Culture Biblique, composition de la bible PDF

Title Culture Biblique, composition de la bible
Course Culture biblique
Institution Université de Reims Champagne-Ardenne
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Culture biblique La bible, histoire d’une bibliothèque.

Initiation au contenu de la bible. Première bible imprimée : la bible de Gutenberg (1450). Le terme bible vient du grec « ta biblia » = les livres. C’est un pluriel. En latin, il est pensé en singulier. La bible est plus une bibliothèque qu’un livre. C’est un recueil de livres. Avec une maj, la Bible est l’ensemble des textes bibliques. Le terme renvoie à diffèrent corpus de textes aussi, selon la confession de celui qui utilise le texte. Il existe des bibles juives et des bibles chrétiennes. Au sein des bibles juives, il y a des bibles hébraïques et des bibles grecques. Pour désigner un grand groupe on parle de religion, puis les sous groupes sont des confessions. Quand on parle seulement de la bible juive, on a tendance à préciser car la bible désigne l’ensemble ou la bible chrétienne. Testamentum = témoignage en latin. Deux grandes parties dans la bible chrétienne : -

L’ancien testament, c’est-à-dire la bible juive. C’est la partie commune entre les juifs et les chrétiens. (Ou premier testament, ou Tanakh. C’est la partie la plus ancienne, qui est le texte saint du peuple hébreux. Aucun juif ne parle « d’ancien testament ». 1. Première partie : La Torah, ou Tora (« loi » en hébreux), ou Pentateuque (5 livres, la genèse, l’exode, lévitique, nombres, deutéronome). Ce sont des textes qui racontent la création du monde et l’alliance entre Dieu et le peuple d’Israël (au sens biblique du terme). La genèse raconte la création du monde et l’histoire des patriarches. L’exode raconte l’histoire de Moïse et de la création de la terre sainte, le Lévitique et les Nombres sont des lois dictées par dieu. 2. Les Prophètes : un élu de dieu. Il y a deux ensembles : d’abord, les prophètes antérieurs (nom juif) ou Libres historiques (nom chrétien), ce qui raconte la mise en place de la terre d’Israël. Ce sont des livres narratifs. Puis les Prophètes postérieurs ou livres prophétiques, avec les prophètes qui transmettent le message de Dieu aux hommes. C’est dans ce livre que l’arrivée prochaine du messie qui sauvera les hommes est annoncée. Pour les chrétiens, cela explique la venue de Jésus. Cela explique la continuité entre l’ancien et le nouveau testament. 3. Les Ecrits ou Livres poétiques ou Sapientiaux (= livres de sagesse) : les psaumes, les proverbes, le job, les cinq rouleaux, Daniel, Esdras, Néhémie, le premier et second livres des Chroniques. L’ordre de ces livres est différent dans les bibles chrétiennes : Pentateuque, Livres historiques, livres poétiques, puis livres prophétiques. Le but est d’établir une continuité entre l’Ancien et le Nouveau Testament.

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Le nouveau testament, non présente dans la bible juive. (ou second testament). Il est propre aux chrétiens car il raconte l’histoire de Jésus, qui est considéré comme le messie, alors que les juifs ne reconnaissent pas son arrivée.

1. Les évangiles : bonne nouvelle en grec. Il y a 4 évangiles : Mathieu, Marc, Luc et Jean (dans l’ordre de la bible, mais pas de rédaction). 2. Les actes des apôtres : récit sur les fidèles de Jésus. 3. Les épîtres : lettre en latin, ce sont des lettres attribuées aux apôtres et adressée à la communauté chrétienne. 4. L’apocalypse : attribuée à Jean aussi. Ce n’est aps le récit de la fin du monde, mais la régénérescence du monde dans l’éternité, après le retour de Jésus. Dans une bible, on se repère grâce aux titres, chaque chapitre est divisé en verset. Le canon biblique : ensemble des textes reconnus par les autorités religieuses.

La bible juive : Que peut-on dire de l’écriture de la bible juive ? Difficile à définir, car cela a commencé par une tradition orale. Ils sont mis par écrits au 8 ème siècle avant notre ère. Les premiers textes sont surtout des textes « historiques », notamment les textes de Samuel et les textes à propos des rois israélites. On légitimait le pouvoir en place. On met aussi par écrit ce qui deviendra la Torah, vers le 5ème siècle avant notre ère. Mais il n’y a pas de recueil, seulement des textes qui circulent. Ce royaume d’Israël connait des difficultés dans la deuxième partie du 8ème siècle avant notre ère, car ils sont attaqués par les assyriens, grande puissance politique de l’époque. Un certain nombre de textes prophétique voient alors le jour. Des hommes appellent, au nom de Dieu, à la Réforme. Au cours du 7ème siècle avant notre ère, un autre peuple émergent : les Babyloniens. Les israéliens théorisent de plus en plus leur histoire et leurs lois, donc ils sont davantage mis à l’écrit. Une date importante : - 587. Les babyloniens prennent la ville de Jérusalem. Le roi Nabuchodonosor. Ils détruisent le temple de Jérusalem, le lieu de culte des juifs. Les élites juives sont envoyées en exil. Date catastrophique pour les juifs, très importantes. C’est un épisode majeur de la diaspora juive. Dans ce contexte là, on écrit une partie des psaumes, qui demandent à Dieu pourquoi a-t-il abandonné Israël ? Il est alors annoncé que Dieu enverra un messie pour sauver Israël. C’est dans le livre d’Ezéchiel. En 539 : les Babyloniens sont vaincus par les Perses et les juifs sont autorisés à rentrer en Israël, à Jérusalem, le royaume est recréé. C’est une période de stabilité, et donc le texte de la Torah est stabilisé aussi. Les Textes Prophétiques : intégration vers 200 avant notre ère, le tout se fixe à cette date. Il y a des textes relativement tardifs. Le Tanakh : pourquoi fixé en 90 de notre ère ? Les romains, qui dominent le méditerranéen, répriment une révolte juive et détruisent définitivement le temple de Jérusalem. La vie religieuse juive se vit alors dans les communautés hors de Jérusalem, car la diaspora se fait de nouveau. Ils vont fixé le canon biblique pour continuer de vivre dans une harmonie religieuse malgré leur situation géopolitique.

La Bible chrétienne :

Le plus ancien texte sont certaines épîtres de Paul (vers 40 ou 50 de notre ère), l’épître aux Galates, aux Romains. Paul n’a pas connu Jésus de son vivant mais diffuse sa foi. Ce sont des textes qui disent ce que croient les premiers chrétiens. Les évangiles : le plus ancien est celui de Marc, mais aussi le plus court. Il est rédigé autour de 70. Il fait référence au temple, donc après 70. Pourquoi sont-il rédigé vers cette période ? Jésus est mort vers 30, puis les témoins directs meurent. Puis Mathieu : il veut convaincre les juifs que Jésus et le messie ; c’est le moment de la scission entre les deux peuples. Luc puis Jean : vers 100, 110. Jean écrit pour les grecs. La scission avec les juifs est évidentes, et Jean est assuez vindicatifs envers les juifs. Pierre : vers 110, 120. Il existe d’autres textes sur la tradition chrétienne. Ils sont tous postérieurs aux évangiles, et n’ont pas été intégrés au canon biblique car considérés comme moins fiables, par exemple les évangiles apocryphes. Les premiers chrétiens étaient tous des juifs, qui pensaient que Jésus était le messie qu’ils attendait. Ils choisissent donc de rassembler les deux testaments. L’hébreu, langue de la Bible juive : Il n’existe pas de langue sacrée dans laquelle la bible serait seulement accessible. La bible juive est majoritairement en hébreux. Il y a quelques textes de la bible juive, telles qu’elle a été intégrée à la bible chrétienne, qui sont écrits en grecs, car à partir du 3ème siècle avant notre ère = grec langue courante. Les érudits et pieux juifs écrivent en grec. Pour la plupart, ces textes sont justement écartés du canon juif à partir de la séparation entre juif et chrétiens, car grec = langue des chrétiens. Le nouveau testament est entièrement écrit en grec. Le fait que la langue d’origine soit l’hébreu a des conséquences sur le texte. L’hébreu est une langue consonantique. Il y a donc des variantes dans le teste hébraïque, même si les manuscrits qu’on a sont proches des textes que l’on a de l’Antiquité. L’hébreu est la langue liturgique des jiufs. Il y a des traductions : -

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La traduction en grec, fait en Egypte, au 3ème siècle avant notre ère. On appelle cette traduction la « Bible des septante », car faite dit-on par 70 érudits. Les premiers chrétiens vont lire la bible juive en grec. La question du retour du texte en hébreu est discuté. Le Targoum, traduit en araméen. C’est la langue parlée du royaume hébraïque, et c’est un texte utilisé chez soi (non lithurgien).

Bible chrétienne : -

Latin. Très vite on a traduit la bible en latin, car le monde romain domine la méditerranée. Dès le 2ème siècle de notre ère. On les appelle les « Vieilles Latines », « Vetus Latina ». Vulgate de Saint Jérôme : A la fin du 4ème siècle de notre ère, la bible chrétienne est retraduite en latin par Saint Jérôme, et cette traduction s’impose comme canon. Jérôme traduit l’ancien testament en revenant à l’hébreu. Il y a donc des nuances. Version officielle des catho dès 1546.

Dans le cadre des bibles chrétiennes, on a très vite eu des traductions incomplètes (souvent) en langue vernaculaire. Ex : alphabet cyrillique, Kirill, traduction en slavon. Les protestants disent que la

bible en langue vulgaire doit aussi être utilisées pendant les lithurgie, contre l’avis des catholiques. La séparation des deux voit donc la répartition plus massive des bibles en langue vulgaire.

Le texte biblique a une histoire : Ce n’est pas un texte rédigé en dix ans, c’est une compilation de textes écrits dans des contextes différents et des personnes différentes. Il n’existe pas une bible mais des bibles, selon la confession qui les utilise.

LES MYTHES D’ORIGINE : De la Genèse au Déluge : Les évènements suivent un ordre chronologie. Il début par la création du monde, dans le livre de la Genèse (chapitre 1 à 11), qui peut être assimilé à une mythologie fondatrice. Avant l’inscription de l’histoire de l’humanité, dans un temps qui est daté. Avant l’histoire d’Abraham, les chapitres évoquent la création du monde et l’entrée en relation du monde avec Dieu. Après Abraham, la Genèse raconte l’histoire du peuple juif. Le style est très narratif, on y raconte une histoire. Le but est de donner du sens au monde dans lequel on vit. Un mythe est un récit qui veut expliquer des évènements hors du temps. Cosmographie d’Hésiode : il met par écrit la mythologie grecque. 4 épisodes mythologiques : - La création du monde - le péché originel - Caïn et Abel - Le Déluge

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La Création du monde :

C’est un chant poétique, avec une phrase qui revient, servant de refrain et qui rythme le texte. « il y eut un jour, et ce fut le 3ème jour… ». Cela a été créé dans un texte liturgique, dans le but du culte. La création a lieu en 6 jours. Jour 1 : Lumière et ténèbres. Dieu sépare la lumière et les ténèbres. Il n’y a rien (du chaos), puis il y a quelque chose parce que Dieu l’a décidé (il met en ordre). Cela lui permet de créer le jour et la nuit. Jour 2 : Ciel et terre. Jour 3 : Mer et terre, il créé les végétaux. Jour 4 : Astres, soleil et lune. Il créé des astres au firmament pour éclairer la nuit et un soleil pour éclairer encore plus le jour. Jour 5 : Oiseaux et Poissons. Jour 6 : Animaux terrestres. Il crée aussi l’homme et la femme mais jamais représenté. Dans le chapitre de la Genèse, deux mythes de la création. Dans les vitraux du dispo, les deux sont mélangés. Il est montré que l’homme et la femme en même temps. Le texte précise que Dieu les crée à son image. Presque jamais représenté, car au chapitre 2 de la Genèse, un deuxième récit de la création, mais ne raconte pas tout à fait la même chose. Il crée l’homme pour dominer la terre, le place dans le jardin d’Eden pour subvenir à ses besoins, et après seulement il crée la femme parce

que l’homme s’ennuie. Pour se faire, il fait dormir Adam (« qui vient de la terre » en hébreux, forgé de l’argile) et prends un morceau de sa chair, sur le flanc, et en tire Eve, la première femme (pas la côte, pas l’os mais la chair, donc le côté). Dans la culture occidentale, force est de constaté que la création a été énormément représenté dans l’iconographie, mais peu dans la littérature. Même Hugo, Lamartine et autre romantique citent rarement la Création. L’importance de cet épisode est donc surtout sur la vision du monde qui va prédominer jusqu’au 18-19ème siècle. Jusque récemment, le récit de la Création est vu comme véridique. Le monde étant créé par Dieu et l’homme étant placé par Dieu dans le monde, l’homme a une responsabilité sur le monde. Aussi parce qu’il a été créé à son image. Dans la Genèse, l’homme est chargé de nommer les animaux. Dans la trad grecque et juive, le fait de nommer est synonyme de pouvoir. Le rapport entre Adam et Eve est aussi fondateur en termes de supériorité d’Adam sur Eve, jusque récemment. La femme est créée pour aider l’homme, après lui.

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Au Jardin d’Eden :

Chapitre 2 de la Genèse, suite de la Création. Ils ont tout ce dont ils ont besoin à disposition. La seule chose interdite est la consommation du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. « La pomme » = problème de traduction, on parle normalement de fruit. Tout le monde y vit en paix. S’ils consomment le fruit, selon le serpent, ils seront comme des Dieux. Eve cède et en donne à Adam. Il ne se passe rien, sauf qu’ils découvrent qu’ils sont nus. Ils vont alors cacher leur nudité. Ils ne découvrent donc que la honte de leur corps. Conscient de leur faute, car ils ont désobéi à Dieu, ils se cachent. Mais Dieu sait tout et voit tout, il les chasse du jardin d’Eden. Dieu punit aussi le serpent, il rampera et il sera la plus vile des créatures et il y aura une hostilité entre la femme et le serpent (elles en ont peur). Désormais, Eve accouchera dans la douleur. Hors du Jardin d’Eden, Adam va devoir travailler pour gagner ce qu’il consomme. Le travail est donc la conséquence du péché originel. Il va devoir travailler la terre pour nourrir sa femme et ses enfants, et la femme filera (travail domestique). Ce récit fonde les relations hommes/femmes dans le monde occidental, avec cette idée que la femme est dangereuse pour l’homme, elle l’influence, mais aussi que l’homme est responsable de la femme. Dans la tradition juive, ce récit est le premier péché, càd qu’il montre la capacité de l’humanité à désobéir à Dieu. Dans la trad chrétienne, à partir du 4ème siècle, ce récit est interprété comme l’idée du « Péché Originel ». Toute l’humanité porte sur elle la faute des deux premiers humains. On parle de la « Macule » du péché. Les chrétiens affirment qu’il faut être baptisé pour être lavé du péché originel. La douleur et le travail sont la pénitence du péché. Jusqu’au 13 ème siècle, le travail est mal vu, l’idéal est l’oisiveté consacrée à Dieu. La vie sur terre est un long temps de pénitence en attendant de rejoindre le paradis. Le premier péché : avoir voulu être comme des dieux, péché d’orgueil et le fait que les créatures se prennent pour des créateurs. La faute n’est pas l’acte sexuel. Adam et Eve sont d’abord fait pour procréer. De même, à l’invention de la péridurale, il y a eu un débat dans l’Eglise catholique afin de savoir si les femmes croyantes pouvaient l’utiliser.

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Caïn et Abel :

Victor Hugo : « L’œil était dans la tombe et regardait Caïn. ». Ce vers, dernier de cette partie de la Légende des siècles, clos le chapitre sur la conscience. Chapitre 4 de la Genèse, histoire des deux fils d’Adam et Eve. Caïn est le fils aîné, il cultive la terre. Abel est le cadet, il est éleveur. Dans l’Antiquité, il y a des tensions entre les nomades et les sédentaires (moyen orient, contexte d’écriture). Ils font des offrandes à Dieu, un agneau et du blé. La main de Dieu n’accepte que l’offrande d’Abel. Dieu prévient Caïn de ne pas être jaloux, que c’est normal. Il n’écoute pas, et jaloux, il tue son frère Abel. Il invente le crime, par jalousie. Dieu, qui sait tout mais veut donner une chance : « Cain, où est ton frère ? » il répond qu’il ne sait pas. « Suis-je donc le gardien de mon frère ? » Dieu sait qu’il ment et il le punit en le chassant et en faisant de lui un nomade. Il détruit ses récoltes mais il lui accorde sa protection dans son errance. Le texte explique l’irruption de la violence dans le monde. L’homme se nuit encore à lui-même. Dans son errance, Caïn crée la métallurgie, la musique, etc. C’est un lien entre sa violence et sa capacité à créer. Le texte fonde aussi la nécessité de punir le crime. C’est l’un des récits qui a le plus été représenté sur les tribunaux.

COURS A RATTRAPER

Les Patriarches : Joseph est jalousé par son frère Jacob, qui le vend comme esclave en Egypte. Cela explique la présence du peuple hébreux en Egypte, il y fait venir ses frères hébreux pour vivre ici, et là ils sont jalousé par le pharaon, qui veut limiter leur pouvoir. Moïse : Le Pharaon n’est pas nommé, mais beaucoup suppose que c’est Ramses II. Il ordonne de tuer tous les premiers né mâle hébreux en Egypte. Moïse est sauvé grâce à une corbeille, abandonné à la chance. Il est sauvé : notion du peuple élu encore une fois. Plus tard, Moïse va prendre conscience qu’il fait parti du peuple juif. Il prends la défense d’un hébreux maltraité, il prends conscience alors qu’il est du clan des persécuté, grâce à Dieu. Il se rend sur le mont Horeb, il voit le buisson ardent. Une voix s’en élève pour lui parler, affirmant qu’il est membre du peuple d’Israël et qu’il doit libéré les hébreux d’Egypte. Moïse annonce que la colère va s’abattre sur les Egyptiens s’ils ne libèrent pas les hébreux, ils refusent, donc : 10 plaies d’Egypte. -

Eau du Nil changé en sang Invasion de grenouilles Invasion Moustiques Mort du bétail par peste bovine Les furoncles La grêle sur les récoltes Invasion de sauterelles Vent poussiéreux qui assèche la région Obscurité permanante

Puisque ce n’est pas suffisant, Dieu fait mourir les premiers nés égyptiens. Lorsque les hébreux partent, Pharaon les poursuit, mais la mère rouge s’ouvre devant eux. Ce passage est commémoré à Pâques pour les juifs (Pessah). Dieu a libéré les hébreux à ce moment-là. Les égyptiens sont noyés, et les juifs errent 40 ans dans le désert, avant de trouver la terre promise. Lorsqu’ils ont soif, moise tape sur un rocher et de l’eau sort, tous les matins Dieu envoie de la nourriture : la manne. Et surtout, pendant cette errance, l’alliance entre dieu et le peuple d’Israël est renouvelé grâce à l’octroi des Dix Commandements. Sur le Mont Sinaï, Dieu donne le « décalogue », deux tablettes de pierres. Episode du veau d’or : Quand il revient, les hébreux vénèrent le veau d’or. Moise casse les tables de loi sous la colère, disant qu’ils sont indignes de dieu. Moise meurt avant d’arriver au pays de Canaan, il meurt sur les rives du Jourdain, à la frontière. Question de l’historicité de la bible : très peu de source, débats nombreux. Avec Moise, on est à la limite de l’historicité. Pas beaucoup de sources, pas de sources égyptiennes quant à la révolte. On sait qu’il y a eu des hébreux en Egypte en esclavage à ce moment-là. Chapitre 20 du livre de l’exode, puis repris plus tard chap 5 du deutéronome. Lors de la commémoration de Pessah, ils mangent du pain sans levain, du pain azyme.

La royauté juive dans la Bible : Livres historiques, ce sont les sources principales pour connaitre l’histoire des royaumes d’Israël. Livre de Josué, désigné par dieu pour succéder à Moise. VOIR COURS DE CECILE, A RATTRAPER Le nazir : ne doit pas boire d’alcool et ne pas se couper les cheveux, signes de consécration à dieu. Samson se marie avec une femme Philistins, ennemis des israélites. Elle prends le parti de son peuple contre Samson. David, comment devient-il roi ? Son prestige augmente, ce qui produit la jalousie de Saül. Capital du royaume de Juda : Hébron Stèle avec une inscription déchiffrée, avec une inscription du roi David. = maison de David. A la mort de Saul, David rentre à Jérusalem et il réunifie le royaume d’Israel. On passe d’un système de tribus à une royauté. David manifeste l’idée des hébreux comme celui du peuple élu de dieu, protégé par Yahvé, et il fait rentrer les tables des commandement (l’arche d’alliance) dans Jérusalem. Le temple va y être construit. Le fils de David : le roi Salomon (et la rein...


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