TD1 - TD sur La République de Platon avec Mme Louguet Explication de Texte PDF

Title TD1 - TD sur La République de Platon avec Mme Louguet Explication de Texte
Course Phylosophie Antique
Institution Université de Lille
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TD sur La République de Platon avec Mme Louguet
Explication de Texte ...


Description

TD 1 : Philosophie antique

Arguments d’autorité : récurrents dans l’œuvre de Platon Différentes traductions Traduire, c’est interpréter. « Introduction à la République de Platon » Julia Annas. Les dialogues de sa jeunesse (comme le Lachès où le Typhron) sont aporétiques = l’abs de passage/ l’impasse. (On n’arrive pas à définir le courage dans le Lachès) Il a très svt recours à l’analogie dans ses dialogues de jeunesse avec le médecin, le pilote. L’analogie c’est une égalité des rapports de force : quand A/B=C/D. Un exemple est différent d’une analogie. A l’époque on écrivait sur des rouleaux de papyrus puis II et III siècles sur des parchemins puis sur des codex. On ne possède que des textes de Platon recopiés au Moyen-Age. On parle du naufrage des textes avec l’imprimerie. Traduction de Estienne (Stephanus=nom latin) en 1578 colonne latin et colonne grecque. Tharsymaquea existé contrairement à Calliclès mais on ne sait pas s’il était réellement le même que celui décrit par Platon. La réfutation est caractéristique des dialogues de Platon : il souhaite mener l’interlocuteur à se contredire lui même : auto contradiction. C’est donc une arme très puissante car l’interlocuteur se contredit lui même : « elenkhos ». A puis non A. Il fait prendre conscience à son interlocuteur de son ignorance. Dans le Livre I (différent des autres), Socrate ne défend pas d’opinion, il fait juste prendre conscience à son interlocuteur de la thèse non A finalement soutenue. Il joue sur l’ironie, dialogue socratique= de jeunesse, il se fait l’avocat du diable : attitude de Socrate. Sophos : sage/savant. L’oracle de Delphes a dit que Socrate était le plus sage de tous. Etre conscience de son ignorance est une bonne chose. L’ignorant qui sait qu’il ne sait pas. Les sophistes se faisaient payer pour leurs enseignements contrairement à Socrate. Polymathie = être compétent dans beaucoup de domaines. Les sophistes étaient très savants mais leurs œuvres n’ont pas résisté face à Platon qui en donne une image peu valorisante. Thrasymaque :

Le gouvernement institue des lois (nomos) (autonome= sa propre loi). Ce qui est juste, c’est le respect de ces lois qui est institué par le gouvernement même en démocratie. Le plus fort n’est donc pas le même : oligarques, tyrans, peuples… La loi n’existe pas par nature, c’est un droit positif, elle est instituée par les Hommes donc c’est différent des lois naturelles. Le juste, c’est le respect du gouvernement mis en place. Socrate : Va dire d’accord. Thrasymaque parle au sens strict du terme donc pour lui un dirigeant ne se trompe pas cf. médecin. Donc les lois vont dans son intérêt propre et les gouvernés doivent les exécuter. Un vrai dirigeant ne se trompe pas. Platon s’intéresse d’abord aux gouvernants/gouvernés puis à l’intérêt que cela procure. Donc analogie. Le pilote dirige ses matelots donc rapport avec la cité + médecin dirigeant des corps où soigneur ? Ici Platon admet que Socrate n’est pas très rigoureux. L’art détermine l’intérêt de chacun et de chaque art. L’intérêt étant d’atteindre sa perfection. L’art est parfait ça n’a pas d’intérêt. Conclusion des trois exemples résonnement par induction : on part d’un cas particulier pour en tirer une lois socratique. Thrasymaque accepte cette prémisse mais il résiste. Ainsi le corps est devenu plus faible. Analogie gouvernance/corps....


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