Resumer Livre l\'unité de la psychologie PDF

Title Resumer Livre l\'unité de la psychologie
Author Aurélie Muller
Course Psychologie
Institution Université de Lorraine
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Lamy-Au-Rousseau Danaé

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L’UNITE DE LA PSYCHOLOGIE La psychologie se divise en plusieurs partie, cela n’empêche tout de même pas la collaboration des psychologues de différentes branches." On ne trouve pas de dictionnaire qui puissent définir la psychologie d’une façon satisfaisante. Ce qu’on remarque aussi c’est que le mot «#psychologie#» tout seule ne figure pas dans le Vocabulaire de la psychologie, on y retrouvera que des psychologies particulières. Cela dit, François Bresson définit la «#psychologie#» comme «# la science du comportement#». " Kurt Lewin introduira alors le «#champ psychologique#», celui-ci est le champs d’interactions entre l’organisme et le milieu, et la psychologie a pour objet l’étude de ces interactions. L’équilibre instable du champ psychologique permet de ranger sous la rubrique «#situation#» les perturbations de cet équilibre qui proviennent du «#milieu#», ou de «#l’entourage#». Les changements du champs psychologique, heureux ou malheureux, qui procède l’individu, peuvent être définit comme «#conduite#». Mais ces changements du champs psychologique ce diffère entre eux. " Les changements de l’entourage, appelé situations, événements, stimuli, dépendent de l’individu, s’ils sont progressifs ou soudaine, durables ou passager. Elle peuvent juste devenir indépendant l’un a l’autre si on la désigne comme variables. C’est pourquoi l’expérimentation sur l’animal a méconnu l’ensemble des variables, car une chose ne se «#situe#» que dans un ensemble spatial. Les êtres vivant par contre sont toujours dans une situation, cela dépasse le cadre spatial et spatio-temporelle. " La perception saisit quelque chose, une «#figure#» sur un «#fond#», plus ou moins égal. Un individu ne perçoit pas n’importe quoi nie n’importe comment, il percevra seulement les choses qu’il l’intéresse. " Afin de distinguer et d’expliquer le terme action et de conduite on utilisera soit le terme «#alloplastiques#» pour des actions qui modifient l’entourage matériellement ou symboliquement, et «#autoplastique#» pour des actions qui modifient l’être vivant lui même , mentalement ou corporellement. " Si on considère les actions corporelle alors on sait aujourd’hui que les «#conflit#», les perturbations de l’entourage sont attacher au développement mental et corporel. L’émotion ne change pas sans bouleversement, si cette émotion reste silencieuse on refoulera les émotions, ce qui peut crée une explosion retarder ou en ce manifestant en hystérie. " Les changements «#matériels#» qu’un être vivant achève sont aussi un sujet critique. Les besoins fondamentaux se manifeste essentiellement sur l’être humain, il a besoin d’un entourage sociale dès la naissance. " La communication et le langage est un aspect aussi particulier, comme la parole choisit dans la pensée, mais elle laisse aussi passer ce qui se dit sans avoir été vraiment pensée. Elle transmet a l’interlocuteur un modèle verbal de la pensée, celui qui parle attend ou n’attend pas nécessairement une réponse. Avec le langage on va essayer de modifier notre entourage, la penser ou le retentit. C’est pour cela que la psychosociologie s’en ai avisé, elle est entrée en résonance de mythes très anciens." La psychanalyse occupe et continuera d’occuper une place en particulier. L’investigation psychanalytique nous permet de acquérir des résultas partiels et des synthèse d’une exactitude satisfaisante. Si la psychologie clinique est l’études approfondie des cas individuels, alors la psychanalyse devrait être «#ultra-clinique#». La psychanalyse est tout autre chose que la psychologie clinique car elle ne trouve pas ses origines dans la médecine, ni en psychopathologie. " Les psychologues et psychanalyste ne peuvent pas ce dispenser des autre sciences comme les sciences humaines et scientifique, car ils y trouvent des informations, des hypothèse et des osée théorique ou méthodologiques. "

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Pendant longtemps, la psychologie a eu beaucoup de mal à se différencier de la philosophie. La philosophie reste quand même une part importante de la psychologie. La psychologie couvrent plusieurs sciences exacte qui faut tout de même distinguer. Aucune des méthodes diverse néglige la rigueur scientifique, au contraire elle est garanti, car la recherche de la vérité ne saurait parvenir dans tous les domaines à la même sorte de rigueur et d’exactitude." Comme déjà évoqué il existe plusieurs domaine dans la psychologie, le béhaviorisme, la réflexologie, la psychologie dynamique, la psychanalyse, la psychologie réactionnelle, hormique, et bien plus encore. Il n’existe pas plusieurs physiques, ni plusieurs chimies. " Le psychologue de 1947 est dans une position plus avantageux pour distinguer ce que pourrait être l’unité des sciences psychologique." On peut donc distinguer deux méthode, le naturalisme qui procède par un inventaire systématique des psychologies et l’humanisme, qui est plus court que le précédant, celui- ci consiste à dégager certaines attitudes dominante." Le naturalisme se défini aussi comme «#chosisme#», car il traite les faits psychologiques comme des choses. Cette méthodes est donc la forme plus radicale et la plus cohérente dans le behaviorisme. " En revanche la psychologie humaniste est centrée non pas sur la conduite observée mais sur l’expérience vécue." Le naturalisme est plus du côté de la tradition, en posant l’antériorité des éléments et des lois. Le «#réflexe conditionnel#» par exemple est considérer comme une conduite simple et élémentaire. Cette méthode est aussi construit sur des lois analogique, elle réduit à des composante plus simple et en nombre limité. Pour l’humanisme, le tout est antérieur aux parties et elle ne pourrait être recomposé à partir de ses éléments. La psychologie humaniste est aussi construit sur des types idéaux, la synthèse servant à comprendre plus qu’à expliquer. " La façon de concevoir le substrat de vie psychique est également différent, le naturalisme accepte que des substrat organique, alors que l’humanisme mise une grande importance à l’exportation des «#couches profondes#» du psychisme, à «#l’inconscient#», à la «#psychologie en profondeur#»." Pour naturalisme le rapport à la finalité et aux valeurs est quasi inexistant, elle ne prête pas attention à ses facteurs la. La psychologie humaniste cependant prête un grande attention à la finalité et aux valeurs, car pour eux la psychologie doit être fonctionnel, l’adaptation est le problème centrale de la biologie et de la psychologie. Donc le monde de l’être vivant est constamment un monde de valeurs. " Le naturalisme et l’humanisme implique qu’une attitude générale et montrent des concepts instables dès qu’on essaie de leur donner une positions spécifiques. Au final le choix entre ces deux méthodes ne peut que être manifester par des motivation personnelles et pour sortir de cette opposition il faudrait faire une psychanalyse de la psychologie et des psychologue." Les chevauchement entre naturalisme et humanisme correspondent à un moment de l’histoire des idées et à un mouvement dialectique qui n’est autre chose que l’effort collectif des savants dans la recherche de la vérité. La prise de conscience ne peut que prendre sa place dans l’ensemble des données de la psychologie." La psychologie expérimentale doit reconnaître la relativité d’un stimulus, vivre une situation n’est pas en prendre connaissance objective et sèche, mais c’est réagir au moins par une attitude. Le psychologue serait alors constamment dans une voie de dépassement (situation ouverte) et non pas dans une situations fermée. " C’est pourquoi on compare les différentes façons de travailler d’un psychologue. " L’expérimentalisme consiste à reconnaître l’efficacité de l’empirisme et l’utilité de la théorie. Une «#mesure expérimentale#» de la personnalité est irréalisable sans une élucidation préliminaire de ses «#dimensions#». Ce qu’on appelle «#armchair psychologie#» ne comprend pas la psychologie expérimentale, mais plus la psychologie clinique, plus précisément la psychanalyse, car elle se

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fait «#dans un fauteuil#». Dans ce contexte on considère deux «#grande manières#» d’aborder les problèmes psychologique, celle de l’expérimentaliste et celle du clinicen. Et c’est dans leur manière de travailler que s’affronte le naturalisme et l’humanisme." L’expérimentalisme est plus favorable pour assurer l’unité de la psychologie et son intégration aux autres sciences. L’expérimentalisme va recrée une situation et en contrôle artificiellement tous les facteurs en modifiant qu’un facteur à la fois afin d’étudier des variations relatives des réponses en faisant abstraction des réponse. Le clinicien de son coter ne peut peut ni créer ni contrôler la situation de manière a faire abstraction d’une partie de ses conduite, il va donc essayer de visionner l’ensemble des conditions. " La psychologie expérimentale a une tendance atomistique ou moléculaire, cela veut dire qu’elle décompose les élément minimaux, alors que la psychologie humaines est totalisant ou «#molaire#», ce sont des comportement humain global. On essaie aussi de trouver une relation universelles, intemporelles dans la psychologie expérimentale, alors que en psychologie clinique c’est plutôt l’histoire d’un cas, donc les deux psychologies ont des méthodes différent pour arriver au même résultat. Cela voudrait donc dire que la psychologie expérimental serai plus rigoureuse parce qu’elle se base sur la théorie et les expérience et elle serait général parce qu’elle reste comparative. Cela reste quand même difficile à appliquer sur les conduite humaine pour des raison d’ordre moral ou technique. " Donc la psychologie scientifique de la conduite humaine concrète reste le domaine de la psychologie clinique. " La psychopathologie a pu amener de une nouvelle technique et théorie a la psychologie clinique. Par l’étude de «#cas#», le psychologue apprend à prendre le contacte avec les êtres humains, à représenter leur vie et leur conduite. Il trouve alors un contacte direct avec les conflits de l’humain, car ce qu’il l’intéresse est percevoir l’être humain comme un porteur d’un problème, et d’un problème mal résolu. Le problème centrale de la psychologie est alors «#l’adaptation#» , c’est-à-dire le conflit et la résolution de celui-ci. on ne peut donc pas séparer l’étude de conduites adaptées de celles des désordres de la conduite, parce que se sont des issues du conflit. C’est l’observation clinique des conduites du patient qui inspire l’hypothèse et en permet la vérification. La psychanalyse est une forme de psychologie clinique qui donne de l’importance spécifiquement au «#transfère#». Il ne faut donc surtout pas confondre psychologie clinique avec psychopathologie." La psychologie clinique développe deux méthodes différente qui sont en rapport avec la psychométrie. La premier qui est la méthode clinique et la deuxième qui est la méthode des tests." La méthode clinique premièrement aide le sujet à s’ajuster à la situation et s’efforce de lui arranger sa façon de faire. Donc l’investigation clinique se trouve dans une «#rencontre#» personnelle. Deuxièmement le clinicien observe l’ensemble et les détails des réaction du sujet, la situation de l’examen. Dernièrement le clinicien se réfère à des types qualitatifs d’une nature idéale, de manière à réduire le cas à un faisceau de relations générales, à l’assimiler à un type, en épousant cependant aussi étroitement que possible ses particularités individuelles.Dans la méthode des tests, le psychotechnicien, en face de sujets différents, emploie les mêmes épreuve présenter de la mêmes façon, il accorde aux sujets des temps identiques et leur donnent des instructions semblable. Ensuite il note uniformément tout les résultats de façon qu’on puissent arriver à des résultat identique et qu’on puisse les interpréter. Finalement, il évalue les résultats numériques par référence à une échelle de mesure établie en avance sur le sujet du même groupe que le sujet examiner. C’est méthode la ont crée une atmosphère de rivalité et de méfiance entre les psychotechnicien et les cliniciens.,car l’un rapproche a l’autre l’imprécision scientifique. Les tests sont d’origine clinique et la signification du résultat numérique repose sur des corrélation entre modalités des réactions aux teste et des données proprement cliniques. Le clinicien n’a le plus souvent rien a perdre en formulant des hypothèse, a utiliser des tests pour solliciter une matière clinique qui se dérobe. Il faut des tests pour affirmer avec certitude et précision des cas subtils. Le test est pour le clinicien un instrument de mesure et de vérification et il est un réactif ou

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un révélateur dans le cas où «#l’accrochage#» se fait mal, de plus il offre l’avantage proprement clinique d’interposer un matériel entre le psychologue et le sujet." Le psychologue averti préfère le «#tâtonnement dirigé#» au tâtonnement pur#». Son expérience permet de poser les indications d’un test. Mais depuis que les champs des fonctions des psychologue se sont élargies, il est devenu plus rare que l’étude d’un cas se limite à appliquer un test standard. L’étude de la personnalité est une tâche théoriquement infinie et inachevable. Il n’existe aucun teste qui puisse donner une connaissance équivalente de la personnalité et sa diversité et son unité. Ce ne sont que des sondage plus ou moins nombreux, ordonné et profond. L’emploi psychométrique de test vise le résultat objectif et mesurable, mais le test peut être utilisé comme une situation expérimentale, et l’observation clinique enregistre alors la totalité des réponses extérieures. A côté des tests standard il existe le test «#clinique#». L’étendue et la complexité des réponse sont telles que si même l’enregistrement intégral en est théoriquement possible, ai même le dépouillement et l’élaboration statistiques sont très poussés, l’observation et l’interprétation du comportement et des résultats relèvent de l’observation clinique et d’une conception dynamique de la conduite.Rorschach a dit que l’interprétation des résultats était tout autre chose qu’une technique mécanique à la portée d’un garçon de laboratoire. Même le test de Murray se réfère a la psychanalyse et à la dynamique de la conduite. La signification des perturbation, le groupement et la hiérarchisation des thèmes exigent, non seulement l’intuition et du sens psychologique, mais aussi une grande pratique et de solide connaissances. Les élément de mesure doivent être significatifs par rapport au champ général de contraintes dans lequel on travaille. " Que se soit psychométrique ou clinique, le teste fournit qu’une donné partielle. La psychotechnique pure est bien plus stérile que la clinique pur n’est désarmée. Toute recherche ou application psychologique fait appel à l’esprit clinique et à la méthode clinique . Donc la psychologie clinique augment son efficacité en s’ramant de tests. La collaboration entre clinicien et psychotechniciens c’est esquisser le projet d’une unification des objets et des méthodes de la psychologie. " La psychologie clinique est critiqué et reprochée sur 3 point principale: D’abord la psychologie clinique n’est pas purement théorique, ensuite elle n’est pas rigoureuse et finalement elle n’est pas général." Elle n’est pas purement théorique car elle à affaire à des maladie, où il s’agit de diagnostiquer et guérir, elle a affaire a des être humains, qu’il faut connaître et aider. Elle mêle à des recherche objective des préoccupations pratique." Elle n’est pas rigoureuse parce que l’exigence de la rigueur physicomathématique implique la réduction de la conduite humaine un modèle physique, mai la personnalité n’est pas réductible à un modele physique. La rigueur scientifique ne peut être définie une fois pour toutes, ou elle doit l’être dans des termes assez larges pour s’accommoder à la diversité et à l’originalité des existants. Il ne faut donc pas chercher des problème pour trouver une méthode, mais plutôt des méthode pour résoudre des problèmes. La psychologie a été fondée sur l’expérience personnelle plutôt que sur l’investigation systématique, l’intuition reste donc important dans la psychologie clinique, car l’intuition est irremplaçable dans sa fonction de «#prospection#». " La psychologie clinique n’est pas générale comme elle se base sur l’étude intensive des cas individuels. Elle est l’application à des cas individuels de relation générales expérimentalement démontrées. Comme les conduite humaines sont complexes, le psychologue s’arrête davantage sur l’observation unique pour éclairer un problème, leur observations est donc plus approfondi. " Comme conclusion on peut donc dire que la psychologie clinique est qui semble le plus adapté aux conduite humaines concrètes. La psychologie expérimentale en revanche est plus indépendante de l’application immédiate, plus rigoureuse et conduit à des résultats plus généraux. Elle offre des possibilité d’explication indirecte et théorique. On fait donc la distinction entre deux domaines, celui de la conduite générale et celui de la conduite humaines concrètes."

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Pour la psychologie clinique et la psychologie expérimentale, la psychologie est la science de la conduite. En se qui concerne la psychologie expérimentale, ses liens avec le comportement sont trop étroits pour qu’ils soit utile d’insister. La psychologie clinique elle aussi repose sur l’observation de la conduite et des résultat de la conduite. Il existe alors un accord complet entre l’expérimentaliste et le cliniciens, ce qui veut dire qu’elle se complète et qu’il y a une convergence remarquable entre eux. Entre expérimentation et clinique, la divergence méthodologique se définit par le mode d’approche et par la façon d’interpréter les faits. Dans les deux cas, on essaye de replacer la conduite dans l’ensemble des conditions. La psychologie expérimental fait cela à partir d’un contrôle de différent facteurs et de la variable indépendante ( VI). En clinique ont fera cela par une investigation aussi complète et fidèle possible." L’explication causal interprété les phénomènes de la nature en leur appliquant des théories et des lois élaborées par induction amplifiante, modèles artificiels de la réalité, auxquels on ne demande pas de donner de la nature une intuition vraie, mais une formulation commode, féconde, permettant la vérification et la prévision. " La compréhension applique aux faits psychologiques des «#relations idéales de compréhension#», formées intuitivement à l’occasion de l’expérience, qui permettent d’atteindre une dérivation immanente à la réalité vécue; la relation générale est à la fois vraie et irréel puisqu’elle est idéale. Elle donne l’interprétation de la réalité psychologique, si les résulta sont suffisamment nombreux et convergent qui elle est à la fois probable et réelle. Autrement dit l’interprétation compréhensive détecte les significations immanentes aux faits psychologique, que se soit conçu en terme d’expérience vécues, d’expression ou de conduite. " La compréhension psychologique implique donc une conception réaliste de l’intelligibilité psychologique, tandis que l’explication causale est liée à une interprétation idéaliste de la physique. Dans les sciences de la nature et dans les science de l’homme et en particulière dans la psychologie, il y a lieu de distinguer, deux types de relations générales, les une sont abstrait et les autre sont plus concrète. La théorie psychanalytique explique deux exceptions apparente. La première a trait plaisir sexuel, ou la recherche constitue d’une augmentation progressive de tension, mais une détente terminale qui est plus satisfaisante. La deuxième touche les processus dissociatifs et le refoulement, qui sont très important dans l’explication psychanalytique de la conduite humaine. Mais un examen a pu montrer que l’intégration s’est faite dans le sens de la motivation la plus grande, cela veut dire qu’en règle générale, du besoin de sécurité assurant ainsi la plus grande réduction de tension possible. " L’expérimentation et la clinique se prête un appui mutuel. La clinique a majoritairement une fonction de prospection et d’application. L’expérimentation représente un stade terminal de l’investigation scientifique. Les clinicien doute des lois analytiques simple dont la composition per...


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