Com et société - Cours PDF

Title Com et société - Cours
Course Communication et société
Institution Université de Limoges
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CM: semestre 3 Communication et société

Intro: La com et société sont deux matières très liées. La com de masse s’adresse à une partie de la société. Bibliogarphie: P.Breton: l’argumentation dans la communication. A.Schopenhauer: L’art d’avoir toujours raison. Le brio. I’argumentation L’argumentation: est une pratique de la com de masse. « Savoir argumenter n’est pas un luxe mais une necessité ». Action d’argumenter: Ensemble d’arguments. « Ensemble de techniques discursives destinées à provoquer ou à accroître l’adhesion de l’interlocuteur aux thèses qui lui sont présentées. » Argumenter: Présenter un ensemble d’arguments pour soutenir, étayer une idée. L’argumentation appartient à la famille des actions humaines dans le but de convaincre une masse, dans un cadre pro, associatif, politique, mais aussi dans un contexte famillial ou amical. De nombreuses situations de com ont pour but d’obtenir une personne, d’un auditoire, d’un public, qu’ils adoptent tel comportement ou qu’ils partagent telle opinions. Phillipe Breton. Argumenter c’est convaincre sans violence alors que manipuler c’est une tentative de convaincre en exerçant une violence mentale c’est faire croire. L’argumentation est importante surtout pour des sujets dit épineux ( liberté, avortement…) L’argumentation refuse toute forme de violence car considéré comme une manipulation. La séduction n’est pas à considérer comme une arme pour l’argumentation « elle est utilisée pour entraîner l’autre » celle ci utilise des figures de style à l’écrit comme à l’oral. Elle utilise la beauté et le style du langage. Démontrer ce n’est pas argumenter car la demonstration porte sur la fausseté et la vérité d’une argumentation donc cela est scientifique. A) rethorique L’argumentation est une branche de la réthorique ancienne c’est comme une nouvelle réthorique. « L’étude de l’argumentation comme partie de l’ancienne réthorique à longtemps était mise en oeuvre d’une part par les philosophes, l’argumentation se demande t’ils tradi , renferme- t-elle des procédures

qui permettent d’atteindre la vérité ou de prouver la fausseté d’un argument sont rejet not par descartes et toute une tradi rationanaliste qui s’en inspire vient de la réponse négative à cette question ».Breton L’arguementation ne cherche pas à prouver la fausseter ou la vérité d’un argument au contraire de la réthorique de ce fait elle s’oppose à elle. Argumenter c’est donner son opinion en essayant de convaincre un auditoire avec des stratégies de persuasions et d’argumentation.

Le but est d’argumenter des opinions sur tous les aspects de la vie quotidienne et les partager avec quelqu’un pour le convaincre. L’evaluation du vraie et du faux est d’ordre scientifique. Une opinion peut être vraie ou fausse mais ça ne concerne que les sciences. B) Opinions sur l’égalité « La croyance dans les vertus de l’égalité n’est ni une vérité ni une fausseté c’est une opinion forte que l’on argumente avec rigueur ». Phillipe Breton. C) Definir le champ de l’argumentation Trois éléments essentiels: - c’est d’abord communiquer: donc émetteur et récepteurs. - C’est essayer de convaincre sans violence c’est une forme de persusasion. - C’est raisonner proposer une opinion à d’autres en leur donnant des bonnes raisons d’y adhérer. « L’évolution du langage, des modes de communication, des valeurs aussi, qui ont tant d’importance en argumentation, en font une matière. Donc c’est une science de la communication. Les thématiques de la communication change surtout depuis internet donc l’argumentation et les opinions ainsi que les sujets important change. Schéma standard de la com: c’est un schéma de transport de l’info. Il faut imaginer l’existence d’un schéma de la com argumentatif.

Ce schéma: - opinion de l’orateur est une thèse, une cause, une idée, un pdv. Cette opinion existe en tant que telle avant d’être argumentée. Elle ne deviendra pas forcement un argument. Ca peut rester une opinion perso si la tactique d’argumentation ne marche pas. - l’orateur: celui qui argumente. L’orateur est celui qui, disposant d’une opinion, se charge de la transporter jusqu’à un auditoire et de la lui soumettre pour qu’il la partage. - L’argument défendu par l’orateur: il s’agit de l’opinion mise en forme pour convaincre, l’opinion se coule alors dans un raisonnement argumentatif. - L’auditoire est un public ou ensemble de public. - Le contexte de réception: il s’agit de l’ensemble des opinions, des valeurs, des jugements partagés par un auditoire donné, préalablement à l’acte d’argumentation. Il ont un rôle dans la réception de l’arg dans son refus ou l’adhésion variable. 2) Imaginer le public Pourquoi faut il faire une distinction entre ce que l’on pense et ce que l’on dit, entre opinion et argument? L’opinion est perso est doit être argumentée pour cibler convaincre un public en particulier. Il faut dans la pratique d’argumentation imaginer le public et évaluer leur savoir . Imaginer le lecteur modèle Umberto Ec o: - un texte est un produit dont le sort interprétatif doit faire partie de son propre mécanisme génératif. Donc émetteur et destinataire ont des codes différents. - Les textes prévoient les lecteurs dit modèle qui a les compétences pour être guidé correctement dans la compréhension du texte. L’auteur imagine le texte interprété par le lecteur. Ex: Si je veux soutenir la nécessité d’une po de prévention de la toxico et à deux moments diff j’ai deux types de public. D’un côté policier et de l’autre prof. De ce fait il faut deux argumentations diff parce que l’auditoire n’est pas le même par exemple pour les enseignants insister sur le pouvoir pédagogique, et pour les policiers sur la baisse attendue des crimes et des délits. A) Réception de l’argumentation Aucune opinions n’intervient pas en terrain vierge. La réception reste tjr une forme d’interprétation. Chacun sauf dans le cas d’une extrême nouveauté ou d’un domaine de connaissance spé, le destinataire de l’argumentation à déjà un pdv à propos de l’opinion proposée. Si une argumentation est efficace (changement pdv). 3) Question d’éthique dans l’argumentation De ce fait il un appel au frontière qui définit les limites de l’argumentation pour ne pas tomber dans les formes violentes de l’argumentation. De ce fait 3 questions: - tout est-il argumentable? - tous les arguments sont-ils bons pour défendre une opinion? - y a t-il des limites à l’action que l’on peut exercer sur un auditoire?

Quels sont les limites de l’argumentation qu’est ce qu’on peut argumenter et qu’est ce que l’on peut pas? L’opinion désigne ce que nous croyons, ce qui guide nos actions, qui nourrit nos pensées et qui nous permets de “vivre” dans le monde social. De ce fait l’opinion est à la fois l’ensembles des point de vue sur les croyances: ce qu’on croit ce sont des représentations du monde qu’un individu se forme pour être lui-même. L’opinion est mobile, en perpétuelle mutation, soumise aux autres et prise dans un courant d’échanges permanents. —> L’opinion est une croyance une sorte de représentation du monde est elle peut changes dans le temps. A) Opinion scientifique La connaissance scientifique échappe à l’opinion. Les résultats scientifique ne discute pas, même si les scientifiques, entre eux, discutent bcp des questions de méthodologie. Il y a une réthorique scientifique qui se mélange avec des règles techniques propre à ce milieu. Mais ces règles sont intenses au milieu des savants et ne concernent qu’eux. Certains faits scientifique nourrissent nos croyances, parfois bien après avoir cessé d’être des faits pour les scientifiques eux-même pour cause d’avancée des connaissances. B) opinions religieuses La religion constitue un autre champ qui échappe à l’argumentation. La foi se partage, se communique, se reçoit comme une évidence mais ne s’explique pas plus qu’elle s’argumente. Mais, dans les religions, n’est pas pure révélation ou foi vécue dans le mystère, il y a aussi des débats, des discussions. La théologie est aussi un lieu ou l’on se convînt mutuellement.

C) opinions et passions Autre champs qui éc happe à l’opinion, donc à l’argumentation, celui des sentiments et, d’une façon plus générale, celui de l’émotion. Qu’il s’agisse de la beauté oui de l’amour, et a fortiori de la haine, la vaste gamme des sentiments humains, qui nous meuvent et émeuvent, n’a guère avoir avec des opinions. Les passions par def ce sont quelque chose de pas discutable mais que l’on vit.

D) opinion vs info Opinion: C’est un pdv qui en suppose tjr un autre possible, ou qui, dans un débat par exemple s’oppose à d’autres. Information: est un regard sur le réel qui tend à être unique, objectif, à être la synthèse d’un témoignage empirique et concordant. Dans le champ journalistique, la distinction info/opinion est tout aussi essentielle et fixe les imperatif déontologique du journaliste. 3) argumentation dans un espace public et laïque On argumente les opinions et non pas les sentiments, les connaissance scientifiques et les croyances religieuses. L’opinion, ainsi définie comme relevant du vraisemblable permet un espace de discussion laïque, un espace qui est celui de notre quotidien l’argumentation reste une pratique assez importante parce que c’est dans cet espace “d’argumentation laïque” que nous construisons et partageons notre savoir sur le monde, notre système de croyances, les valeurs, la vie sociales et nos opinions. 4) Cohérence entre opinion et argument Tout n’est pas argumentable. De plus il doit avoir une cohérence entre l’argument exposé et l’opinion, dont elle est mise en forme et qu’on ne peut pas se servir de n’importe quel argument. Utilisé un argument trop éloigné de l’opinion est de la démagogie qui vise pour assurer la popularité d’une politique, à la créditer des vertus qui plaisent à l’auditoire. Le discours du démagogue sort du champ de l’argumentation pour s’adresser aux pulsions, aux frustrations du peuple, à ses craintes. Exemple d’incohérence: Dans les débats à l’assemblée nationale un député droite juger pour sont extrémisme rétorque en accusant son accusateur d’être fasciste. CM:4 Exemple de cohérence: Une femme qui veut convaincre son mari, militant de gauche, de partagez chez lui les tâches ménagères pourra bien faire appel à l’égalité comme valeur fondamentale devant guider les comportements quotidiens, y compris du pdv de l’égalité homme femme devant les tâches ménagères. Avec un peu de

chance, l’argument devrait porter, l’égalité étant théoriquement une valeur de gauche. Encore faut-il que l’épouse partage elle aussi cette valeur fondamentale.

5) les choix du public Y’a t’il des limites à l’action que l’on peut exercer sur un auditoire? L’auditoire est libre d’adhérer à la thèse et à l’opinion qu’on lui propose. Cette règle pourrait n’être qu’une simple conséquence du caractère vraisemblable de l’opinion. Mais en réalité il y a une sorte de paradoxe parce que c’est par le « faire croire » à l’auditoire qu’il a totalement le choix et cède le plus facilement aux instances de l’orateur. II) pratique de l’argumentation Les familles d’arguments: - arguments d’autorité. - ceux qui font appel à des présupposés communs, à une communauté. - cadrer le réel d’une certaine façon. - analogie. 1) arguments d’autorité La famille des arguments d’autorité recouvre tous les procédés qui consistent à mobiliser une autorité positive ou négative, acceptée par l’auditoire et qui défend l’opinion, que l’on propose ou qu’on critique. Exemple: « L’autorité de m Lemaire avocat des parties civiles au procès des assassins présumés de préfet Erignac, cherchant à convaincre les prévenus d’avouer les conditions concrètes du crime, utilisant cet argument « ici on été jugés des militants du FLN, et j’en ai défendu; des soldats perdus de l’OAS, et j’en ai défendu. Ils n’ont jamais reculé, eux, devant leur responsabilité, forçant l’estime de ceux qui les jugeaient. L’autorité convoquée ici et celles d’autres militants ayant commis eux aussi des actes graves et qui, eux, ont assumé leur acte. Si, pour les militants corses qui sont dans le box des accusés, ces « autorités sont reconnues comme telles, ils peuvent donc avoir la même attitude, honorable, qui « force l’estime ». 2) arguments de communauté La famille de ces arguments de communauté fait appel à des croyances ou à des valeurs partagées par l’auditoire, qui contiennent déjà, en quelque sorte, l’opinion qui est l’objet de l’entreprise de conviction. Exemple: « lorsqu’en septembre 2000, le gouvernement français doit prendre des mesures à court terme, contradictoires avec sa politique globale, afin de gérer au mieux politiquement le problème de l’argumentation massive du prix de l’essence, Béatrice Gurrey propose de ne pas y voir là une contradiction: « il y a un temps pour tout, résoudre des difficultés immédiates, un autre pour respecter un programme; un pour préparer des échéances politiques internes et un autre pour agir dans le strict cadre de la solidarité gouvernementale ».

L’argument s’appuie ici sur une formule type, presque un proverbe, qui énonce qui il y a un temps pour tout et que donc une action peut être différente d’une autre, du fait de la séquence temporelle, sans qu’’il y ait contradiction. Il s’agit là d’un très ancien présupposé commun, issue de la bible donc c’est un argument de communauté censé être partagé par beaucoup. 3) Les arguments de cadrage Ils consistent à présenter le réel d’un certain pdv en amplifiant par ex certains aspects et en minorant d’autres , afin de faire ressortir l’objectivité. Donc cela insiste sur certains aspects. Pdv destinée à défendre le rôle positif joué par la religion musulmane « L’islam a aidé de nombreux jeunes à se sentir français. Pendant longtemps, ceux qui avaient grandi dans la double culture hésitaient à se demander la nationalité français évoquant pour motif la fidélité au pays d’origine l’islam est alors apparu pour certains. CM:5 Les arguments d’analogie La famille des arguments d’analogie utilise des figures de style classique comme la métaphore. Elle cherche tjr un élément extérieur et un sit qui n’a rien à voir avec le cas présenté mais dont on sent bien qu’un lien souterrain fort peut s’établir. Fernando Savater (vie caché depuis des années) pour défendre l’idée selon laquelle les militants de l’ETA font régner un tel climat de terreur que beaucoup d’opposants doivent vivre cachés, utilise une analogie. « Au pays basque en pleine Europe démocratique, nous avons actuellement des douzaines de Salman Rushdie. C’est le règne de la terreur ». L’analogie=métaphore ici. Il fait des opposants à l’ETA des « salamrushdie ». III. Réception du public Aucune opinion n’apparaît en terrain neutre. La réception reste tjr une forme d’interprétation. Chacun sauf dans le cas extrême (pas connaissance du sujet) nouveauté à déjà un pdv. L’argumentation est vue comme un acte visant à modifier ou à confirmer le contexte de réception, càd les opinion existantes de l’auditoire. Importance de la prédisposition du public. 1) prédisposition du public Pas d’argumentation possible sans prédisposition du public. - accepte et se place en position de débattre. - Présence du public juste pour écouter et confirmer mes idées Lorsque on est dans un contexte où l’usage des techniques de manipulation est fréquent il n’est pas rare que l’auditoire se protègent. Pas de prédisposition.

2) accord préalable Donc il faut prédisposition+ accord préalable. C’est l’identification d’un point d’appui à partir d’un thème accepté par l’auditoire que j’utilise pour commencer à argumenter. Ce « point d’appui » est au coeur de la mécanique argumentation. Donc l’argument n’est pas suffisant il faut qu’il soit appuyé par un élément accepté par l’auditoire. Ce n’est pas facile car il faut connaitre l’auditoire. a) points d’appui • Argument d’autorité Le point d’appui ce trouve dans le fait qu’il doit reconnaitre l’autorité du locuteur si il n’y a pas reconnaissance alors l’argumentaire ne marchera pas. Dans la famille des arguments d’autorité on peut avoir des arguments positifs ou négatifs qui doit être accepté par l’auditoire et nous sert à défendre l’opinion que l’on propose ou qu’on critique. • Argument de communauté Il faut que le public accepte la croyance en question. Celui qui partagent pas la croyance en question ici « un tps pour tout » alors l’argument ne pourra pas marcher. De ce fait il faut que le public partage les mêmes valeurs. • Argument de cadrage L’accord préalable, consiste dans le rappel d’un certain nombre de faits, que l’auditoire est supposé accepter comme constituant bien le phénomène décrit. Le cadrage est une « description orientée (accepter et reconnaitre les faits représentatifs du phénomène) Le cadrage est en réalité une proposition de recadrage d’un ensemble de faits accepter par l’auditoire. Donc il doit être accepter et le mouvement de recadrage aussi. • Argument d’analogie Il met en rapport une opinion défendue est un phore qui transporte un élément extérieur qui compose l’arg). L’accord doit se faire sur le phore sinon pas analogie acceptée Beaucoup trouve que le sort de Rushdie injuste et terrible. Donc l’analogie transfert cette indignation ressentie par l’auditoire sur celle de l’auteur et de sa situation. Même si tout n’est pas comparable. —> l’ensemble des savoirs nous permet de comprendre les arguments proposés. On peut dire que les points d’appuis concernent le phénomène de reconnaissance de la part du public. (Autorités, valeurs, les faits, analogie). l’encyclopédie c’est l’ensembles des savoirs, connaissances que chacun possède. Le lien entre concept d’encyclopédie et point d’appui permet de mieux faire reconnaitre les différents les arguments.

B) précisions sur les arguments L’argument d’autorité: L’opinion est acceptable par l’auditoire du moment qu’il en reconnait l’autorité. Ex: oral b est la marque qu’utilise les dentistes c’est invoquer une autorité légitime pour l’auditoire. Cet accord porte sur l’autorité accepté par l’auditoire. Dans ce type d’argument on peut prendre toutes les pub qui mobilise un perso important (testimonial). Pour dire que la marque est apprécié par un perso connu. Trois figures d’autorité sont possible: - orateur mène l’autorité. (Président) - Orateur convoque une autorité extérieur. - autorité de l’auditoire lui-même. On peut avoir des autorités convoqués - grâce aux savoirs (compétence), technique ou scientifique. Celle d’un professeur de lettre sur un livre. - Ou grâce à une fonction préalablement exercé. L’expérience peut être liée à la profession elle s’appuie plus ou moins sur nos compétences mais plus théorique que sur une pratique effective. - Le cas du témoignage est une sorte d’autorité car témoins de quelque chose d’important. Pas confondre autorité et pouvoir car pouvoir c’est imposer. Expérience implique une durée et une accumulation là où le témoignage est ponctuel.

CM:6 Les arguments de communauté Ils sont largement utilisés donc si on utilise une vision partagé par l’auditoire c’est effet de communauté. On distingue: - opinions communes - les valeurs - les lieux Dur de rangé un énoncé comme présupposé commun. Le monde des idées et des croyances échappe souvent aux typologies trop serrés. Les opinions communes et les valeurs C’est les opinions communément admise, les proverbes sont du savoir populaire. Les valeurs constituent un appui essentiel pour développer l’argumentation on utilise les plus admises par la société. Il on une portée très large. Une valeur est une figure du désirable. La valeur instaure une espèce de hiérarchie du préférable à l’aune de laquelle on évaluera les opinions et les comportements, les siens et ceux d’autrui. Valeur constitue l’être en commun qui constituent les bases de la culture.

Sans valeur il n’y a pas de communication possible. Les valeurs ne sont pas universelles chaque société et culture en possède certes mais pas les mêmes. Certaines valeurs se contredisent. Valeurs conservatrices et révolutionnaires: elles sont classées en fonction de leur usage dans la fonction de convaincre. Les lieux Quelle différence y a t-il entre les lieux et les valeurs? Pour Perelman « en reculant vers ce qu’il y a de plus général, on aboutit, dans le domaine des valeurs, aux lieux du préférable, qui jouent un rôle analogue à celui des présomptions...


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