Cours - (6) Merleau-Ponty, L\'Œil et l\'Esprit, Étude linéaire PDF

Title Cours - (6) Merleau-Ponty, L\'Œil et l\'Esprit, Étude linéaire
Author Thomas Dumats
Course Philosophie
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
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MERLEAU-PONTY: L’ŒIL ET L’ESPRIT DEUXIEME PARTIE – ETUDE LINEAIRE DU TEXTE CHAPITRE I

I.

CHAPITRE I : INTRODUCTION DU LIVRE Thèse : La science manipule les choses et renonce à les habiter, en revanche l’art et plus particulièrement la peinture nous introduit et nous met en contact avec ce que MP appelle « cette nappe de sens brute », une présence originaire au monde que la science a oubliée ou niée.

1.

1) La critique de la science = « la science manipule les choses et renonce à les habiter » (p.7-10) L’extériorité de la science par rapport au monde qu’elle constitue comme objet

 « Tout être comme un objet en général comme s’il n’en était rien » La science pense le monde comme qqchose qui est un objet, extérieur, soumis à mon action. - Manipuler = objet extérieur à soi - Utiliser : seul moyen en vue d’une fin différente Rapport d’exploitation qui est une activité de transformation du monde. Décrit l’attitude de la science qui va être clé dans l’attitude naïve première qui fait croire que le monde existe déjà comme objet. Cette extériorité de la science aux choses est rendu possible par une modélisation du réel, un remplacement du monde actuel par un modèle qui en est extrait. 

« Ce parti pris de traiter tout être comme objet en général et se trouvait cependant prédestiné à nos artifices » Le verbe habiter va désigner par contraste un Etre chez soi, rapport qui prolonge mon intimité, dépassement de l’opposition entre l’extériorité et l’intériorité, symbiose entre soi et l’espace.

HEIDEGGER : l’appelle le fait d’avoir les choses à disposition sous la main, ce que je manipule, je le met à ma disposition d’usage, de manipulation. Service de d’un projet de puissance – illégitime. Essais et Conférences : L’Homme habite en poète Il commence à s’étonner de cette formule, qu’est-ce que cela signifie ? Pour comprendre la formule il faut comprendre ce qu’on met sous le terme d’habiter, ce n’est déjà pas d’avoir un toit. Importance : habiter n’est pas une activité de l’homme parmi bcp d’hommes, mais une sorte de trait fondateur, trait fondamental de la condition humaine. La poésie libère l’utilisation instrumentale du langage. La poésie cherche à habiter le langage. Sens fort du verbe habiter, ça n’est pas sans résonnance politique. Chez Husserl : mise en garde de la science. Un homme qui habite le monde et qui n’est pas dans un rapport d’utilisation a sans doute moins de risque de les envisager en terme de domination.

2.

La radicalisation dans la science et la philosophie des sciences aujourd’hui

 « Le monde et l’objet X de nos réparations » Pourquoi y a-t-il avec la science moderne une radicalisation ? Le scientifique instaure une distance, il ne va voir en l’homme qu’il étudie qu’un objet, c’est un support de son action, on va lui demander une grande expertise. On va lui demander un rapport de perfection technique, c’est l’attitude exigée par la technique et la science. Il n’y a la possibilité que de considérer le monde en général que comme objet technique. Marchandisation du corps, on place des personnes évidemment des personnes en situation de détresses… aliénation économique : obligé de vendre un rein pour continuer à vivre…

Rebondissement : réflexion sur la science A/ Différence la science et les sciences, le singulier de la science est contenu dans cette attitude de rapport au monde, ainsi les sciences moles sont des sciences : histoire, sociologie, économie. Qu’est ce qui va définir une science comme science, l’histoire est-il une science au même titre que la physique : - Physique/SVT/Géologie/Chimie : sur le monde, - Sociologie/Economie/Histoire : sur les hommes Mais les deux se basent sur une définition propre à l’objet : étant indépendant du sujet qui le pense est objectif et donc universel – processus de mise à distance, l’historien vise l’objectivité et donc va placer le nazisme en tant qu’objet. - Sciences formelles : objet : règle de validité de la pensée : la logique, les mathématiques peut être - Sciences : manière méthodique de la compréhension du sujet : homme, étudies t’on pareil l’objet nature inerte, nature morte Chaque science est singulière par son objet, mais revendique toutes une objectivité : l’histoire a une revendication d’objectivité et donc peut prétendre au titre de science, le modèle de la démarche scientifique que semble revêtir les mathématiques et la physique. Comme MP ne fait que décliner il n’entre pas dans les détails, immédiatement l’idée que la science traite tout être comme un objet et se trouvait cependant prédestiné à nos artifices. B/ Mais n’y a-t-il pas dans la science une dimension d’abord fondamentale : « qui n’est pas appliqué », on pourrait opposer à MP que la science comme science n’est pas un pouvoir mais un savoir et que comme telle elle est indemne, à la base la science n’est pas la technique, n’est-ce pas faire subir à la science le soupçon propre au pouvoir technique. On peut distinguer : - Science fondamentale : CERN - Science appliquée : CEA, lieu de recherche en lien - Techno-sciences : AREVE : entreprise industrielle cherchant à vendre les centrales, chercheurs qui ont

 Réponse : o Toute science considère le monde comme objet, par définition, c’est ce qu’il la fait, il prend la réalité comme un objet dont elle va chercher les relations constantes, elle va chercher les liens déterminés entre des objets, un savoir objectif. o Tout investigation scientifique transforme un fait en objet : je crée ce concept, l’objet : la masse est le résultat d’une théorie, c’est un cas construit au monde, l’objet est le propre de la science qui, par de modèles explicatifs qui est le résultat d’une théorie.  « Et se trouvait cependant prédestiné à nos artifices » Physique, biologie (sciences de nature), mais à la fin il donnera aussi l’exemple de la psychanalyse. On interroge l’effet massif, culturel de la vision sur le monde.

3.

La nécessité pour la science de « penser sur son vol », de se replacer dans le « il y a » préalable

a.

Présence de la science : dans l’expérience de mon corps, du corps des autres et permettre accéder à la vérité de l’être. La partie finit par un appel à la nécessité de la science de se replacer dans le « il y a » préalable.  Mon corps  Le corps des autres  L’accès à l’Etre Et la science comme savoir théorique pour seule fin ? Theoria/Science Contemplation Vrai

Praxis

Poesis Activité

Agir Moral/politique Pouvoir

Faire Techné Savoir faire

Merleau-Ponty répond à cette objection par deux manières : - Transformation du rapport entre savoir et pouvoir - Transformation entre la science et la technique est d’abord une transformation historique, la révolution scientifique a entrainé un changement entre la science et la technique. Dan son origine grecque la science était d’abord contemplative, spéculative (sens théorique) indique le savoir pour le savoir : idée que le savoir n’a uniquement sa propre fin, il y a eu une transformation radicale dans l’essence même de la science du fait de la révolution technique du 17 ème siècle. Le texte de Merleau-Ponty : une certaine opacité du monde démurait encore alors qu’aujourd’hui il ya une science opératoire : la pensée (savoir ce qui est) se résume à « un ensemble de technique qu’elle invente », champs lexical d’un savoir faire, d’une intervention, d’une activité. L’objet d’étude est un instrument d’expérimentation : notion de gradient, la science vza pouvoir permettre des résultats, l’attitude par rapport au monde :  « Dire que le monde est nominal et l’objet X de nos réparations c’est porté à l’absolu la situation de connaissance du savant comme si tout ce qui fut ou est pour une démarche d’utilité » Le monde est constitué d’objets, saisir l’objet par une loi physique est une démarche particulière qui s’oublie et s’absolutise. Cette démarche est une sorte d’oubli de la pensée opératoire, mode de la pensée, et a un mode de rapport au monde spécifique et évidemment l’homme va être aussi pensé comme l’objet X de nos opérations, un objet de laboratoire Si le corps est support d’une information technique : c’est le glissement de l’image que nous nous faisons du corps. Chirurgie esthétique par exemple : je peux modeler à ma guise.

KANT : Impératif catégorique :  « Agir de telle sorte que tu traites l’humanité en ta personne comme dans la personne de tous autres toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen » -

Agir : 2ème formulation de l’impératif (≠ impératif hypothétique) Humanité : idée d’homme, quelque soit sa qualité il vaut comme homme. Notion de personne qui fait qu’un homme a une valeur absolue. Personnelle : je dois respecter l’humanité de ma personne, le respect de l’autre est conditionné par le respect de soi. En même temps pur une fin : l’homme vaut comme un fin et non comme un moyen, la relation entre personnes supposent des relations de moyen à fin. En prolongeant la réflexion sur la science : voir le bouleversement dans :

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La place de la science de la société L’articulation du savoir et de la technique, et du pouvoir

LADRIERE – Les enjeux de la rationalité Vision classique qui a perduré jusqu’à la révolution classique du 17ème Est vrai le discours qui est rencontre du réel, schéma de la vision, qui maintient cette sorte de contemplation, on se perd. On retrouve cela chez Aristote dans els premiers chapitres de la Métaphysique. La vie contemplative est celle qui développe ce qu’il y a de mieux en nous. Sommet où l’homme oubli les dimensions irrationnelles de l’existence. Lorsque l’on contemple le monde on contemple la réalité, sorte d’éternité : on accède à une réalité plus contingente mais nécessaire. La contemplation du vrai est féconde : la vision est contemplation (béatitude) et on en goute les fruits. Le rapport aux choses passe par outils techniques, impacts technologiques transforme notre existence dans tous les domaines, médiation technique. La recherche du vrai du monde s’est transformée dans un rapport des choses aux êtres. La raison : contemplation émerveillé du monde devient calcul, stratégie de mathématisation du réel : adéquation entre ce que je dis du réel et ce qu’il est. La représentation théorique ne prétend pas nécessairement représenter le monde mais être efficace : permettre de rendre compte des apparences et des mécanismes techniques.

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A partir du 17ème siècle, la vision de la science change Révolution dans le rapport de la science et la technique : o Descartes o Bacon Mathématisation du réel : on est passé d’un physique qualitative à une physique quantitative o Cosmos fini centré sur l’homme (géocentrique) à un univers infini, neutre (héliocentrique)  Avant on a la physique Aristotélicienne : assez difficile à se représenter : physique qualitative : il réexplique les réalités physique à partir de 4 éléments, tous les éléments naturels sont des composés de ces 4 éléments. Et selon la part de ces éléments ils ont des qualités : ce qui est composé de terre est lourd par exemple. Chaque chose à une place naturelle. Chaque chose à sa place.  L’univers devient ensuite un milieu infini, neutre dont l’espace est représenté par l’espace géométrique. L’homme est perdu, chez Pascal dans l’univers. On assiste à un désenchantement du monde, lecture neutre, objective, formalisée du réel. Il faut attendre cette révolution pour penser la science comme la phénoménologie la décrit. Descartes : « la nature n’est pas une déesse » : possibilité de voir dans toute chose un objet soumis à ma représentation où l’homme n’a pas de place. Modification de la relation entre savoir et faire : savoir/faire o Passage d’une technique distincte du savoir comme savoir faire.  Chez les grecs : la technique ne peut pas être pensé par la théorie avant les grecs. Rapport à la transformation relative de l’antiquité : on la technique vient de l’expérience, le savoir est un savoir faire qui repose sur de la pratique dans un rapport de la transformation progressive. Progression lente du savoir  L’outil est l’objet fabriqué par l’homme qui provient de ce savoir faire mais qui déculpe, prolonge la force humaine : attribue à la main des formes d’autres objets. Mais d’une manière empirique, en constatant petit à petit les effets constatés, passage d’une technique distincte du savoir à une technique résultat du savoir : passage de l’outil à la machine. Le savoir nécessite des techniques : Galilée a pu subventionner ses recherches avec la vente de sa lunette. Saut de transformation de degré ou de nature : la technique a changé de nature : dans le rapport au savoir et dans sa puissance. La technique nécessite un savoir. Aujourd’hui on va parler de techno-science : la science elle-même nécessite les instruments techniques qu’elle a permis d’élaborer : on ne décuple pas le pouvoir de

l’homme mais la nature elle-même : le pouvoir technique devient un pouvoir de transformation radicale.

La phénoménologie regarde cela. Transformation radicale de cette expérience humaine. La révolution scientifique fait de l’accélération du temps un événement culturel. L’auteur pour conclure constate que la science à proprement parlé, la science parait un phénomène parmi d’autres, dans une civilisation marquée par le progrès qui est transformé dans ce progrès technique.

VERITE ↓ VERITE ↓ VERITE SCIENTIFIQUE

Adéquation réel et intellectuel Adéquation entre la théorie et les phénomènes (les choses lorsqu’elles m’apparaissent ≠ apparences). COMTE : Rendre compte des relations constantes entre les phénomènes Newton : « je ne fais pas d’hypothèse » quand à la nature des objets que j’étudie, je constate juste une relation constante – refus d’une métaphysique pour dire les choses. « le science permet alors l’action, et en ce sens là la prévoyance » La visée contemplative devient. Quelles sont les choses telles qu’elles m’apparaissent. KANT : La règle nécessaire qu’établit la loi et un effet, l’expérience ne peut pas me la fournir. Connaitre c’est relier deux grandeurs et c’est mon esprit qui relie à priori cette expérience. Je connais d’une part les phénomènes tells qu’ils m’apparaissent et la relation d’une cause à mon effet que fait mon esprit. Je ne peux pas aborder les questions métaphysiques de manière scientifique. COMTE va plus loin en abandonnant complètement la métaphysique. L’ambition de la science est d’établir des lois qui sont des relations entre les phénomènes et ne procède a aucune nature métaphysique

Descartes et Bacon : deux traditions différentes, européenne et anglo-saxonnes dans le rapport à la technique DESCARTES – Discours de la méthode- 6ème partie Philosophie méditative. Il oppose une philosophie pratique utile à la philosophie spéculative.  Science qui transforme le réel La science va fournir la connaissance de la forme de la nature et on va pouvoir s’approprier ces forces. La philosophie va prendre comme modèle cette puissance technique et va opérer d’une efficacité analogue, la philosophie ne va plus être limitée à celle des artisans. Elle va transformer cette technique : visée de transformation effective de nos existences. « Devenir comme maitre et possesseur de la nature » Ce dont nous pouvons nous rendre maitre, la science est ce qui permet d’acquérir un pouvoir sur la nature pour en faire un outil de bien être pour l’homme.

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On peut l’entendre d’abord comme une sorte d’atténuation de la prétention à la maitrise et la possession : l’homme ne peut jamais se rendre maitre et possesseur de la nature, il s’en rend. Le « comme » marque quand même une distance entre une maitrise et une possession rendu possible par la technique et une maitrise rendue totale par la nature, limite du pouvoir technique. Pouvoir de remise en question de la maitrise de l’homme, l’homme n’est peu être pas le vrai maitre, ce pouvoir n’est peut être qu’analogiquement dans les mains de l’homme. Aujourd’hui avec la lecture que nous faisons de ce pouvoir technique : se penser comme maitre et possesseur n’est-ce pas être dépendant de cette dernière. L’homme n’est pas à l’origine de maitrise et possession donc il n’est pas le maitre, il y a une réserve, un rappel que l’homme doit continuer à exercer de la limite de cette puissance. But : bien général de tous les hommes La réserve et la spécificité peut être comprise par le contraste avec bacon : ce n’est pas seulement à désirer pour l’invention d’une entité d’artistes mais en vue d’une amélioration de l’homme. L’idée de la technique pourrait être elle-même sa propre jouissance et elle trouverai sa discussion dans un dépassement des limites. L’usage technique, le déploiement technique est subordonné à la question : « qu’est-ce qui es bon pour l’homme ? »

BACON – La Nouvelle Atlantide « Reculer les bornes de l’Empire Humain en vue de réaliser toutes les choses possible » Attrait pour un pouvoir technique qui accomplit des prodiges, produit une nouvelle espèce et parmi ces nouvelles espèces il y en aura qui seront à l’usage médicinale, on pourrait subordonner le déploiement technique. Assez révélateur un des sources différente du progrès technique entre la tradition continentale et anglaise. Rapport à la technique qui est différent : soit chercher un pouvoir technique qui repousse les techniques du pouvoir humain.  Changement dans le rapport de la science et de la technique Exemple : Différence clonage thérapeutique (espoir pour les familles) ≠ clonage d’animaux (mais ou est la finalité en terme de bien pour l’homme ?)→ repousser les limites du possible (Bacon)

 

Question de la science et la technique Qu’est ce qui est premier : la science et la technique ? Certains philosophes vont aller se demander si la démarche du savoir est neutre ? Bergson Heidegger Le désir de savoir n’est-il pas précédé par la nécessité de l’homme a transformé les choses pour survivre. BERGSON : La durée, L’énergie spirituelle, La pensée et le mouvant, L’homme n’est-il pas d’abord homo faber avant d’être homo sapiens. L’intelligence est en nous une faculté spatialisant qui représente le réel d’une manière figée pour agir sur lui. Peut le maitriser et agir sur lui : le mouvement est dans la durée. Bergson inverse le rapport de préséance. C’est d’abord un scientifique mais qui va être déçu, il va représenter la philosophie qui met cette préséance de la science en question, il va le faire à partir de la question du temps. Le temps est la source de création continuelle de nouveauté. La durée est un jaillissement ininterrompu d’imprévisibles nouveautés.

La réalité pour Bergson est de l’ordre de la durée : la durée est le temps, le temps est création constante d’imprévus nouveaux, je ne voix pas en elle ce qui change, la réalité est comme un flot de jaillissements. Du coup cette réalité est très difficile à saisir. Formule de Lagneau : « l’espace marque de ma puissance, le temps marque de mon impuissance » Pour Bergson la création est le surgissement de qqchose que rien ne me permettait de prévoir. La durée est productrice de vérité, mais difficulté à la saisir, la maitriser. Distinguer deux éléments, la durée est la réalité du monde, de l’homme, de la vie. L’homme fige cette durée pour pouvoir se la représenter, il va distinguer les deux : espace et durée.  Bergson utilise la métaphore de la musique, elle partage avec le temps l’immatérialité : avec le déroulement du rythme, l’espace sera représenté par la partition, il la voit de manière purement spatiale.  Moment de musique pure, quelles sont les caractéristiques de la durée : succession : mais succession on pourrait dire avec une fusion d’éléments mélangés les uns avec les autres ESPACE

DUREE = vérité du temps

Partition Juxtaposition d’éléments extérieurs les uns aux autres et pour qqn qui ne connait pas la musique est isolable d’une autre Eléments homogènes : même la blanche qui succède est de même nature, qqchose de quantifiable. Sur la partition tout est donné d’un coup. Pas de succession. La représentation spatialisée est la condition pour progresser (travailler ses gam...


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