1 - morpho et syntaxe PDF

Title 1 - morpho et syntaxe
Course Morphologie et syntaxe
Institution Université de Franche-Comté
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morpho et syntaxe...


Description

Morphologie et syntaxe La grammaire d'une langue consiste à décrire des composants d'une langue et à décrire comment ils sont en relation les uns avec les autres. L'objectif est d'arriver à expliquer pourquoi une suite de son donne un sens? On considère que sens=signification. Dans une langue, il y a 6 composants: 1) Le lexique C'est les mots d'une langue qu'on utilise pour s'exprimer. Le lexique c'est le dictionnaire de la langue. C'est l'ensemble des mots qui est l'addition des connaissances individuelles, des vocabulaires de chaque personne. Un mot est décrit par sa structure, son contexte, le sens... 2) La phonétique (La phonologie) C'est la liste des sons (phone) utilisée dans la langue à décrire. C'est également une suite de son possible dans cette langue, l'accentuation qui créer un rythme et les infos sur les liaisons. 3) La sémantique Ce composant décrit les différents sens exprimés dans une langue. 4) La morphologique C'est la description des mots. Comment un mot est-il construit? Son évolution? Est-ce que sa forme peut changer en fonction de sa fonction? 5) La syntaxique C'est le fait de décrire aux moyens de règles, comment se composent, s'associent les unités entre elles. Mais aussi comment elles se décomposent en unité. 6) La pragmatique(le petit +) C'est l'action lorsque l'on parle. C'est les conditions d'emplois, la manière dont on emploi une phrase pour agir sur quelque chose. La syntaxe (du grec sùntaxis) est l'art de disposer ensemble, d'assembler, d'arranger les mots, les sons, les phrases, les textes. Elle a un sens plus moderne fixé vers le 18ème S. L'objectif est de décrire les différentes phrases, leur construction, montrer les liens entre le sens de la phrase et sa structure.

Elle s'intéresse aux compositions/ décompositions. Décomposition (ACI) : Analyse en composants immédiats. 1950-70 Bloomfield → Distributionnalisme. Le distributionnalisme est une théorie du langage développé par Léonard Bloomfiel et Z. Harris. Cette théorie a très largement dominé la linguistique américaine jusqu'en 1950. Elle est l'un des fondements de la grammaire générative et a beaucoup influencé les diverses méthodes d'apprentissage des langues.. Composition : Grammaire générative 1960-190 Noam Chomsky → Le générativisme. La linguistique générative regroupe un ensemble de

théories développées à partir des années 1950 par le linguiste américain Noam Chomsky. Elle s'oppose à la fois au béhaviorisme et au structuralisme. La théorie générative se distingue des autres traditions en faisant la distinction compétence / performance, qui distingue la capacité langagière de l'acte de parole. Ainsi, selon cette orientation, chaque locuteur possède un «organe linguistique spécialisé» («Language Acquisition Device») permettant l'analyse et la production des structures complexes formant le discours. En d'autres termes, chaque langue forme une structure observable, résultat d'un système inné (comprendre « génétique») universellement partagé. Il revient à la linguistique générative, dès lors, de comprendre la structure et le comportement de ce système. En fait, selon Chomsky, le but de la linguistique est de définir les paramètres de variation entre les langues, car selon son approche, la variation linguistique n'est pas un fait du hasard. L'unité de base du composant syntaxique est la phrase. 1900 → Structuralisme avec Ferdinand de Saussure. Notre «père à tous». Il a attribué le premier courant moderne de la linguistique: la phrase. Morphologie → Analyse non du mot mais du morphème. C'est l'unité de base de la morphologie. Le morphème est l'unité la plus petite d'une langue et elle est significative. Fille/ Fillette → 2 morphèmes.(autonomes). 1)

Flexion: Un mot peut avoir des flexions. C'est le genre, le nombre, le temps (-S, -e

fém...) 2)

Dérivation : Dériver. C'est tout ce qui est auto, mono, poly...

Exemples: Impitoyablement. → 4 morphèmes: L'adverbe est construit à partir de pitité. Donc «pitoy» est un premier morphème. Ensuite, il y a un préfixe «im». Puis «ble» et pour finir «ment». Moustique → Un morphème.

Un même morphème pourrait s'écrire de différentes manières. Il y a le morphème de réalisation LIBRE (paye, paie...) et de réalisation CONTRAINTE (peu avec x, t ou encore pouv avec ons, ez...)

Une phrase = C'est un groupe de mots respectant des règles de grammaires formant une phrase avec un sens. La syntaxe: établit les règles qui gouverne les relations entre unités, mots.On distingue 2 types de relation. On parle de relation de combinaison ou d'association et de relation de dépendance. Relation de combinaison, on associe les mots (déterminant avec un nom, association d'un nom avec un verbe, un nom avec un adjectif...). Je ne peux pas associer un déterminant avec un verbe. Il y a donc des relations interdites (règles). →( Les ^étudiants)^ (étudient)^(le^ français). Relation de dépendance, L'association s'écrit avec un ^ qui permet que l'un va avec l'autre. → les ^étudiants Quand l'association est impossible, on écrit avec une * → *les^étudient (il manque un nom)

On peut trouver les 2 types de relations en même temps. Les étudiants: relation de dépendance + relation de combinaisons entre le pluriel «les» et «étudiants». Il y a aussi une relation hiérarchie. Le nom va être placé en haut et «les» en bas et l'adjectif en bas mais à la même hauteur que «les». → Schéma * feuille donnée.

Catégorie grammaticale: c'est une classe, un ensemble de mots qui ont des propriétés communes. Les catégories grammaticales sont: -VERBE

-ADJECTIF

-NOM

-CONJONCTION

-DETERMINANT

-PREPOSITION

-ADVERBE voici, voilà..)

-(MOT-PHRASE bonjour, au revoir PRESENTATIF

-PRONOM

-INTERJECTION (HA,HO,...)

Toutes les grammaires sont d'accord pour identifier les 8 catégories mais les interjections, les présentatifs... ne sont pas dans toutes les grammaires. Dans les grammaires, on parle de nom/ Substantif * Le nom a un sens lexical (le nom permet de nommer, de désigner un élément du monde (objet, sentiments..qui m'entoure). Les déterminants n'ont pas cette propriété. Le nom a des variations morphologiques:varie en genre et en nombre. Féminin masculin, neutre et pluriel et singulier. C'est parler de la morphologique. Le nom a des combinaisons avec un déterminant, un adjectif, une proposition. (* Le verbe peut faire vivre une action. Le verbe a des variations morphologiques : varie en fonction du temps utilisé (présent, futur,etc...) et en fonction du pronom. Le nom a des combinaisons avec un nom, un pronom. * Le déterminant a des variations morphologiques; possessif, définis, indéfinis, dénombrable, indénombrable... Le déterminant a des combinaisons avec un nom, un adjectif. Le déterminant a un sens démonstratif. * Un adjectif )

Fonction syntaxique: On désigne le rôle qu'un élément joue dans la structure, dans la phrase, ou la proposition (COD,COI,CCT...). Dans les différentes fonctions syntaxiques (la nature du mot)dans une phrase, il y certaines tête. Il y a 3 têtes , fonctions qui gouvernent sont: -PRONOM/NOM *SUJET (déterminer qui fait le rôle) *Complément du nom

-VERBE *Complément d'objet ( de structure) *Complément circonstanciel ( manière, temps, lieu)

La syntaxe permet de définir ce qui est acceptable et grammaticale. 2 termes différents. Acceptabilité/ grammaticalité: Acceptable// interprétable, compréhensible.

La phrase : *Moi partir est interprétable. On comprend le sens exprimé. En revanche, elle n'est pas grammaticale. La phrase ne respecte pas les règles de bonnes constructions de la langue française. Un verbe doit être conjugué. → Je pars est interprétable et grammaticale. (Sans motif particulier)

?Les idées vertes dorment furieusement. Noam Chomsky. Cette phrase est grammaticale mais n'a pas de sens. Si on a un doute, on le note avec ? C'est juste sans être juste. → Aboie le chien c'est grammaticale et acceptable X Le aboie chien :ni acceptable, ni grammaticale *Chien aboie mais peut être aussi grammaticale. X Aboie chien le : ni l'un ni l'autre --> Le chien aboie -->Je le lui passe *Je le lui parle X Je lui le parle → L'homme dont je parle L'homme que je parle n'est pas grammaticale mais? Pour l'acceptable → L'homme que je vois Il peut y avoir des désaccords sur l'interprétation d'une phrase. Selon les valeurs, les situations, la culture, le critère d'interprétabilité peut être variés. Acceptabilité = critère objectif Interprétabilité = critère subjectif SYNTAXE : Unité privilégiée de l'analyse = La PHRASE 1)

Critères de définition:

• Sémantique ( l'étude du sens).--> Une phrase est une unité de sens, c'est un ensemble de mots qui forment un sens. Une phrase est l'expression plus ou moins complexe mais offrant un sens complet d'une pensée, d'un sentiment, d'une volonté.Ce critère est un «critère faible», ex : Pierre joue. Paul lit. → 2 phrases, 2 unités de sens distinctes mais on peut faire la phrase, Pierre joue et Paul lit. Le sens reste identique mais on a qu'une seule et unique phrase. Le critère n'est donc pas suffisant à lui même.

→ Une variation de ce critère consiste à dire que la phrase est le lieu d'une prédication. C'est une structure qui permet de dire quelque chose au sujet de quelque chose ou quelqu'un. Ex: Cette ville est agréable. Agréable, cette ville. On a indiqué quelque chose. Les deux sont des phrases puisque agréable permet de qualifier la ville. Ce critère est le critère le + retenu pour définir la phrase. Il met sur le même niveau les structures verbales et nominales, on parle d'ailleurs de phrase verbale et de phrase nominale. On considère même les constructions à un seul mot, les exclamations comme une seule phrase (ex : Formidable !). Phrase = dire quelque chose au sujet de quelque chose ou quelqu'un. • Graphique et/ou prosodique → Graphique (= écriture) revient à s' interroger sur la manière dont on écrit une phrase. Une phrase est une structure qui commence par une majuscule et se finit par un point. Mais on peut très bien trouvé une phrase sans ponctuation, sans majuscule. Ce critère n'a pas de valeur définitoire de la phrase mais on nous apprend ça dès la plus petite enfance. → Prosodie est la manière dont on prononce la phrase. En français, la phrase se commence par un ton montant et se termine par un ton descendant. Pour une ?, on monte le ton et pour une affirmation on redescend. Le ton varie ce qui caractérise une phrase. Peu importe le type de ton employé, c'est une phrase. Mais ce critère n'est pas encore suffisant. Une phrase contient des pauses brèves voir pas de pauses. La présence de pause définit comme brève ou longue permet de distinguer celles qui sont des phrases ou pas. Mais pas utile car «bref» est subjectif. • Formel → la phrase c'est une suite d'unité significatives (en nombre infini), hiérarchisées liées entre elles par des règles d'association ( en nombre fini, limitées). Les phrases qu'on produit sont en nombre illimitées, infinies car je peux compter le nombre d'unités, le nombre de règles. Elle s'appuie sur des unités en nombre fini → Noam Chomsky a mis en évidence ce principe. Une phrase se définit par ces 2 dimensions : -La dimension prédicative, elle implique qu'il y a association entre elles, de respecter des règles d'association, regroupe le critère sémantique et formel. La dimension communicationnelle: idée de faire transmettre un message par un sens. 2)

Les constituants de la phrase

La phrase est la + importantes. Morphème → Mot → Syntagme → Proposition (CO) → Phrase → association ensemble entre unités pour construire... La phrase est composée d'unité significative. Le morphème est la + petite unité significative dite aussi unité minimale.Morphème est le premier constituant d'une phrase. Dans «fillette» est composée de 2 morphèmes fille + ette. Ils peuvent être autonomes qui existent comme mot à part entière et les morphèmes non autonomes qui peuvent êtres des suffixes, des conjugaisons... Il y a les morphèmes lexicaux ( fille renvoie à la personne féminine, on peut se représenter la personne et le morphème a un sens grammaticale qui apporte une informations (le singulier , le pluriel, le genre, diminutifs...) et il y a les morphèmes libres ou contraints. Ces morphèmes s'associent ensemble pour construire des

mots → fillette. Le mot se définit comme le constituant de syntagme et forment le lexique d'une langue. Le mot est constitué de morphèmes. 4 catégories grammaticales sont à retenir quand on parle des syntagmes : -Les noms -Les verbes -Les adjectifs -Les prépositions = les têtes syntaxiques. Le chien aboie

Aboie = une tête qui domine le chien

Chien = la tête, il domine

Le

-Le syntagme nominal avec un nom en tête (SN) -Le syntagme verbal avec un verbe en tête (SV) -Le syntagme adjectival avec un adjectif en tête (SA) -Le syntagme prépositionnel avec une préposition en tête (SP) Le syntagme est le constituant de la proposition. Il est constitué de mots. Pour identifier les syntagmes, on a 2 méthodes : -La commutation → Suppose qu'on va pouvoir remplacer des éléments -La segmentation → Suppose qu'on va pouvoir couper, découper dans la structure. L'association de syntagmes permet de construire une proposition. La notion de proposition est la notion la + ancienne en grammaire (existe depuis la Renaissance 16ème S, on parlait de propositions comme une phrase, il y avait un sens différent. Le sens actuel de phrase correspond à celui de proposition au 16èS) → L'école de Port Royal. A partir du 18èS, sens différent. Une proposition (sens moderne) est une structure formelle, linéaire organisée autour d'un verbe. Paul écrit → 1 verbe donc 1 proposition. Paul étudie son cours puis sort en ville. → 1 phrase mais 2 propositions car 2 verbes.

Les verbes doivent être conjugués. Et il peut y avoir des subordonnées.

Christophe va réussir son année. 1 proposition car 1 seul est conjugué. Christophe révise et réussira son année. 2 propositions car 2 verbes conjugués. Echouer est impossible. 1 proposition car 1 verbe conjugué. Une proposition indépendante (une phrase simple) quand 1 phrase = 1 proposition, un seul verbe conjugué. Dans les autres cas, proposition principale avec des subordonnées ou coordonnées (phrases complexes). Ref page 4 du livret. Une phrases complexes peut être subordonnée, coordonnée ou juxtaposée( utilisation de la ponctuation pour associer les 2 propositions). Page 5: les opérations fondamentales de l'analyse structurale. •

Méthode du structuralisme

Ce courant est attribué à Ferdinand De Saussure mort en 1913. Ce courant considère une langue comme un ensemble de mots qu'ils s'agit de décrire en elle même et pour elle même et un ensemble de règles (associations, combinaisons). • Le distributionnalisme= L'analyse structurale est née a été aux E.-U, territoire où il n'y a pas d'histoire de langues mais territoires avec différentes langues // aux colonisations. À partir des années 20. On attribut à Léonard Bloomfield. Les distrutionnalistes vont analyser les langues amer-indienne. Le principe du distributionnalisme consiste à dire que l'on peut décrire une langue à partir de l'environnement de chaque unité. Le jour de la manifestation est arrivé. = environnement de «jour», environnement de manifestation

On parle d'environnement pour dire ce qu'il y a avant et après un mot. On décrit la distribution des mots. Comment ils apparaissent dans une phrase...? L'analyse de la structure de la phrase associe une réflexion sur la structure et sur son sens. A partir des 50', on supprime l'analyse du sens = le courant de Noam Chomsky avec la grammaire générative, le générativisme. Pour analyser la phrase, les linguistes on mit au point plusieurs opérations -commutation -effacement/ addition -déplacement Obj: découper la phrase en élément plus petits. Découpage en sous-ensemble. Découpage de la phrase en propositions, en syntagme, en mots, morphème. Identifier les éléments, pour ça, il y a plusieurs moyens:

Ex : Le facteur distribue le courrier à 8 heures. → La commutation (la première étape)= remplacer un mot, groupe de mots par un autre équivalent (la fonction). Ex : je remplace distribue par donne, je remplace facteur par postier, il, remplacer à 8h par le matin. On peut même remplace la phrase par «Il voit le grand hôtel le matin». On a tout remplacer mais on a gardé les fonctions. → L'effacement = on peut supprimer des éléments. Ex : Il voit le grand hôtel le matin. On peut supprimer «le matin», il n'est pas un constituant obligatoire, nécessaire mais il est facultatif. On peut aussi enlever l'adjectif qualificatifs «grand», c'est un élément non obligatoire à la structure d'une phrase. Si on supprime l'hôtel, = «il voit» mais il y a un changement de sens! Mais on ne peut pas supprimer «il» car sujet^verbe, ils sont associés à la base ! On met en évidence la structure la structure minimale. → Addition = on ajoute un élément dans une phrase. Ex: Il parle. On peut ajouter «avec un collègue», ou encore «Il parle fort avec un collègue» ou encore «il parle (fort) avec un collègue [très désagréable ]{en buvant un café trop chaud}| à midi|. Il n'y a pas de limites pour la longueur d'une phrase. C'est la mémoire humaine qui va limiter la taille des phrases. → Déplacement = On déplace les éléments de la phrase. Ex : Le facteur distribue le courrier à 8h On peut faire «A huit heures, le facteur distribue le courrier.» X «Le courrier est distribué par le facteur à 8 heures. » On passe de la voix active à la voix passive. Ce déplacement suppose quelques transformations de la phrase. Ici ce n'est pas uniquement un déplacement donc ce déplacement n'est pas un déplacement. « A huit heures, le courrier le facteur distribue. On met en évidence les éléments mobiles et immobiles. Tous les compléments sont mobiles. On met également en évidence entre l'oral et l'écrit. L'écrit est plus rigide que l'oral, on est plus souple. A l'oral on met en début de phrase l'élément important. // à l'analyse des mots. Donneraient = conjugué, 3ème pers, conditionnel commutation → , chanteraient,donnerait, donnait, donnaient, donnerai(élimination), etc... [Le facteur] [distribue [le courrier]] à 8 heures. Sujet Prédication COD cc GN GV GP La méthode permet de mettre en évidence la nature du groupe de phrase.

Mais aussi de mettre en évidence les fonctions, les relations entretenue par ses groupes, la nature des groupes. Ex :A 8h = déplaçable et supprimable = Complément circonstanciel Il y a des infos complémentaires importantes. Ces opérations sont -pronominalisation = consiste à remplacer un groupe de la phrase par un pronom. Met en évidence les groupes nominaux (les GN). Seuls à être pronominalisables. Cette opération permet de mettre en évidence aussi l'existence des groupes prépositionnels. Remplacer le courrier par «en». → «le facteur en distribue à 8h». On se rend compte de la fonction des mots. «A 8h» est une préposition. -test de focalisation ou test du clivage = consiste à savoir si je peux isoler un groupe, dire est-ce que je peux mettre l'accent sur un élément que je met en tête de phrase. Elle complète l'opération de déplacement. Ex : C'est le facteur qui distribue le courrier.Je mets en avant qui est-ce qui distribue le courrier. Cours 17/10 préparation au partiel. LANGUE A

LANGUE B

1) uzahbaretna 2) unigernetna 3) uzatawetna 4) tenihbarma 5) unitawna 6) utigernna 7) tezagernetma 8) tetitawma 9) utihbaretna

«il se met à courir» «je deviens grand» «il grossit» «nous courons» «je suis gros» «tu es grand» «ils s'agrandissent» «vous êtes gros» «tu commences à courir»

L'analyse structurale consiste à partager la phrase en unité plus petite pour identifier les unités de sens → morphème = la segmentation. Langue A= Ensemble des phrases authentiques, qui existent (je crois en africain)= un corpus. Opérations pour la segmentation : -La commutation = on remplace un ithème par un autre(substitution) -L'effacement / l'addition -Le déplacement = on déplace des mots ou des groupes de mots pour voir si...


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