Grand Armorial des Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte PDF

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GRAND ARMORIAL DE L’ORDRE DES CHEVALIERS BIENFAISANTS DE LA CITE SAINTE CONTENANT PAR ORDRE PROVINCIAL ET CHRONOLOGIQUE les Noms d’Ordre, Blasons, Devises, Inscriptions, Grades, Qualités civiles & maçonniques, avec les Biographies, de Chevaliers Templiers de la Stricte Observance & de Cheva...

Description

GRAND ARMORIAL DE L’ORDRE DES CHEVALIERS BIENFAISANTS DE LA CITE SAINTE CONTENANT PAR ORDRE PROVINCIAL ET CHRONOLOGIQUE les Noms d’Ordre, Blasons, Devises, Inscriptions, Grades, Qualités civiles & maçonniques, avec les Biographies, de Chevaliers Templiers de la Stricte Observance & de Chevaliers Bienfaisants de la Cité Sainte, du XVIIIe siècle au Premier Empire, des trois Provinces de France.

AUGMENTE D’UN ESSAI ABREGE SUR L’ART HERALDIQUE

AU DEBUT DU REGIME ECOSSAIS RECTIFIE LE TOUT NOUVELLEMENT DRESSE & mis en lumière par Thomas de la Sore

A PARIS, Auto-´edition Paris

2017

SOMMAIRE

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Pr´ eface Pierre Mollier

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Avant-Propos Thomas de la Sore

ESSAI ABREGE SUR L’ART HERALDIQUE AU DEBUT DU REGIME RECTIFIE ??

Avertissement

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L’art h´ eraldique et la Franc-Ma¸ connerie

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Du noviciat ` a la vestition

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L’identit´ e d’ordre

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L’h´ eraldique des premiers Chevaliers fran¸ cais

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Postface Roger Dachez

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Bibliographie Table des figures Index des institutions Index des institutions ma¸conniques Index des noms Index des membres de cet Armorial

GRAND ARMORIAL ??

Introduction

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Armes et embl` emes de l’Ordre

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Armorial des Provinces de l’Ordre

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Armorial d’instances de l’Ordre

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Armorial de la Ve Province dite de Bourgogne

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Armorial de la IIe Province dite d’Auvergne

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Armorial de la IIIe Province dite d’Occitanie

François-Henri de Virieu

Henricus a circulis [Henry aux cercles] Ordre des C.B.C.S. : 1778 Grand Prof`es : septembre 1779

Blasonnement : [Un soleil d’or charg´e de trois vires blanches sur champ de gueules] Devise : Majores & parvuli similes omnibus (Les ancˆetres et leurs enfants sont tous semblables) La Maison de Virieu est une des plus anciennes et illustres maisons de la province du Dauphin´e. Cette branche descend de Jacques de Virieu, chevalier, connu par une donation faite aux chartreux de la Sylve-B´enite en 1228. Elle est toujours rest´ee aux mˆemes lieux1 . La famille fut admise aux honneurs de la Cour en 1753, 1763, 1765, 1766, 1774, 1780 et 17812 . Les armes familiales sont : De gueules, a ` 3 vires d’argent 3 .

N´e a ` Grenoble le 13 aoˆ ut4 ou le 5 avril 1754, Fran¸coisHenri appartient a ` la branche de Virieu-Pupeti`eres de la maison de Virieu. Son nom de baptˆeme fut choisi en l’honneur de son grand-p`ere5 . Il est le fils unique de Louis-Fran¸cois-Ren´e, marquis de Virieu, seigneur de Pupeti`eres, Montrevel, Chabans, la Blache, Eccelmond, etc., colonel des grenadiers de France, et de Armande-Ursule du Bouchet de Sourches, dame de Madame Victoire – tante de Louis XVI – et fille de Louis du Bouchet, marquis de Souches, comte de Tourzel, grand-pr´evˆ ot de France6 .

Le p`ere d’Henri meurt de la petite v´erole a ` Paris, le 25 avril 1758. Trois ou quatre ans plus tard et son grand p`ere, Fran¸cois, marquis de Virieu, rendit l’ˆ ame. Le petit Henry passa alors sous la tutelle de sa grandm`ere, Magdelaine-Jeanne-Louise-Lucr`ece de la Tour-duPin Montauban. Avec ses oncles, le chevalier de Virieu (Louis-Marie-Ange) et l’abb´e de Virieu (Claude-Fran¸coisMatthias), il ´etait a ` la bonne ´ecole dans la demeure familiale de Pupeti`eres : l’un l’armait ` a la guerre, l’autre le cat´echisait, tandis que leur soeur (Lucr`ece-Nicole) l’abritait sous son aile7 . Au d´ec`es de sa m`ere, Mme de Rohan exigea que Henri soit envoy´e a ` Paris. Apr`es de longues n´egociations, sa grand-m`ere, la marquise de Virieu, c´eda. Le jeune gentilhomme provincial de douze ans d´ecouvrit Paris et fut envoy´e au coll`ege d’Harcourt8 . A quatorze ans, Mme de Rohan obtient pour lui un brevet de mousquetaire gris. Il rejoint alors la premi`ere compagnie, par ordre expr`es du roi le 24 d´ecembre 1768. Un des oncles de Henri, le comte de Vogu´e, qui commandait a ` Strasbourg, l’agr´ea aussitˆ ot comme aide de camp et l’abb´e Poullet devint son pr´ecepteur9 . A dix-neuf ans, il fit ensuite part a ` sa protectrice d’un vertueux acc`es de provincialisme. Mais Mme de Rohan per¸ca l’intrigue de son pupille : son souhait d’un mariage avec une charmante fille de tr`es petite noblesse du Dauphine, qu’elle entendait ne jamais quitter10 . Le 11 d´ecembre 1770, il est sous-lieutenant de la compagnie colonnelle du r´egiment de Provence. Le 9 d´ecembre 1772, il a rang de capitaine dans RoyalRoussillon-cavalerie. L’ann´ee suivante, il est pourvu d’une compagnie11 ,12 . Disciple de Rousseau, Henri d´ecr´etait dans un petit livre d´edi´e a ` Mme de Rohan : « qu’il n’est pas de f´elicit´e sans vertu, et que pour trouver la vertu il n’est qu’` a se rapprocher de la nature. ». Apˆ otre tout a ` la fois de la philanthropie la plus ´egalitaire et du catholicisme le plus exalt´e, il ´etait mystique autant qu’un P`ere de l’Eglise, il ´etait humanitaire autant qu’un philosophe. Il s’´ecriait alors : « J’aime la pi´et´e sentie ; mon a ˆme s’´el`eve, s’´echauffe, quand Dieu m’accorde de comprendre quelqu’une des merveilles dont i m’enveloppe. Alors vraiment, je sens que je p´en`etre dans le sanctuaire, je m’y prosterne et j’adore. »13 Son ´etat d’esprit et ses vues spirituelles le font rejoindre les loges ma¸conniques. Gustave Bord suppose que sa r´eception aurait eu lieu durant son passage aux mousquetaires14 . Mais a ` la vue de son jeune a ˆge, nous en doutons. A partir de 1775, il devient Lieutenant du Roi au sein du Gouvernement G´en´eral du Dauphin´e15 . En 1776, il est capitaine en second a ` la formation, toujours au r´egiment Royal-Roussillon, qui stationne alors a ` Foug`eres16 . Pour l’ann´ee 1777, il est membre agr´eg´e de La Bienfaisance, avec le grade de Maˆıtre Ecossais. Il y est mentionn´e parmi les r´esidents lyonnais, ce qui nous ´etonne.

Le 9 mai 1778, il devient Mestre de camp en second du r´egiment de Monsieur17 ,18 , o` u deux de ses parents, le Vicomte et le Chevalier de Virieu servaient avant lui jusqu’en 177719 . En septembre, La Bienfaisance de Grenoble adresse au Directoire Ecossais de Lyon une demande de constitution et certifie la nomination r´eguli`ere des Officiers qu’elle venait d’´elire. Virieu en fait partie20 . Nomm´e Commandeur de Grenoble pour la R´egence Ecossaise a ` l’issue du Convent des Gaules21 , tout nous porte a ` croire qu’il a ´et´e re¸cu Chevalier entre avril 177722 et novembre 1778. Le nom d’ordre qu’il re¸cut est Eques a ciruclis et ses armes d’ordre sont ses armes civiles auxquelles un soleil a ´et´e ajout´e23 . Nous supposons donc, comme Gustave Bord, que Virieu a ´et´e re¸cu dans l’Ordre Int´erieur avant septembre 1779, date a ` laquelle il aurait ´et´e re¸cu Grand Prof`es, devenant ainsi l’un des cinq Grands Prof`es de Coll`ege de Grenoble24 ,25 . Le 15 octobre, a ` Montpellier, Virieu re¸coit Grand Prof`es du Coll`ege de Montpellier Etienne Vialette d’Aignan26 . Et en d´ecembre, le Tableau de La Bienfaisance de Lyon mentionne qu’il est devenu membre affili´e non r´esident a ` Lyon (r´esident a ` Grenoble), qu’il poss`ede tous les grades et qu’il est membre du Directoire. Appel´e ` a Paris, depuis son dernier changement d’affectation, Virieu propose au Chapitre Pr´efectural de Lyon, en mars 1780, de fonder une Loge rectifi´ee a ` cet Orient. Dans son projet, il expose que cette Loge rel`everait du Directoire de Lyon et pourrait admettre dans l’Ordre int´erieur ses meilleurs sujets, sitˆ ot qu’ils auraient ´et´e assez instruits. Ceci permettrait au final de transf´erer le si`ege du Directoire de France de Lyon a ` Paris, conform´ement a ` l’organisation adopt´ee par le Convent des Gaules. Pour ´eviter que Lyon ne perde de l’importance, les Chefs lyonnais du R´egime rectifi´e semblent ne pas avoir ´et´e press´es a ` mettre en œuvre ce programme. D’autre part, le Grand Orient, lui, voyait dans ce Directoire parisien un rival gˆenant et au nom ambitieux. Malgr´e ces obstacles, Virieu pers´ev´era dans l’entreprise et demanda au Directoire d’Auvergne, en octobre 1780, l’autorisation de cr´eer une Loge. Le Directoire, apr`es avoir missionn´e Henry de Cordon en novembre pour assister Virieu, accorda en f´evrier 1781 une patente de constitution de La Bienfaisance de Paris. Mais, pour conserver sa place, le Directoire pr´ecisa qu’aucune r´eception dans l’Ordre Int´erieur n’aurait lieu a ` Paris. Cette lourde restriction paralysera la mont´ee en puissance du R´egime sur Paris, malgr´e l’int´erˆet que celuici aurait pu y trouver27 . Si les Chevaliers Bienfaisants d’Auvergne avaient tout fait pour ne pas attribuer de titre a ` des Grands Officiers du Grand Orient, c’est car Virieu avait d´ecouvert dans son entourage familial28 , a ` Paris, un Grand Maˆıtre Provincial tout d´esign´e : le duc d’Havr´e et de Croy. Le Chapitre de Lyon, apr`es avoir obtenu en avril 1780 l’agr´ement du duc Ferdinand, d´ecida de suivre Virieu pour recevoir ce prince du Saint-Empire, Grand d’Es-

pagne de premi`ere classe, chˆ atelain h´er´editaire de Monsen-Hainaut, brigadier des arm´ees du roi, mestre de camp propri´etaire du r´egiment de Flandre-Infanterie. La science ma¸connique du futur Grand Maˆıtre Provincial devant sans doute ˆetre maigre, Henri de Cordon et Virieu instruisirent le noble Fr`ere. Et le duc d’Havr´e et de Croy accepta la Grande Maˆıtrise de la IIe Province en novembre 1780. Le 10 d´ecembre, le Comit´e Permanent le nomma Grand Prieur de France, Pr´esident du Directoire Ecossais de Paris (encore inexistant) et Grand Prieur ad honores de Lyon. L’acte officiel de candidature fut envoy´e le 14 janvier 1781 et l’´election eut lieu le 21 du mˆeme mois. La c´er´emonie d’installation n’eut lieu que le 3 mars 1782, sans la pr´esence du nouveau Grand Maˆıtre Provincial qui se fit repr´esenter29 .

Portrait de F.H. de Virieu BnF, Estampes et photographie, RESERVE QB-370 (16)-FT 4

Le 8 juin 1780, Virieu et son r´egiment stationnent a ` Chartres. Il s’apprˆete alors a ` se marier30 . Le duc Ferdinand se r´esignant a ` promettre de signer l’engagement de discr´etion a ` la Profession, a ` la fin d’octobre 1780, le Coll`ege M´etropolitain chargea Virieu d’adresser a ` Charles de Hesse, qui allait bientˆ ot rencontrer le duc Ferdinand, la copie des deux instructions secr`etes, statuts et formules d’engagement des deux Professions qu’ils devaient signer et renvoyer31 . Le 30 janvier 1781, il se marie a ` Paris avec Elisabeth Digeon de Montelon, fille de Jean-Jacques. Leur union donna quatre enfants, dont le premier est n´e le 24 juillet 1785, chez Mme de Rohan, qui avait voulu garder pr`es d’elle ses enfants adoptifs32 ,33 . Sans ˆetre certain que ce soit l’´el´ement d´eclencheur, depuis l’´epoque de son mariage, nous notons qu’il cesse de se faire appeler Marquis de Virieu, pour ˆetre d´enomm´e Comte de Virieu. Ce changement est visible, tant sur les Tableaux de La Bienfaisance de Lyon34 que, quelques ann´ees plus tard, dans les volumes publi´es de l’Etat militaire de France 35 .

En 1782, Mme Provensal a compos´e une pri`ere sp´eciale pour plusieurs Fr`eres ; le nom de Virieu est mentionn´e dans celle-ci36 . Au Convent de Wilhelmsbad, Virieu est l’un des trois d´eput´es de la IIe Province dite d’Auvergne, avec le chevalier de Savaron et Willermoz, en qualit´e de « d´eput´e par le Grand Maˆıtre Provincial du d’Havr´e et de Croy »37 . Durant une s´eance, le duc Ferdinand lui demande de donner lecture d’un m´emoire qu’il l’avait charg´e de composer sur la « signification exacte du mot de bienfaisance ». Virieu y d´eclare notamment que la bienfaisance doit s’´etendre sans exception a ` tout ce qui peut ˆetre v´eritablement bon & utile aux autres, qu’elle ne doit n´e-

gliger aucun des moyens possibles de l’op´erer. Qu’elle ne se limite pas a ` la charit´e, a ` la protection de l’innocence, au soulagement des Fr`eres souffrants, ou encore a ` ´eclairer et instruire ses semblables. La bienfaisance renvoie au devoir d’imiter sans relˆ ache le mod`ele de l’homme, ˆetre d’une infinie bont´e. Le Convent se d´eclara fort ´edifi´e par cette ´eloquente dissertation sur la charit´e chr´etienne et ma¸connique et d´ecida, dans la s´eance suivante, sur la proposition de son pr´esident, que le m´emoire de Virieu servirait de canevas au nouveau code dont la r´edaction venait d’ˆetre vot´ee38 . [Ceci est un extrait de fiche biographique...]

Notes

19 de Roussel et de Montandre. Etat militaire de France pour l’ann´ ee 1777. 19e ´ ed. Paris, 1777, p.260 20 Ren´ e Le Forestier. La Franc-ma¸ connerie templi` ere et occultiste. Arch` e, 2003, p.500 21 ibid., p.498 22 Son nom ne figure pas dans le Ms 5480. 23 Cette interaction entre circulis et le soleil peut renvoyer ` a l’Eccl´ esiaste 1.6, o` u pour certains, le souffle renvoie au Soleil qui anime toutes choses, et qui, dans le tour du ciel qu’il fait, reprend ´. Dictionnaire universel toujours son mˆ eme cours ; cf Charles Hure de philologie sacr´ ee. 1846, p.705. 24 Bord, Etudes Sur la Question Louis XVII , p.432 25 Gerard van Rijnberk. Martines de Pasqually. 1982, p.107 26 Robert Amadou. Les le¸ cons de Lyon aux Elus Co¨ ens. Dervy, 2011, p.157 27 Le Forestier, La Franc-ma¸ connerie templi` ere et occultiste, p.507 28 L’oncle de Henri s’est mari´ e avec Louise-Elisabeth de Croy d’Havr´ e, comtesse de Tourzel. Cf Costa de Beauregard, Le Roman d’un royaliste sous la R´ evolution. Souvenirs du Comte de Virieu, p.6 29 Le Forestier, La Franc-ma¸ connerie templi` ere et occultiste, p.511-513 30 Joachim Revel Du Perron. Journal particulier d’une campagne aux Indes occidentales (1781-1782). H. Charles-Lavauzelle (Paris), 1898, p.7 31 Le Forestier, La Franc-ma¸ connerie templi` ere et occultiste, p.580 32 Costa de Beauregard, Le Roman d’un royaliste sous la R´ evolution. Souvenirs du Comte de Virieu, p.25-26 33 D’Angerville (Comte). Annuaire de la noblesse de France et des maisons souveraines de l’Europe. 1843, p.232 34 Changement avant la fin de l’ann´ ee 1781 35 de Roussel. Etat militaire de France pour l’ann´ ee 1786. e 28 ´ ed. Paris, 1786, p.290 36 Le Forestier, La Franc-ma¸ connerie templi` ere et occultiste, p.519 37 ibid., p.650 38 ibid., p.662

Fran¸ cois-Henri de Virieu 1 Gustave De Rivoire de la Batie. Armorial du Dauphin´ e. 1867, p.808 2 A.N., M. 817 - B.N., fonds Ch´ erin num´ ero 212 3 ibid., p.811 4 Francis Louis Picard. Histoire du 42e r´ egiment d’infanterie. H. Barbier, 1875, p.65 5 Charles-Albert Costa de Beauregard. Le Roman d’un royaliste sous la R´ evolution. Souvenirs du Comte de Virieu. 1892, p.5 6 De Rivoire de la Batie, Armorial du Dauphin´ e , p.810 7 Costa de Beauregard, Le Roman d’un royaliste sous la R´ evolution. Souvenirs du Comte de Virieu, p.6,9-10 8 ibid., p.14,16 9 ibid., p.17 10 ibid., p.23 11 Alexandre Mazas et Th´ eodore Anne. Histoire de l’ordre royal et Militaire de Saint-Louis depuis son institution en 1693 jusqu’en 1830, Volume 2. Firmin Didot fr` eres, fils et Cie, 1860, p.407 12 Picard, Histoire du 42e r´ egiment d’infanterie, p.65 13 Costa de Beauregard, Le Roman d’un royaliste sous la R´ evolution. Souvenirs du Comte de Virieu, p.25-26 14 Gustave Bord. Etudes Sur la Question Louis XVII. 1912, p.432 15 de Roussel et de Montandre. Etat militaire de France pour l’ann´ ee 1775. 15e ´ ed. Paris, 1775, p.32 16 de Roussel et de Montandre. Etat militaire de France pour e l’ann´ ee 1776. 18 ´ ed. Paris, 1776, p.353 17 Mazas et Anne, Histoire de l’ordre royal et Militaire de Saint-Louis depuis son institution en 1693 jusqu’en 1830, Volume 2 , p.407 18 Picard, Histoire du 42e r´ egiment d’infanterie, p.65

INDEX DES MEMBRES DE L’ARMORIAL Index par noms civils

Achard, Claude-Fran¸cois, 192 Achard, Joseph-Fran¸cois, 196 Agard, Michel, 201 Artus (d’), Antoine-Norbert, 56 Audras, Antoine-Andr´e, 129

Cochet, Claude, 166 Cogell, Pierre, 133 Cordon (de), Henri, 131 Croix (de la) de Sayve, Gaspard-Fran¸cois, 189 Croizat, Henry, 125

Bacon de la Chevalerie, Jean-Jacques, 167 Barbier (le) de Tinan, Jean-Th´eodore, 55 Barbier de Lesco¨et, Fran¸cois-de-Sales-Louis-Augustin, 105 Barret de Ferrand, Fran¸cois-Ren´e-Joseph, 238 Basset de Chateaubourg, Jean-Olympe, 165 Belz, Henry, 118 Bernard (de) de Montessus de Rully, 142 Bernard de Charpieux, Andr´e, 163 Bernard, Joseph, 199 Berruyer, Jean-Baptiste, 163 Beuf, Joseph-Auguste, 203 Beyerl´e, Jean-Pierre-Louis, 74 Billeret, Louis, 134 Blessig, Jean-Laurent, 67 Bonnet, Michel-Hyacinthe, 200 Bory (de), Andr´e, 158 Boyer de Rouquet, Louis-Antoine, 114 Braun, Jean-Nicolas, 128 Briguet, Jean-Marie, 125 Bruyset Sainte-Marie, Pierre-Marie, 138 Bruyset, Jean-Marie, 119 Bussche (von dem), Wilhelm, 84

Dacquin, Joseph, 177 Desbois, Pierre-Antoine-Salomon, 140 Desmaisons, Joseph-Bernard, 178 Deux-Ponts (de), Louis, 63 Deux-Ponts (de), Maximilien, 62 Deville de la Mitature, Fran¸cois-Hippolyte, 179 Dorse, Antoine-Bernard, 77 Dumoulin, Joseph, 151 Duperrel, Jean-Marie, 128 Dupont, Louis, 86 Dutrech, 160

Caillat, Jean-Antoine, 151 Castaing de la Dev`eze, Guillaume, 237 Castellas (de) de Nussargues, Guillaume, 126 Castellas (de), Henri, 150 Castellas (de), Jean-Antoine, 102 Castilhon, Antoine, 237 Chaix, Joseph-Bernard, 197 Champereux, 148 Chappe de la Henri`ere, Hyacinthe, 81 Chappuis de Margnolas, Louis-Charles, 110 Chefdebien (de) de Saint-Amand, Fran¸cois-Marie, 234

Eckbrecht de Durckheim, Chr´etien-Fr´ed´eric, 66 Eckbrecht de Durckheim, Fran¸cois-Chr´etien, 58 Ehrmann, Jean-Daniel, 73 Epine (de l’), 161 Esmonin de Dampierre, Antoine, 76 Fabry, Joseph, 64 Faure, Andr´e, 191 Favrat de Bellevau, Fran¸cois, 184 Filiol de Raimond, Louis-Jules-Barbon-H´el`ene, 78 Franchet (abb´e), Antoine, 153 Franck (de), Philippe-Jacques, 56 Gallay, Louis-Fran¸cois, 183 Garnier, Jean-Baptise, 165 Gay, L´eonard fils, 135 Gay, L´eonard p`ere, 108 Germain, Louis, 136, 196 Giroud, Fran¸cois-Marie-Yves, 189 Grainville (de) d’Herblaye, Pierre-Andr´e, 153 Grimod de B´en´eon de Riverie, Fran¸cois-Jean-Jacques, 109 Guillin, Didier, 163 Guyot, Charles-Odille-Joseph, 127 7

Havr´e (d’) et de Croy, Joseph-Anne-Auguste-Maximilien, 171 Hesse-Darmstadt (de), Fr´ed´eric-Louis, 85 Hubert de Saint-Didier, Guillaume-Victor, 156 Joussand, Laurent, 201 Jouty, Joseph, 156 Kayser, Philippe-Christophe, 83 Keller, Joseph, 70 Klinglin (de), Fran¸cois-Marie-Auguste, 57 Klinglin (de), Jean-Jacques-Joseph, 68 La Boulie (de), Pierre-Gabriel-Hilarion, 198 La Poix (de) de Fremanville, Claude-Edme, 148 Lambert de Lissieu, Joseph-Henry, 107 Landsperg (de), Siegfried-Jean-Samson, 51 Latapie, Toussaint, 195 Leroy-Jolimont, Lambert-Pierre, 160 Leseure, Claude-Antoine, 205 Lewenhaupt (de), Charles-Emil, 71 Lezay-Marn´esia (de), Claude-Fran¸cois-Adrien, 79 Lioy, Felix, 137 Lutzelbourg (de), Antoine-Joseph, 50 M¨ uller, Jean-Fr´ed´eric, 71 Maisonneuve, J´erˆ ome, 144 Maistre (de), Joseph, 181 Manin, Bertrand, 126 Manuel, Augustin, 197 Martin, David, 136 Meistre, 203 Meistre, Joseph-Ange, 197 Metzler, Jean-Guillaume, 69 Meunier, Charles, 196 Meyer (de), Christian-Daniel, 59 Meyronnet de Saint-Marc, Louis-Philippe, 202 Millanois, Jean-Jacques-Fran¸cois, 145 Mille, Pierre-Auguste-Maxime, 199 Moli`ere, Jean-Pierre, 138 Monspey (de), Pierre-Paul-Alexandre, 139 Morand (de) de Saint-Sulpice de Montfort, 178

Pernon, Camille, 157 Plagniard, Pierre, 148 Poitevin (de) du Bousquet, 240 Ponchon, Joseph-Barth´el´emy, 136 Prost de Royer, Antoine-Fran¸cois, 98 Provensal, 160 Prunelle de Lierre, L´eonard-Joseph, 190 Rachais (de), Claude-Polycarpe, 143 Rambaud de la Vernouse, J.C., 159 Rambaud de Monclos, Thomas, 164 Regad, Claude-Fran¸cois, 124 Regnauld de Bellescize, Claude-Esp´erance, 149 Renaud, Gaspard, 152 Revoire, Marc, 176 Reyne, 166 Rimbaud, Jean-Baptiste-Hippolyte, 202 Rozier (abb´e), Jean-Baptiste Fran¸cois, 161 Sabot de Pizey, Antoine-Louis, 141 Saint-Martin (de), Louis-Claude, 155 Salteur de la Serraz, Jean-Baptiste, 180 Salteur de la Serraz, Joseph-C´esar-Philibert, 175 Saltzmann, Fr´ed´eric-Rodolph, 60 S...