé, formation.

EDUCATION modeler comportements, attitudes, savoirs, valeurs, en fonction des fins que le société s'assigne et des caractéristiques des individus. 3 dimensions de l'apprentissage : explicite, implicite, métacognition.

Histoire De Platon à Darwin L'éducation à donner varie selon l'époque et la classe sociale. Son dév en relation étroite avec la modernisation entre le XVII et le XXIe. Locke, Rousseau, Herbart, Montessori, Decroly : essayent de fonder pédagogie sur la psy, avant Claparède, Piaget et Wallon.Explosion au début du XXe. Gesell : méthode d'observation. Binet, Piaget, Wallon, Zazzo : expérimentation. De la nature humaine Freud Et Darwin, leurs théories nous renvoient à notre animalité.

La psychologie de l’éducation aujourd'hui 3 dimensions. Capacités et différences individuelles étude des caractéristiques générales et des différences interindividuelles. Évolution par maturation et apprentissage. C'est la perspective la plus traditionnelle. Savoirs et savoir-faire Contenu : savoirs, savoirs-faire, attitudes , émotions, introduits, transformés ou canalisés. Apprentissages implicites ou explicites. Étude de l'organisation des cognitions, des dispositifs d'apprentissages, et des modes transversaux d'apprentissage. Médiations sociales et interactions +Récent : des années 60s à aujourd'hui. 2 grandes théories : -apprentissages social de Bandura : multifactoriel, motivation, prédire. -Vygotski : processus social avant tout. Bruner, dans la même lignée.

L'évaluation des capacités tests : NEMI, WIS. A chaque âge son enseignement : Piaget => perspective radicalement nouvelle. Enfant est au centre. Déterminer les capacités cognitives sous-jacentes. Le développement est une course autonome. La détermination du niveau de développement est cruciale. Attention à la zone critique. Apports de la psy cognitive : Échelle de développement : -culture surtout, pas d'évaluation indépendante du milieu. -certaines activités scolaires présentent des difficultés spécifiques. -effet Flynn.

La psychologie et les apprentissages 2 approches comparatives : -recherche fondamentale, visant à isoler et décrire processus élémentaires. -questions sur les contenus, les progressions, l'évaluation des apprentissages. Le cognitivisme a apporté des modèles et des outils. La psy et les autres scis cognitives ont apporté à l'apprentissage, par évaluation des lacunes et évaluation finale. L'apprentissage implicite : Sans intention => augmentation de l'adaptation. Existe très tôt chez l'enfant. Comment structurer les situations pour modeler l'acquisition. l'apprentissage explicite : L'individu informé qu'il devra remémorer. Infos déclaratives , feedback et guidage => procédurales. Métacognition : La conscience de son propre fonctionnement psy, savoirs et savoirs-faire. Elle n'améliore pas systématiquement l'apprentissage.

L'éducation et les dimensions sociales L’activité de lecture est le moteur des acquisitions en vocabulaire, orthographe et syntaxe. Être social ou à être socialisé. Evolutionnalisme : question importante abordée=aspect social de l'apprentissage. Interaction our génèrent interactions. Contexte social et développement dynamique. C'est la spcificité de l'EH, d'être toujours dans un contexte social. Situations aux effets bénéfique sur l'apprentissage l'Apprentissage augmente beaucoup pendant des interactions avec pairs. Coélaboration acquiescante : l'un initie, l'autre contrôle . Coconstruction : la solution commune. Les conditions de la réussite d'un apprentissage social : interdépendance+responsabilité individuelle+tâche commune+interactions stimulantes+bonne gestion des relations interpersonnelles. Les profs les plus efficaces sont des managers. La solution est de mobiliser fortement et systématiquement l'activité des élèves, varier les approches et alterner travail technique et activités significatives. De situations aux effets néfastes sur les apprentissages Les interactions influent. Ainsi que les réputations et étiquettes données aux élèves. Un sentiment d'infériorité diminue les performances.

Conclusion évolution de la psy de l'éducation en phase avec la société.

COGNITIVE Histoire et enjeux fin 50s : Muller, Chomsky, Broadbent, Newell-Simon. Une tradition rationaliste : la cognition est une machine. Ses opérations sont des traductions d'éléments du réel et les calculs sur ces symboles. Attention à ne pas réduire l'homme à une machine. Théorie de l’incorporation de l'esprit. L'étude des dysfonctionnements cognitifs : Le système cognitifs est constitué de modules organisés comme le cerveau. 2 hypothèses en débat : Computationnelle : sys cgn = ensemble de calculs, de fonctions cgn, avec un administrateur central. Dynamique : les éléments interagissent, une structure dynamique qui évolue et se stabilise.

La mémoire Assimilée à l'apprentissage jusque dans les 60s. Puis jusqu'en 2000 aux Pcs. Maintenant, c'est la cognition.

Conception multisystème de la mémoire : une mémoire des contenus mémoire =espace organisé de stockage des connaissances. une mémoire à ct à 3 systèmes : mémoire sensorielle, MCT et MdT : mémoire sensorielle, transitoire : mémoire iconique et mémoire échoïque. MCT=intermédiaire, ce qui est stocké est transféré ensuite vers la MLT. Notion d'empan mnésique. MdT : traite l'info avant transfert vers MLT. mémoire à long termeplurisystème : épisodique+sémantique+procédurale+perceptivosensorielle+MdT.

Conception fonctionnelle de la mémoire : une mémoire des processus (depuis 1970s) importance de la façon d'explorer le stimulus : niveau de surface vs niveau profond. L'effort et l'association au contexte influent beaucoup. importance de la cap...


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