Filles Garçons en EPS PDF

Title Filles Garçons en EPS
Course Préparation au CAPEPS
Institution Université de Montpellier
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Summary

Thème 2 : Filles/Garçons en EPS I - Quels enjeux sociaux du thème ? 1 Voir polycop mais pas important (pour ma culture) Des années 20 jusqu’à l’égalité professionnelle (1983) avancées sociales : - droit de vote des femmes - mouvement de libération de la femme MLF - légalisation de l’IVG etc… les fem...


Description

Thème 2 : Filles/Garçons en EPS I - Quels enjeux sociaux du thème ? 1.1 Voir polycop mais pas important (pour ma culture) Des années 20 jusqu’à l’égalité professionnelle (1983)  les femmes ont connues plusieurs avancées sociales : - droit de vote des femmes - mouvement de libération de la femme MLF - légalisation de l’IVG etc… 1.2 Avancés éducatives Eléments de réflexion : 

Article « Elles papotent, ils gigotent l’indésirable des sexes » 1999 A.Davisse Revue : - Vie école intégration -

-Sur un sujet de mixité : obligatoire de citer A.DAVISSE (1999) -Titre suffit à inciter l’auteur. -Possible d’interpréter ce titre car il est provocateur : dans les mentalités les garçons sont expressifs sur le plan moteur et les filles sur le plan du langage. -A la BU  classeur de dida pour chaque thème avec article etc… « les femmes ont payé cher, et longtemps, un biologisme qui les résumait à la fonction maternelle à a séduction et la fragilité ». A.Davisse, « Elles papotent, ils gigotent, l’indéseirable des sexes » 1999  

Très caricaturale. Ont payé cher : les femmes payent encore, on est encore dans cette croyance. Quelque part une forme d’optimisation car elle utilise du passé.



Revue « VIE » en Janvier 2012

Des barrières s’imposent encore aux filles : -elles sont 2x fois moins nombreuses que les garçons dans le sport. -elles pratiquent moins d’activité de loisir  à partir de l’adolescence il y a un fort décrochage des filles. -dans les activités artistiques type musique : il y a + de garçons que de filles.



La revue Contre-pied « égalité » en Septembre 2013

-Revue importante = un des ouvrages clé du cours. -Citation clé dans cette revue : « Dans tous les domaines sports comme ailleurs l’histoire des femmes est une histoire de lutte pour l’égalité ». Revue Contre pied « égalité » Sept 2013



Ouvrage : « Pourquoi les hommes n’écoulent jamais rien et les femmes ne savent pas lire les cartes routières » Allan et Barbara Pease 2001

-Tiré d’un ouvrage de psychologie : qui dit que de manière ancestrale  la femme est éleveuse, rôle de protection  l’homme combat et nourrit sa famille. 1.3 Les différences de fonctionnement cérébral 

Article : « Cerveaux rose, cerveau bleu : les neurones ont-ils un sexe ? » Lise Eliot Tiré du Journal « Le Monde » 2011

- Ce sont des données neuro scientifiques - Lise Eliot = maître de conf en neuro science Résumé de cet article Thèse principal : démontrer les clichés et stéréotypes : Les filles et les garçons répondent à tels et tels facteurs caricaturaux Citation : « dans l’ensemble, quoi qu’il en soit, les cerveaux des garçons et des filles sont remarquablement similaires ».  C’est la familial et le social qui va façonner les différences et qui vont s’accentuer par la suite. Idées : -les filles sont + précoces dans l’élocution et dans la maîtrise des mots que les garçons. -Petites différences innées mais qui ne déterminent « rien du tout ». -Les garçons sont + lents dans le contrôle inhibiteur et les filles sont meilleures pour ça.

II - Concept de mixité But : faire coexister des valeurs qui a priori sont différentes entre filles et garçons. 2.1 Définitions « Lexique de l’enseignement de l’EPS » Lamotte 2005 - la mixité renvoie à : la possibilité d’accéder à une culture commune : cad à des savoirs + des pratiques sociales partagées par tous  ce qui ne signifie pas simplement « co pratiquer » : Exemple : en gym , l’égalité est  d’amener à faire vivre à tous le défi et l’élégance et non proposer une dominante acrobatie pour les garçons ou esthétique pour les filles. 



la possibilité d’équité devant les examens

la possibilité d’accéder à des responsabilités et donc pouvoir respecter et être respecté par l’autre. Exemple : L’EPS et l’AS sont des lieux où se jouent des prises de responsabilité : arbitrage, chef d’équipe… Il s’agit alors de permettre l’expression de ces responsabilités par tous. 

2.2 Co présence est différente de mixité « Enseigner l’EPS entre le dire et le faire » Dossier EPS 77 en 2008 (p 80) La mixité : - est un état mais doit dépasser la forme première de parité ; - elle n’induit pas nécessairement l’égalité ; -la mixité doit être pensée comme un processus de co éducation - « penser et former à la mixité c’est se doter explicitement d’un objectif de subversion des normes de sexe, coeduquer filles garçons à être plus tolérant à la transmission de ces normes de sexe » La mixté pour Cogérino permet de : -s’inscrire dans une transmission de valeurs (comme le respect, la tolérance, la connaissances des autres)  cela est bien plus qu’une parité ou co présence, ou modalité de groupement. « EPS à 2 vitesses » : Même si l’auteur regrette une « EPS à 2 vitesses » en France c'est-àdire inégale fille-garçon…

III - Difficultés des Enseignants dans la mise en place de la mixité 3.1 Les obstacles Dossier EPS en 2007 D’après Cogérino : IDEE 1 : Les enseignants d’EPS sont réticents à la mise en place systématique de la mixité + la mise en place de la mixité ne leur correspond pas. réticents : hésitent, voir même s’opposent. Les raisons :  le risque accrue d’accident : ex avec APS de contact. On peut rajouter à ca la preuve scientifique de l’article avec Lise Elliot (en devoir) pour avoir les preuves.  différence des qualités physiques des é filles/garçons : force/vitesse/ puissance maximale aérobie cesse d’augmenter chez le garçons alors que chez les filles ça reste stable. Voir cours de L2 et polycop.  représentation des é : -les garçons ont tendance à vivre les cours d’EPS comme : un défoulement, et pas comme un cours à part entière. C’est un cours d’EPS de plaisir. -les filles restent dans le scolaire. IDEE 2 : les enseignants de collège seraient + pessimistes que ceux de lycée à la mise en place systématique de la mixité. - Il y a bcp + de classe mixte en 6ième (95%) par rapport à 75% en seconde (lycée). Mais c’est plus difficile en 6ième. Les enseignants ressentent encore + ce pb de mixité à l’âge de l’adolescence en plein milieu du cycle 4. 3.2 Le fonctionnement des files et garçons est différent en EPS Article « Elles papotent, ils gigotent, l’indésirable des sexes » A.Davisse 1999 Revue - Vie école intégration – « les garçons jouent leur vie » et « les filles jouent pour rires »  citation +++ à l’exam.  Gros phénomène hormonal : - qui va inciter les garçons à l’envie d’y arriver, se donner à fond, sont très compétiteurs etc… Aller jusqu’au bout dans le combat (lié à notre ancêtre). N°16 cf Classeur BU

IV - Réussite inégale en EPS « Filles et Garçons en EPS » Cogérino 2005 -Les inégalités filles/garçons : sont présentes dans notre société + mais aussi dans le sport et particulièrement en EPS : les garçons étant notamment favorisés et les filles lésées… 4.1 Dans les consciences sportives et enseignantes Dans un devoir : L’EPS mixte serait inégalitaire ? Cogérino  les gars sont favorisés et les filles lésées… Mais, les filles apportent aux garçons et vice verca. Dossier EPS 77 en 2008 Cogérino écrit p81  L’image de la fille (sa représentation sociale) est différente de la fille sportive. - les filles soient séduisantes, féminines, sensibles à leur apparence. Or  l’EPS véhicule un contre modèle pour les filles : *on leur demande d’être physiquement active (mais chamboulement hormonal) c’est compliqué. *on leur demande d’être psychologiquement forte pour gagner, combattre, gagner des points ce qui ne correspond pas forcément à leur besoins (besoins de compétition…). Les atouts féminins disparaissent : attacher les cheveux, joggings, enlever bijoux  ont parlent de position neutre.  Les valeurs véhiculées sont plus masculines - les valeurs sont + masculines notamment dans les rôles sociaux. - « les garçons apprennent à y être dominants, au centre des préoccupations comme au centre du terrain » , Cogérino Dossier EPS 77 en 2008 Citation importante  on a l’impression que les G dominent la classe d’EPS car ils attirent l’attention des enseignants (et du fait qu’ils soient plus perturbateurs aussi). -le sport en EPS véhicule des valeurs masculines comme : le défi, la moindre écoute de soi (ne pas s’écouter il faut y aller), la dépense énergétique, le recherche de domination, la non expression des émotions, la résistance face aux difficultés.  Des valeurs qui sont plutôt masculines, + acceptés par les garçons que les filles selon Cogérino. - « masculinisme des savoirs scolaire » Nicole Mosconi 2004 cité dans Dossier EPS 77  Bergé : pratiques internes ou externes selon le sexe - les filles : préfèrent des pratiques internes (à l’intérieur) car  elles ont des objectifs d’hygiène, de santé, d’esthétique. Prèfèrent des activités proche du sol + et d’eau.

- les garçons : préfèrent des espaces ouverts à dépenses énergétiques (activité nature, CO, stade…). Ils aiment les défis techniques (chercher, trouver comment y arriver) ; les activités motorisés et des pratiques à risques, aériennes.  « Désengagement endémique » - il y aurait un « désengagement endémique » des filles face à l’EPS Cogérino Dossier 77 en 1998  Elles vont se décourager assez vite. Pour Cogérino : ce désengagement est du à des expériences négatives vécus dans les cours d’EPS. Surtout par un regard menaçant des autres, par la peur du ridicule  ca devient inhibiteur pour les filles.  Claude Zaidman « la mixité à l’école primaire » 1996 - « les garçons occupent l’espace les filles sont à la périphérie » = c’est caricatural mais révélateurs. - Selon C. Zaidman : * les filles font office d’auxiliaire pédagogique : ont se sert des filles pour faire passer le message aux garçons. Les filles vont + véhiculées les consignes aux garçons. Exemple : le paradoxe fille/garçons peut devenir un atout. Faire vivre cette différence pas comme une différence mais un atout.  1993 : l’insertion du A dans APSA (artistique) -le A fait partie de l’entité de l’EPS mais les activités artistiques restent très minimes en EPS. 4.2 Contenus plus orientés vers les orientations des garçons « Filles et garçons en EPS » Geneviève Cogérino 2005 (ouvrage) - les contenus d’EPS seraient essentiellement construits sur une observation + une analyse des techniques sportives masculines en référence aux garçons. Pourquoi ? car les activités marquées masculines sont + nombreuses que les filles. Pour les filles  les entrées de ces activités la dans un cycle, sont étrangères pour elles : on rentre avec une éval diagnostique avec des matchs etc..  Direct on est dans la compétition ect qui répond + aux attentes des garçons que des filles. -Cogérino cite  M.Coltice (spécialiste danse) Hypothèse de Coltice : les contenus d’enseignements qui sont présentés comme asexués (neutres et ouverts) vont finalement renforcés les stéréotypes. Càd les empreintes culturelles. -Coltice distingue au niveau des stéréotypes -les contenus féminins qui sont : la précision, la mémorisation (ex : retenir une chorégraphie, des consignes techniques). -des contenus masculins : spontanéité, création. Sans guidage, les filles comme garçons vont agir en référence à un modèle culturel.

4.3 Différences dans les représentations des enseignantes « Mixité scolaire : abondance des débats, pénurie des recherches » Marry.C 2004 -les attentes des enseignants pour les filles/garçons sont marquées et référentes. Pour les E : les garçons véhiculent l’indiscipline et les filles sont assidues quelques soient la matière. Si une fille est indiscipliné, c’est inacceptable. Autre représentation : les filles réussissent car elles travaillent, les garçons car ils sont compétents. Selon Marry : -l’échec des filles est lié  à une incompétence -l’échec des garçons est lié  à un manque de travail, de rigueur, d’écoute des consignes. Important de faire verbaliser les consignes aux garçons aussi y penser : la verbalisation des garçons en EPS est importante. 4.4 Dans les notations « Sociologie de l’éducation sportive » Combaz 1992 Revue « contre-pied » - il y a un écart d’environ 1 point entre filles et garçons au bac EPS. Pas trop explicable… Dans les menus  moins d’activités féminines artistiques, ça peut y jouer ? -les filles + âgées (redoublantes) et dont l’origine sociale est faible  ont + tendance à avoir de mauvaises notes que les filles qui n’ont pas redoublés. 4.5 Les intéractions Dossier EPS 77 en 2008 -Il y a 2 aspects dans l’interaction prof/élève : l’aspect quantitatif et qualitatif. -Les enseignants subissent de la part des garçons  une stratégie d’accaparement (nom donnée par Cogérino). Exemple : les garçons « Monsieur, regardez j’ai réussi ! ». Grâce à cette stratégie  il y a + d’interaction prof/garçons. -Aspect quantitatif : dans les activités classiques : en moyenne, les garçons attirent le regard pour 2/3 chez les enseignants alors que les filles 1/3. En EPS cette différence est moins grande. On arrive à + faire de retours aux filles en EPS comparés aux activités classiques.  Le fait d’en avoir conscience, les profs d’EPS vont des efforts. -Aspect qualitatif : *garçons : il y a + de feedbacks d’organisation aux garçons. *filles : on va faire + de louanges aux filles (c’est bien, tu vas ya arriver). *filles/garçons : on fait autant de critiques aux les garçons que les filles. ; on retient moins bien le prénom des garçons que des filles.

Fondamental : -Cogérino précise que l’impact de ses interactions différentes filles/garçons sur la confiance est plus que probable : les filles qui ont moins de retour que les garçons ET qui ne sont pas appelées par leur prénom jouent sur le manque de confiance en elles. V - Comment les filles vivent-elles la pratique mixte en EPS ? 5.1 Il y a plus d’expériences corporelles positives chez les garçons que chez les filles «Le plaisir en EPS : un révélateur des inégalités entre filles et garçons » G.Combaz et O.Hoiban (AEEPS, 2007) - il y a un décalage entre : les pratiques en EPS VS les désirs des élèves (pour les filles et garçons, mais on se rend compte que c’est plus injuste au niveau des filles)  les filles regrettent qu’il n’y est pas + d’activités expressives et artistiques : cirque, danse, grs, natation synchronisé…). - pour les sports collectifs et les sports de raquette la logique prévalente est compétitive alors que dans ce livre il est montré que 65% des filles ont une pratique ludique basée sur le plaisir (sans soucis de performance). Alors que pour 62% des garçons  ont une approche basée sur la compétition. La logique des élèves n’est pas toujours compatible avec la logique de l’EPS (qui répond à la logique interne de l’activité). - on constate que l’enseignement des sport collectifs est très majoritairement mixte  SA qui sont faites de manière mixte. Pourtant certains sport co sont violents (notamment en rugby)  la mixité est moins mise coûte que coûte, mais cela n’avantage pas forcément les filles. - Idée qui ne fait pas partie de l’ouvrage de Combaz er Hoibian : les filles ont une tendance (ou propension = bien à l’écrit) + marquée à aller vers les activités masculines : la boxe, le rugby, le combat comparée aux garçons qui se dirigent vers des activités féminines : danse, cirque etc… 10% des filles vont vers des activités masculines VS 2% des garçons qui vont vers des activités féminines.  Sachant cela, plus systématisé ces activités en EPS APE (activité physique expressive) et APA (artistiques)  permettraient aux filles de s’exprimer de manière plus égale en EPS (matière dans laquelle on voit que les activités dites « masculines » sont prédominantes). Pensez à nuancer notamment dans ce thème la de mixité… 5.2 Différences de réussite en sport collectif « Filles et garçons en EPS » Cogérino 2005  Cogérino cite C.Vigneron (domaine EPS) D’après Vigneron : -en sport co  les filles ont - l’occasion d’apprendre (de pratiquer) : car elles sont moins sollicitées.

-le problème cité par Vigneron et repris par Cogérino  c’est que les équipes impliquent un volume de jeu moins important pour les filles (quelque soit les sport co). Ce pb de possession de balle qui est moindre chez les filles entraînent ou peut entraîner (nuancer)  une perte de confiance, qui peut aller jusqu'à une non reconnaissance de la part des garçons et une résignation à l’échec de la part des filles. Voir fiches transversales sur Moodle (Impuissance Apprise, Résignation Acquise – Seligman intéressant) - d’autre part, toujours en sport co  les enseignants proposeraient aux filles des contenus moins ambitieux (moins de consignes techniques…)  donc les filles ont tendance a vont minorées leur engagement physiques, et négligés les enseignements techniques. -les enseignants identifieraient tout de même les difficultés des filles, mais ils y apporteraient peu de réméditations, et pourraient même mettre les filles en difficultés sur des formules excluantes pour les files de type « montante et descendante » (on va retrouver + de garçons sur les terrains plus fort) 5.3 Différences liées aux sexes (filles/garçons) dans l’acquisition d’habiletés motrices complexes « Acquisition d’une habileté motrice en dyade : conséquences motivationnelle de l’écart de compétence » d’Arripe Longueville 1997 (domaine EPS) -il y a des effets + favorable de dissymétrie de performance chez les garçons que chez les filles (ce qui concerne la performance)  ce qui veut dire que les garçons sont plus enclins à s’investir dans une situation de perception compétitive qu’une situation de coopération. (si ils se sentent moins fort, ils vont être booster par l’envie d’y arriver, de compétition). -effet + favorable de la symétrie de compétence chez les filles que chez les garçons (par rapport à la compétence)  quand les filles pratiquent à champ égal elles ont + de chance de progresser. Ce qui les fait progresser c’est de percevoir une symétrie de compétences. -Allan et Barbara Peace 2001 (domaine psycho) : la testostérone est lié à ce besoin de performance, de réussite, de compétition voir d’agressivité. 5.4 Les inégalités inter-sexes sont-elles perçues comme injustes ? « Filles et garçons en EPS » Cogérino 2005 - il y a une norme qui gère les perceptions filles / garçons : d’après cette norme  *les filles sont en général + faibles que les garçons, elles devraient être plus soutenus par l’enseignant *et les garçons ayant plus de facilités doivent avoir de meilleures notes (ça c’est la norme). Mais les é n’ont pas cette représentation :

*garçons : les garçons perçoivent une injustice face à la note, au niveau de l’évaluation  c’est ce qu’on appelle l’injustice procédurale (les garçons vont demander pourquoi ils ont eu cette note etc…). *filles : les filles perçoivent une injustice au niveau distributive  elles ont envie d’être + soutenues. Les traits féminins sont basés sur la reconnaissance et le dialogue, alors que les traits masculins sont la domination, réussite dans le domaine d’EPS. « Une si grande différence » Gilligan 1986 - les mentalités masculines se caractérisent par : le droit et la justice alors que… Les mentalités féminines se caractérisent par : la responsabilité, le partage, l’empathie de reconnaissance. -la femme a une perception + fine de la communication L’EPS est une contrainte pour mettre en place la mixité, mais d’un autre point de vue elle a des atouts…

VI - Les données institutionnelles sur ce thème (c’est incontournable dans un écrit !) 6.1 Référentiel officiel du 18 juillet 2013 Les 19 compétences de l’enseignant : 14 communes au personnel de l’éducation et 5 spécifique aux professeurs. Compétences communes à tous les professeurs et personnels d’éducation (CC) (exemple) CC1. Faire partager les valeurs de la République (mettre en place la mixité en EPS c’est déjà sensibiliser les é aux valeurs : respect, solidarité, responsabilité…) CC2. Inscrire son action dans le cadre des principes fondamentaux du système éducatif et dans le cadre réglementaire de l’école CC3. Connaître les élèves et les processus d’apprentissages CC4. Prendre en compte la diversité des élèves (la 1ère est la différence fille/garçons) Compétences communes à tous les professeurs (P) (quelques exemples) P.3 Construire, mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité d...


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