Expose tourisme alternatif (solidaire, vert,durable,écologique...) PDF

Preview

Summary

Cours marketing de tourisme. Exposé sur les différents types de tourismes alternatifs ( solidaire, vert, écologique, équitable...) ...

Description

Marketing du tourisme :

Sujet : Le tourisme durable et ses tendances mondiales

Professeure Muriel Venzi

SOMMAIRE : 1

 Introduction ………..……………………………………………………………………page 3

 Développement ……………………………………………………………… page 4 à 12 o Partie I : Définir le tourisme durable ……………………………………………………. page 4 à 7 o Partie II : L’offre et la demande ………………………………………………………..…. page 8 à 12

 Conclusion ……………………………………………………………………………… page 12

 Sitographie ……………………….…………………….………………..…… page 13 à 14

2

INTRODUCTION : Depuis l’après-guerre de la 2GM, le tourisme n’a cessé de se développer avec la société de consommation : il est devenu un tourisme de masse. En effet, ces deux sont liés, le développement du tourisme est parallèle à celui de la société. Le tourisme est défini comme le fait de voyager dans le monde, ou de parcourir pour son plaisir, un lieu autre que celui où l’on vit habituellement. C’est un secteur florissant qui rassemble 1,4 milliard de personnes par an (2019). Le tourisme de masse est donc une “manière”, un mode de tourisme apparu dans les années 1960’s avec le baby-boom, l’apparition des congés payés, et le pouvoir d’achat qui augmente avec la société de consommation. Selon l’OMT, 95% du tourisme dans le monde se concentre sur 5% du territoire émergé. Mais la révolution industrielle a eu bien des conséquences négatives sur la planète, et le tourisme de masse a aussi été un des facteurs qui a contribué à la pollution et au réchauffement climatique de la planète (transports, dégradations,). Certaines régions les plus belles du monde sont malades. Elles sont affaiblies de par le tourisme excessif (de masse), ce qui conduit à la ruine de leur patrimoine local. Cela est dû à une exploitation excessive des ressources naturelles et une dépossession des populations de leur habitat et à la pollution. Sur le plan environnemental le tourisme et notamment le tourisme de masse n’étaient pas viables à long terme. Un nouveau tourisme s’est alors développé pour contrer cette tendance : c’est le tourisme écologique, aussi appelé écotourisme. Il est au centre des préoccupations nationales (Ministère de la Transition écologique) et internationales (OMT) et c’est notamment un tremplin vers le développement durable défini comme le développement qui permet de répondre aux besoins actuels sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Le tourisme représente l’une des plus grandes industries au monde (10 % du PIB mondial) et 1 emploi sur 10 dépendent de lui donc est dans plusieurs territoires la seule réelle source d'investissement et de travail. On verra alors, dans quelle mesure le tourisme durable semble-t-il devenir la future tendance mondiale, quelles sont les motivations de ces voyageurs et par quel moyen s’impose-t-il de plus en plus dans cette industrie ? Dans un premier temps, nous définirons le tourisme durable qui se décline sous différentes formes, nous verrons ses avantages et ses inconvénients ainsi que les différents acteurs et labels qui le

3

définissent. Dans une seconde partie, nous analyserons davantage l’offre et la demande de ce type de tourisme. Premièrement par les destinations tendances ainsi que les destinations en pleine reconversion et nous étudierons ensuite les différentes stratégies de communication. Pour terminer, nous aborderons l’impact de la Covid-19 sur ce secteur en parallèle avec les différentes méthodes mises en place afin de lutter contre l’effondrement de l’activité touristique.

I.Définir le tourisme durable : 1. Qu’est-ce que c’est ? : En raison de sa position importante dans l’économie mondiale, le tourisme est un facteur crucial dans la protection de notre planète et de ses habitants. En conséquence, pour s’opposer au tourisme dit de masse qui engendre un effet négatif sur l’environnement local, une nouvelle forme de tourisme est apparue, à savoir le tourisme durable. Ce concept est né lors d’une conférence internationale tenue à Rio de Janeiro au Brésil en 1992, dédiée au développement durable. Elle avait pour but de trouver une harmonie entre les activités touristiques, les écosystèmes et les individus. L’objectif de ce tourisme est de respecter, préserver et mettre durablement en lumière les ressources patrimoniales du territoire concerné auprès des touristes qu’il reçoit, afin de minimiser leurs éventuels effets négatifs. Il peut être pratiqué dans divers types de destinations, à la fois dans les zones rurales mais aussi dans les zones urbaines. Ces dernières années, cette forme tourisme a permis le développement de différents types de tourisme appelés écotourisme, solidaire, équitable, responsable ect. On les réunit en tant que « tourisme alternatif « car ils sont tous des variations du tourisme de masse. Chacun possède sa propre particularité (protéger l’environnement, améliorer l’économie des acteurs locaux, ect), mais ils reposent tous sur les trois grands piliers (économie-social-environnement) du développement durable. Sur le plan environnemental, l’intention est de réunir l’écologie et la découverte. En effet, les voyageurs sont plongés au cœur d’un milieu naturel de la manière la plus réelle/ réaliste possible afin d’observer la faune et la flore ainsi que la beauté du paysage tout en ne nuisant pas à l’environnement. Ces tourismes permettent également de se ressourcer dans un contexte exclusif évitant la civilisation et son stress quotidien. De cette manière, les touristes cherchent à se rapprocher de leur origine. De plus,

4

les voyages se font généralement en petit comité, de moins de 10 personnes afin d’impacter le moins possible l’environnement. Pour finir, les adeptes de ce tourisme choisissent de voyager moins fréquemment mais plus longtemps de sorte à s’inculquer de la culture locale et limiter la pollution liée aux transports. Sur le plan socio-culturel, c’est en faveur de la rencontre, de la communication et des échanges avec les populations locales. Découvrir de nouvelles coutumes et produits locaux (gastronomies, fêtes traditionnelles, différentes mentalités, religions…) sont des privilèges qu’offre ce type de tourisme. De plus, le voyageur a l’opportunité de ne plus être un simple voyageur cloitré dans un hôtel cinq étoiles, au contraire il est ici une personne active qui participe aux activités des locaux. Il est au cœur de l’action et de la civilisation.

Mais il soutient également la population par des projets de solidarité (projets

humanitaires et/ou sociaux). Ces tourismes alternatifs respectent également un principe de précaution sociale en essayant de fragiliser le moins possible la structure de capacité existante afin de ne pas intensifier la vulnérabilité des habitants. Enfin sur l’aspect économique, ces formes de tourismes se basent sur les principes du commerce équitable. Le touriste participe à l’économie local en achetant des produits locaux, et en aidant la population.

2. Les avantages et l’inconvénient du tourisme vert : Les tourismes alternatifs est alors très bénéfique sur de nombreux aspects. Dans un premier temps pour la population hébergeant. Ces circuits touristiques permettent de mettre en avant les personnes les plus marginalisés afin de simplifier l’appropriation d’autonomie individuelle et collective à travers le renforcement du capital matériel, financier, humain et social. En effet, ces types de tourismes offrent l’opportunité aux producteurs du Sud de vendre aux consommateurs du Nord ; il permet donc d’engendrer des avantages économiques supplémentaires et lutte ainsi contre la pauvreté. Ils permettent également d’améliorer la qualité de vie des habitants. Pour exemple, les tourismes équitables et solidaires contribuent à une reconversion professionnelle des femmes et leur apportent alors une élévation sociale et ainsi une qualité de vie bien supérieure. Les touristes peuvent également financer des projets de développement, par exemple à travers l’installation d’un puit qui leur accorde un accès à de l’eau potable ou bien encore avec la mise en place de panneaux solaires pour un apport en électricité.

5

Ces tourismes verts ont donc pour principe de générer tous ces avantages sans déstabiliser les locaux et sans perturber l’environnement. Mais le tourisme écologique présente également de nombreux avantages aux voyageurs. Comme nous l’avons vue précédemment, ces voyages offrent une expérience de vie exceptionnel : rencontres et partages font parties intégrantes de ce projet. Les voyageurs ne se limitent pas seulement à une vision réductrice et caricaturer de ce que le tourisme de masse transmet, ils se mélangent intégralement aux populations de la région ou du pays visité. Ces voyageurs tissent des liens avec leurs groupes, les guides et bien évidemment avec les habitants. Ils découvrent ainsi les valeurs, les coutumes, des paysages à coupés le souffle. Les touristes repartent généralement de ces circuits, avec des rêves et des souvenirs dans la tête qu’ils garderont toute leur vie. Cependant ces types de tourisme ne sont pas adapté à tous. En effet, il faut savoir faire des concessions et mettre de côté son confort et ses caprices. L’objectif ici n’est pas de dormir dans des hôtels 5 étoiles, mais plutôt d’être héberger chez l’habitant, dans des éco-hébergements, dans des écohôtel, ect qui ne sont pas toujours très confortable et très pratique. De plus, trouver un de ces logements semble à priori plus onéreux que la plupart des habitations traditionnelles. Or, d’après Atout France, le prix élevé du tourisme durable est en réalité une idée reçue « Mais le vert, le responsable, le durable, tend de plus en plus à prouver qu’il n’est pas forcément plus cher, et qu’il peut même parfois être très rentable ». En effet, certains établissements sont subventionnés par l’État qui leur permettre d’acquérir des labels. Par exemple certains hôtels sont aidés jusqu’à une hauteur de 80%, il n’est donc pas nécessaire de monter les prix drastiquement. Le tarif est alors variable en fonction de l’intervention des pays et des aides qu’ils perçoivent de leur État. En revanche, lorsque l’on part dans destinations éloignés et isolés les coûts de transports sont généralement conséquents.

3. Les acteurs et labels de ces tourismes alternatifs : Afin d’organiser aux mieux ces tourismes alternatifs, plusieurs acteurs rentrent en jeux. Tout d’abord, l’un des acteurs français principaux de cette industrie se nomme « Atout France ». C’est une agence concernant le développement touristique de la France, elle est l’unique opérateur de l’État dans le secteur touristique et est chargée de renforcer le positionnement international de la destination française. Dans le développement du tourisme durable, elle mobilise nombreux de ses partenaires afin de développer au mieux l’offre de ce tourisme respectueux. Un autre acteur, plus spécialisé dans le

6

tourisme écologique se nomme « Acteur du Tourisme Durable ». Il a pour objectif de trouver au plus vite, à l’aide de ses membres et de ses partenaires une solution permettant de lutter contre le changement climatique qui menace la biodiversité mondiale, la raréfaction des ressources naturelles ainsi que l’insécurité. De là en découle de nombreuses missions visant à fédérer, promouvoir, informer, former et représenter. À une plus grande échelle se trouve les voyagistes (regroupant les tours opérateurs et les agences de voyages), ils sont les principaux intervenants de l’industrie du tourisme. Pour les définir, ils représentent les principaux agents opérants dans l’organisation même des voyages. Aussi, d’autres acteurs privés du tourisme durable sont les hôtels et restaurants permettant la qualité du voyage et répondant à l’offre touristique. Enfin, l’industrie du tourisme ne serait pas ce qu’elle est sans ses clients. En effet, il est important de préciser que les acteurs les plus importants de cette industrie sont les touristes eux-mêmes. Ainsi, ils assurent le bon fonctionnement de ce marché.

De plus, nous savons que la clientèle de ces tourismes alternatifs est attirée par une démarche environnementale, il y a donc le besoin d’une cohérence dans ce milieu afin que la dynamique de ces pratiques écologiques et la découverte de l’environnement naturel soient organiser de la meilleure façon. Les professionnels de ce domaine s’appuient alors sur une labellisation de leurs activités. Un label environnemental a pour objectif de certifier des produits ou des acteurs qui réduisent leurs impacts sur l’environnement. En France, il existe de très nombreux labels qui garantissent la qualité et l’origine de ses produits. Chacun répond à des critères et des normes différents. Les labels du tourisme durables sont ainsi très nombreux. Par exemple, le label « Station Verte » qui est le premier label d’écotourisme en France, a pour but de participer à l’organisation du tourisme dans les zones rurales et montagneuses. Un autre label se nommant le « Pavillon Bleu » a pour symbole de représenter la qualité environnementale exemplaire des cotes maritimes et des ports. Enfin, le label n°1 sur le tourisme durable international pour la restauration et l’hébergement touristique se nomme « Green key » (Clef Verte). Ce label s’inscrit sur une multitude de lieu d’hébergement respectant des normes écologiques strictes tel que des campings, des hôtels ou encore des auberges de jeunesse. Afin d’obtenir un label de tourisme écologique, les opérateurs sont évalués sur divers critères.

7

II.

Demande et offre :

1. La demande : D’où vient-elle ? De la part de qui ? d’où ça vient ; Quels sont les attentes ? La fin des trente glorieuses a initié une libéralisation des échanges à l’international, parallèlement le tourisme de masse s’est fortement développé. Ce type de tourisme est devenue l’industrie touristique la plus populaire en raison de la demande croissante et l’installation d’infrastructures pratiques qui permettent aux individus de voyager plus loin mais également de trouver un logement plus facilement. Au cours du XXIème siècle, la société a pris conscience de la destruction massive de l’environnement engendrée par ce phénomène. En effet, si l’industrie mondiale continue ainsi, les impacts engendrés sur l’écosystème et sur ses habitants seraient irréversibles et pire à l’avenir. Afin de répondre à une demande de plus en plus forte d’un tourisme respectueux de l’environnement, une nouvelle forme a donc été développer, c’est le tourisme durable. Effectivement ce mode de tourisme attire plusieurs catégories de personnes. Autrefois, les individus intéressés étaient essentiellement les personnes âgées en quête d’aventure et de renouveau. Désormais, le profil des voyageurs est plus diversifié. En effet, la nouvelle génération de par l’intermédiaire de divers facteurs (ex : réseaux-sociaux) s’intéressent à cette nouvelle tendance. D’après un sondage, 56% des jeunes entre 18-25ans sont intéressés par ces tourismes alternatifs et cela induit donc une sorte de « mouvement » international. Il a pour objectif de limiter ou de prohiber les actions et activités trop polluantes. Par exemple, prendre l’avion pour des trajets courts ou encore pratiquer des activités destructrices de la biodiversité tel que le jet-ski ne sont pas encouragés. Pour terminer, cette demande en pleine effervescence est loin d’être une tendance passagère. En effet, une étude de « Voyages-sncf.com » démontre que 83% des voyageurs français seraient prêts à opter pour le tourisme durable, ce qui permet de supposer que ce tourisme vert crée un réel impact au sein de notre société. Ces chiffres sont confirmés par une autre étude (Harris Interactive, 2012), qui

8

montre que 90% des Français déclarent généralement respecter l'environnement et la vie des populations lorsqu'ils voyagent. Par conséquent, il y a une demande de plus en plus forte pour la pratique d’un tourisme respectueux de l’environnement, c'est-à-dire d'une industrie du tourisme qui s'oppose à la plus oppressive d'aujourd'hui : le tourisme de masse.

2. L’offre : Afin de répondre à la demande de plus en plus grandissante du tourisme écologique, l’offre s’est alors énormément développée depuis plusieurs années. Tout d’abord, il est important de savoir que la France est le pays qui enregistrent le taux de de touristes internationaux le plus élevé au monde. En effet, en 2019 la France accueille environ 90 millions de touristes internationaux avec une croissance de 4 % de plus que 2018. Cela confirme ainsi la place du pays en tant que leader sur le podium des destinations mondiales. Pour en revenir à la notion de durabilité, il faut savoir que 1% du marché du tourisme français relève du tourisme durable. De ce faites les tourismes alternatifs ont encore beaucoup de chemin à parcourir, pour égaler le tourisme de masse qui est lourdement présent dans notre pays, même malgré leur taux d’évolution de 20% annuel. Les destinations pour pratiquer ce tourisme durable en France sont multiples. Effectivement, il n’est pas nécessaire de partir à l’autre bout du monde pour pratiquer ces tourismes alternatifs. Notre pays se développe de plus en plus pour assurer une demande grandissante à vue d’œil. Ces dernières années, ce secteur du tourisme a crû de manière très rapide, se situant entre 10 et 20% par an. La France propose de nombreuses destinations très attractives et préservatrices de l’environnement. L’une des plus réputés du pays est la Bretagne, elle est connue pour être la destination pionnière en termes de tourisme durable. C’est une région qui compte une trentaine de plages pavillon bleu (label environnemental pour des ports ou communes qui préservent les écosystèmes…), plus d’une vingtaine de stations vertes (station organisée afin de mettre en exergue le respect de l’environnement) ainsi qu’à figurait en 2012 parmi les « 100 régions les plus durables du monde » (Holiable). De plus, la quatrième plus grande île de la Méditerranée est aussi un lieu parfait pour pratiquer ce tourisme au beau milieu de la nature. En effet, la Corse compte environ 83 000 hectares de réserves naturelles lui valant ainsi une reconnaissance internationale. Certaines de ses réserves sont classées au patrimoine mondial de l’UNESCO. Ce territoire dispose donc des écosystèmes marins comme terrestres, d’une incroyable

9

richesse. Cependant, malgré ces réserves protégées, le tourisme de masse laisse des traces et commence à impacter sérieusement les écosystèmes moins protégés. Pour remédier à cela, de nombreuses décisions vont être prises en 2021 telles qu’interdire certaines zones de l’île au public. À l’échelle mondiale, c’est le Costa Rica qui s’impose comme étant la référence mondiale du tourisme durable. En effet ce pays excelle dans ce domaine, il produit quasiment 100% de son électricité à l’aide d’énergies renouvelables. Ce pays connaît une « biodiversité exceptionnelle » (ConsoGlobe) comptant 6% de la biodiversité mondiale. Par conséquent, cela attire de nombreux touristes et scientifiques provenant des quatre coins du monde. Avec 3 millions de touristes internationaux en 2018, le Costa Rica devient la première destination d’Amérique centrale à s’être lancer dans ce tourisme respectueux. En 1996, le Costa Rica annonce sa participation au programme international de « Certification pour le tourisme mondial durable. De plus, 25% de son territoire, maritimes et terrestres, sont des réserves ou des zones protégés comptant 27 parcs nationaux dont 2 faisant partie du Patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi que de 58 refuges et 32 zones protégés. Le Costa Rica propose donc une multitude d’activité respectueuse de la nature tel que des randonnées dans les parcs naturels, des visites de volcans et bien d’autres… Depuis peu, le Rwanda s’inscrit dans le palmarès des destinations tendances de 2019. En effet, ce pays a fortement développé son industrie du tourisme, mêlant nature, luxe et sécurité. Cette combinaison fait de ce pays une destination immanquable pour les personnes aisées voulant se ressourcer en pleine nature. De nombreuses activités sont mises en avant pour inciter les touristes à venir telle que la rencontre...