Arts visuel et contemporain - 4 Couleur et abstraction - Damien DELILLE PDF

Title Arts visuel et contemporain - 4 Couleur et abstraction - Damien DELILLE
Author Anne CLEMENT
Course Art contemporain
Institution Université Lumière-Lyon-II
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Summary

4e partie du CM d'art et culture visuel de Damien DELILLE, semestre 5 : 1850 - 1950 constituant la base du cours même cours de Madame Annie CLAUSTRES eu semestre 6 (1950 - 2000).
Le cours était très lourd, c'est pourquoi il est divisé en 4 parties, correspondant au découpage de son cours. <...


Description

RECONSIDERER L’ABSTRACTION (1890-1950)

I. II. III.

Mécanisme contre organicisme a) Radicalité contre productivité Nouvelles pistes.

Reconsidérer les origines de l’abstraction. Créer un langage comme un esperanto : langage parlé de tout comme une sorte de croyance dans une utopie. Langage unique et abstrait pour réconcilier les nations et les artistes. Forme d’utopie autonome et unique qui croisera les pratiques et les arts qui va être mit a mal par la 1ww. Unité des arts et des pratiques

Le Delaunay, entre poésie et peinture pure Orphisme employé par apollinaire pou qualifier la pratique de Delaunay avec cette fascination de la lumière. Il s’inscrit dans le cubisme mais pas dans la forme stricte, plus ouvert et a la fois national et aussi international : on tente d’exporter le cubisme fr. réflexion a travers diff expos autour de 1911/12/13. Va entamer avec des séries : Série de la tour Effel années 1910/11, cubisme urbain, et comment la modernité va influer dans ce regard sur le monde urbain en mvt. *Tour Effel 1911 : idée de chaos urbain, juxtaposition de diff points de vue et de logements parisiens ouvrent le champ de l’espace a d’autres pt de vues. * les fenêtres simultanées sue la ville 1912 : rupture avec cette réalité urbaine. Ne reste que des facettes et des carrés. Sorte de trame régulière, va être dans le cadre mais aussi sur lui. L’ouverture de l’espace arrive à son paroxise en sortant du cadre. Dans ce contextes l’idée est de simultanéité : comprendre comment les contrastes lumineux s’inscrivent dans un mvt. Fondé sur les pistes scientifiques et optique à partir de chevreuil et de la diffraction e la lumière, par un effet circulaire à partir des théories optiques, avec l’apparition de l’arc en ciel qui apparait par diffraction. Va aussi créer un nv langage en disque ! : *premier disque simultané 1313-14 : couleurs qui créer le contraste, idée que le cercle crée un mvt, avec une impression de vibration lumineuse. *formes circulaires 1930 : va poursuivre ses réflexions autour de ce disque et de dynamisme de la couleur et le mvt de la forme, qui s’inscrit dans de nbses commandes qui dépassent le stade de la peinture notemment pour des décors mais aussi des peintures qui vont s’inscrire dans l’espace et dans des espaces particulier (théâtre, decors Int) qui va marquer sa carrière, sans un contexte de l’entre 2 guerres avec les progrès de la mécanisation qui marque l’imaginaire de ses artistes. =ses 2 séries permettent de réfléchir cette vibration colorée. Il ne faut pas oublier sa compare : Sonia Delaunay Dialogue avec les arts. Elle travail en // de son mari. Dialogue entre art et littérature. *la prose du transsibérien et de la petite Jehanne de France 1913 : poème de de Serdârs et elle va transcrire cette prose en couleur avec a la fois le texte, sorte de dépliant avec texte et couleur : sorte de traduction visuelle ou plastique de ce poème et de ce train qui traverse les territoires de Sibérie. Obsession du mouvement encore ! poser des mots sur une expérience et d’y accoler des impressions colorées. =mouvement, voyage qui doit s’inscrire dans le visuel par la couleur. On tribut à cette tentative d’unité recherché. D’autres vont enrichir Delaunay :

Sonia s’adonne à un pratique textile qui va dev diff formes, au départ sorte de plaid, sorte de couverture simultanée qui devait tenir chaud a son fils. Puis elle va s’adonner à des réflexions a des motifs géométrique ap guerre avec la prod de tissus qui s’inscrit dans ses réflexions de formes abstraites. *robes simultanées 1920 : coloré et épuré. Collaboration avec une soierie lyonnaise. Elle crée des robes mais aussi des costumes de théâtres, qui l’amènent à réfléchir à cette question d’unité avec de la peinture en textile !

Kupka et la musicalité Va faire partie de cette scène cubiste aux cotés de Delaunay et va faire partie de la sphère française (même s’il ne l’est pas). Il s’intéresse à d’autres connections entre les arts entre musique et peinture avec par exemple des touches de peintures : *touches de piano 1909 : traduire la musique qui est un langage abstrait en peinture ! la musique n’est pas mimétique. S’inspire de cette piste abstraite de la musique qui est abstraite. Il s’inspire du son mais aussi des vibrations sonores et les effets de sensations qu’elles procurent. On a les touches en bas avec des doris et qui peu a peu se détache de l’instrument pour communiquer avec des impressions colorées qui sont probablement celles d’un bord de lac fleurit. Il tente d’unifier cette impression musicale avec cette expérience face a un espace naturel coloré. Frise l’abstraction = traduction de vibration musicales colorées. Se rattache aussi aux expériences scientifiques : *les disques de newton 1911 : rechch chromatique dandy ses cercles concentrique avec une fusion des formes. Réflexion optique, sapait sur des bases scientifiques et se détache de la conception scientifique a une sorte de psychophysique de la couleur (compréhension psychologique du colleur et de ses contrastes). Traduire des sensations : que ses osait musicale ou scientifique. *Amorpha fugue en 2 couleurs 1912 : considéré comme une des 1 e œuvres abstraites. Très compliqué à cerner. Fugue des couleurs avec les croisements chromatiques. Dans ce contexte les rechch musicales et chromatiques le mènent dans cette abstraction. Pilier de l’art abstrait qu’on avait déjà chez Delaunay. Réflexion de ses effets colorés sur notre vision

Leger et Picabia, houmous et modernité Vont s’inscrire dans ses pistes cubiques. Leger s’inscrit dans braque et Picasso par des volumes cylindrique qu’il va puiser dans ses diff réflexionna la ville Ey au monde urbains et aux objets de la modernité *contraste de formes 1913 : va s’éloigner de la rpz du réelle avec des volumes assez simples, avec l’adage de cétane, le cône le cylindre et la sphère qui est réintroduit ici. Sauf qu’il produit de nbses séries, mais l’idée est d’évoquer le chaos urbain qui est dissonant au niveau des volumes mais de rechch d’union t d’harmonie dans les couleurs utilisées (rouge bleu jaune) marqué par le contraste et les effets de respiration blanche. *les disques dans la ville 1920 : obsession du disque encore, qui va rythmer l’espace urbain dans une limite qui semble abstraite composée de formes assez simple de disques qui tournent. En haut peut être des humanoïdes ou robots qui montrent une présence. =fasciné par ce monde en mvt urbain et dynamique et c’est là qu’il puise ses compos au langage abstrait. Francis Picabia : Très connu pour son appartenance a dada. Mais moment cubiste qui mené à ses voies de l’AB. Il s’inscrit dans le cube de putto (qui montre et réfléchissent à putto avec les Duchamp) mais va produire un cubisme plus lège, moins sérieux et qui va lui permettre de réfléchir a des formes abstraites sans qu’elle soit issues du cubisme.

*caoutchouc 1909 ; effet dynamique des disques et la juxtaposition de diff plans, beige et gris qui rappel toutes les toiles cubistes de l’époque. Propose une forme innovent qui va être pensée co une forme abstraite mais a postériori puisqu’elle disparait et réapparait avec Alfred Barr en 1936 (conservateur du Moma). Quand elle réapparait bcp de débats à propos de ça. Sorte de curieux débat. Réflexion de l’abstraction avec cette toile abstraite : *Udine 1913 : datée cette fois précisément. Autre dialogue de la peinture et d la danse. Se rend aux usa en 1913. Assiste à un spectacle de danse indoue avec une actrice polonaise qui reprend les effets de dynamisme et de mvt dans les jeux de courbes et de contre courbe dans un langage abstrait. Effet musical qui se ressent. Le titre reste une gde question, mais le sur est qu’il joue avec le publique avec un mot valise qui joue avec le publique qui correspond bien avec son lien a la peinture assez lege. =mettre sur la toiles les impressions dansées et musicales.

Mondrian et Néo-plasticien Très marqué par le cubisme fr (il vient des pays bas). Progression très intéressante. *arbre rouge 1908 ; contraste expressif de la couleur sur le paysage. Lié a une forme de spiritualité qu’il développe dont il témoigne dans ses écrits. Adhésion dès 1909 a la société de théosophie qui va marquer certains artistes. Il y trouve une dimention spirituelle de l’art qui élevé l’homme et sa conscience et son statut matériel vers un immatériel. Cette élévation de la conscience et de l’amé il la retrouve dans le paysage et la nature. Cette réflexion sur la puissance créatrice de la nature dans l’union de la nature, ses acines et le monde. Va tenter de comprendre comment traduire ses elements naturels par une certaine simplicité, une stylisation des formes qui le conduisent à une forme qui se réduit à un lange de courbe par la suite : *arbre gris 1912 : langage Siple qi incarne l’élévation de la théosophie. Simplifie au maximum, va le conduire vers un langage radicalement abstrait. *pommier e fleur 1912 : qq elements qui structure mais elements épurés, il n’y a plus de diff entre le ciel et l’arbre, sorte de fusion sans espace tangible, mais espace de la peinte. *composition de couleur, façade 1914 : il a franchi le seuil de l’abstraction par un langage de lignes régulières. Autre aspect qui l’obsède c’est la couleur : comment arriver à simplifier encore plus ? on réduit la gamme chromatique. Couleurs de plus en plus franches. *composition en plans de couleurs 1917 =on part à des courbes et des contres courbes avec les arbres, puis réflexions sur les couleurs avec la façade pour mener à des « composition » (titre) qui l’encrent dans l’art abstrait. Il réfléchit autour de 17/19 a une pensée qui traduise sa démarche, c’est celle du néo plasticisme qu’il met en place dans des textes en tant que théoriciens à un langage de la peinture autonome. De nbx écrits *tableau : rouge noir bleu jaune 1921 : en 19 il arrive à paris lui permet d’abouti sa réflexion en réduisant au minimum. Planéité de la toile et de la couleur, qui s’inscrit dans une réflexion autour de la couleur. = cheminement spirituel autour d’un langage propre.

II. Radicalité contre productivité Contexte russe et allemand cette fois

Kandinsky et le spirituel en art Bcp de phases dans son travail. Il passa à Munich et en retient la stylisation des figues et la spirit. Rapport entre abstraction et l’ornement.

Walter Crane « tree of typical pattern forms, units and systems » in the line and form 1902 : reflexion de l’ornement dans les arts deco qui se dev differement en fonctin des cultures. Motifs anciens viennent d’une forme très simple qui sont celle du carré ou du cercle qui sont abstrait oet géo et qui va encrer l’abstraction. K réfléchit à Ss formes abstraites et va montrer que ses formes décoratives qui vont être théorisées en histoire de l’art par Wilhem WORRIGER (1881-1965) « abstraction et empathie » et Alois REIGL (185-1905) = vont réfléchir à cet ornement au même moment mais sans se connaitre. On est attiré par ses formes pourquoi ? ils expliquée qu’il y a un effet d’empathie = relation directe qui caractérise l’abstraction. Rapport aux styles et aux ornements qui permet d’expliquer pourquoi les diff clues vont être obsédés par des formes simple. K réfléchit à un langage abstrait qui pourrait communiquer par effet d’empathie avec le publique. Réflexion sur les formes simples sur la psychologie, comment elles sont pensées par le publique, ile tente de creuser cette réflexion par des formes vraiment abstraites. Des sérés le libèrent de la réalité. Sauf que, il y a des formes abstraites. Or la peinture ne doit pas être qu’ornementa ive, elle doit avoir une signification spirituelle. Il l’écrit dans « du spirituel dans l’art » doit avoir une force spirituelle qui différenciât la peinture a la réflexion spirit. 1910 découvre la musique atonale, à partir de cal, cette force spirituelle et musicale, met en place la série des impressions. A la fois des formes abstraites : *impression III 1911 : effet de taches colorés, celles de ses sonorités colorées qui le fascinent qui l’ont fait entrer dans l’espace de l’opéra qui l’ont mis en empathie avec la musique. On a encore plus ou moins des formes d’humains. =Source formelle de réflexion sur l’empathie, et réflexion spirituelle. On sait aussi qu’il erat affié à la théosophie. *avec l’arc noir 1912 : ponctue la musique dans un dialogue et une unité entre les arts. 1 e toile abstraite. Les séries à partir de 1911 : impressions, puis 1909-14 improvisations, 1910compositions. Marqué par des formes de ressentis perso *ovale blanc 1919 : concrétise, question de biologie d’après-guerre avec une réflexion sur glapissante de la couleur avec impressions de couleurs et de courbes. La réapparition d’elements figuratifs, Montagne, soleil qui donne une impression. L’art abstrait n’est pas la fin, c’est une étape a un retour à la figuration.

b) La suprématie de Malevitch à Larionov et Porpora Les perdants ne vont pas jusqu’au bout au niveau des cubistes ! *nature morte a la chaise cannée de Picasso : signes linguistiques par les lettres. Mais aussi cette toile cirée collée. Avec ces objets trouvés. Certes ne partent pas dans l’abstraction mais vont influencer par la suite. Notemment avec les papiers collés de braques, avec un pratique de plus en plus marqué par des éléments matériels d’objets découpés et collés. Effets de matières et de textures qui permettent de réfléchir à une matérialité de la textuel de la matière et des formes mais aussi des impressions colorées des matériaux. Brefs ils passionnent la nvlle gé d’artistes russe qui vont marquer leur travail. Diff expo vont marquer cette expo autour de 1910/12. La 1 e 1910 : David BBBBBB Malevitch. Manifeste va être publier pour montrer qu’ils s’inscrivent dans la veine fr du cubisme mais aussi dans une autre veine italienne des futuristes. Rupture avec le contexte académique russe pour un cubisme lié au futurisme. S’inscrivent dans cette lignée de l’Europe de l’ouest. A partie de 1913, un nv gpe d’artistes se revendique dans le « cubo-futuriste ». *Malevitch un anglais à Moscou 1914 : mentionne sa réf au cubisme avec les signes linguistique, russe et occidental avec une autre interprétation du cube et futur. Le mené à travers une dynamique imp par les flèches, les diff signes juxtaposés du futur. Elements du quotidien, juxtaposition ds diff réf ! mais aussi gamme colorée bcp plus riche que les cubises ! il est dans cette boule veine qq chose de personnel et de cube. Puis c’est lui qui théorise les cubo futuristes.

*l’aviateur 1914 : thématique des futur, spécificité c’est celle des formes pleines et VOLUMES arrondis de cônes. Idée de dynamique marqué par les formes géo juxtaposés. 7va s’inscrira dans de nixes expo avec d’autres artistes : Lioube Porpora, va aller à paris et voire le travail es cubistes ! expo du Vallet de carreaux ils vont faire venir des œuvres fr et donc vont tré diffusé en Russie. Même type de compo ! ascendance cubo futuriste. Réinterprétation du lange cubiste ! *étude pour un portrait 1914 Collabo très imp entre proposa et Mikhail LARIONOV : *une rue avec ds lampes 1913 : le titre encre dans le réel mais on perte toute figuration ! interprétation du cubisme et résulta de la collab entre ls 2 artistes. Effets de rayons dynamiques qui sont à la fois inscrit dans un dev futur, mais qui avec lui s’inscrit dans un art abstrait. Il dev un langage qui lui es propre : le RAYONISME. Etablit très clairement et théorise ! forme de lumière Tdd couleur très vive qu’il met en place dans les 1911. Traduction de la lumière mais profondément abstrait. *rayonnisme rouge 1911. Malevitch : = groupe unis du cubo-futur qui prennent ensuite diff direction : ici on se concentre sur la couleur Male par t dans le SUPREMATISME avec une rigueur géométrique qui nous rappel les Cu et fu avec une pureté géométrique. Sauf qu’il va réduire ses formes à l’essentiel à partir de formes suprêmes qui sont le carré et la croix *croix noire 1915 : prend une forme particulière. Forme de spiritualité imp ! rechch de forme LIMITE !!! *carré noir /blanc sur fond blanc : réduit le langage a sa pure expression : FORME IMMATERIELLE DE L’ART, forme qui le mène aux monochromes ou il traduit de manière RADICALE cette quête spirituelle a un degré 0 de l’objets uni témoigne d’une sorte D’ABSENCE DE L’OBJET ! il ne faut voie que la surface de la toile. Qualité matérielle des blancs qu’il faut prendre en compte. En tout cas réflexion engagée par Picasso dans les rechch de textures. « Au-delà du 0 des formes » expo futuriste « 0.10 » 1915-16 Sait Pétersbourg Faire jouer l’espace dans un nv champs habiter, on a tout e qi est autour de la toile on a une œuvre a la jonction du mur : c’est le contexte de la toile qui va devenir le nv terrain de jeu des artistes ! b) Le constructivisme : Tatline et la sculpture : *conte relief 1915 Question de la productivité russe. Va réfléchir avec Malevitch au suprématisme. Produit ses contre reliefs à l’expo 0.10. FAIRE PARLER DES MATERIAUX leur texture : interrogation sur le langage du matériau et des textures par l’espace « bavard « du coin ! vide de la pensée qu’il veut invertie qui occupent les coins de l’expo. La sculpture prend cette réflexion de l’espace sauf qu’il va prendre ses distances avec Alevi, qui se radicalise, alors que lui va aller vers quelque chose de plus politisé, par adhérer ou pas par le projet de l’union soviétique du communisme. Il adhère : *projet de monument 1921 : traduction dans l’espace du dynamisme. 3 niveaux de connes, et rampe circulaire dynamique.

SEANCE 12 : le modernisme, entre réalisme et abstraction Passage des avants garde européennes a l’expressionisme américain autour de Greenberg. Pasaage important. Différents moments dans leurs conceptions et surtout comment elles s’inscrivent sans une rupture vécue l’histoire figurative et qui cst pls siècles d’histoire de l’art. liens qui va se mettre en place entre ls arts visuels et d’autres arts, notemment autour de ce que l’expo son et lumière au centre Pompidou, MEGANE

I. Les images mécaniques a) Son et lumière Voire comment les pratiques abstraites étaient marquées par d’autres réflexions. Réflexion par les futuristes qui dans les 1910/13 se sont amusé à appréhender les bruits autour du manifeste futuriste de « l’art des bruits ». On privilégie l’expérience. Des 1913 on identifie 6 cathégorie de bruits autour duquel les futuristes vont se ctr : grondements, sifflements, murmures, stridences, bruits de percutions et les voix (d’animaux et d’homme). Ensuit autres sous-catégories. Craquements, bourdonnement … comment renégocier l’apache musicale en or d toutes considération culturelle. Machines et laboratoire des bruiteurs futuristes. Dialogue important car ils sont les 1e à toucher vraiment tous les domaines. Va mener à des correspondances ; *Luigi Russello, dynamisme d’une automobile 1913 : bruit urbain, beauté de la vitesse de l’automobile et donc trad visuelle d’une dynamique de voiture. Pour eux une manière de célébrer la modernité et des elements sonores en images. Impression sonore, de vitesse traduite dans ses Ayres types de compo par des lignes de forces *Giacomo Balla, vitesse de l’automobile, lumière + bruit 1913, qui rapproche des travaux russes. Ils assoient des le début du 20 cette nouvelle piste et de nbx autre vont poursuivre *Oskar fischinger 1938 : l’idée est de traduire visuellement la musique classique. Enjeux inversés il produit une poésie visuelle abstraite avec des formes abstraites de cercles qui suivent les tonalités musicales. 1 e cinémas d’animation. On voit comment on saute le pas. Une trame abstraite qui va concevoir des films qui s’inscrivent dans une traduction du mouvement coloré. Fiessinger est allemand et formé dans un contexte berlinois, puis en 36 il part aux Esa et crée se poème. Il va collaborer avec Walt Disney sur fantasia, il est celui qui initie cette forme profondément abstraite dans le film. Il travail sur qq musiques. On voit l’influ de cette répétition abstraite dans les planches de fantasia, mais évidemment elle va rester très narrative et figurative. Fiessinger sera très déçue et ne pas être mentionné. b) photographie et abstraction objective *Laszlo Moholy-Nagy balcons du bahaus 1926 : au cœur de la photo et du bahaus. Il réfléchit à une photo faite de tout ce qui cst le...


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