test psychométrique, méthodes des tests, WISC 5, bilan psychologie PDF

Title test psychométrique, méthodes des tests, WISC 5, bilan psychologie
Course test psychométrique, méthodes des tests, WISC 5, bilan psychologie
Institution Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis
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1) La WISC 5 Présentation générale C’est une échelle d’intelligence pour les enfants. - Publiée en 2014 aux USA et en 2016 en France - Version papier MAIS maintenant il existe aussi une version en ligne - 6 – 16 ans - Passation individuelle - Passation de 48 – 65 minutes - Composition du test  15 subtests dont 12 issus de la WISC 4  5 indices principaux et 5 indices supplémentaires - On calcule le QI total

A la fin du 19e siècle = Galton développe les premiers tests sur des indicateurs physiques et sensoriels (expérience de piquer à un endroit sur la peau).

1904 : théorie bi-factorielle de l’intelligence de Spearman  Facteur G qui explique l’intelligence 1905 : approche empirique avec Binet et Simon  Nouveau test d’intelligence permettant d’évaluer un âge mental  QI = âge mental / âge réel 1939 : Wechsler élabore un test d’intelligence innovant  « Capacité de l’individu à agir de manière appropriée, à penser de façon rationnelle et s’adapter efficacement à son environnement » = Approche globale de l’intelligence : l’intelligence est un tout.  Ce sont des tests plus ludiques que les anciens (cubes, dessins)  Il effectue un étalonnage sur une tranche d’âge  Son objectif était de mesurer les aptitudes spécifiques (indices principaux et indices systématiques).

Dans le WISC 1, il y avait un quotient intellectuel verbal et un quotient intellectuel de performance. Maintenant on ne parle plus de QI mais d’indices.

Composition de la WISC 5

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Compréhension verbale  Similitudes  Vocabulaire  Information  Compréhension

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Visuospatial  Cubes  Puzzles visuels

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Raisonnement fluide  Matrices  Balances  Arithmétique

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Mémoire de travail  Mémoire des chiffres  Mémoire des images  Séquence lettres – chiffres

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Vitesse de traitement  Code  Symboles  Barrage

 5 indices principaux  Subtests de substitution

Indice de compréhension verbale (ICV) : mesure des connaissances acquises par l’enfant dans son environnement. Tous les subtests nécessitent une réponse orale.  Formation des concepts verbaux  Formation du raisonnement verbal  Formation de l’expression verbale Indice visuo-spatial (IVS) : mesure du traitement visuo-spatial, c’est-à-dire l’aptitude à construire des formes géométriques à partir d’un modèle.  Raisonnement visuo-spatial  Capacité à intégrer et synthétiser des informations  L’attention visuelle portée à chacun des stimuli  Intégration visuo-motrice

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Indice de raisonnement fluide (IRF) : mesure de l’aptitude à percevoir le rapport conceptuel entre des objets visuels et le raisonnement pour identifier et appliquer des règles.  Raisonnement inductif et quantitatif  Vision globale  Traitement simultané  Capacités d’abstraction Indice de mémoire de travail (IMT) : mesure de l’aptitude à enregistrer, maintenir en mémoire de travail et manipuler les informations visuelles et auditives. Cet indice s’appuie sur les modèles récents de la mémoire de travail. Indice de vitesse de traitement (IVT) : mesure de la rapidité et de la précision de l’identification visuelle, de la précision de la décision et de l’application de décision.  Balayage visuel  Discrimination visuelle  Mémoire de travail à court terme  Coordination visuo-motrice et l’attention

Réviser les tests On fait évoluer les tests selon : - Les méthodes théoriques qui ont aussi évolué - Le niveau intellectuel de la population qui a augmenté Objectifs de la révision de tests :  Actualiser les fondements théoriques (amélioration des subtests)  Pour une meilleure adéquation développementale (simplifier les consignes, réviser les critères de cotation, ne plus donner de temps supplémentaire…)  Pour une meilleure convivialité (moins de temps de passation des tests, simplification des règles d‘arrêt)  Améliorer les propriétés psychométriques (actualisation des normes d’étalonnage)  Améliorer l’utilité clinique (études auprès de groupes spécifiques, nouveaux indices)

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Informations quantitatives issues de la WISC 5 Note standardisée : (xi – mx) / αx  xi = note brute au test  mx = moyenne des notes brutes  αx = écart type des notes brutes La note standard : m + (α * z)  M = moyenne de la nouvelle distribution  α = écart type de la nouvelle distribution  z = note centrée réduite xi OU Note standard : m + (α * (xi – mx / αx) = 10 + (3*(xi – mx / αx) La note standard se calcule par tranche d’âge. L’échelle de la WISC 5 s’étend de 1 à 19 - M = 10 - ETY = 3 Une moyenne avec plus ou moins écart type est considérée comme normale. Une moyenne ayant 2 ou plus de 2 écarts types est considérée comme atypique. La note standard permet de remettre les scores des différents sous – tests sur la même échelle. Rang percentile Ce sont des étalonnages en quantile = quantilage (n pareil dans chaque classe). Ex : pour un rang percentile de 96 cela signifie que 96 % des gens sont moins bons que lui et que 4 % des gens sont meilleurs que lui Erreur de mesure On ne connait pas la note vraie donc on calcule des intervalles de confiance qui est l’erreur de mesure (le test est responsable de l’erreur ainsi que la variabilité intra individuelle). La note vraie est celle qu’on aurait si on fait repasser x fois le test à un sujet.

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Cotation de profil 1) Transformer les notes brutes en notes standards et tracer le profil des notes standards (grâce à la table donnée) 2) Calculer la somme des notes standards pour chaque indice et pour le QIT 3) Transformer la somme des notes standards en notes composites pour chaque indice et pour le QIT (grâce à la table donnée) 4) Reporter le rang percentile de chaque note composite 5) Reporter l’intervalle de confiance de chaque note composite 6) Tracer le profil des notes composites

Qualités psychométriques  Sensibilité  Fidélité : c’est la stabilité dans le temps et voir si le test est homogène  Test / retest  Inter – cotateurs  Consistance interne = alpha de Cronbach (pair / impair)

 Validité : est-ce que le test mesure bien ce qu’il est censé mesurer ?

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 Validité de construit = théorique Les données se redistribuent bien dans leur indice, il faut vérifier si elles ne mesurent pas autre chose  Validité de critère Il faut comparer les résultats d’un test avec un autre test (WISC 5, WPPSI 4, WAIS 4) Validité convergente Validité divergente = différence entre des enfants sains et des enfants pathologiques  Validité prédictive Il s’agit de prédire (ex : réussite scolaire) Le WISC 4 prédirait des performances en lecture, la réussite scolaire, des compétences visuo-spatiales et la réussite en science-technologique 5

Postures dans l’usage de la WISC 5  Il faut bien le maitriser  Code de déontologie = ne pas divulguer les tests pour ne pas avoir des effets d’apprentissage et ne pas divulguer les scores des sujets  Evaluation générale et NEPSY pour évaluer les troubles attentionnels  WISC et K-ABC sont les seuls tests reconnus pas l’éducation nationale

2) Le MMPI-2-RF C’est un test de personnalité établi par Hathaway et McKinley en 1941. La personnalité a été très étudié ce qui conduit à des théories très hétérogènes. - Hung = la personnalité est la globalité de l’individu Les théories ont une influence sur la façon dont le test (les questions) va être construit.

C’est l’Inventaire Multiphasique de Personnalité du Minnesota qui est davantage centré sur les troubles de la personnalité.  Questionnaire de personnalité le plus utilisé dans le monde  Objectif : construire un outil de mesure valide pour évaluer les principales pathologies mentales  Evaluer certains troubles mentaux de l’axe I et II du DSM 4  Basé sur Kraepelin : la personnalité est basée sur un continuum entre le normal et le pathologique Versions du MMPI Il a mis longtemps à être adapté en français pour des questions pratiques et économiques. En 1990, ils ont mis en place une version pour les adolescents. MMPI-2-RF est pour les adultes dont on a réduit les items. Il a été révisé en 2013 à cause des changements culturels mais aussi parce qu’il y a des normes mixtes maintenant alors qu’avant il y avait des normes pour les hommes et pour les femmes. Il a été également révisé car il y avait des métiers (policiers) qui avaient besoin de tests pour identifier d’éventuels troubles mentaux, pour le domaine juridique et pénal (est-ce que le sujet qui présente des troubles mentaux est-il coupable ?) et pour le service militaire obligatoire des hommes.

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C’est un test qui peut servir pour le diagnostic psychiatrique, pour le pronostic, aux indications thérapeutiques et aussi au conseil psychologique.  338 items présentés sous forme d’énoncés plus ou moins courts. Il faut dire si ces items nous concernent, nous représente. Ce sont des items faciles à comprendre.  2 modalités de réponse « vrai » ou « faux ». On peut également ne pas y répondre.  Les questions portent sur des domaines très variés : choix de métier, travail, famille, relations sexuelles, émotions…  Concept de réservoir d’items :  Un même item peut appartenir à plusieurs échelles différentes :  Possibilité de former un nombre potentiellement illimité d’échelles  Le MMPI-2-RF se compose de 52 échelles réparties en plusieurs catégories

Description générale du MMPI-2-RF    

3 échelles globales 9 échelles cliniques restructurées 23 échelles concernant des problèmes spécifiques 5 échelles de psychopathologie de personnalité

Les échelles de validité : point fort du MMPI-2-RF -

9 échelles de validité Objectif : caractériser la validité et les interprétations possibles d’un protocole

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Le MPPI-2-RF est un test qui est utilisé pour faire des pronostics, on veut savoir si la personne est responsable de ses actes. On veut vérifier que les troubles de la personne sont bien réels et que ce n’est pas une simulation. Il y a un enjeu derrière c’est pour cela qu’il faut des échelles de validité pour vérifier la fiabilité des réponses. S’il y a eu un problème dans le protocole on va devoir faire une analyse plus fine du protocole. 3 hypothèses majeures sur le dépassement des seuils d’acceptabilité :  Stratégies de réponses  Caractéristiques liées au contexte (conditions de passation)  Fonctionnement de la personnalité

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Les échelles de validité sont réparties en 3 catégories :  Echelles de réponses incohérentes (2 échelles). Ce sont des échelles qui permettent de voir la cohérence des réponses données par l’individu.  Réponses variables incohérentes : Je réponds au hasard  Réponses systématiques incohérentes : réponses stéréotypées. On observe des corrélations négatives chez les sujets pathologiques.

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On fait une analyse de paires d’items fortement corrélés entre eux pour vérifier la cohérence des réponses entre les items. Si on a un score élevé cela veut dire qu’on a répondu de manière incohérente.  Echelle de surévaluation (5 échelles). C’est la tendance de la personne à vouloir surévaluer des aspects de sa personnalité ou de ses troubles. Il faut détecter différents types de surévaluation.  Exemple : échelle de réponses rares = ce sont des réponses rarement données par l’échantillon Attention un score élevé peut aussi être dû à un trouble de la lecture.  Echelle de sous-évaluation (2 échelles). Il faut détecter différents types de sous-évaluation  Exemple : échelles de vertus peu fréquentes = désirabilité sociale  Exemple : échelle d’adaptation Les échelles cliniques restructurées : noyau central du MMPI-2-RF  L’introversion sociale a disparu  L’échelle de masculinité et féminité est très controversée  L’échelle de découragement a été rajoutée 9 échelles cliniques restructurées : -

Découragement Plaintes somatiques Faibles émotions positives Cynisme Comportements antisociaux Idées de persécution Emotions négatives Expériences bizarres Activation hypomaniaque

Echelles globales Elles sont plus générales et nous donnent les grandes tendances cliniques de la personne (façon d’agir, façon de penser et façon de ressentir). - Dysfonctionnement internalisé émotionnel = un score élevé désigne un dysfonctionnement émotionnel - Dysfonctionnement de la pensée (idées de persécution, de délires) - Dysfonctionnement comportementale externalisé (passage à l’acte, dépression)

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Echelles spécifiques Elles permettent d’être plus précises. Elles sont au nombre de 23 mais on a pu les regrouper en 4 catégories :  Plaintes somatiques (malaise, maux de tête…)  Interpersonnelles (problèmes familiaux, passivité, évitement social…)  Internalisation (idées suicidaires, désespoir, anxiété…)  Externalisation (problèmes de comportement, abus de substances, agressivité…) Echelles d’intérêts C’est la transformation de l’échelle masculinité et féminité. - Intérêt pour des activités esthétiques et littéraires - Intérêt pour des activités mécaniques et physiques Echelles de psychopathologie de la personnalité Elle est basée sur la notion de tempérament et de la théorie du Big Five. Elle met en évidence des troubles associés à la personnalité. - Agressivité - Psychoticisme = décrire des expériences de troubles de la pensée et de la perception - Désinhibition = manifestation de comportements à risque (passage à l’acte, recherche de sensations…) - Emotions négatives /névrosisme (tendance à la dramatisation…) - Introversion / émotions positives faibles = absence d’expérience d’émotions positives (évitement des situations sociales) C’est un score élevé qui est signe de pathologie. Construction de l’échelle La première version a été construite selon une méthode empirique (basée sur les expériences, sur les observations). Ils ont construits plus de 1000 items sur la base des expériences de leurs patients qu’ils ont testés sur leurs patients MAIS aussi auprès d’une population saine. Ils ont pu comparer les réponses données par les patients et par les personnes saines = méthode des groupes contrastés. Ils n’ont retenu que les items présentant une différence significative entre les patients et le groupe contrôle. Ce n’est pas la signification de l’item qui est importante mais c’est la différence significative entre les patients et le groupe contrôle. 9

La méthode empirique a été abandonnée dans le MMPI-2-RF.  Echelles cliniques reconstruites sur des analyses factorielles  Amélioration notable des qualités psychométriques Version française    

Etalonné sur la base de 1102 personnes Validation de la traduction des items = technique de rétro-traduction Elaboration des normes françaises Amélioration des items (reformulation, simplification, réactualisation…)

Passation et cotation  Format papier (35 à 50 minutes)  Format électronique (25 à 35 minutes) Il faut la présence obligatoire d’un psychologue et la cotation est informatisée. On a des notes z (mettre les notes sur la même échelle pour pouvoir ensuite comparer les individus entre eux) transformées en notes T linéaires. M = 50 ETY = 10 Quand on a une note supérieure à la moyenne (65) et plus 1.5 écart type = trouble psychologique. Les notes élevées sont pathologiques. Consistance interne C’est l’homogénéité des items, c’est la cohérence des items entre eux (seuil à .60). Globalement les échelles globales, de validité, cliniques et PSY 5 ont une consistance interne convenable, satisfaisante. Fidélité test-retest Elle était acceptable voire moyenne à faible (ATTENTION c’est sur l’ancienne version). Erreur standard de mesure Toute mesure psychologique comporte une erreur de mesure (de 1 à 3). On a 2 chances sur 3 que le nouveau score du sujet se situe dans l’intervalle de confiance. L’erreur standard dépend de la qualité du test et de la variabilité intra-individuelle.

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Validité discriminante Il y a des différences entre la population pathologique et saine. Il n’y a aucune différence significative entre les femmes et les hommes. Validité pronostique Quand on regarde le profil de la personne on s’aperçoit que ça correspond bien aux comportements observés. Etude de cas Le protocole est valide car à part les réponses systématiques incohérentes qui sont très au-dessus de la moyenne (seuil critique = 65), les autres items restent dans la moyenne. Sur l’échelle du dysfonctionnement externalisé du comportement est au-dessus ce qui suppose des troubles du comportement expliqué par des comportements antisociaux.

3) Le bilan psychologique Interférence d’origine émotionnelle : processus cognitifs troublés par un contexte. L’intérêt de faire un bilan psychologique complet est de reconsidérer le patient dans son ensemble global. WAIS 4

C’est une valise qui coûte 2000 €. Tous les 6 – 7 ans les tests sont revisités. Les consignes sont claires, cela est dans une perspective de standardiser les passations. Il faut au fur et à mesure que le psychologue se détache des consignes. Avant la passation d’un test il y a un entretien pour dresser une anamnèse et pour rassurer le patient quant à la passation du test, essayer de dédramatiser la situation. Lors de la passation d’un test il faut être rassurant, étayant envers le patient. Il y a une pression de la part des parents qu’ils veulent faire passer des tests de Qi à leurs enfants.

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Passation d’un test -

Lecture de la consigne générale au patient 1e subtest : « Cubes »  Montrer le matériel au patient et lui expliquer qu’il y a des cubes blancs et des cubes rouges  Lire la consigne du subtest  Faire une démonstration au patient : « je vais assembler les cubes comme sur le modèle »  « Maintenant c’est à vous de le faire, faites aussi vite que vous le pouvez et vous me dites quand vous avez fini » = c’est une épreuve en temps limité, il y a une limite de temps pour chaque item selon son niveau de difficulté.  Règle de départ (flèche) = à quel item je fais démarrer mon patient selon son âge. On ne fait pas dans l’ordre croissant car les 4 premiers items sont trop faciles. Pour valider l’hypothèse que les 4 premiers items soit trop faciles il faut que le patient ait une note maximale de 4 aux items 5 et 6 pour se dire que les 4 premiers étaient vraiment trop faciles.  Règle de retour = Si l’item de départ n’était pas réussi alors il faut vérifier. On remonte en sens inverse jusqu’à obtenir deux notes parfaites consécutives. ATTENTION ne jamais refaire passer un item.  Règle d’arrêt = Quand le patient a obtenu 2 zéros à un item alors on arrête.  Les règles de cotation = à partir de l’item 9 on accorde des bonifications en fonction de la rapidité du patient.

10 subtests principaux Cubes  Tâche = assembler des cubes comme le modèle réalisé par le psychologue et / ou la figure du livret de stimuli  Configuration de passation = individuel  Matériel = cubes blancs et rouges  Niveau cognitif = évalue le raisonnement spatial (analyse spatiale puis synthèse spatiale)  Plan clinique = facteurs qui peuvent influés négativement malgré de bonnes compétences cognitives de la part du sujet  le chronomètre  le premier subtest car des patients mettent du temps à entrer dans le test  le manque d’autonomie psychique (angoisse de perte ou de séparation = difficulté à rompre le contact) 12

 patients qui ont une angoisse de morcellement, ce sont des patients psychotiques (peur, angoisse ou sensation de perdre des parties de son corps, le Moi n’est pas unifié). Cela survient des 6 e premiers mois de la vie, l’enfant n’a pas eu un sentiment de soi, la mère n’a pas assez défini les limites de son corps. Le sentiment de subjectivité ne s’est pas développé (moment du biberon = la mère lui donne une enveloppe corporelle). Similitudes

 Subtest verbal  Tâche = Trouver une ressemblance entre 2 mots, à la catégorie supérieure auxquels ils appartiennent  Consigne = « en quoi la framboise et la groseille se ressemblent ? »  Il faut coter tout de suite les items sinon on ne peut pas appliquer la règle d’arrêt  Niveau cogniti...


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