CM9 - Histoire du cinéma 1 PDF

Title CM9 - Histoire du cinéma 1
Course Histoire du cinéma 1
Institution Université d'Aix-Marseille
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Summary

Histoire du cinéma 1
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Description



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+ Frederico Fellini, passe son enfance dans la petite bourgeoisie à Remini. Comme Antonoini il travaille d'abord dans un journal satirique dans les années 30. Travaille comme journaliste et caricaturiste. Ecrit des gages pour le cinéma. Passe par l'écriture de scénario (comme Antonioni), et se lance dans le cinéma grâce à Rossellini à la Libération. Vrai goût pour les personnages naïfs, le r^ve , l'imaginaire, le souvenir. Julietta Macina correspond à ces thèmes. Collabore aussi avec Nino Rota. Films intimistes, puis de plus en plus de films exubérants. Les moyens du cinéaste vont augmenter. Personnages excentriques, hauts en couleur. Période evoquée est la plus sobre. Tourne volontairement le dos au réalisme, se sont dirigés vers un cinéma à thématique sociale. 1950 : co-réalise avec Alberto Lattuada Les feux du musical, puis en 1952 premier film de Fellini : le Cheik blanc/Courrier du coeur. N y retrouve Alberto Sordi (un des grands acteurs de 'après-guerre) et Giuletta Masina (que l'on retrouve dans La Strada). La Strada sort en 1954, une pauvre saltimbanque innocente suit Faltano partout. Dolce Vita (1960) Mastroiani joue le rôle d'un journaliste à scnadale qui mène une vie décadente. 1973 Armacord Extrait : Cabiria (1957) avec François Périer. Le film se situe à Rome, une prostituée rencontre deux hommes (dont Oscar/François Périer), qui vont finir par la délaisser. Dans l'extrait elle va prier pour que sa vie change et va assister à un spectacle de prestidigitation.

CINEMA HOLLYWOODIEN DES ANNEES 30/40.

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Années 1930 + 6 octobre 1927 : Première représenation du Chanteur de Jazz d'Alan Crossland, produit par la Warner Bros, jusqu'ici en faillite, mais qui s'enrichit suite à ce film. 1928 : bénéfice de 56 M $. Va gagner en puissance, acheter des salles et des appareils. Mort du muet en Amérique. Pour exporter leurs films, les américains suppriment la parole de leurs films. Tournage en plusieur langues est très coûteux et laissera sa place au doublage. + 1929 : Krach de Wall Street. Crise mondiale. + Secteur de l'exploitation cinématographique dynamique. Les gens vont au cinéma. Entre 1927 et 1929, le nombre de billets vendus double. L'industrie du cinéma se concentre à Hollywood depuis 1919. Les grandes firmes s'y installent pour le climat qui permet des tournages en extérieur, pour la variété des paysages. Raisons financières aussi car à l'époque les terrains sont peu chers. + Apogée du « star system », qui survivra au déclin d'Hollywood. + Vague d'immigration des artistes de l'étranger. Ernst Lubitch.

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Années 1940 + Contre-coup de la guerre et redémarrage + Essor des firmes de série B (fin années 1930)

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+ Couleur, formats larges, relief. A partir des années 40, course à l'innovation, rechercher perfectionnements techniques (Technicolor, formats larges comme le Cinemascope, son stéréophonique, relief).

Des firmes puissantes dominent le marché Apogée du studio Le cinéma hollywoodien devient la norme. ⁃ ⁃ ⁃ ⁃ ⁃ ⁃ ⁃



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Organisation du cinéma hollywoodien + Grandes firmes avec une identité forte : x Major's (Metro-Goldwin Mayer's/ Paramount/ Warner Brothers/ 20th Century Fox/ RKO) x Compagnies importantes : Universal, Columbia, United Artists (Chaplin fondateur) x Outsiders : Selznic/ Disney/ Goldwyn. Disney invente le perso de Mickey et sort 2 films par mois, amortis en moins d'un an. + Réalisateurs/acteurs/techniciens rattachés à un studio + Film est un produit anonyme. Le réalisateur est un artisan. Les écrivains écrivent à la chaîne des scenarii.Bureau de direction littéraire chargé d'achter les droits des oeuvres adaptées de livres. Département lecture, ériture, productio, réalisation, casting... + Firme = un style revendiqué. Les éuipes ci-dessus sont capitales dans l'identité de la firme. Un cinéma de genres + Comédie (burlesque : cirque, pantomime et musical, gestuelle des peros, tempo rapide, Chaplin et Keaton, Laurel et Hardy, Haron Lloyd. Comédie de moeurs, héritière du théâtre de boulevard, sophistiqué, dialogues très importants, Sérénade à toi de Luitsch. Comédie loufoque), mélodrame (romantic drama : fiction marquée par l'imaginaire /romantic comedy pendant comique du mélodrame) ancré dans la réalité sociale et se constitue en genre du cinéma parlant, comédie musicale (éclot pendant le parlant et donne une grande place à l'expression dansée ou chantée), Western (à partir du parlant, ne traitent plus que de la conquête de l'Ouest), film criminel (fascination de l'Amérique poour la violence, milie urbain), film de gangster (Action contemporaine qui dépeint la chute ou l'ascenscion d'un chef de gang comme Scarface d'Howard Hawks : ascenscion d'un chef de gang Tony Camonte), film noir (flash-back et la voix OFF). (ouvrage de Jean-Luc Bourget) + Firme = un genre. Les genres sont l'expression d'un classicisme qui hierarchise. + Acteurs et réalisateurs étiquetés. Catherine Hepburn : femmes intellectuelles dans des comédies sophistiquées, James Cagney rôles de gangster. Cinéma marqué par le typecasting : spécialisation d'une star ou d'un réal à un genre. Frank Capra = comédie.

Extrait d'un film criminel : Le faucon maltais de John Huston avec Humphrey Bogart. Un détective privé et son acolyte sont recrutés par une jeune femme pour filer un homme sur lequel elle a des doutes. L'acolyte va être assassiné pendant l'enquête, Sam veut lui rendre justice et sa uête le place sur la piste d'une statuette d'un faucon maltais. Extrait qd le détective apprend le meurtre de son coéquipier. Extrait d'un film de gangster : Scarface d'Howard Hawks

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Le «Star System » Greta Garbo, Marylin Monroe... Studios contrôlent la vie privée de lers stars, leur physique. Typologie des stars : Marylin Monroe (Hollywood blonde : artificialité, sottise, sensualité), Greta Garbo (star hiératique : associées aux stars européennes), les latin lovers... Le Star System survit aux studios.

Cinéma hierarchisé, normé, plein de codes. ⁃ Une terre d'accueil pour les étrangers. Continue d'accueillir les cinéastes étrangers, qui assurent le renouveau, malgré les standards et les patrons peu artistiques. ⁃ ⁃ ⁃ ⁃



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Un cinéma gouverné par un code d'auto-censure Cinéma qui cherche à attirer le public, et donc que les films diffusés soient accessibles au plus grand nombre. + Motion Picture Producers and Distributors of America, ou MPPDA (1921-22). Système d'auto-régulation, sa présidence est confiée à Will Hays, un républicain. + Sous l'hégide de Hays : création du Production Code Administration (1930) -> Code Hays (1934). Existe toujours en 1950 mais devient caduque avec la télévision, plein de manquements au code Hays (par ex Marylin Monroe dans le film de Billy Wilder, 7 ans de réflexion : jupe soulevée), la censure se fait plutôt en salles, on restreint l'accès en fonction de la tranche d'âge. Dans Certains l'aiment chaud (1959), toujours par Wilder, montrent du travestissement. + Interdits : nudité, acte sexuel, violence contenue, comportements déviants (sauf si condamnation), utilisation de mots profanes Le système des studios + Motion Picture Association on Americ (MPAA) : monopole. Cet organisme contrôle la censure, la publicité, les exportations. Le but est d'avoir le monopole sur le marché, d'autnt que les indépendants se développent : concurrence extéieure. Les indépendants sont soumis aux codes de censure des Major's, leur



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pub est aussi gérée par les Major's, tout comme leurs ambitions d'exportation. Par leurs assoc', les Major's exercent un poids important dans le marché du ciné américain. + Intégration verticale : production/distribution/exploitation gérés par les Major's. Ont leur propre réseau de salles. La seule liberté des independants sont les Block Booking : commander un film prestigieux et accepeter un autre film choisi par la firme en contre-partie. + Les producteurs. Les films B...


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