1- Kiné cours 2020 PDF

Title 1- Kiné cours 2020
Course Paces- ue16 kiné
Institution Université de Bordeaux
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Summary

Cours de kiné par Lozano...


Description

Kinésithérapie!: présentation de la profession I- Le massage et la kinésithérapie La masso-kinésithérapie est un métier qui, malgré son nom complexe, bénéficie d’une bonne image dans la société. Deux termes sont accolés (massage et kinésithérapie)!: cela correspond à l’histoire du métier, et ils se réfèrent à la base des pratiques en kinésithérapie.



Massage!: terme d’origine arabe qui signifie «!toucher!», «!palper!», qui correspond à la palpation, au repérage des signes du corps transmis à travers la peau et les tissus. Utilisé en thérapeutique.



Kinésithérapie!: terme d’origine grecque!: kinesis, qui signifie «!mouvement!», «!geste!» et therapeia qui signifie «!soigner!».

D’après Boris Dolto, il s’agit d’une thérapie du mouvement par le mouvement.! ! Le kiné doit être impliqué physiquement à travers le mouvement et la palpation dans la thérapeutique qu’il prodigue. Il ne faut donc pas être rebuté par le toucher d’autrui. La kinésithérapie entraîne la mobilisation du corps d’un sujet qui est traité à travers la mobilisation du corps du kinésithérapeute.

II- La masso-kinésithérapie a une utilité sociale Ce métier, défini dans le Code de la Santé Publique, est une profession réglementée donc protégée. Il a une utilité sociale. Cette utilité sociale correspond à des besoins de santé publique dans plusieurs domaines!: prévention, dépistage, éducation pour la santé = politique de santé publique. L’exclusivité des soins de kinésithérapie est garantie par la loi. Mais ce sont des domaines qui ne sont pas encore très développés parce que les kinésithérapeutes répondent en premier lieu aux besoins des individus donc dans le domaine du soin. Toutes les pratiques que les kinésithérapeutes font, du point de vue de la gymnastique médicale, au sens de l’entretien des capacités physiques ou de l’exercice physique préventif, sont à privilégier, à développer, pour tout ce qui est de la prévention afin que les personnes se maintiennent en bonne santé. Donc, elle répond aux besoins des individus!:



De bien-être (confort)!: avec le massage, entretien corporel par la gymnastique, relaxation. ! Les kinésithérapeutes sont habilités à prodiguer des massages et tout ce cité au-dessus même sans prescription médicale dans le cadre de soins de bien-être. Dans ce cadre-là, ils n’agissent PAS dans un but thérapeutique. ! —> Comme les éducateurs sportifs, esthéticiennes, psychothérapeutes qui interviennent aussi dans ce besoin de bien-être.



De soins (thérapie)!: approche individuelle de la personne soignée, dans le cadre d’une prescription médicale, les personnes s’adressent au kinésithérapeute pour des traitements destinés à les aider à guérir, à pallier ou à récupérer un certain nombre de capacités.



A tous les âges!: du nouveau-né, du petit enfant, jusqu’au vieillard en passant par tous les âges de la vie où on peut souffrir d’altération de ses capacités fonctionnelles.



A toutes les phases de la maladie!: En préventif!: en phase aigüe, cela peut correspondre à des périodes de coma ou de réanimation puisque les kinésithérapeutes ont un grand rôle dans le traitement des problèmes respiratoires, le traitement préventif (manœuvres de mobilisations du corps) des complications de l’immobilisation.

En curatif!: en phase post-accident, en phase de récupération après une fracture ou une maladie amenant à rééduquer et permettre aux patients de récupérer leurs capacités physiques.! —> Récupérer un certain nombre de déficiences. En palliatif!: il y a des pathologies que l’on ne peut pas guérir, il s’agit alors d’aider les personnes à avoir une fin de vie la plus confortable possible, des capacités à réaliser un certain nombre d’activités dans les meilleures conditions et les aider à compenser leurs déficiences en sur-développant par exemple certaines capacités restantes ou en leur donnant des aides techniques adaptées (appareillages) qui vont leur permettre de réaliser ces activités. —> Pas d’espoir de guérison, mais pour que la personne puisse bénéficier d’un confort de vie satisfaisant.

III- Quelques éléments historiques Le massage et les mobilisations du corps (actives et passives) sont des pratiques aussi anciennes que l’humanité (Chine, Inde, Haute Egypte, Grèce, Rome…), ce sont des soins ancestraux. •

En Grèce, massages et gymnastique médicale dès le Vème siècle avant notre ère

Dans les gymnases militaires, des masseurs exercent sous supervision des médecins de l’époque. Les Grecs frictionnaient le corps avec des huiles (de l’huile d’olive) et ils massaient les athlètes en préparation de l’exercice physique avec des onguents (pommades). Ils connaissaient l’anatomie et étaient capables de réaliser des traitements de première intention (soins d’urgence et de traumatologie légère : entorses, luxations…). Ils prodiguaient des conseils d’hygiène de vie. Il y avait donc à la fois du soin et de la prévention. Ils enseignaient la gymnastique médicale donc ils pouvaient conseiller des exercices de gymnastiques, d’étirements etc…! ! —> Idée que pour conserver une bonne santé il fallait entretenir son corps avec un exercice physique modéré adapté. Décrit par des médecins tels que Hippocrate (remonte à + de 400 avant JC). Ceci était préconisé dans un usage modéré de l’exerciez physique et adapté aux prédispositions des individus. ! La kinésithérapie aujourd’hui respecte ces principes et elle est dans cet état d’esprit là. •

En Chine, gymnastique chinoise Tao Yin (2 siècles avant notre ère)

C’est tout un tas d’exercices de gymnastique qui montraient que les kinésithérapeutes indiquaient/ faisaient réaliser des exercices d’étirements, de mobilisations… basés sur la respiration, à tous les âges de la vie avec tous les segments du corps. C’est en quelque sorte du yoga chinois. Ces exercices étaient destinés à assouplir et à retrouver une bonne mobilité du corps ainsi que le souffle. Ces exercices étant préconisés pour le maintien d’une bonne santé = préventif (conserver) et pour retrouver une bonne santé = curatif (traitement).! ! —> C’est quelque chose qui a toujours été connu pour maintenir la bonne santé. •

La gymnastique et le massage au moyen âge en Europe

En Occident, on a peu laissé tomber ces pratiques-là. En effet au Moyen-Age, on perd la trace de la gymnastique et du massage parce que ces pratiques sont condamnés par la religion chrétienne (massage associé à la débauche). Ils ne sont plus mentionnés dans les écrits.

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Contrairement à la médecine qui s’est structurée dès l’antiquité, les pratiques relevant de la kinésithérapie sont réalisées par des rebouteux, des détenteurs d’un don. Ces pratiques empiriques ne sont pas reliées à des savoirs scientifiques.

IV- L’exercice physique valorisé à partir du XVIIIème siècle. Il y a une grande évolution depuis le XVI Ième siècle (Renaissance), car les connaissances physiologiques se sont développées (circulation du sang, rôle du cœur, « !mécanique! » des organes), même si elles restent encore incomplètes. L’exercice physique est reconnu comme ayant un effet bénéfique sur la mobilisation des fluides, donc sur le bon fonctionnement du corps. L’esprit des Lumières et le pouvoir accordé à la raison influencent la valorisation des méthodes de développement du corps. Le corps doit être fortifié car les valeurs morales de l’homme sont accrues par le développement de ses capacités physiques. Ainsi, l’activité physique va être valorisée en tant que démarche d’entrainement du corps qui rompt avec l’ancienne tradition aristocratique. La raison, l’exercice va être considéré comme un moyen de contrôler et de développer son corps, et ce développement du corps va être considéré comme un affermissement de l’âme. ! ! société aristocratique et ses valeurs d’oisiveté, sont opposées à ces valeurs du travail qui apparaissent dans ce siècle là, qui sont beaucoup liées à l’émergence d’une société bourgeoise. Donc, cette valorisation du développement du corps va influencer l’éducation des enfants, et être valorisée dans le sens où elle permet d’accroitre les valeurs morales des personnes en développant leur mesurance et leurs capacité physiques. !

V- Au XIXème siècle, recherche de rationalisation Dès le début du XIXème siècle, la gymnastique gagne en prestige. On va redécouvrir les vertus de l’exercice physique. On va s’y intéresser fortement, notamment à travers les écoles militaires. Les médecins contrôlent ces formes thérapeutiques avec des indications dans différents domaines!:



Pathologie rachidienne (scoliose notamment dans la croissance des enfants, déformation) = déviations vertébrales



Pathologie

A la fin du XIXème siècle, apparaissent les 1ers travaux scientifiques sur le massage et la gymnastique et la naissance de la kinésithérapie. ! La gymnastique médicale suédoise (de Ling) est importée en France en 1860. Très codifiée, procédurée, très rationnelle avec des exercices très précisément décrits (modalités de rythme, déploiement de l’exercice). On y trouve beaucoup d’exercices encore utilisés en kinésithérapie. ! ! En 1880, le traité de gymnastique raisonnée est un moyen de prévenir les maladies par des exercices physiques mécanistiques selon des plans, des axes. Donc on va avoir une rationalisation de cette gymnastique.

VI- Naissance de la masso-kinésthérapie Des médecins veulent vraiment utiliser et faire de tous ces exercices gymniques, de tous les traitements avec des agents physiques, une discipline médicale. Ils vont donc créer la Société Française de Kinésithérapie dans laquelle ils vont montrer l’intérêt des agents physiques (air, eau, électricité, massages exercices gymniques) en thérapeutique. C’est à ce moment là que se créent les fondements de la kinésithérapie actuelle. Ces traitements étant couteux en temps, ils nécessitent d’être délégués à des professionnels chargés de les appliquer. Vont donc se développer des formations pour venir en aide aux médecins dans le cadre de ces traitements là. La kinésithérapie est donc une discipline médicale à la fin du XIXème siècle!: profession médicale, société de kinésithérapie, développement des traitements par agents physiques, massages et exercices gymniques, délégation des traitements à des professionnels chargés de les appliquer. !

De 1914 à 1918, le but est de soigner les blessés de guerre. Cela va nécessiter une réadaptation de toutes les personnes qui ont eu des blessures très graves, qui sont mutilées, amputées, qui ont des traumatismes de l’appareil locomoteur. Se développe alors, la chirurgie reconstructrice, les prothèses, l’appareillage, et la réadaptation va avoir une place importante (essor de la kinésithérapie). Le but est de les réinsérer dans la vie professionnelle et sociale (toujours d’actualité aujourd’hui), et pour faire des économies sur les allocations délivrées aux anciens combattants. Durant l’entre-deux-guerres, la formation des professionnels se développe. ! - un brevet de capacité professionnelle permettant de porter le titre d’infirmière de l’Etat français est crée en 1922" - des diplômes infirmiers à spécialités ! sont crées : diplômes d’infirmiers masseurs en 1924 et de masseurs aveugles en 1926. ! - des écoles de massage (4 écoles persistent en France) pour les personnes aveugles sont créées ainsi que l’école française d’orthopédie et de Massage (EFOM, école toujours existante dans laquelle Boris Dolto était directeur). ! ! Des masseurs médicaux exercent dans les hôpitaux.

VII- Années 1940 : création de diplômes contrôlés par le corps médical Dans les années 40, il y a la création de diplômes contrôlés par le corps médical. ! - Le diplôme de moniteur de gymnastique médicale est créé en 1942. ! !

- Le brevet professionnel de masseur médical est créé en 1943. Il autorise à pratiquer sur ordonnance médicale descriptive qualitative et quantitative, l’exercice de la massothérapie. ! !

Jusqu’en 1946, la profession de masseur médical s’organise et est rejointe par celle de gymnaste médical. C’est de leur union que naît la profession de masseur-kinésithérapeute en 1946. " " Il s’agit d’une profession issue toujours des mêmes pratiques, autour du corps, des agents physiques, du mouvement.

VIII- La profession de masso-kinésithérapie en 1946 Selon la loi du 30 avril 1946!: «!nul ne peut exercer la profession de masseur-kinésithérapeute, c’est-à-dire pratiquer le massage et la gymnastique médicale s’il n’est français et muni du diplôme d’Etat de masseurkinésithérapeute…!Lorsqu’ils agissent dans un but thérapeutique, les masseurs-kinésithérapeutes ne peuvent pratiquer leur art que sur ordonnance!». Il faut savoir que la plupart des actes autorisés le sont dans le cadre de la prescription médicale.! ! En 1946, les kiné sont sollicités grandement suite à la Seconde Guerre Mondiale du aux paralysés, aux cas de poliomyélite qui entraînent des séquelles très graves qui nécessitent donc de la réadaptation. ! !

Beaucoup d’écoles sont crées dans ces années là, les premiers MK et les premiers diplômes apparaissent à ce moment là. ! ! !

Dans les années 70, la formation passe à 3 années d’étude.!

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En 2015 : la formation passe à 4 années d’études. !

IX- La loi 2016 En 2016, la loi fait évoluer la définition de la profession!(article L4321-1 du CSP) : 1ère partie" «!La pratique de la masso-kinésithérapie comporte la promotion de la santé, la prévention, le diagnostic kinésithérapique et le traitement !des troubles du mouvement ou de la motricité de la personne, des déficiences ou des altérations des capacités fonctionnelles. Le masseur-kinésithérapeute peut également concourir à la formation initiale et continue ainsi qu’à la recherche!». ! Emancipation! ! 2ème partie «!Le masseur-kinésithérapeute exerce son activité en toute indépendance et en pleine responsabilité conformément au code de déontologie mentionné à l’article L.4321-21. ! " —> L’apparition du code de déotologie signe l’apparition du responsabilité du métier (et de + en +). Dans le cadre des pathologies héréditaires, congénitales ou acquises, stabilisées ou évolutives impliquant une altération des capacités fonctionnelles, le masseur-kinésithérapeute met en œuvre des moyens manuels, instrumentaux et éducatifs et participe à leur coordination. Dans l’exercice de son art, seul le masseur-kinésithérapeute est habilité à utiliser les savoirs disciplinaires et les savoir-faire associés d’éducation et de rééducation en masso-kinésithérapie qu’il estime les plus adaptés à la situation et à la personne, dans le respect du code de déontologie précité.! ! 3ème partie La définition des actes professionnels de masso-kinésithérapie, dont les actes médicaux prescrits par un médecin, est précisée par un décret en Conseil d’Etat, après avis de l’Académie nationale de médecine. " "

—> On reste donc sous une tutelle médicale. Lorsqu’il agit dans un but thérapeutique, le masseur-kinésithérapeute pratique son art sur prescription médicale et peut adapter, sauf indication contraire du médecin, dans le cadre d’un renouvellement, les prescriptions médicales initiales d’actes de masso-kinésithérapie datant de moins d’un an, dans des conditions définies par décret.! !

Dans ce cas, pas besoin de passer par un médecin —> autonomisation de la prescription. Il peut prescrire, sauf indication contraire du médecin, les dispositifs médicaux nécessaires à l’exercice de sa profession. La liste de ces dispositifs médicaux est fixée par arrêté des ministres chargés de la santé et de la sécurité sociale, après avis de l’Académie nationale de médecine." " 4ème partie En cas d’urgence et en l’absence d’un médecin, le masseur-kinésithérapeute est habilité à accomplir les premiers actes de soins nécessaires en masso-kinésithérapie. Un compte rendu des actes accomplis dans ces conditions est remis au médecin dès son intervention. !

Les masseurs-kinésithérapeutes peuvent prescrire des substituts nicotiniques!».!

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—> Une grande partie de la patientelle représente les patients souffrant de pathologie respiratoire chronique. Comme le kiné à un devoir de prévention, on peut prescrire des substituais nicotiniques pour aider les personnes qui mettent en danger leur santé par le tabac, à se sevrer.!

Santé publique : depuis l’an dernier, les kinés participent à des grandes opérations de santé publique à travers le service sanitaire. Concerne à aller vers les populations les plus isolées qui n’ont pas connaissance de ce qui est bon pour avoir une bonne santé.

X- Organisation juridique des compétences des professions de santé Juridiquement, l’exercice des professions de santé est fondé sur une logique de la qualification. Etre qualifié, c’est avoir suivi une formation spécifique, c’est pour cela que nos formations sont réglementées car les personnes mettent leur vie entre nos mains. Cette logique s’explique par le fait que toute atteinte à l’intégrité physique d’une personne constitue par principe une infraction pénale sauf pour les médecins. Cette dérogation s’appuie sur des critères de qualification (Doctorat en Médecine) et sur l’organisation du monopole médical. Les médecins ont le monopole d’intervention sur l’intégrité physique d’une personne. Mais en réalité, même si la profession médicale occupe une place centrale, il faut qu’ils puissent être aidés parce qu’ils ne peuvent pas tout réaliser. Du coup, interviennent des professions paramédicales ou d’auxiliaires médicaux dont la kinésithérapie. Les professions paramédicales se déclinent par défaut à partir de mesures dérogatoires vis-à-vis du monopole médical. La plupart des actes autorisés le sont dans le cadre de la prescription médicale et certains actes ne peuvent être effectués que sous contrôle médical. Un médecin peut toujours intervenir dans le champ d’intervention de toutes ces professions de santé. Le code de la Santé Publique définit toute lie qui attrait à la Santé en France. C’est dans la 4ème partie du Code de la santé publique qu’on trouve!:



Livre 1er!: professions médicales (médecine, odontologie, sage-femme)



Livre II!: professions de la pharmacie



Livre III!: auxiliaires médicaux



Titre 1er!: profession d’infirmier ou d’infirmière



Titre II!: professions de masseur-kinésithérapeute et de pédicure-podologue



Titre III!: professions d’ergothérapeute et de psychomotricien



Titre IV!: professions d’orthophoniste et d’orthoptiste



Titre V!: profession de manipulateur d’électroradiologie médicale



Titre VI ! : professions d’audioprothésiste, d’opticien-lunetier, de prothésistes et d’orthésistes pour l’appareillage des personnes handicapées



Titre VII!: profession de diététicien! ! Donc 4ème partie du CSP, 3ème Livre, Titre 2, Chapitre 1 (kiné) et Chapitre 2 (Podo)! ! Dans la fonction publique hospitalière, il y a 7 professions qui sont regroupées sous le terme de profession de rééducation récemment créées!:



masseur-kinésithérapeute et pédicure 1946,



orthophoniste et orthoptiste 1964,



ergothérapeute 1970,



psychomotricien 1974,



diététicien 1986.

Ce sont des métiers jeunes qui sont encore en évolution.. Ces métiers ont des points communs. Ils vont tous prodiguer des actes ou des soins ou une éducation ou adaptation/réadaptation qui va nécessiter un temps long auprès du patient et un traitement individuel donc il faut développer une relation avec les personnes assez privilégiée. ! !

—> Ce sont des soins spécialisés, nécessitant un temps de traitement individuel relativement long.

XI- L’exercice de la profession de masseur-kinésithérapeute aujourd’hui Définition réglementaire!: «!La masso-kinésithér...


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