Cuture de l\'image - culture de l\'image L1 PDF

Title Cuture de l\'image - culture de l\'image L1
Course Culture de l'image
Institution Université Bordeaux-Montaigne
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culture de l'image L1...


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Culture de l'image (eval dernier cours avant les vacances contrôle continu sinon a la rentrée) Cours intégrale: https://www.studocu.com/fr/document/universite-bordeaux-montaigne/culture-delimage/culture-de-limage-l1/10211727 plan du cours : - problematisation de l'image - le tableau - l'invention de la photographie - theorie de la photographie - invention du cinema - la télévision

I/ PROBLÉMATISTION DE L'IMAGE : SEANCE 1 - Qu'est ce que la RESSEMBLANCE - ya t il un PROGRES dans l'image ? Tableau d'un voyageur parce qu'il a un chapau ya de l'hrbe de la nature et un sac, ou un chasseur (premier impression ? Appriori?) → Francis Bacon, Etude pour un portrait de Van Gogh, 1956 peint bleu presque noir → figure de Van Gogh MAIS est ce le personnage qui lui ressemble ? VG 1953-1990 (Vincent Van Goghe, Autoportrait, 1889) Pourtant on peut pas comparer les traits des deux portraits car sur le deuxieme, le visage est visible tandis que l'autre est effacé, le personnage est désidentifié, alors on peut s'attacher à d'autres indices comme le chapeau de paille, VG souvent id avec !! Ce chapeau peut l'apparenter aussi a un perso maximilien sur le tableau d'edouard manet, 1868, peut renvoyer a tout personnage comme un manga (Luffy) Si on admet que c'est vg, on s'appuie encore sur d'autres elements en sachant qu'il etait peintre (on id son materiel de peinture, sa toile dans le dos), son visage effacé = visage solitaire, il etait passioné de paysage et allait direct les peindre sur place, ce qui a inspiré des films sur sa vie, ce peintre érrand dans ce paysage avec ses toiles dans le dos Game chromatique, Vincent Van Gogh, Nuit etoilée sur le Rhône, 1888 : les couleurs utilisées de bases nous rappellent les œuvres de celui ci, cette palette, ces tonts Finalement, A QUOI RESSEMBLAIT CE TABLEAU DE DEPART ?: -Portrait peint de vg ? -Peint par vg ? -Tableau De vg reproduit par bacon l'auteur de base qui a reproduit librement la touche original de vg dans son œuvre ? La ressemblance renvoie a l'expertise de l'observateur, celui qui regarde. Quand on a observé on a accepté l'hypothese en se basant sur la ressamblance global, on a essayé de

trouver une adéquation entre vg le perso et ce qu'on avait sous les yeux. → on s'est appuyé sur notre culture de l'image, notre culture visuelle car on a tous dans la tete un catalogue d'image divers, c'est a travers lui qu'on va voir le monde et donc l'image, grace a notre experience (cinema, musées etc), chacun a l'habitude de voir quelque chose de differents, images de pub, supports divers, peintures photos, cinema, reseaux « Le monde entier tient dans notre tete, sous la forme d'une anthologie d'images » Susan Sontag, Sur la photographie, 1982 → culture importante car collecte les images Ca nous ramène a une notion sur la quelle on reviendra, ya des images hors image, ya un supplément, des images non visibles, qui vont alimenter notre impression/lecture de l'image Les images comme ca vont don communiquer entre elles (oniriques, percepion du monde naturel donc sans filtre avec les yeux, des images d'art en mode tableau, peinture et aussi images psychiques → elles vont interagir ensemble) « Il faut toujours s'étonner qu'une image arrive, il pourrait ne rien avoir ». Jean-Luc Godard Ce qui fait la ressemblance c'est ce qu'on va donner au sens, c'est l'investissement de chacun dans les images, c'est donc ce qu'on a dans la tete, ces impressions qui vont animer l'image, lui insuffler la vie, les rendre vivantes, sensibles, on peut situer ici a la notion de sensibilité → Cette notion devient precaire, instable, complexe a saisir. Roland Barthes a redigé un travail (citation ci-dessous), en analysant photos de sa mère disparue, alors face à ces images = fragements de sa mere passée, qu'il peut plus trouver, elle est pérenisée dans l'image mais n'est plus la, c'est presque elle. Il va se dremander ce qu'est la ressemblance face a une photo considérée comme une ressemblance qui est donc une conforomtié a une identité imaginaire. « La ressemblance est une conformité mais à quoi ? A une identité. Or, cette identité est imprécise, imaginaire même, au point que je puis continuer à parler de ressemblance sans avoir jamais vu le modèle ». Roland Barthes, La chambre claire, Note sur la photographie - identité c'est les propriétés qui constituent l'objet et par lesquels on va les reconnaître - identité considérée comme rapport de similitude entre deux objets, très artificiel en realité, ressemblance quelconque on les range dans une même catégorie (autre citation photo a marquer) « Moi qui me sens un sujet incertain, amythique, comment pourrais-je me trouver ressemblant ? (…) La ressemblance renvoie à l'identité d'un sujet, chose dérisoire, purement civile, pénale même ; elle le donne « en tant que lui-même », alors que je veux un sujet « tel qu'en lui-même » ». R.Barthes, La chambre claire, Note sur la photographie On vit apres tout ca que la ressemblance ce n'zqt pas une notion tenable quand on v eut travailler la notion de l'image ressmblance est seulement la ressemblance de la representation d'une personne, c'est comme ca qu'il le voit (selon barthes)

Conclusion : le support est plus stable que l'identité elle meme → idee de l'image comme représentation

René Magritte, la trahison des images, 1929 « ceci n'est pas une pipe » car image représentation de la pipe, ce n'est ni l'objet ni le modèle, c'est juste la représentation Donc on a deux choses : - un dédoublement, le modele (réferent) - l'image qui va le representer

!!!! notion dedoublement importante Louis Marin Hyacynhe Rogaud, Le roi Louis XIV, 1701 Politiques de la representation : La représentation est un « comme si » Ce portrait de louis14 fait « comme si » la personne absente était presente, louis machin n'est pas devant nous ni dans la piece mais est présent dans l'image, ce portrait fais donc « comme si » quelque chose qu'on avait pas devant les yeux était present, ce qui rejoint Barthes avec l'image de sa mère. DONC objet de substitution = modele original est remplacé par image de ce modèle La représentation induit deux choses : - ce dedoublement déjà évoqué plus haut, evoqué comme un redoublement, qui rajoute a la presence intensification de la presence, insiste sur chose a representer, la saisie, la selectionne, la rend donc plus presente - dispositif representatif, ici cette image cette peinture de Louis truc, va constituer un sujet dans cette image, cette representation = consequence du premier element (premier tiret), présence intensifiée donc sujet de ce qu'il y a dans le cadre - effet de presence - effet de sujet, decliné par marin en un effet de legitimation Le sujet s'installe dans une image ou il est autorisé, il va s'installer dans le pouvoir de ce qu'il représente, pour pemerte au sujet de se presenter, c'est pour ca que Marin va conclure cette DIMENSON DE POUVOIR Le pouvoir se met en signe et ce signe lui donne de la puissance La representation ici est la pour montrer cette force mise en reserve, → apport en pouvoir et representation = politique de pouvoir ex : louis14 sur champ de bataille et louis 14 devant draps rouges → aura differente ca marche aussi dans images electorales : Macron, image 1 : affiche campagne 1er tour, focus photo diff image 2 : son 2nd tour, soligan pour rassembler les gens image 3 : photo OFFICIEL, ELU, posture Nelson Goodman : ref : langages de l'art, une approche de la theorie des symboles, 1968

→ approche plus generale comparé a Marin Il cherche a apporter finesse dans son approche, un objet ressemble à lui meme met, il se represente rarement lui meme. La représentation selon Goodman : RESSEMBLANCE

REPRÉSENTATION

Réflexive = renvoie à soi

Transitive = renvoi à son objet

Symétrique : Si A ressemble à B ; B ressemble à A

Le tableau peut représenter quelqu'un mais pas l'inverse

C'est comme ca que Goodman essaie de marquer cette diff entre les deux éléments. DONC, dans sa theorie, qu'est ce qu'une representation au final ? Tout d'abord il va parler d'imitation, de copie mais ON EVOQUE CES TERMES CAR QUAND ON COPIE UN TRUC ON COPIE CERTAINS ASPECTS, SELECTION CERTAINS TRUCS, LES MANIERES D'ETRE ET D'APPARAITRE Donc les objets n'apparaissent jamais que sous une ou certaines perspectives, ca pose probleme quand on parle de copie ou d'imitation. (Alors Goodman poursuit en se demandant si qqpart : en fct de la perspective dans laquelle on se situe, si ca donne qu'un aspect selectionné est ce qu 'on peut choisir de representer VG (Van Gogh) quand on le voit sous un jour de pluie ou quoi) On va chercher à representer les choses sous le regard d'un œil normal, on s'attend toujours a ce qu'elle nous livre un objet observé par un œil innocent, objectif, telle que la chose est. Sauf que goodman va dire qu'il n'y a pas d'oeil innocent, c'est ce qu'on a vu avec les deux niv de perception: perception de chacun qui est diff en fct de la culure et de l'experience (œil vieilli, experience, images, acuité → reptresentation va dependre de ces critéres) (l'autre jsp) On peut jamais specifier ce qui est a copié. C'est interessant car cette perception nous conduit à la question du REALISME.

A- Réalisme et perspective. Le réalisme n'est pas « affaire d'un quelconque rapport constant ou absolu entre une image et son objet mais d'un rapport entre le système e la représentation employée dans l'image et le système servant de norme ». N.Goodman Dans la civisation occidentale, civilisation analogique, on s'attend a ce que l'image ressemble a une image naturelle, retrouver meme perception que l'on pourrait retrouver face a un spectacle vu face a nous en mode naturel. MAIS, la problématique et c'est ce que note goodman : - le realisme est plutot le rapport employé dans le mode de l'image et celui qui sert de norme, le realisme c'est l'implication et l'habitude, on est habitué a des systemes de representations et c'est

pour ca qu'à chaque fois que l'on va voir une image qui nous invite à inventer une perspective nouvelle, avec une autre facon de voir le monde, on va la trouver irrealiste, c'est ca exactement ici le rapport au realisme, systeme qui corrsepond a nos habitudes et représentations, si on change ca ca nous paraît irrealiste, A noter : l'effort des courants realistes → de vouloir changer nos perspectives (jeux videos, simuler le monde réel, le rendre comme on vourait le voir alors que jeux dehors pour enfants par ex etaient ludiques) Durant la renaissance, travaux, perspective linaire a transformé manière de representer les choses car elle a cherche a simuler dans une image le regard que l'on porte sur les choses dans le monde naturel (on y reviendra) les auteurs ecris au tableau* expliquent qu'il faut avoir un objectif representationnel, c'est pour ca que les mathematiques ont bousculés leur maniere de voir. * - Leon Battista Alberti, De Pictura, 1435 - Hubert Damisch, l'origine de la perspective, 1979 - Erwin Panofsky, La perspective comme forme symbolique, 1927

Conclusion : On voit donc que l'image est une construction , systeme de valeur qui va nous restituer un certain rapport au monde que l'on peut assimiler a une ideologie ou a un ensemble de valeur qui sont appropriées par un groupe. On voit que cette conception de ressemblance va sous entendre que les propriétés d'une image, ce qu il y a dans son organisation c'est pas ce qu'on voit dedans seulement mais aussi et surtout les propriétés qui nous disent comment regarder l'image, une image n'est jamais qu'un enregistrement naif du monde, la representation nous permet de constater l'etat du savoir, des connaissances, de la technologie sur le monde. Les connaissances du monde et savoir scientifiques determinent la facon de faire les images anciennes map/radiologie) Donc par le biais de cette dimension technologique, la ressemblance nous révèle la dimension scientifique et nous renvoie à un rapport de connaissance de la vie et de la mort qui ont changé au cours des siecles et au cours des cultures. Non seulement la Ressamblance va nous montrer le sujet de l'image mais aussi va commenter le monde et elle va s'analyser elle meme, va nous renseigner sur notre rapport au monde. ELLE TIENT DONC D'UN METADISCOURS SUR LE MONDE, UN REGARD ANALYTIQUE SUR LA CHOSE -------------MTN YA T IL UN PROGRES DANS L'IMAGE. « Au coeur de l'idée du progrès, il y a la conviction que tout ordre de succession, dès lors qu'il concerne le monde humain (en particulier dans la période dite moderne) est un processus ou un mouvement d'amélioration » P-A. Taguieff, 2004

B- Le progrès : Y a t-il du progrès dans l'image ? Dans l'idée de progrès deux choses / présupposé : - il y a du changement, transformation

- idée d'amelioration, le changement va dans le bon sens 1- Les nouvelles technologies de l'image portent l'utopie de voir plus ou voir mieux... En effet, les nouvelles technologies de l'images portées par ideologie de voir plus ou de voir mieux notammenent en augmentant les pixels (pr ex) ou voir a travers les choses en rayon X → technologie qui permettent donc de voir PLUS loin, on voit mieux les choses. Ainsi, cette utopie de voir PLUS ou MIEUX fonctionne pas trop parce quelle permettent juste de voir autrement et vont construire d'autres representations des choses. 2- Mythe du progrès technique : pour imiter la réalité, les outils modernes sont plus fiables que les anciens Meme d'autres dispositifs immersifs d'ajd vont juste permettre de faire d'autres mondes à travers la representation donc encore une fois la sophistication des images peut laisser croire au progres : c'est le mythe du progres technique qui a partir de la perspective evoquée avant, peintures et dessins sont des approximations alors que photos, cinema, videos sont plus proches du reel → mythe progres technique = outils moderne sont plus fiable que progres anciens

C- La puissace des images. Les images d'ajd : pq sont elles aussi puissantes ? - lumineuses (attirent l'attention) Les évènements/ dimension évenementielle et dinamyques car elles sont animées par des transfrormations qui impliquent notre participation ; on va investir dans ces images de l'imaginaire et les faire vivre plus qu'elles ne le sont : on va leur donner vie. → Intensification d'une presence car elles vont bouger et car elles seront lumineuses etc Ainsi elles sont immersives car elles nous entourent et nous separents (ex : metaphore de la caverne de Platon) D'autre part, on considère, et Bartes l'a noté, que les images sont parfois plus réelles que le réel car elles nous frappent et nous affectent d'avantage que bah le réel. Elles déconstruisent la realité des choses avec la photogénie car maniere de mettre en image qui donne les critéres de beauté des choses. 1- Puis, on va s'interesser à la relation entre le visible et le visuel en se rappelant que c'est la personne qui regarde qui fait le tableau. Alors une image expose le visible, pour pouvoir le problematiser, mais ca peut aussi compromettre la representation → ca va construire l'image par le desir de voir quelque chose On retrove mtn la dedans une balance entre une presence et l'absence, et la presence ne prend son sens que dans le risque de l'absence. Le plus important dans une image c'est l'empêchement du fait de pas pouvoir voir un truc et le fait de vouloir voir un truc , ca nous interesse nous attires, a la fois yen a pas assez dans l'image et plus yen a pas plus on interprete et imaginons → c'est donc pr ca qu'au dela du visible il faut pouvoir le construire. 1- Points de bascules entre visibles et visuels appelés discontinuités dans les œuvres commes des points flous et occultés, le spectateur complete l'image par ce qu'il percoit, l'imaginaire va donner vis a un croquis incomplet par exemple, ca va enrichir l'image (ex tableau vg= Van Gogh avec visage flou, imaginaire et connaissance d'image prend le relais) → Ce point de bascule permet aux artistes de travailler comme Moholy-nagy dans la bahaus travaux sur les medias, pionnier du montage photo, il invente la photoplastique, tire parti des

defauts de la photo, il decontextualise les choses pour stimuler l'imaginaire. Christian Metz (1931-1993), evoque la question de la participation, analyses du cinema. Biographie. Fondateur de la sémiologie du cinéma : essaies sur la signification au cinéma, 1968. Metz a apporté une nouvelle perspective sur l'étude du cinéma : un vocabualire, des principes d'analyse et une rigueur empruntés à la linguistique. Il dit : « Le cinéma est un langage qu'il fut analyser comme un système » Metz veut consider que le spectateur d'un film eprouve une impression de realité qui est inegallée, face a un film on a vraiment l'impression d'assister a un spectable quasi réel. Au théâtre, l'impression est plus forte car cinema= vide dans lequel le rêve et l'imaginaire s'engouffrent, il laisse possibilité de combler le vide entre les scènes, les élements et donc d'imaginer pour prolonger le monde qui nous fait face → ca renforce, on va dire, la participation du spectateur avec le cinema. Ca s'oppose au theatre car ce sont les personnes en face de nous qui sont considérées donc plus réelles sauf que pb en realité : theatre est trop reel et l'imaginaire n'intervient pas assez, on peut pas mettre de distance et combler les vides. Le cinema, lui, ouvre l'espace geographique pour fabriquer un monde utopique ou distopique et va alors stimuler l'imaginaire, comparé au theatre ou tout se passe et se deroule devant nous. Une image va stimuler un observateur si elle est imparfaite, il faut qu'elle soit ouverte et qu'elle degage des possibilités. On voit donc avec tout ca a quel niveau l'obseravteur peut participer a une œuvre qu'on peut decrire par l'imaginaire, la memoire, les reves, les perceptions un ptit peu modulées comme les illusions (nuages qu'on interprete en formes etc) Les images mentales psychiques vont communiquer, elles vont s'appeler le hors images. DONC, pr bien comprendre cette implication du spectateur dans l'oeuvre, il faut rappeler que image=signe, sous entendu donc dans la notion de representation. Pour la qualifier comme signe, il faut garder à l'esprit l'idee de dédoublement, un signe c'est tjrs qqchose qui sonne pour autre chose, on utilise un mot pr communqiuer plutot que ramener la chose directement ex : si on parle de foret on ramene pas un vrai arbre pour en parler mais on utilise des mots pour la décrire, donc dans un pemier temps l'image permet a l'homme de parler d'autre chose que de lui meme. → images= signe, une image representée

D- Peut on donc se passe de signes, d'images ? NON ,car si on veut se souvenir de nos experience et les partager, l'humain etant un etre sociable on a besoin de les communiquer entre nous pour fonder une societe et pouvoir les enregistrer pour notre propre usage. DONC UNE IMAGE EST UN SIGNE QUI TRADUIT L'INTUITION, c'est comme si le signe interrompait le mouvement de la pensée, il fige qqchose et donne un cadre de la discusion ; partager des choses donc construire des sct. POUR FINIR : - notion d'image entendue au sens d'image materielle (cf tableau plus haut) - plan de manifestation qui permet de partager nos pensées/experiences et de les consevrer en memoire

- aussi on a le hors images, ils sont consruits dans l'imaginaire → les stocks d'images dans la tete : LES DEUX SONT RELATIFS A LA CULTURE DE CHACUN, CONSTRUITS DE LA MEME MANIERE, l'image s'appuie toujours sur un tissu materiel qu'elle convoque et qui la fait signifier → IMPORTANT !! Donc, la notion de ressemblance nous a dirigé vers cette idée de representation des choses, rapport profond culturel manière de lire et de les regarder. Finalement ce progres est relatif : c'est l'évolution des cultures. « Parce que la scène des idées que constitue les pensées d'un homme ne peut pas paraître immédiatement à la vue d'un autre homme, ni être conservée ailleurs que dans la Mémoire, qui n'est pas un réservoir fort assuré, nous avons besoins des signes de nos idées pour pouvoir nous entrecommuniquer nos pensées aussi bien que pour les enregistrer pour notre propre usage ». John Locke, Essai philosophique concernant l'entendement humain, 1689.

TD1 : 22 sept 2021 – Mr MONS 1 esthétique → Georges DIDI-Huberman anthropologie → François...


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