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CM7 La France de Louis XIV

Louis XIV et la société de cour

Introduction : La cour est sortie de la petite histoire avec un sociologue allemand mort en 1990, Norbert Elias. 1933, livre parut en 1969 : La société de cour. Il y explique que la cour est instrument de contrôle et de dressage social. Sorte de contrat gagnant-gagnant. Saint Simon dénonce le modèle de cour qui humilie la noblesse (vision longtemps gardée). Norbert Elias dit que les nobles sont content de venir. Ce n'est pas une soumission sans condition ; Cour source du pouvoir dans la monarchie absolue, pas seulement admiration. Grande noblesse de la cour qui occupe de grands postes. Les nobles n'existent pas s'ils ne font pas parti de la cour (politiquement et socialement). La cour est aussi un lieu d'acculturation : lieu de dressage social et culturel. On va y apprendre les bonnes manières « civilisation » : les bonnes manières de bien se comporter en société. C'est sous Louis XIV que la cour s'est affiné selon NE. Changement de mode de vie : savoir se maîtriser (ne pas cracher par terre, cacher ses émotions...), aussi la culture de l'esprit ; S'intéresser à tout, pas seulement à la guerre. Les arts. L'idéal de l'honnête homme. NE a été critique : pas utilisé assez de sources. « civilisations des mœurs », problèmes chronologiques. D'après lui, c'est la noblesse qui a civilisé la société. Pleins d'études se sont inspirés de Norbert Elias Le Versailles de Louis XIV Mathieu Da Vihna. La cour a-t-elle été un instrument de domestication de la noblesse ?

I) Le roi à la cour : un spectacle quotidien 1) L'héritage curial a) Un phénomène européen Louis XIV n'est le fondateur du système de cour. Louis XIV a hérité d'un système de cour. Le modèle européen est les cours italiennes du XVème siècle. C'est là que le système a commencé. Nobles, artistes, courtisans... Développé en France sous François Ier. La cour est passé d'un millier de personnes à … Changement de format.

1er règlement de cour : tout est défini (passage du roi, qui est où à table...) en 1577. Très réglementé. La cour a un peu décliné sous les premiers Bourbons ; Henri IV aimait qu'on lui parle de manière un peu gauloise. Pas toujours très bien habillé chez lui... Cour qui s'est restructurée sous Louis XIII, mais manquait un peu de prestige à l'échelle de l'Europe. Louis XIV a beaucoup repris de Philippe IV. Cour espagnole beaucoup plus rigide qu'en France. Les grands sont hiérarchisés. Le roi espagnol est beaucoup plus caché, pas le droit de l'approcher de plus d'un mètre 50. Roi habillé de noir, impassible... Levé et couché extrêmement règlementés ; Pour les audiences, parcours... Cour d'Espagne la plus prestigieuse en 1661. En 1715, Louis XIV a fait de la cour de France jusqu'en 1789, la plus prestigieuse d'Europe.

b) L'infrastructure curiale L XIV n'a rien inventé. Le roi est entouré d'une garde rapprochée Maison militaire du roi. 10 000 hommes à la fin du règne. Séparée du reste de l'armée, mais hommes qui font aussi la guerre, servent en réserve, troupes d'élites (massacrées en 1709). Plusieurs corps : plus connus, mousquetaires. Le capitaine des gardes du roi est toujours à côté de lui. Régiment de gardes suisses. La Maison civile du roi : officiers qui s'occupent de la vie quotidienne du roi. Clergé, roi à la tête d'un mini diocèse. La Chaise, jésuite. Près de 200. La Maison bouche : maîtres d'hôtels, un qui pose la fourchette, un autre le coteau (manière d'avoir beaucoup d'officiers). La Maison de la Chambre : valets de chambre du roi (rangement des affaires, l'aide à mettre sa chemise) ; Intimes du roi car il leur parle... Premier valet de chambre pendant longtemps : Bontemps. Très puissant à la cour. Avait l'oreille du roi. Les écuries, vainerie (pour la chasse). Médecins (12, sous la direction d'un Médecin). Cour itinérante pendant plusieurs années. Roi qui ne réside plus à Paris après 1671. Saint Germain en Laye (1666 à 1674), résidence préférée où il a grandit. Fontainebleau (pendant l'automne, période de chasse et nettoyage de Versailles) Également Versailles. En 1671, le roi s'est beaucoup déplacé. La cour se fixe à Versailles en 1682, ce qui a simplifié la vie de la cour. Gestion beaucoup plus facile. 2) Le roi centre de la vie curiale a) La mise en scène ordinaire : une journée réglée

Saint Simon disait que selon l'endroit où était le roi, on savait quelle heure il était. Rigidité avec Versailles. Le levé du roi, premier grand moment de la journée. 8H, premier réveil avec le premier valet de chambre. Le médecin et la nourrice rentrent. Examen du médecin, présence maternelle. Grandes entrées. Grands personnages du royaume. Dauphin, famille, grands nobles. Réglementé. Puis petites entrées. Courtisans autorisés. Fétichisme, mais roi incarnation du pouvoir. Vérification que le roi est en bonne santé. Petite prière. Matinée : travail, temps dans son cabinet. Ministres ou ambassadeurs qui viennent le voir. Ensuite il va à la messe. Qui lui permet d'être bien guidé pour le conseil. Conseil. Dîner de 13h, petit couvert, le roi mange seul. Va travailler (audiences ou travaille en cabinet). 17h, recommence la vie publique : Chasse, promenades avec les courtisans. Toujours un thème dans ses promenades. Grand couvert de soir, le roi mange avec des gens de sa famille et les gens ont le droit de voir le roi manger. Duchesses ont le droit de s’asseoir. Vérification que le roi se nourrit bien. Fonction politique. On vérifie que le roi ne se laisse pas mourir. Soirées Couché, ordonné, retire petit à petit. Prière...

b) Le roi ordonnateur des plaisirs de la cour Le roi est le cour de réjouissance ordinaire ou extraordinaire. Tous les soirs, le roi organise des divertissements dans ses appartements. Danse, billards, tables de jeux. Cérémonial adoucit, roi plus accessible.... Louis XIV aimait organisr périodiquement de grandes fêtes. Aimait forgé l'idée que tout vient de lui (on s'amuse, c'est grâce à lui). A organisé 3 grandes fêtes à Versailles : Les plaisirs de l'île enchantée en 1664, Louis XIV, vouait effacer la fête de Fouquet. Le sujet est le Roland Furieux, roman de chevalerie de la fin du XVème siècle. Alcine est une magicienne qui prisonnier Roger... Louis XIV, marié et avait une aventure avec Mme de la Valière. Contre la reine, double lecture. Le premier jour, défilé des chevalier, course de bagues... Victoire de Roger. Musique. Le 2ème jour, Molière, la Princesse d'Elide. Un jeune prince amoureux d'une princesse qui l'ignore. Le 3ème jour, Roger parvient à s'enfuir.... Feu d'artifice à la fin, on tue les monstres. Roi acteur des spectacles organisés. En 1668, organise un grand divertissement pour la guerre de dévolution, Le Grand Divertissement. Les Divertissements en 1674, en pleins milieu de la guerre de Hollande. Spectacle de 6 journées. Torches allumées sur 5 km de torches. Montrer la générosité du roi. Fin des grands divertissements sur plusieurs jours. Fêtes d'un jour en dans les années 1690. La cour est devenue ennuyeuse en 1700.

II) Autour du roi, la société de cour 1) le monde des courtisans a) Les trois strates de la société de cour Le premier cercle est la famille royal. Présence imposée. Reines qui ont leurs propres maisons à la cour. Anne d'Autriche meurt en 1666. Retirée au Val de Grace en 1661. Marie-Thérèse, très marginale à la cour. Près de 900 personnes. Très très mal acceptée à la cour. Accent espagnol, le roi la trompe, la trouve moche, l'humilie, la maltraite. En 1673, il renvoie ses servantes espagnoles. En 1678, lui interdit d'aller au couvent des carmélites. Elle meurt en 1683, et il aurait dit « voilà le premier chagrin qu'elle m'ait causé ». Les enfants : Louis de France, dit Monseigneur, éduqué pour régner. (1661-1711). Une fois son instruction terminé, le dauphin se ventait qu'ils n'ouvrirait plus aucun livre de sa vie car son éducateur l'avait dégoutté. Entre au conseil en 1691. Prend petit à petit ses distances avec la cour, va souvent à Paris, fuit son père. Les enfants du Dauphin, petits enfants, duc de Bourgogne, fils ainé. Louis XIV l'adorait. Aurait du gouverner mais mort en 1712. L XIV avec reporté tous ses espoirs sur son petit fils. Autre fils, futur roi d'Espagne. Les princes de la cour, Monsieur, frère du roi, Philippe d'Orléans. Louis XIV se méfiait de son frère et faisait tout pour l'humilier. En 1673, Philippe d'Orléans a gagné une bataille rangée, le roi l'a rappelé tout de suite, jaloux de cette victoire. Mort en 1701. Autres bourbons : princes de Condé : absentéisme. Ont leur propre cour. Le duc de Vendôme, issu de la Branche d'Henri IV, anti-courtisans. Grand chef militaire. Son statut le protégeait de la disgrâce. Savait que son son cousin ne le renverrait jamais. La belle-soeur : la duchesse d'Orléans, L XIV se moquait d'elle. Secrètement amoureuse de son beau frères. A laissé près de 40 000 lettres. Dite « la Palatine ». Philippe II d'Orléans.

Les secrétaires d’État, et le deuxième cercle. 3ème cercle, les officiers. Tous les courtisans officiers sont des nobles. Grande masse. Près de 2000 offices à pourvoir. Certains sont courtisans sans office, les Momontrency... Dès qu'ils le peuvent, cependant, ils prennent des offices. En dernier lieu, des occasionnels fréquentent la cours. Le palais de Versailles était ouvert la journée. Pour entrer il faut avoir une épée sur le côté. Loueur d'épées à

l'entrée de Versailles. Madame de Sévigné, qui écrivait les lettres. Résidait à la cour 3 semaines par an. Avoir un office est important, dans le sens où, il permet d'avoir un logement de fonction et donc de résider à la cour. Tous les domestiques du roi sont des nobles. b) Une communauté de valeurs et de comportement Être courtisan, est une art de vie. Castoglione, ouvrage : Le courtisan. Explique comment bien se tenir en société... Manuel de savoir vivre pour le courtisans. Date de 1528. Le manuel le plus connu en France est celui de Callière : De la Science et du monde. Le chevalier de Méré : Discours de l'Esprit. L'objectif de courtisan est de plaire au prince et aux autres courtisans. Fuir la corruption, servir le roi, ne pas vexer les gens... Se décline en 5 types de comportements : – La tenue – Le maintien droit, on ne valorise pas la force brutale, emmaillottement des enfants, savoir monter à cheval, l''escrime... Manière de maîtriser son corps. – Culture générale mais ne pas être érudit. Se servir de ses connaissances pour converser. Connaître des citations, s'intéresser aux expériences de science qui viennent d'être faites, s'intéresser à tout. Ne jamais étaler son savoir et ne jamais mettre quelqu'un dans l'embarras. – La langue et la parole : la conversation. Qui ne doit pas être ennuyeuse. Arriver à une synthèse entre les points de vue de tout le monde. Courtois et écarté, civil mis en avant. On ne sert pas le dessert, on sert le fruit. Maîtrise d'outils. Manuels de conversation – La piété chrétienne. Le courtisan doit être pieu et aller à la messe tous les jours si possible. A la cour, un faux dévot est grillé. – Le service du roi. Le courtisan est à la cour pour servir le roi etc....

2) Pertes et profits de la vie curiale : l'apogée versaillais a) Accepter la promiscuité Les gens sont très mal logés à la cour. 6700 personnes résidaient à la cour lorsque l'on fermait les portes. Plusieurs types de logements : logements de fonctions et d'autres offerts gracieusement par le roi. Qui les loge en fonction de leur service etc. Un général qui gagne une grande victoire, le roi lui met 3-4 pièces d'un coup. Travaux permanents... Cuisines dans les petites chambres... Mauvaises odeurs. Dorment dans leur deux pièces au château et vont chez eux, dans leur hôtel particulier par exemple dans Versailles, se changer le matin etc. Courtisans très mal nourris. Soit les courtisans vont acheter les restes des repas officiels, des repas devant les grilles de Versailles... Déploration, mais grandeur.

Mauvaise hygiène. Le bain est souvent vu comme médical. L'eau est censée abîmer les pores de la peau. On préfère la toilette sèche. Les gens changent de chemise deux fois par jour des fois. La vie à la cour coûtent environ 15 000 livres par an. Un grand courtisan qui vit bien c'est environ 50 000 livres par an. Grande sélection sociale. b) Une présence profitable Très dégradable, mais aussi profitable. Les courtisans sont très heureux d'être près du roi. Système de récompense très important. Les pensions et gratifications sont données aux courtisans proportionnels au rang du courtisans. Pour les petits nobles le roi ne va pas donner grand chose. Mais 200 000 livres à son frère. Et donne des gratifications à des nobles dans le besoin, rembourse aussi leurs dettes, s'ils ont rendu service au royaume. Tous les militaires, lorsqu'il n'y a pas de guerre arrivent l'hiver. Il faut être à la cour pour exister. Prestige social, politique. Certains courtisans ont été renvoyé. En 1665, Bussy-Rabutin, noble bourguignon. A écrit un histoire amoureuse des Gaules. A la Bastille pendant 13 mois, puis exilé sur ses terres. Nul militairement, mais le roi l'aimait beaucoup. Parvient à revenir à la cour. Le duc de Lauzun, bon militaire. En 1668, réclame une charge de gouverneur en Province, le duc se défend. Louis XIV, s'est mis en colère et lui a ordonné à la cour. L'a enfermé pendant 10 ans. En 1692, le roi l'a autorisé à revenir. Roi intraitable envers un courtisans qui ne respecte pas les règles. III) Dérèglement et limites d'un microcosme 1) Les limites de la civilité a) Les désordres du roi : les maîtresses Roi qui a une hyperseualité. Pas seulement anecdotique, presque consubstansuel à la monarchie absolue. La Palatine en 1680, écrit une description du roi disant que tout lui était bon, du moment que c'était une femme. Louise de La Vallière, a début des années 1660, maîtresse pendant presque une dizaine d'années.

La Marquise de Montespan, issue de la très haute noblesse. A une relation avec le roi à partir de 1667. A eu de lui 4 enfants, deux fils et deux filles. Ici encore, le roi s'expose aux attaques des religieux. Ne communie pas à Pâques car se considère coupable. Pendant tout son règne, le roi éprouve une culpabilité (société qui s'oppose aux adultères). A partir de l'affaire des poisons, 1679, le roi se débarrasse de la marquise. En même temps qu'elle il y a eu Mme de Fontanges. Mme de Maintenon, s'occupait des bâtards du roi. Le roi commence à s'intéressait à elle, à la vue de Mme de Montespan. Mme de Maintenon, éduquée dans le calvinisme. A épousé Scarron, infirme (lui ou le couvent). Le roi l'épouse en 1683. Le roi aurait eu quelques aventures par la suite, mais elle l'aurait canalisé. Louis XIV a ensuite dû caser ses bâtards. Il les a reconnu et légitimer. En 1694, Louis XIV les fait reconnaître. En 1714, il a même replacé ses bâtards dans l'ordre de succession. Véritable coup d’État. N'avait plus que deux héritiers, et fait donc reconnaître ses deux fils bâtards. Mari ses bâtards au Bourbon, avec des cousins lointain. Le duc du Maine en 1715, s'est retrouvé exclu par le régent, car bâtard, était pourtant bien placé dans la régence. Les membres de la famille choisit ont été contraint d'épouser les enfants bâtard du roi. Même si c'est mal vu, ils n'ont pas le choix. Le duc du Maine était le chouchou du roi. Il aimait bien ses bâtards, sans doute plus que ses enfants officiels. b) Tensions et désordres Concentrations de personnes au même endroit avec une envie de pouvoir : Le roi veut tout savoir et déteste les intrigues. Pour lui c'est important pour organiser les camps de la cour. Il a dû canaliser la duchesse de Nantes : véritable furie, profite de son statut de fille du roi (bâtarde). Le roi menace de l'exiler mais il ne fait rien. Le roi exigeait un comportement irréprochables. Différents clans : Colbert, Louvois, Levillier.... Il y a aussi des plans contre les ministres : A la fin des années 1660, en 1668, fin de la guerre de dévolution, des nobles qui ne l'ont jamais aimé, tente de le renvoyer de la cour. Le roi se dirige chez Colbert pour montrer sa confiance en lui.

Affaire des poisons qui démarre en 1670, quand sa belle sœur, femme du roi d'Angleterre, meurt. Louis XIV s'inquiète de sa mort brutale. Hugues de Lionne meurt de la même manière en 1671, ministre des affaires étrangères. Au même moment a lieu de le procès d'une femme qui a tué son mari avec son amant. Chez elle, on trouve une correspondance notamment avec Mme de Montespan. Louis XIV organise une cour spéciale de justice. Colbert en est chargé. Personnes inquiétés : Comtesse de Soisson, Mme de Montespan, un parlementaire.... Louis XIV l'a renvoyée et lui a

interdit de mettre des parfums. Chassée de la cour et revenue jusqu'en 1691, puis exilée dans un couvent. Atmosphère malsaine dans ce milieu très fermé. Il y a des vols très nombreux à Versailles. Nobles qui se volent entre eux. Le frère du roi, se fait voler à Marly, 200 Louis d'or. Il y a également des dégradations volontaires avec des graffitis dessus.

2) L'épuisement relatif du système curial a) Une atmosphère « fin de règne » Plus grand modèle européen, qu'envient tous les rois. Mais à la fin de son règne, Louis XIV luimême va se lasser de ce système. Le roi fait des descentes à Marly et y réside pendant deux trois jours avec un nombre limité de courtisans. Fait construire Marly dans les années 1690. Besoin d'un « refuge ». Demande de venir à Marly des courtisans. La Palatine avoue être complètement perdue à Marly : roi plus accessible, confusion pour elle. Dans les années 1700, la vie de cour devient très mécanique, sans doute liée à la vieillesse du roi : n'a plus de dents, ne danse plus... De plus en plus en mauvaise santé. Opéré 3 fois de suites pour le guérir, chirurgien anoblit... Maladie de la goutte qui empire dans les années 1690 : a fait amener on lit à un conseil. Il paraît que le roi s'était endormi pendant la séance. Petit à petit Mme de Maintenon, prend de plus en plus d'importance au sein de la cour et on l'accuse d'être en partie responsable de la fin des soirées festives à la cour. Préférait prier... Mais cela vient principalement du roi qui vieillit. A essayer de canaliser la cour. Série de deuils dans les années 1700. Petit sursaut avec la duchesse de Bourgogne qui est l'époque du petit fils de Louis XIV. A mit beaucoup de vie à la cour, Louis XIV l'aime beaucoup, mais meurt brutalement aussi. En 1711, mort de Monseigneur, fils de Louis XIV, 1712, duchesse de Bourgogne, deuxième dauphin 6 jours plus tard, son mari. Philippe d'Anjou, roi d'Espagne. Aîné du duc de Bourgogne, le petit duc de Bretagne qui décède. Et le nouveau duc d'Anjou reste, futur Louis XIV. 7 successeurs potentiels au départ : plus que 2. b) Contestations et concurrences Religieux qui vont contester l’idolâtrie du roi et de la vie de cour, à toujours vouloir être proche du roi. Sorte de contestation d'une courant religieux.

Curé de Versailles : « Partout on ne voyait que des joueurs » Un jésuite trouve que la cour est le vice, qui rend le nobles mous Moraliste laïc, La Fontaine, La Bruyère dénoncent la cour qui selon eu fait perdre toutes la valeurs morales. Aussi le coût de la cour est remis en jeu au moment où les finances du royaume vont mal. Presque plus de cour privée dans les années 1660. Des foyers de cour, cours autonomes vont se reformer lors de la vieillesse du roi (1690), réparait avec le dauphin qui organise une petite cour à Choisy. Le cour du dauphin de déplace à Meudon à la mort de Louvois. La petite fille de Condé, la Duchesse du Maine entretient une cour à Sceaux. Organise tous les 15 jours des soirées de divertissements. Pas mal de courtisans quittent Versailles pour Sceaux. Foyers de cour parisien qui réapparaissent aussi. Salon dans les années 1650 (ancêtres des Lumières). En 1697, s'ouvre le premier salon du XVIIIème siècle, qui reprend le modèle des salons du XVIIème siècle. 1er Septembre 1714 : mort de Louis XIV. Le 9 Août, rentre de la chasse fatigué, mal à la jambe gauche de 10 Août. Régime, l'un des médecins commence à lui identifier une gangrène, meurt lente... Un roi doit mourir lentement, en donnant des recommandations à sa famille etc... Le roi tombe dans le comas le 31 Août, après 6 jours d'agonie, et ne se réveille pas. Massillon. Conclusion : La cour a-t-elle permis de...