Culture image cours entier PDF

Title Culture image cours entier
Course Culture de l'Image
Institution Université Paris Dauphine
Pages 18
File Size 1 MB
File Type PDF
Total Downloads 36
Total Views 144

Summary

Cours sur la photographie et son invention, de la peinture, du cinéma et de la télévision....


Description

CM1 Culture de l’image! 18/09! «!Il faut toujours s’étonner qu’une image arrive. Il pourrait ne rien avoir.!» Jean-Luc Godard Bibliographie: ! • Chambre claire de Roland Barthes! • L’oeil et L’esprit de Maurice Merleau-Ponty! • Peinture, Photographie Film et autres écrits sur la photographie de Laslo Moholy Nagy! • Brève histoire de la photo de Michel Poivert!

I) Problématisation de l’image!

• Qu’est ce que la ressemblance ? Il existe différentes sortes d’images avec des statuts différents, des genres ainsi que des supports différents. Chaque image provient d’une autre.! Ex: Francis Bacon, Etude d’un portrait de Van Gogh, 1956! Sur ce tableau, on reconnait la palette de Van Gogh ( Nuit étoilée) ainsi que ses traits de visage plus le chapeau de paille et du matériel de peinture sur son dos.! Roland Barthes dit que le support domine les traits eux-mêmes. Un autoportrait ressemble à un autre autoportrait. ! Ça ne ressemble que à Van Gogh si on accepte la ressemblance.! La ressemblance dépend de notre propre expertise. On accepte l’hypothèse donnée par l’auteur en nous fondant sur une impression globale qui se repose sur notre culture de l’image.! «!Le monde entier tient dans notre tête sous forme d’une anthologie d’images!» Susan Sontag L’importance de la photo dans cette culture de l’image est primordiale. Cela entretient un rapport de savoir avec le monde de façon à le posséder.! Il y a donc des images en dehors de l’image. Certaines images travaillent avec d’autres. Elles communiquent ( images psychiques, art…) Cela donne du sens aux images que l’on observe.! «!La ressemblance est une conformité mais à quoi? A une identité. Or cette identité est imprécise, imaginaire même, au point que je continue de parler de ressemblance sans en avoir jamais vu le modèle.!» Roland Barthes Quand un autoportrait est ressemblant, il ressemble à la représentation d’un personne.!

- La représentation C’est un dédoublement (ou redoublement). Pour Louis Martin, qui étudia le Roi Soleil (politique), la représentation est un «$comme si$» qui opère par substitution. (La personne n’est pas là mais elle est quand même présente).!

Elle induit donc deux choses (la représentation): Un dédoublement ainsi qu’une réflexivité.! Cette réflexivité va intensifier la présence (intensification de la présence) et constitue donc le sujet de la représentation; Il y a donc la construction d’une figure.! La représentation a un effet de présence et un effet de sujet, càd une légitimation. Elle constitue son propre sujet et le légitime et donne ainsi un certain pouvoir.! ex: Le président de la république devient président en fonction des pouvoirs montrés.! • Nelson Goodman: Pour lui, la Ressemblance est réflexive et symétrique. Mais la représentation est transitive.! Il dit qu’on ne peut copier qu’un aspect de l’objet càd celui qu’on voit.! La représentation nous livre l’objet sous un oeil innocent mais cela n’est pas possible car nous voyons l’objet qu’avec notre propre vécu.! «!C'est toujours vieilli que l’œil aborde son activité, obsédé par son propre passé et par les insinuations anciennes et récentes de l'oreille, du nez, de la langue, des doigts, du cœur et du cerveau.!» N. Goodman. • Notion de réalisme: «!Le réalisme n’est pas l’affaire d’un quelconque rapport constant ou absolu entre une image et son objet mais d’un rapport entre le système de la représentation employée dans l’image et le système servant de norme.!» N Goodman. La représentation repose donc sur l’habitude, nous sommes habitués du système de représentation.! Si une image nous parait étrange à nos habitudes, on la pense irréaliste. La perspective de la Renaissance est restée donc très incomprise car la représentation des gens était encore au Moyen-Age.! L’image restitue le rapport au monde. Il y a derrière des valeurs appropriées à la société. • Métalangage On met notre vision culturelle dans les images. Notre connaissance du monde détermine la façon dont on produit l’image.! Une épistémée: Ce sont des scientifiques et artistes d’une même époque qui avancent dans le même sens et recherche la même chose. (ex: Picasso et Einstein avec la relativité de l’espace)! Une image montre le monde mais tient un métadiscours, càd un commentaire et une analyse d’elle même.!

• Y’a-t-il un progrès en image ? Les NTIC sont portées par l’idéologie de voir plus ou mieux. Les images témoignent de certains états de notre société. Mais les NTIC n’en disent pas plus.! Il existe un mythe du PT qui laisse penser que les outils d’aujourd’hui sont meilleurs que ceux d’avant.! Les images fonctionnent sur le mode de l’événement désormais. On peut prendre l’image pour la réalité grâce à leur force extraordinaire.! Les images sont tellement présentent qu’elles déréalisent notre vision du monde. ( Exemple: principe de beauté dans les magazines.)!

L’image expose du visible pour le rendre problématique. Pour construire le plaisir de voir mais aussi de l’empêcher.! «!Ce qui compte dans l’image c’est ce qui l’empêche de voir.!» Baxandall Ainsi l'image est à la fois ce qui empêche l'accès au réel et à la connaissance et ce qui permet cet accès (Besnier, 1995), l'imperfection d'un reflet et la réalité même. Elle est surtout un objet dont nous n'avons pas terminé de cerner les usages, les fonctions, les fonctionnements, les impacts, les pouvoirs ; toutes caractéristiques dans lesquelles devrait s'enraciner une définition fine et précise de l’image.! Il y a un basculement dans l’image; Visible au Virtuel. Moholy Nagy dit qu’il faut donc faire travailler l’observateur en jouant sur les défauts de l’image, ils veut atténuer les contours, supprimer la densité excessive etc…! (Pour exemple, le cinéma correspond à un vide dans lequel le rêve s’engouffre aisément. C’est un processus de participation pour le spectateur)! Pour la représentation, le Dédoublement est donc le principe fondateur du langage, du signe et de l’image.! Un signe est quelque chose qui se donne pour autre chose. Cela indique autre chose que l’image représente. C’est le principe de l’image.! John Locke (1689) dit que ce que l’on pense passe par le signe et le langage, la mémoire n’est pas un fort assuré donc nous avons besoin des images, des signes, du langage et cela nous est indispensable, pour partager nos savoir et comprendre le monde qui nous entoure.! Le signe va arrêter le mouvement de la pensée et ainsi la partager.! L’image permet permet donc de partager des expériences.! Le Hors-image, est construit par l’imaginaire et la mémoire et renvoie à un stock d’images qui va donner sens à tout cela.

CM2 Culture de l’image ! 02/10!

Au paléolithique →La peinture a commencé avant les tableaux. Les plans sur lesquels sont les peintures sont très organisés (haut, bas, droite, gauche) Et cette représentation va disposer les figures animales et humaines en formant des pôles pour former des relations. Il y a le squelette d’une pensée religieuse.! (Ex: Scène du puits, grotte de Lascaux -18500/-19000)! En bas de la peinture on représente ce que l’on pense être plus proche de nous et en haut ce qui nous semble plus éloigné. On trouve des superpositions (étagement vertical), ainsi le dessin du dessus correspond a ce qui est plus proche de nous et en dessous ce qui est plus éloigné= perspective! Perspective tordue: un bison représenté de profil avec les cornes de face. Une synthèse qui réunit deux perceptions dans un même point de vue.! On trouve aussi des exemples de recherche graphique, en exprimant le volume par exemple avec des hachures sur les chevaux. Néanmoins les animaux représentés sont des stéréotypes. Les artistes utilisaient le support matériel (la roche) pour créer l’effet de volume.! Dans ce cas le support est utilisé comme support matériel et support formel.! Certaines de ces oeuvres ont été qualifiées de mythogramme (terme de A.Leroi-Gourhan), Pour lui c’est une représentation figurative qui est le support d’une production orale quelconque.! → C’est a dire que ce ne sont pas seulement des dessins d’animaux mais d’oeuvres qui représentent de façon symboliques les rapports entre l’homme et son environnement. (exprimer le rapport de l’home à la nature)! Dans ces mythogrammes= animaux, figures géométriques, lignes crochets…! On trouve des mythogramme qui remontent à 30 000 ans.! Ces mythe gramme font opposition au pictogramme. Le mythogramme est un certain mode de pensée mythique (récit des origines), alors que le pictogramme a un lien avec l’écriture, la linéarité, il y a un alignement des phases des actions. Quand on représente les étapes successives d’une action on est en présence de pictogramme.! La différence c’est que le pictogramme représente les états successifs d’une action et le mythogramme représente les personnages d’une opération mythique.! «!préparée, l’image, s’enlevant souvent sur un fond de couleur distincte, acquit un espace défini bien à elle(…) L’invention d’une surface lisse et fermée rendit possible l’ultérieure transparence du plan pictural sans laquelle la représentation de l’espace tridimensionnel n’aurait pu s’accomplir!». Meyer Schapiro !

→Si le fond est préparé, un champ peut être organisé et donne lieu a l’opposition sémiotique du support matériel et du support formel.! Pour M Schapiro, c’est une mutation fondamentale de l’art.!

• Le groupe de chercheurs μ, dit qu’une limite peut être une simple limite mais aussi un contour. La limite c’est un tracé neutre qui divise l’espace de deux régions sans donner de hiérarchies à une région.!

• Le contour est le tracé qui divise l’espace e deux régions pour créer le fond et la figure. Le contour se distingue donc de la limite en ce qu’il définit un intérieur et un extérieur et impose une hiérarchie. Le contour fait parti de la figure.! Principe de proximité: l’oeil va lier les contours (petits points)! Principe de bonne forme: l’oeil va corriger la forme pour former une forme connue! Il suffit de tracer un contour pour organiser deux plans. ! Une figure est ce que nous soumettons a une attention impliquant un mécanisme cérébral élaboré de scrutation locale sur un fond et que nous ne soumettons pas a ce type d’attention. D’ou il ressort que le fond est indifférencié et part définition sans limite, doté d’une d’un existence sous la figure, laquelle, des lors, paraitre plus proche du sujet que le fond.! Le cadre est la «%clôture régulière volant le champ de la représentation de la surface environnante%»Meyer Schapiro. ! →Quand il est en relief il va concentrer le regard et dirige l’attention sur la surface du tableau. !

Antiquité L’histoire de la peinture se confond avec l’histoire de la perspective. (trompe l’oeil qui remplaçaient les fenêtre des l’antiquité) Ces trompe l’oeil restructuraient l’espace en introduisant des microscènes, des fenêtres. ! Dans l’antiquité à Pompei on trouve des morceaux de trompes l’oeil, imparfaits mais qui trompe l’oeil.! ! Jon White disait qu’on maitrisait la perspective dans l’antiquité mais qu’on arrivait pas a faire une représentation globale et que pendant le moyen âge l’on avait perdu ce savoir. Cette compétence va devoir être reconstruite.!

Moyen âge Au moyen âge, on utilisait une échelle symbolique. La valeur pour la société est représentée.! (plus personnages sont importants plus ils sont grands)! (ex: Ambrogio lorenzetti, Annonciation 1344, perspective de carrelage et que cette espace se prolonge jusqu’aux yeux du spectateur, on commence a apercevoir un fond homogène)! (Masaccio, la trinité 1428), une perspective mathématique apparait.!

Renaissance Leon Battista Alberti (1404-1472)! Filippo Bruneslleschi (1377-1446)! Ce sont les deux inventeurs de la perspective à la renaissance! • Brunelleschi Propose un sytème de perspective qui s’appuient sur les mathématiques. Il n’existe q’un point de vu possible.! • Le plan du tableau va intercepter le conne visuel. ! Alberti est le praticien. Il propose que le point de vu coïncide avec le point de fuite ou les points convergent en un seul point. Egalement, la taille des objets diminuent en proportions à leur éloignement par rapport au spectateur, pas de distorsion (lignes droites restent droites, ni pour les parallèles). Enfin ceci pose la métaphore de la fenêtre ouverte à travers laquelle le spectateur peut voir le monde. ! →La perspective impose la forme du rectangle. Mais cette forme ne correspond pas.a la vision naturelle mais à la métaphore de la fenêtre ouverte. Ce que l’on voit dans le cadre c’est comme si on le voyait dans une fenêtre ouverte.! Cette perspective fait l’objet de nombreuses études, et Léonard de Vinci va ajouter une réflexion sur la lumiere. Il n’y a pas qu’une réduction des volumes mais il faut ajouter un contraste de couleurs car ce que l’on voit au loin a changé de couleur. C’est la perspective atmosphérique. Albrecht Dürer va diffuser cette idée en Allemagne, plus c’est imité plus c'est artistique. La copie la plus fidèle garantit sa valeur artistique.! • Cette perspective suppose un observateur immobile (1,40m) et une vision monoculaire mais est efficace pour représenter les espaces éloignés et représente mieux les espaces bâtis car les orthogonales sont mieux maintenues.!

18eme siècle ! Paul Cézanne, avec le cubisme, accentue les volumes et propose un point de vue tournant. Alternative de la peinture moderne.! (autre exemple avec Jackson pollock et son all-over, Number 1, 1949// Piet Mondrian, composition jaune bleu rouge, 1921)! L’anamorphose: à l’intérieur d’un système perspectif on incline un plan de projection incliné que l’on peut redresser. Cette insertion va se faire obliquement à l’aide de miroirs. Et cette déformation rend l’image énigmatique.! Le passage de la fresque et du tableau d’hôtel au tableau s’effectue du 14eme au 17e. Le tableau devient mobile. (autonomie du tableau). →Victor Stoichita explique ce processus en se questionnant. La forme «%tableau%» conduit les artistes a se poser des questions sur la représentation, la peinture est le thème principal du tableau.! Le cadre va dialoguer avec la peinture et le statut de l’image est interrogé a travers le cadre et les conditions d’accrochages et ceci représente la place de l’image dans le monde, c’est un questionnement. Cette réflexivité ne doit pas mettre en doute la mobilité du tableau.!

On associe certaines dimensions au tableau qui doit être porté. (Veronese, les noces de cana (1563, 667x994cm))! L’instauration du tableau a la fin de la renaissance coïncide avec la notion d’autonomie du tableau. (nature morte= espace proche, portrait= mi proche, paysage= lointain)! C’est a cette époque que se constitue le genre du portrait.! «!L’individu n’est plus le membre d’une communauté au sens ou pouvait l’entendre l’homme médiéval mais devient un corps a lui tout seul!»!, «!l’affirmation du «!je!» devenant une force supérieure a celle du «!nous autres!»!». David Le Breton! L’individu «%cesse d’être un simple jouet ou un être parmi d’autres soumis a l’ordre de la nature%».! Les essences et dieu habitent l’éternité, les individus existent dans le temps%» (Todorov)! Dali, couple aux têtes pleines de nuages 1936!

•Inventions fin du 19e: La couleur: c’est un phénomène perceptif essentiellement humain. Localiser sur les surfaces de la matière en contact. ! C’est parce qu’il y aura lumière qu’il y aura couleur.! CM3 Culture de l’image 16/10 → Approche objective: expérimentation par l’optique. Elle intéresse la physique et la chimie. ! Isaac Newton: Il décompose la lumière blanche en 1704, il décompose la lumière du spectre solaire et en déduit que les couleurs naissent d’ondes lumineuses qui sont une espèce d’onde d’énergie électromagnétique. L’oeil humain ne perçoit que des ondes lumineuse entre 0,4 μ et 0,8 μ et c'est simplement dans cette frange que le monde visible nous apparait.! La couleur nait dans notre cerveau a travers notre oeil. Parmi les 7 couleurs, trois couleurs primaires qui sont nécessaires pour voir les autres.! Rouge: 800 et 600 Mμ au limite de l’éblouissement! Violet entre 430 et 390 mμ et au limite de l’obscurité! → Approche subjective: puissance symbolique, psychologique fondée sur la perception individuelle de la couleur. Elle est incarnée par Goet, il va approcher la couleur des philosophes et va prendre en compte la subjectivité de l’approche des couleurs, il convient de l’approche relatif des couleurs et ne peut être qu’abordée qu’a travers des notions de similitudes, de comparaisons et de contrastes.! Il est impossible d’isoler une couleur avec cette approche et on ne peut pas la séparer de la lumière qui l’apporte. ! Il va proposer 3 types de manifestation de la couleur:! • Couleur physiologique: celles perçues par l’organe de vision! • Couleur subjective et objective: qui se définit par la matière du corps! • Couleur chimique: on considère les pigments qui sont fixés sur le corps! Ce traité des couleurs va être interprété par les théoriciens psychologiques de la perception de la couleur (techniciens de la couleur comme Itten).! Eugene Chevreul: chimiste aux Gobelins et va éditer en 1839, «!De la loi du contraste simultané des couleurs et de l’assortiment des objets colorés!». Loi des contrastes simultanés: phénomène qui fait que notre œil, pour une valeur donnée, exige, en même temps, donc lui-même si elle n'est pas donnée.! Exemple : un cercle rouge sur un fond blanc s'auréolera d'une zone verdâtre (vert, complémentaire du rouge)

La couleur complémentaire est celle qui ne rentre pas dans la composition des couleurs secondaires. La couleur va projeter sa complémentaire. Les plages doivent être d'une dimension suffisante pour qu'on les perçoive dans leur étendue, et ne pas occuper une part trop importante de l'espace visuel. La loi des contrastes successifs: phénomène qui fait que notre œil, pour une couleur donnée, exige, immédiatement après donc successivement, la couleur complémentaire, et qu'il l'engendre lui-même si elle n'est pas donnée.! Exemple : Si l'on fixe un espace blanc après avoir regardé un cercle rouge, dans la même durée de temps, on verra apparaître une zone verdâtre (complémentaire du rouge).! Johannes Itten: L’oeil cherche l’harmonie et cherche a rétablir un ensemble. Il va procéder a un mélange optiques. ! Figuratif/abstrait Le figuratif suppose une correspondance avec le monde et on mobilise une grille de lecture.! L’abstrait on représente le monde en extrayant ses propriétés, on abstrait des formes et des couleurs pour produire des tensions, des ruptures d’équilibres, des rapports de couleurs chaudes et froides.! Le fondateur de l’art abstrait: Vascilly Kanvisky! Figuratif/plastique Une peinture figurative présente des formes et des couleurs qui ressemblent au monde naturel. (photographie nu)! Plastique: se fonde sur la lumière, des traces, l’empreinte des gestes et la même photographie qui représente un nu avec des dégradés, ligne de force, de masse… ! C’est l’observateur qui a le choix entre une lecture figurative ou une lecture plastique. Il va mettre entre parenthèses la lecture plastique s’il regarde de loin. C’est la distance qui sera le basculement entre une lecture figurative et une lecture plastique.!

CM3 Culture de l’image! 16/10! → Approche objective: expérimentation par l’optique. Elle intéresse la physique et la chimie. ! Isaac Newton: Il décompose la lumière blanche en 1704, il décompose la lumière du spectre solaire et en déduit que les couleurs naissent d’ondes lumineuses qui sont une espèce d’onde d’énergie électromagnétique. L’oeil humain ne perçoit que des ondes lumineuse entre 0,4 μ et 0,8 μ et c'est simplement dans cette frange que le monde visible nous apparait.! La couleur nait dans notre cerveau a travers notre oeil. Parmi les 7 couleurs, trois couleurs primaires qui sont nécessaires pour voir les autres.! Rouge: 800 et 600 Mμ au limite de l’éblouissement! Violet entre 430 et 390 mμ et au limite de l’obscurité! → Approche subjective: puissance symbolique, psychologique fondée sur la perception individuelle de la couleur. Elle est incarnée par Goet, il va approcher la couleur des philosophes et va prendre en compte la subjectivité de l’approche des couleurs, il convient de l’approche relatif des couleurs et ne peut être qu’abordée qu’a travers des notions de similitudes, de comparaisons et de contrastes.! Il est impossible d’isoler une ...


Similar Free PDFs