Anthropologie de la communication pdf PDF

Title Anthropologie de la communication pdf
Author Salomé Norcini
Course Anthropologie de la communication 
Institution Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis
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Anthropologie de la communication Anthropos + logos = deux mots grec Homme + étude a commencé par anthropologie physique : forme des crânes ici anthropologie sociale, culturelle origine: philosophie et voyages on a commencé lorsque les hommes se sont rendu compte qu’ils étaient different lorsqu’il ont commencé a voyagé(période des grandes découvertes) + philo (place dans la société) questions fondatrices: - Invariants et différences dans les sociétés humaines( s’occuper des morts= rituel différents) ( rituel de salutation) (ce qui est commun et ce qui change) - on s’intéressent à la communication (rapport amoureux en public) - origine de la vie en société, fondements du lien social ( ce qui fait que ca fonctionne ou non) - repose bcp sur Expérience de l’altérité (autre), s’étonner de ceux qui est familier, système de communication différent des autres, prendre du recul, comment faire pour rendre la chose un petit peu plus familiale -Humanité pluriel, diversité des cultures (vouvoiement)(mariage) , valeurs (tendance à diminuer ex= langue) (uniformisation) - Application ( anthropologie musicale, politique(forme et organisations de pouvoirs)) se trouve à la frontière de la sociologie et de la psychologie( état intérieur, difficile a déceler) Les 3 étapes du travail Anthropologique: 1)Ethnographie: enquête de terrain, observation participante ou non, filmique, photographique 2)Ethnologie: réfléchir sur ce quoi a vu +conclu (analyse du travail de terrain) 3)Anthropologie: généraliser des conclusions à l’ensemble d’un groupe ou de l’espace humaine étude du comportement des animaux= éthologie Anthropologie: Histoire= Antiquité -civilisation romaine= intérêt pour le lointain (coutume, histoire, climat) tentative d’une connaissance scientifique, on porte des regards différents ( peut être horrifié=cannibalisme) -relativité des cultures( à regarder dans un contexte, on ne peut pas l’isoler des pratiques) 1

-il faut la comprendre dans un contexte La renaissance: -époque des grandes découvertes, pratique complètement opposé de ceux qui se passe en Europe -refus/fascination de l’étranger -controverse de valladolid= image de l’animal, bestialité, determiner si ces gens sont des êtres humains ou non. -Beauté, naturel, bonté, simplicité -question des sauvages (montaine), dégout et fascination de la part des européens - si c’est des êtres humains, ils doivent être baptisé Le 18 eme siècle : les lumières: -on commence à étudier l’homme, comme objet et sujet de savoir -les explorateurs reviennent d’Afrique, on essaye d’en tirer des conclusions (méthode inductive) -pour comprendre l’homme il faut étudier l’homme -couple voyageur/philosophe qui écrit un récit de voyage capable de restituer ce qu'il c’est passé 19 siècle: grand siècle de la conquête coloniale: - Afrique, Inde, Australie - naissance d’une théorie qu’on appelle l’évolutionnisme (darwins ), théorie de l’évolution - prend comme hypothèse que tout les civilisations passent par 3 étapes mais quelles ne sont juste pas au meme point : - sauvagerie(économie de chasse, chasseur cueilleurs) - barbarie(invention de l’agriculture), - civilisation (commerce et industrie) - défend que toute les civilisations du monde passent par ces 3 étapes. - notion de l’ethnocentrisme: consiste à penser que notre niveau de développement est le meilleur et qu'il faut accélérer ou les autres sont coincées dans la sauvagerie - ramène des objets, «! sauvages! » qu’on montre dans les foires (cabinet de curiosité) 2 ème grande théorie : diffusionnisme ( vient d’Allemagne) Wilhelm Schmidt fin 19 debut 20 - développement par contact avec peuples plus avancés - culture se diffuse par contacte - mécanisme privilégié pour évolution humaine 2

- les cultures ne sont pas isolés, il y a toujours des relations Fonctionnalisme : Boas et Malinowsky : début 20 ème: naissance de l’ethnographie -cela peut être de l’observation participante (s’intégrer dans la tribu) -Boas insiste sur l’analyse de la globalité( si on veut étudier une culture, il faut étudier toute la culture) -pour malin : une coutume= une société -c’est pourquoi cela s’appelle le fonctionnalisme monographie: En sociologie, on peut le défi nir comme une étude approfondie limitée à un fait social particulier et fondée sur une observation directe qui, mettant en contact avec les faits concrets, participe de l'expérience vécue. De nos jours, le terme monographie est surtout utilisé lorsque l'on parle d'une «!étude exhaustive et large portant sur un sujet précis et limité ou sur un personnage. Le culturalisme Américain: Margaret Ruth et Ruth Benedict -influence de Freud: fondateur de la psychologie -la culture c’est la manifestation des conflits et de l’âme ( psyche) individuelle -il n’y a pas d’universalité des traits psychiques ( chaque homme est différent ce qui multiplie les differences) -Margaret étudie les rapports affectifs et sexuels - En europe tout ce qu’on attribue aux femmes, c’est l’inverse dans les tribus - Donc elle conclue que tout ce qui est attribué dans les sociétés est un concept social et genré. Durkheim et Mauss : début 20 ème -naissance de la sociologie, développement de la psychologie -Phénomène social total -la sociologie se trouve dans l’anthropologie -époque ou se développe notion d’observateur (qui va observer et ce qu’on va observer) -observation des cadeaux : dans toute les cultures on offre des cadeaux= mais quantité ou valeur est différente -il faut étudié la société -dons des cadeaux est qq chose d’universelle, comme se dire bonjour, Mauss: Début des préoccupations structurales -apport qui viennent de la psychologie, Structuralisme : Claude LEVI- STRAUSS -rupture -logique et variabilité de la culture 3

-quelles sont les invariantes culturelles? -lévira: lorsque le frère d’un défunt épouse la veuve de son frère: obligation dans certaines cultures -contraire du sorora - il ya donc des alliances hommes- femmes mais qui prennent des formes différentes(PMA:papa/maman) -l’invariance: la variabilité de la culture est multiple -position par apport à Dieu - met en place de structuralisme:Théorie selon laquelle l'étude d'une catégorie de faits (notamment en sciences humaines) doit envisager principalement les structures. - « connaissance globale de l’homme dans toute son extension historique et géographique; aspirant à une connaissance applicable à l’ensemble du développement humain, depuis les hominidés jusqu’aux races modernes; et tendant à des conclusions, [..] valables pour toutes les sociétés humaines, depuis la grande ville moderne jusqu’à la plus petite tribu mélanésienne » - LEVY-STRAUSS, C. - Anthropologie structurale, Plon, Paris, 1958 Godelier: « L’anthropologie s’est fixé pour objectif de découvrir, de comprendre et de faire comprendre les différentes façons de penser et d’agir, les diverses façons d’organiser la vie en commun des hommes et des femmes appartenant aux multiples sociétés et communautés qui coexistent aujourd’hui à la surface de la planète » GODELIER, M.- Au fondement des sociétés humaines, Flammarion, Paris, 2010 Anthropologie de la communication I)la notion de culture: culture: vient du mot latin cultivé (travailler la terre) -un être cultivée : que à partir de la moitié du 16 ème siècle -évolution dans la langue française -débat franco( ensemble des savoirs acquis et transmis par l’humanité) allemand(question de noblesse) - all: question de bonne manières, savoir vivre - pas seulement des aspect immatérielles: droit , religion, coutume - cela peut être des objets matérielles: smartphone, vêtement - dans la culture il y a des aspects voyant et d’autres qui ne sautent pas aux yeux - perception immédiate: arts, littérature, théâtres, tenue vestimentaire. - échappe à la perception immédiate 4

Tylor culture ou civilisation, pris dans son sens ethnologique le plus étendu, est ce tout complexe qui comprend la connaissance, les croyances, l’art, la morale, le droit, les coutumes et les autres capacités ou habitudes acquises par l’homme en tant que membre de la société. (la civilisation primitive- 1871) II) le développement du concept de culture -les raisons du succès outre- Atlantique (immigration importante, bcp de culture) - Malinowski et l’analyse fonctionnaliste: chaque culture constitue un tout coherent, tout les éléments d’un système culturelle. - l’école «! culture et personnalité! »:Benedict : notion de pattern of culture : types culturels (tatouages) - Margaret Mead: transmission culturelle: parent d’une culture différente, ce qui va faire qu’on s’imprègne d’une culture ou non, peut avoir lieu mélange culturel Durkheim: E. Durkheim : « l’éducation a [...] pour objet de faire l’être social » « On peut, d'ailleurs, confirmer par une expérience caractéristique cette définition du fait social, il suffit d'observer la manière dont sont élevés les enfants. Quand on regarde les faits tels qu'ils sont et tels qu'ils ont toujours été, il saute aux yeux que toute éducation consiste dans un effort continu pour imposer à l'enfant des manières de voir, de sentir et d'agir auxquelles il ne serait pas spontanément arrivé. Dès les premiers temps de sa vie, nous le contraignons à manger, à boire, à dormir à des heures régulières, nous le contraignons à la propreté, au calme, à l'obéissance ; plus tard, nous le contraignons pour qu'il apprenne à tenir compte d'autrui, à respecter les usages, les convenances, nous le contraignons au travail, etc., etc. Si, avec le temps, cette contrainte cesse d'être sentie, c'est qu'elle donne peu à peu naissance à des habitudes, à des tendances internes qui la rendent inutile, mais qui ne la remplacent que parce qu'elles en dérivent. [...] l'éducation a justement pour objet de faire l'être social ; on y peut donc voir, comme en raccourci, de quelle manière cet être s'est constitué dans l'histoire. Cette pression de tous les instants que subit l'enfant, c'est la pression même du milieu social qui tend à le façonner à son image et dont les parents et les maîtres ne sont que les représentants et les intermédiaires ». Source : Émile Durkheim (1894), Les règles de la méthode sociologique. Paris: PUF, 16e édition, 1967, chapitre 1, « Qu’est-ce qu’un fait social ? », p.20 5

III L’acculturation – Le concept La culture: « L’acculturation est l’ensemble des phénomènes qui résultent d’un contact continu et direct entre des groupes d’individus de cultures différentes et qui entraînent des changements dans les modèles culturels initiaux de l’un ou l’autre des deux groupes ». M.J.Herskovitz « L’acculturation désigne les processus complexes de contact culturel au travers desquels des sociétés ou des groupes sociaux assimilent ou se voient imposer des traits ou des ensembles de traits provenant d’autres sociétés. » (Dictionnaire de l’ethnologie et de l’anthropologie, Bonte-Izard) approfondissement du concept C’est un phénomène universel et constitutif des cultures.L’acculturation n’est jamais à sens unique. Trois types d’acculturations: Roger Bastide (sociologue français) distingue plusieurs types d'acculturation : • une acculturation spontanée quand les cultures sont en contact libre, • une acculturation forcée, organisée, imposée par un groupe, comme lors de la colonisation ou de l'esclavage par exemple • une acculturation planifiée, contrôlée, dans le but de construire à long terme une culture, prolétarienne par exemple dans les ex-pays socialistes, ou une culture nationale. 6 processus d’acculturations: - Intégration: on maintien son identité culturelle tout en adoptant la culture dominante - la syncrétisation :métissage culturel: combinaison en culture d’origine et la nouvelle - le multiculturalisme: cohabitation de plusieurs cultures sans qu’il y est d!assimilation ou de combinaison - l’assimilation: disparition de l’identité d’un groupe qui assimile la culture de l’autre groupe - la contre acculturation: le rejet de la nouvelle culture - la destruction systématique de la culture d’un autre groupe (ethnocide) (culture juive) -obligé les gens a parler tel langue( français avec les bretons) IV) Hiérarchies sociales et hiérarchies culturelles -les cultures de classe -meme si il y a une tendance à l’uniformisation il y a une difference entre les classes socials selon leurs mode de vie…" 6

Pierre Bourdieu : notion d’habitus: ensemble de pratique qui ont était incorporés sans sans rendre compte, très compliqué d’en sortir meme lorsque l’on s’en rend compte.(normes et valeurs) revoir la vidéo (la domination masculine) -culture populaire, culture dominante -culture populaire deviennent dominante (rap) 1)Quels exemples de domination H/F donne t’il? le salaire, les taches ménagères 2)Quelle définition de l’habitus donne t’il? voir plus haut 3)En quoi les dominations s’exercent deux fois ? 1 fois de manière objective (moins de femmes médecin que de femme médecins) et une 1 fois de manière subjective (charge mental: emmener le petit au médecin, preparer le gouter, mécanique) 4)Trouvez d’autres exemples «! d’incorporation et de somatisation de structure objectives: conduite hommes, femmes; sport; couleur; décoration d’intérieur. Edgar Morin et la culture de masse: - notion d’unité et de diversité humaine 1)Que veut dire Edgar Morin quand il parle de double identité? une identité purement biologique (animal) et une humaine qui est caractérisé par notre conscience 2)L’homo ludens est l’homme qui aime jouer souvent dans les sociétés ou les gens ne galère pas pour manger 3)cérémonies, salutation, language 4)une éducation à la diversité humaine, accepter ce que l’autre a à nous proposer, une ouverture d’esprit ( mais ou s’arrêtent la bienveillance? polygamie, existions) 5)Donnez un exemple ou vous avez «!rejeté!» quelqu'un à cause d’un aspect de sa communication? personne qui pue dans le métro. Les quatre caractéristiques fondamentales de la culture: 1) La culture s’apprend dès la naissance grace à la socialisation. 2) La culture permet à un groupe de se définir comme une identité collective particulière et distincte. ( nous par rapport aux autres) 3) La culture est déterminée par des conditions particulières, liées aux environnements physiques, techniques et sociaux, ainsi qu’à la disponibilité des ressources.

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4) La culture représente un processus dynamique, en constant changement (notre propre culture évolue et la culture de la société évolue en meme temps). Conclusion: -Nos manières de penser et de faire ne sont pas «!naturelles!», mais relèvent d’un construit social et culturel. -Les cultures ne sont pas figées mais en transformation constante. - El l es n e s on t p a s d es e nt i t é s h o m og è n es ni pa r f ai t e m e n t fonctionnelles.Certains éléments culturels peuvent être ou sembler contradictoires. -Les cultures doivent être pensées au pluriel, avec des modalités de cohabitation variable entre elles (hiérarchies, rapports de force, conflits, emprunts, réinterprétation de traits culturels). Anthropologie de la communication Les bases de la communications: voir diapo moodle Un carrefour disciplinaire, une polynésie du concept voir diapo moodle -le domaine de l’individu et du comportement - bcp de théorie de communication on étais tirés du domaine de la machine et de la technique Pourquoi communiquer?: -Découvrir -Connaitre -Partager -Persuader ou influencer -Nous amuser C’est aussi un besoin, tout les animaux et humains communiquent entre eux (assurer la survie de l’espèce) 1)Domaines d’etude de la communication - intra-personnel (communication avec nous meme) - interpersonnel ( relation avec les autres) - petits groupe - communication de masse communication interpersonnelle: -peut être directe( conversation en présence) ou médiatisée ( téléphone) immédiate (chat) pu différé (courrier). 8

-Emission et réception de signes (verbaux, gestuels, scripturaux) (paraverbale : ce qui accompagne les mots, articulation, ton, débit) -question de l’interprétation et du décodage. -compétence communicationnelle - importance de la dimension psychologique (on ne maitrise pas tout les elements, on ne peut pas tout comprendre) - notion d’écoute active ( s’impliquer dans la communication, notion d’authenticité et de bienveillance, empathie si on veut vraiment écouter quelqu’un) ( pour montrer qu’on écoute on envoie des feedback, regard, questions, interaction) Les 3 genres du discours dans la communication a un auditoire: voir moodle diapo à imprimer: La communication de groupe: -communication de plusieurs à plusieurs -domaine de la communication dans les organisations ou de la communication interne -resemble à la discussion communication de masse: -on cherche à diffuser un message 2) Une définition transactionnelle de la communication -transaction (bonjour ) -contrôle de l’environnement -prédictions -transaction fonctionnelle (passe moi le sel) -environnement sensoriel, perception, mémoire, système d’organisation, réponse (parfum) -un échange soumis à des règles -un besoin social premier impliquant la réciprocité ( si personne ne communique avec nous, on a l’impression de ne pas exister) -une nécessité -le lien -Survie, coopération, coordination -relation pragmatique et aléatoire Parler pour convaincre et persuader: les reflexions d’Aristote sur la rhétorique: voir diapo moodle à imprimer Plutôt dans le cadre d’une communication ou on cherche à convaincre: 9

Ethos: image doit correspondre à ceux que les autres attendent de l’émetteur (poissonnier avec tablier). Logos: tout ce que la personne va dire, les mots qu'il va employer. Pathos: construire un échange en utilisant des références, des sentiments. 3) Les modèles de la communication: A)Les informationnistes: Les premiers théoriciens de la communications, leur théories reposent sur la transmission d’une information. Ce sont les premières grande théories de communication • Premier modèle théorique contemporain • Role important: -dans la constitution des recherches en SIC -dans les recherches techniques -dans le grand public (modèle encore dominant bien que largement dépassé) • Etape importante de l’emergence de la communication: les études sur l’information • la théorie mathématique de l’information est née au milieu du XX ème siècle dans le cadre des recherches sur le téléphone. ( 1 ere compagnie au USA bell) - Cette théorie c’est surtout intéressé à comment on communique à distance. Harold D.Lasswell (1902-1978)( ingénieur qui bossait dans les téléphones) : réfléchit sur la propagande. Il donne à la sociologie des médias un cadre conceptuel. «!Propaganda techniques in the World War!»1927 son modele: Qui? Dit quoi? Par quel canal? a qui? Avec quel(s) effet(s)? • • En 1948 Claude Shannon(bell) (1916-2001) et Warren Weaver publient dans le «! Bell System technical Journal! ».La théorie mathématique de l’information sous titrée théorie du rendement informationnel. • Le modele de Shannon et Weaver : voir diapo moodle: -ils incluent la notion de décodage, car à l’époque les problèmes sont de régler les problèmes de transmission de l’information. -Ainsi que la notion de bruit, tout ce qui peut brouiller la transmission du message Le schéma de C.E Shannon: voir moodle diapo: Es ce que l’intention de la source si il y a, à était comprise par le destinataire dans une période de guerre.. 10

• Critiques: - c’est valable pour ce qui est de la télécommunication - sinon il est pas pertinents dans les interactions humaines, trop de défauts dans son application à la communication humaine: - pas d’interaction permanente - schema linéaire - pose les acteurs de la communication dans une situation binaire( émetteur ou/ puis récepteur ) - Le message lui-meme est une entité stable ne posant pas de problème - La notion de bruit est une valeur négative - Centré sur les échanges verbaux à l’exclusion des autres registres - Absence de contexte ( "

Aujourd'hui on parle de communication co-construite entre deux personnes. B)Approche sémiotiques, l’apport de la linguistique: Ferdinant Saussure (1857-1913) - Signifié: concept - Signifiant: face matérielle et perçu du signe - Référent: réalité physique ou objet, événement, action • Umberto Eco • Roland Barthes ( cours L3) Jakobson (1896-1982): les fonctions du language: Linguiste qui propose une théorie des fonctions du language à partir d’un schéma voir moodle …. -Fonction émotive : exprime la position de l’énonciateur, (verbe de sentiments, de jugements, d’appréciation..rol...


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