Spinoza, Correspondance épistolaire Spinoza - Boxel, Lettres 51 à 56 PDF

Title Spinoza, Correspondance épistolaire Spinoza - Boxel, Lettres 51 à 56
Course Philosophie française
Institution Université Toulouse-Jean-Jaurès
Pages 19
File Size 601.6 KB
File Type PDF
Total Downloads 52
Total Views 134

Summary

Spinoza correspondances...


Description

Philosophie --------------------------------------------------------------------------

Spinoza, Correspondance épistolaire Spinoza - Boxel, Lettres 51 à 56.

Année 2019

I.

Contexte Historique

Au cours de l’année 1672, l’armée hollandaise, sous le commandement de Guillaume III, était en train de perdre la guerre. Des tas de villes se rendaient. Le 13 juin de cette année, la ville d’Utrecht capitulait. En novembre 1673, la ville fut prise par les troupes françaises du Prince de Condé. Le pouvoir y était exercé par Jean-Baptiste Stouppa qui fut nommé commandeur de la ville et qui avait aussi écrit un livre sur La religion des hollandais. Par ce livre, Stouppa, qui était lui-même d’origine française protestante, voulait convaincre les théologiens suisses qu’il n’était pas entrain de combattre des coreligionnaires. Les Hollandais ne semblaient être que des Chrétiens pieux. En réalité, nous disait Stouppa, ils sont trop indolents vis-à-vis des librespenseurs, des sectes et des athées. L’exemple que Stouppa donna pour appuyer sa raison était celui de Spinoza. Néanmoins, il était en même temps impressionné par ce philosophe érudit. En juin 1673, Stouppa accompagna Spinoza, qui avait été invité par le Prince de Condé, à Utrecht. Il ne parla probablement jamais au Prince de Condé car celui-ci était ailleurs pour affaires, mais à Utrecht, Spinoza fut en bonne compagnie. II semble qu’il ait rencontré Van Velthuysen et Graevius, deux de ses critiques. C’est probablement à cette occasion que, selon certains biographes, Spinoza dut rencontrer Hugo Boxel. Source: www.caute.lautre.net/hyperspinoza/Spinoza-et-Boxel-Une-histoire-de-fantomespar-Gunther-Coppens#nb3

II.

Informations

Nature de l’oeuvre: Correspondance de Spinoza et Boxel, recueil des lettres 51 à 56. Date d’écriture: 1674 Rôle des correspondance philosophiques à cette époque : Pour réfléchir sur des sujets et communiquer. Ils formaient grâce à cela des réseaux qui permettaient de confronter leur critiquer et les approfondir.

Rapide présentation de Spinoza et de Boxel: A) Baruch de Spinoza est un philosophe Néerlandais du XVIIIème siècle. B) Hugo Boxel est un homme docteur en droit. Jeune juriste érudit, secrétaire de la ville de Gorcum et avocat à la cour de Hollande.

III.

QUESTIONS: Lettre 51 :

1- 4 premières lignes Boxel interroge Spinoza sur l'existence des spectres et des esprits, sur leur essence ainsi que sur leur “naissance”. 2- La principale raison de son hésitation sur l'existence des spectres vient du fait que beaucoup d’avis divergent sur le sujet (lignes 3-4) : “Dans le doute où je suis [...]” Cet existence repose sur des témoignages antiques et qui sont difficiles à réfuter car on ne sait rien sur les esprits et nous ne pouvons donc les contredire. 3- Le mode d’exposition de la lettre est donc interrogatif. 4- On peut en conclure que Boxel dans sa lettre interrogeant l’existence des spectres part de rien et a besoin de Spinoza pour fonder sa science, son essence sur ceux-ci. Cependant, comme Boxel le dit, beaucoup d’avis divergent et il est donc nécessaire qu’ils aient un fondement raisonné sur le sujet, un fondement nouveau qui ne reposera pas sur les histoires passées. 5- La question véritable de Boxel : “ Pouvez-vous me prouver l’inexistence des spectres et des esprits ? “ 6- Spectre / esprit: Apparition souvent effrayante d’un mort (“les âmes des morts” l.14), d’un être non réel. La question peut se poser car si l’on réfléchit sur l’existence des esprits, alors on réfléchit aussi sur l’existence humaine et donc sur notre propre existence. Elle permet aussi de se questionner sur l’existence de Dieu (qui aura lieu dans les prochaines lettres). Si les esprits existent, sachant que nous ne pouvons les voir (problème de leur apparence / apparition), alors il se peut que eux aussi ne nous voient pas et donc se questionnent sur notre existence. Ce projet sur l’existence des spectres repose donc en partie sur la réflexion de l’existence humaine et sur les croyances (différents dieux). De plus, la question n’est pas évidente car le sujet est abstrait. De plus, dire que les spectres n’existent pas parce qu’il est inconcevable qu’il en existe serait faux car inconcevable ne veut pas dire impossible. 7- Premier type d’argument : Les exemples et histoires déjà établis sont difficiles à nier; Second type d’argument : Propriété abstraite et inexistante des spectres et esprits.

Troisième type d’argument : Arguments d’autorité.

Lettre 52 : 1- Spinoza ne répond pas directement à la question. Il débute par dire à Boxel que les esprits dont il parle sont source des histoires des Anciens et des Modernes (+ plaisanterie : “Certaines personnes prendraient peut-être comme un mauvais augure que les esprits aient été l’occasion qui vous ait fait m’écrire.” = prise de parti de Spinoza : il en rigole. Il se place dans le camp des sceptiques) . Histoires qui ont convaincues Boxel. Spinoza ne vas pas pouvoir douter des histoire ni les réfuter car cela apparaîtra pour Boxel comme une énorme erreur. Il va donc s'intéresser avant le problème d'existence ou non des esprits, à la sources des histoires et de leurs limites. 2- A propos des spectres, Spinoza a une question fondamentale pour continuer son raisonnement du même sens que celui de Boxel. Il y a t-il un auteur digne de foi qui peut lui montrer que les esprits existent et ce qu’ils sont. 3- Cette question est fondamentale car c’est à partir de là que toutes réflection et une possible réponse peut être apportée à Hugo Boxel. Si on prouve qu’ils existent c’est que l’on peut les définir et les étudier par la suite. 4- Spinoza va réfuter Boxel de manière très fine. Il va demander à Boxel de lui faire part de ses histoires dans lesquelles aucun doutes possibles peut en être extrait. Autrement dit des histoires irréfutables, avec des détails et des explication qui permettront alors de définir “ces esprits”. Il appuiera son point de vue dans la suite de la lettre par une démonstration avec des observations philosophiques sur les hommes et leur récits. 5- Pour Spinoza le seul critère de vérité reconnu est l’expérience. Grâce à l’expérience on peut montrer manifestement qu’une chose est vrai. On peut alors le décrire, le comprendre et conclure d’une histoire quelconque une vérité. 6- La source des opinions selon Spinoza

Lettre 53 : 1Raisons

Reformulation

Objection de Spinoza

Raison 1 : “Parce qu’il importe à la beauté et à la perfection de l’univers qu’il y en ait.”

Il est impensable que le projet de Dieu soit imparfait. Ainsi, Dieu a dû créer les esprits pour que le monde qu’il a créé soit complet, “beau” pour l’être humain, dans le sens où il ne manque rien.

Chacun perçoit la beauté différemment.

Raison 2: “Parce qu’il est vraisemblable que le Créateur en a créé, ces esprits lui ressemblant beaucoup plus que les créatures corporelles.”

Si l’on considère Dieu comme un esprit et que si Dieu a créé les hommes, alors il a aussi créé des êtres lui ressemblant, les esprits.

Flou de l’essence des esprits : on ne peut pas dire.

Raison 3: “Parce que de même qu’il y a des corps sans âme, il y a des âmes sans corps.”

Les corps sans âmes existent. Alors pourquoi les âmes sans corps n’existeraient pas ?

Faute logique : cela voudrait dire qu’une sphère existe sans cercles car un cercle existe sans sphère.

Raison 4: “[...] il n’y a aucun corps obscur qui n’ait ses habitants [...]”

Il est impossible que les endroits de l’univers comme l’espace, les hautes strates de l’univers ou même l’air n’abrite pas d’habitants que l’on ne voit donc pas.

Le haut et le bas ne peuvent être définis objectivement

2- Le bourgmestre est une connaissance de Boxel. Celui-ci aurait vu des fantômes dans la brasserie de sa mère. Boxel s’appuie sur cet exemple pour montrer à Spinoza que des faits ont déjà eu lieu. Cependant, ce fait ne repose sur aucune preuve, uniquement sur des paroles rapportées. Spinoza n’aura donc aucun mal à éliminer cet argument. 3- Pour ne pas se justifier, Boxel énonce d’autres auteurs ayant travaillés sur les spectres (Lavanter) , les esprits et la sorcellerie (Wierus). Pour ce qu’il en ai du message de la citation de Lavanter, il n’est pas faux. En effet, à l’époque, les philosophes et les scientifiques étaient supérieurs aux autres à cause de leur connaissance sur la science. Beaucoup de ces grands philosophes se sont intéressés aux spectres et aux esprits. Tous les témoignages recueillis et les livres écrits à ce sujet, montre l’existence des spectres. Cependant, de par leur caractère irréel, on ne peut contredire leur

existence et donc contredire les “historiens dignes de foi, [...] Pères et écrivains”.

IV.

Plan des lettres :

Plan de la lettre 51 : L1 à L4: Boxel questionne Spinoza sur l’existence des spectres en posant plusieurs questions. Il est convaincu de leur existence, mais n’est pas convaincu de leur essence, il cache cet avis en proposant un argument comparatif: il dit que certains pensent qu’ils sont “immortels, et d’autres pensent qu’ils sont sujet à la mort. L’instruction que Boxel demande à Spinoza n’a pour but que de lui dire quel est l’essence des esprits, et quel est leur durée d’existence

L5 à L8: Boxel s’appuie sur un argument d’autorité pour prouver leur existence “Anciens ont cru à l’existence des esprits”, “les théologiens et les philosophes modernes croient encore”. Pour Boxel, si les philosophes croient, c’est une certitude pour lui, et est donc convaincu de leur existence. Il utilise à nouveau un argument comparatif en disant que certains pensent qu’ils sont fait “d’une matière fine et subtile” et d’autres pensent que ce sont des “esprits purs”.

L9 à L12: Boxel admet, et semble ouvert au débat sur les esprits “Mais peut-être (...) différons-nous beaucoup à cet égard.” Mais il utilise un autre recours au faits: “Vous n’ignorez pas que l’on trouve dans l’Antiquité tant d’exemples et d’histoires dans ce genre” Boxel prend cet exemple pour justifier encore l’existence de ces spectres, et prend cet exemple comme une preuve irréfutable.

L12 à Fin: Boxel dit que si les spectres existent, ils ne pense pas que ce soit les “âmes des morts”. Il répond que les “défenseurs de la religion romaine” sont ceux qui pensent cela. Alors dit-il que cette conception est fausse car c’est spécifiquement la religion romaine qui le dit? Boxel s’arrête ensuite avec un rappel du contexte historique en 1674 en Hollande.

Plan de la lettre 52 : Introduction: (Ligne 1 à 3.) Partie I. 1.1 - Intérêt de Spinoza à lire et communiquer avec Boxel. (Ligne 4 à 7) Le fait que Boxel croit au esprit et qu’il lui demande son avis, va intéresser Spinoza, car il est important pour lui de s'intéresser au “chimère” comme il s'intéresse au “chose vraies”. Car “les produit de l’imagination” peuvent être bénéfique et utile à la réflexion et recherche philosophique. Même si il se situe hors de la croyance.

1.2 - Début de la réponse de Spinoza (indirecte) à Boxel, avec l’exposition de l’argument qui a convaincu Boxel. (Ligne 8 à 11) Spinoza prépare sa réponse à Boxel finement. Il introduit dans ce court paragraphe l’élément qui met en opposition Boxel et Spinoza. Il va non pas commencer à étudier un réponse construite sur l'existence ou non des esprits mais par l’analyse de l’argument de Boxel et de son origine qui est “les histoires racontées par les Anciens et les Modernes”. Il explique bien que discuter, nier ou même douter de ces histoires n’est pas envisageable, car cela ne mènerait à aucune chose constructive car Boxel prendra cela comme “une énormité”.

1.3 - L’irréf utabilité d’un exemple demandé par Spinoza à Boxel (Ligne 12 à 17) Spinoza va dans son argument demander à Boxel de lui faire part d’une ou deux histoire qu’il a lue et qui sont irréfutable. Il veut montrer à Boxel que la réponse à sa question pourrait venir directement du fait qu’il a été naïf face à ces histoires.

Partie II. 1.1 - Spinoza ne doute pas de Boxel mais bien de l’interprétation que l’on porte aux histoires.(Ligne 18 à 23) Boxel peut avoir raison pour Spinoza, mais l’expérience, c’est à dire l’objectivité montre pour mieux comprendre le problème nous devrions pouvoir le définir. Il y a en effet un aspect à analyser dans le problème qui s'appelle “Spectre”; le problème étant que ceci reste inconnue pour lui.

1.2 - Spinoza met en lumière un paramètre auquel Boxel et ses exemples devront répondre. (Ligne 23 à 28) Spinoza met bien en avant le fait que par son expérience (car on peut conclure une question sur des résultats d'expériences) et ses recherches à ce sujet, nul homme n’a réussi à le convaincre. Si ces spectres excitaient vraiment, alors on pourrait les décrire, ce que nul n’a réussi à faire pour le moment. Il demande des détails, des explication car ses observations sur la définition des esprits ne sont pas recevable pour des individus raisonnables et réfléchis.

Partie III 1.1 - Mise en garde de Spinoza à Boxel sur les histoires d'autrui. (Ligne 28 à 31) Effectivement Spinoza met en garde Boxel sur les récits des hommes. Car ces récit qui lui on amenaient à posséder d’avance une croyance sur les esprit son peut-être dupées. Boxel attend de Spinoza une validation de sa croyance et une possibilité de mettre des mots sur l’essence même des “esprits”. Pour Spinoza, les histoires ne sont que le fruit des désir, de la motivation et de la reconnaissance des hommes grâce à “l’originalité de leur récits.

1.2 - Développement de Spinoza sur son argument précédent (Ligne 32 à 37) Les histoires, pour Spinoza ne sont constituaient seulement circonstances bénéfiques et avantageuse des auteurs. Le fait ne rien connaître sur le sujet, le lecteur va forcément croire le récit puisque nul autre point de vu, analyse et définition ne sont proposées. Spinoza continu en démontrant la suite par récurrence des récits qui vont s'enchaîner créés par de nouveaux auteurs. Ils seront donc mit en valeur et l’opinion du lecteur ne sera que bonne.

1.3 - Finalisation et conclusion de la lettre (Ligne 38 à fin) Spinoza termine en disant que il n’y a pas seulement ces histoires qui le pousse à douter. Les circonstances des auteurs qui composent les histoires, renforce l’idée fausse et absurde de ces histoires. Son attente est donc sur les histoires irréfutables demandaient précédemment à Boxel, et de pouvoir observer sa réaction fasse à ces arguments accusateurs.

Plan de la lettre 53 : Moment I- (lignes 1 à 34) : exposition de la thèse de Boxel sur l’existence des spectres et sa justification. 1.1 - Sous moment 1- (lignes 1 à 5) : Le doute de Spinoza sur l’existence de ceux-ci est remis en cause. 1.2 - Sous moment 2- (lignes 6 à 19 (-> “hasard”): Les arguments de Boxel, en précisant que ceux-ci ne convaincront que les personnes ne pensant pas que le monde a été créé par hasard (car croire l’inverse est, selon Boxel, une absurdité). 1.3 - Sous moment 3- (lignes 19 à 34) : Les exemples étayant les arguments de Boxel (lignes 22 à 28 : les livres sur lesquels il se base ; lignes 29 à 32 : l’exemple du bourgmestre + lignes 29 à 32 : expérience perso). Boxel n’hésite d’ailleurs pas à souligner la fiabilité de ses exemples. Moment II- (lignes 35 à 55) : La preuve que Boxel est critique sur le sujet (montre de sa faculté de jugement). 2.1 - Sous moment 1- (lignes 35 à 39) : L’avis de Boxel sur les esprits malveillants racontés dans certains ouvrages : ce sont des “fables”. 2.2 - Sous moment 2- (lignes 40 à 47) : Les écrits des moines et des membres du clergé ne doivent pas être pris au sérieux car les auteurs tirent profit du fait de faire croire aux gens à l’existence des spectres. 2.3 - Sous moment 3- (lignes 48 à 55) : La conclusion de la lettre appuyant à la fois sa thèse et le fait qu’il est critique sur le sujet : la citation de Lavater.

Lettre 54 :

Introduction à son raisonnement (ligne 1 à 10) : Spinoza élimine directement les auteurs et ouvrages que Boxel lui a demandé de lire mais de manière fine (il ne les critique pas directement il indique le mauvais usage de leur talent).

Début de son “raisonnement” (lignes 11 à 22) : Spinoza se moque de l'intéressement de Boxel à propos du sujet des esprits et du ton affirmatif qu’il prend au cours de sa dernière lettre.”C’est là plaisanter, répondrez-vous, et non raisonner.”

Traitement de la question “Le monde a t-il été créé au hasard ?” (lignes 23 à 44) : Démonstration de l'inexistence de Dieu et critique de l’opinion des gens à propos de ce sujet. Il confronte la volonté humaine et la volonté divine pour montrer l’unique existence de la chose malgré les différentes appellations de celleci.

Introduction à la réfutation des arguments de Boxel énoncés dans sa lettre précédente (lignes 45 à 48) : Spinoza l’introduit de manière ironique.

Réfutation des 4 arguments établies par Boxel dans la lettre 53 (lignes 49 à 92) : Chaque argument est analysé, critiqué puis réfuté.

Conclusion de son raisonnement (lignes 93 à la fin) : Critique de Boxel et son raisonnement, de ses arguments. Il termine sa lettre en reprenant Lavater (cité à la fin de la lettre 53 par Boxel) et nous indique que lui et tout ce qui lui suive rêvassent”.

Plan de la lettre 55 : Partie I. 1.1 - Boxel affine le sujet et son raisonnement en admettant pour acquis un paramètre. (Ligne 1 à 3): Pour lui, les spectres ne peuvent pas se reproduire, il y aurait donc seulement des spectres masculins. 1.2 - Définition du hasard par Boxel, et mise en évidence de la lucidité de l’acte du Dieu sur la création du Monde. (Ligne 4 à 17): Il définit le hasard. Il veut

montrer à Spinoza que ce n’est pas du hasard lorsque un homme agit par son libre arbitre, car il y a des décisions, des conséquences préméditées et réfléchit dans l’action des hommes de tous les jours et ceci n’est pas que du hasard. Il et cela en lien avec la création du Monde par dieux. Si les histoires montrent l'existence des esprits, et si cela est vrais, alors ils ne sont pas là par hasard et par volonté. 1. 3 - Mise au point sur la caractérisation de Dieu entre Boxel et Spinoza, ainsi que la mise en lumière des problèmes métaphysique inexplicables. (Ligne 18 à 30): On en voit pas comme Dieu agit, cela est admis par les Boxel et Spinoza. Mais Boxel ne comprend pas l’argument de la représentation de Spinoza sur Dieu. Il continue en pointant le problème qui est la représentation des choses métaphysiques comme l’action du corps sur l’âme qui bien entendu inexplicable. 1.4 - Argument de Boxel sur Dieu avec ses caractères et actions qui ne peuvent pas être remis en question. (Ligne 31 à 39): Les action de dieux son possible sur terre, même si elles sont incompréhensible pour les hommes. Si on enlève à Dieu toutes ses actions et que l’on doute de lui, alors Dieu ne serait pas Dieu, c’est à dire un être absolu et métaphysique.

Partie II. 2.1 - Boxel voit dans les théories de Spinoza des failles qui ne peuvent être complétés par d’autres théories qui en contiendront aussi. (Ligne 40 à 43). 2.2 - Boxel fait objection des exemples demandés par Spinoza (Ligne 44 à 62): Les spectres sont tout sauf objectif, comme les mathématiques, si nous ne prenons pas en compte et pour vrai les récits on ne peut partir d’aucune base. Il faut partir de quelque choses et analyse les autres, car il n’y a pour les spectres aucunes démonstrations mais seulement des conjectures que nous devons prendre pour probable pour pouvoir avancer. La cause à l’effet n’est pas envisageable à ce sujet. 2.3 - Lien entre la beauté, perfection naturelle et Dieu. (Ligne 63 à 75): Il est naturel de préférer des choses que tout le monde préfère avec l’harmonie du son, c’est ce qui créer les base de la musique par exemple. Nous avons donc un préférence et beauté universelle qui viendrait de Dieu. Il faut non pas se concentrer sur une chose précise, mais bien sur le Tout...


Similar Free PDFs