Initiation à la pragmatique PDF

Title Initiation à la pragmatique
Course Pragmatique
Institution Université de Limoges
Pages 12
File Size 264.7 KB
File Type PDF
Total Downloads 13
Total Views 130

Summary

Les modèles fondateurs
La philosophie analytique : J.L. Austin
Les échelles argumentatives
...


Description

Initiation à la pragmatique Les théories d'Austin sur les actes de langage sont les points de départ de la pragmatique, la fonction du langage n'est pas seulement descriptive mais elle permet aussi d'agir sur autrui. Que disons nous lorsque nous parlons ? Peut-on se fier au sens littéral d'un énoncé ? « Je vous ai compris. » Phrase clé du discours d'Alger du Général De Gaule, toutes les personnes présentes autant algériens que pieds noirs se sentaient rassurés. En réalité, cette phrase est ambiguë volontairement afin de rassurer tout le monde à la fois sans prendre de position. Le sens littéral est une notion complexe, un même énoncé peut favoriser plusieurs interprétations. Par le biais de la notion de sens littéral, pourquoi demande t-on à notre voisin si il peut nous passer le sel ? Quels sont les éléments contextuels indispensables à l'interprétation d'un énoncé ? On doit savoir par qui, quand et où pour le comprendre. Quels sont les conditions de réussites d'un acte de langage ? Et dans quelles mesures la transgression de ses conditions de réussite peut être signifiante ? Lors d'une promesse il faut souhaiter faire une action future bienveillance pour l'interlocuteur. On verra quels sont les usages du langage et dans quelle mesure la réalité humaine est déterminé par cette capacité de langage. Telles sont les questions fondamentales de la pragmatique. La première fut formulée par Morris en 1938, un concept créé pour distinguer trois composants du langage formel : – la syntaxe, qui va concerner la relation des signes aux autres signes – la sémantique, qui va traiter de la relation de ces signes à la réalité – la pragmatique, qui va s'intéresser aux relations de ses signes avec leurs utilisateurs, soit également à leurs emplois et à leurs effets. « La pragmatique est cette partie de la sémiotique qui traite du rapport entre les signes et les usagés des signes. » Morris, philosophe du langage La pragmatique fait appelle à des notions extra-linguistiques. « La pragmatique étudie l'utilisation du langage dans le discours et elle étudie également les marques spécifiques qui dans la langue atteste sa vocation discursive. » François Récanati, philosophe du langage Pour Récanati, la sémantique tout comme la pragmatique s'occupe du sens, mais là où la pragmatique va aller plus loin c'est qu'elle va s'occuper des formes linguistiques qui sont déterminés par leur utilisation. C'est la pratique linguistique qui va déterminer leur utilisation. Pour Francis Jacques, la pragmatique aborde le langage comme un phénomène à la f Aqaqq >les locuteurs, comme des sujets parlants à part entière qui vont communiquer et tout cela dans un élément social déterminé. Les signes sont déterminés par des règles partagées, mais aussi par le contexte social ou institutionnel. Au tout début de la linguistique, on ne s'intéressait guère à la pragmatique, la discipline a pris de l'importance après les autres après la syntaxe et la phonologie.. L'approche pragmatique s'est développé car les autres disciplines n'ont pu répondre à un certain nombre de questions. – La sémantique, traite donc de la relation des signes, mais elle ne s'est pas suffisamment intéressée à la dimension contextuelle du sens. – La syntaxe elle s'est intéressée à la bonne formation des phrases, mais elle n'a pas assez appréhendé le fait que les règles syntaxiques pouvaient être déterminées par les genres de discours. Quand on écrit un éditorial des structure syntaxiques reviennent car des règles et des codes sont admises de façon inconsciente. Les concepts les plus importants de la pragmatique, ceux négligés par les autres matière sont : – Le concept d'acte, le langage ne sert pas seulement à représenter le monde mais peut aussi





servir à réaliser des actions « je vous baptise » il y a une dimension performative. On orientera la notion d'acte vers celle d'interaction, et de transaction, avec toujours cette notion d'action. Le concept de contexte, la situation réelle dans laquelle des propos sont énoncés. On a le lieu, le temps, l'identité et le statut social des locuteurs... Le mot euthanasie suivant la communauté linguistique qui la prononce peut avoir une signification différente, en France cela peut être vu comme la fin d'une souffrance, mais en Allemagne à cause des propos d'Hitler cela signifie l'élimination des juifs. Le concept de performance, qui vient de Noam Chomsky, un générativiste. La performance pour lui est l'accomplissement de l'acte en contexte, la performance va comprendre la compétence des locuteurs, donc la performance intègre les locuteurs mais l'inverse n'est pas vrai. La compétence intègre le savoir et la maîtrise des règles syntaxiques des locuteurs, mais aussi leur capacité à produire des énoncés en contexte.

On peut donc mesurer à partir de ces trois concepts en quoi la pragmatique innove, elle va remettre en cause un certain nombre de préjugés sur lesquels s'appuyait la recherche antérieure. – Tout d'abord, elle remet en cause la priorité et l'emploi descriptif et représentatif du langage. Avec Austin on trouve donc la fonction d'agir sur autrui. – Elle remet aussi la priorité de la compétence sur la performance, soit une remise en cause de l'école de Chomsky. – Mais aussi, la priorité de la langue sur la parole, on accorde plus d'importance à la parole qu'à la langue. La pragmatique prend la relève du structuralisme de Saussure et de la grammaire Chomskyenne. Cela va permettre de dépasser un certain nombre d'impasse dans lesquels ces deux derniers se sont enfermés. La pratique de l'énonciation de Benveniste , l'opposition ne va plus être la langue et la parole mais l'énoncé et l'énonciation. L'énoncé correspond à ce qui est dit et l'énonciation à l'acte de dire. Cet acte de dire est marqué par la présence du locuteur, et aussi dans la langue puisqu'elle permet à chaque locuteur de se déclarer comme sujet. Mais existe-il une ou des pragmatiques ? Est-ce une discipline unifiée ou plutôt une discipline qui englobe différente approches disciplinaires ? A l'heure actuelle, il n'y a pas de consensus entre les chercheurs qui font de la pragmatique, ils ne partagent pas obligatoirement les mêmes hypothèses, ni même la même terminologies. Certain pragmaticiens, vont considérer que le comportement langagier doit être intégré à une théorie de l'action ; ils vont vouloir prendre en compte la dimension kinésique du langage. – Certains prennent en compte la dimension kinésique (les mimiques etc) mais d'autres non tels que Ducrot. – Pour d'autre, c'est l'interaction qui est primordial, comme pour Francis Jacques, qui est dans une approche communicationnelle du langage comme c'est aussi le cas pour Brassac, ils ont donc beaucoup critiqué Austin et Searle dans ne prennent pas en compte l'interaction et les contraintes. – D'autres, vont appréhender la pragmatique comme une science de l'usage linguistique en contexte ou plus largement comme l'usage des signes en contexte. La pragmatique est donc un carrefour interdisciplinaire. Conférence http://afi2014.e-monsite.com au carrefour des étudiants les 12,13 et 14 novembre

Les modèles fondateurs L'herméneutique de Bakhtine Principe dialogique Bakhtine défend l'idée que le texte est ouvert, il veut dire que les dimensions historiques et sociales interfèrent sur l'interprétation du texte. Il va s'opposer au formalisme russe incarné par Todorov et donc a tous les partisans du principe d'immanence. Le principe d'immanence considère que le texte est une totalité close, il peut être donc expliqué par lui-même sans que l'on ai recours à des paramètres extérieurs, toutes les dimensions n'interfèrent pas sur l'interprétation, les éléments linguistiques suffisent à expliquer le contenu du texte, ce qui est absolument contradictoire aux textes de la pragmatique. Il s'oppose aussi à la thèse de l'unicité de l'énoncé. Pour lui, il n'y a pas un seul énoncé mais il y a des énoncés dans un énoncé, et donc il affirme l'hétéronomie de la source d'énonciation. Pour lui, la source d'énonciation n'est pas autonome, c'est l'idée qu'il y a plusieurs énonciateurs dans un même énoncé. Ce principe globale s'appelle l'hétéronomie, quand quelqu'un produit un discours il répond à des règles, réglé par des contraintes et donc le discours sera réglé par plusieurs énonciateurs. L'énonciation et le texte sont donc traversés par d'autres voix, d'autres énonciateurs. La position de Bakhtine préside donc au dialogisme, qui est donc né des théories de Bakhtine. C'est l'idée que tout énoncé présente la trace d'énoncés antérieurs ou contemporains, donc le sens ne peut être assigné à un seul locuteur. A partir du moment où des individus s'approprient la même idéologie, ils partagent des éléments textuels, on a donc un type de discours et soit des contraintes linguistiques. Dimension sociale et historique Formaliste vs dialogiste

La translinguistique C'est le deuxième principe défendu par Bakhtine. La notion d'interaction est centrale dans ses travaux. Il l'envisage à partir de la confrontation qu'il va entreprendre avec la psychanalyse et le marxisme. Avec la psychanalyse on est dans une relation où il y a d'un côté un analysé et de l'autre un analysant, dans ce cadre, la subjectivité du sujet se présente comme une dynamique discursive. On parle de dynamique car on ne sait pas si le discours d'un individu dans le cadre de la psychanalyse est privé ou public. On peut imaginer que le discours de quelqu'un et sa personnalité vont être structuré par d'autre membre de son rang social ou de sa situation sociale. Avec le marxisme, on encore d'avantage des formes de dépendance d'un sujet à son environnement. C'est en partant de ces constats que Bakhtine va proposer une anthropologie du langage, une sociologie du langage. Il défend l'idée que tout énoncé relève de l'altérité. Ses travaux vont rendre compte de la dynamique des échanges linguistiques, donc la translinguistique. L'objet de son travail va consister à articuler les connexions entre les différents types de discours. Il prend l'exemple du roman, qui présente un faisceau de multiple influences verbales, qui vont remonter à d'autres œuvres et à d'autres époques. C'est en quelque sorte l'éclatement du monologisme, l'idée que le roman est un simple monologue. C'est aussi l'idée que la composante historique est déterminante dans le langage. interaction & connexion entre tous les discours

La philosophie analytique : J.L. Austin L'illusion descriptive Il part de l'idée que le langage n'a pas seulement une fonction descriptive. Il part des énoncés constatifs (affirmatifs) et performatifs. Les philosophes du langage, à son époque ont pensé que l'énoncé n'était que descriptif, Descartes ne s'est pas intéressé aux énoncés éthiques qui ont une

dimension orale, alors qu'Austin s'y est intéressé, ce qui a donné les actes de langage. Ex : Le ciel est bleu → constatif Je te promets de résoudre ce problème. → performatif Avec les constatifs, les énoncés sont soit vrais, soit faux : ils répondent donc a des conditions de vérité; alors qu'avec les performatifs, on ne peut pas dire qu'ils soient vrais ou faux, ils sont ce qu'on appelle heureux ou malheureux. Ils répondent non pas à des conditions de vérité mais à des conditions de réussite. La condition de sincérité est une des conditions de réussite mais on ne peut pas vérifier si quelqu'un est sincère ou non. Les énoncés performatifs sont régis par des conventions conformées par une seule et même communauté. Ces actes de langage doivent être produits dans le cadre d'une institution. L'acte de langage est formaté par l'institution. On y dit deux types de conditions, pour réussir un performatif on doit employer certaines formules soit les conditions linguistiques ( comme « je te baptise » ; il y a aussi les conditions sociologiques, c'est à dire que les locuteurs doivent avoir un certain statut, il faut être mandaté par une institution ( le prêtre pour baptiser ) ; dont la contrainte spatiale et spatiale, on ne peut pas baptiser dans une université par exemple. Il y a aussi les conditions psychologiques, telle que celle de sincérité. Les conditions linguistiques et sociologiques sont nécessaires à la réussite, alors que la dernière n'est pas obligatoirement nécessite mais cela à un impact sur l'acte de langage. Il m'a promis de venir → constatif Je te promets de venir → performatif Verbe + voix active + présent de l'indicatif = forme linguistique que met en avant Austin pour caractériser les énoncés performatifs ; ce sont les performatifs purs, mais d'autres énoncés ont aussi une forme performative tel que « défense de fumer » ; « compte sur moi » ; « chien méchant » Il se rend compte que tous les énoncés performatifs n'ont pas une valeur élocutoire marquée tel que « je te promets »

La refonte Austin va remettre en question sa façon d'aborder les actes de langages puisque les performatifs n'ont pas de forme décisive. Il va se demander en quoi consiste exactement l'acte de dire, en observant tous les éléments qui rentre dans la composition de cet acte, les phrases, leur rapport avec un référent... Ce qui va l'amener à représenter l'acte de langage comme un processus complexe qui est composé de trois types d'actes : locutoire, Ilocutoire et Perlocutoire. – – –

L'acte locutoire : l'acte de dire quelque chose L'acte illocutoire : il est effectué en disant quelque chose est a une valeur illocutoire, il consiste à produire un sens : affirmer, ordonner, promettre... C'est ce que l'on accomplit en disant quelque chose L'acte perlocutoire : produire des effets sur l'auditoire : la pensée, sentiments... Donc ce sont les effets que l'on produit en disant quelque chose. Ces effets peuvent être intentionnels ou non. « Tu ne peux pas faire cela »

L: dire la phrase I: acte de protestation P: dissuader quelqu'un, le remettre dans le droit chemin Austin va donc proposer un classement des valeurs illocutoires.

Searle et le principe d'exprimabilité Il va plus loin que Austin et dit que pour toute signification x et pour tout locuteur L, chaque fois que L veut signifier X , alors il est possible qu'il existe une expression E , tel que E soit l'expression exacte ou la formulation exacte de X. Searle propose une autre taxinomie qui repose sur 4 critères : - But illocutoire - La direction d’ajustement - L’état psychologique exprimé - Le contenu propositionnel

Types d’illocutoires Assertifs

But illocutoire Engager la responsabilité du locuteur sur un état de fait

Etat psychologique Croyance+ ,

Contenu propositionnel

Directifs

Amener l’interlocuteur à réaliser une action future

Intention

Action future de l’interlocuteur

Le monde doit se conformer aux mots

Promissifs

Engager le locuteur à adopter une conduite future Exprimer un état psychologique vis-à-vis du contenu propositionnel Rendre effectif le contenu de l’acte

Désir Volonté

Action future du locuteur

Monde conforme aux mots

Plaisir Intention

Acte événement

/

Croyance

Il se confond avec l’acte

Double

Expressif

Déclaratif

I-

Toute proposition P

Direction d’ajustement Les mots doivent se conformer au monde

La philosophie du langage ordinaire avec Grice

1) La notion de signification non naturelle Le point de départ de Grice est la signification du verbe to mean : anglais qui veut dire signifier (signification naturelle), vouloir dire(signification non naturelle). A partir de ces significations il dégage la signification naturelle et la signification non naturelle. Exemples : Les boutons d’un enfant peuvent signifier qu’il a la varicelle, fumée peut signifier qu’il y a un feu : signification naturelle. La signification naturelle est le fait que des phénomènes naturels soient mis en rapport avec leurs symptômes ou leurs conséquences. Avec la signification non naturelle la relation entre deux éléments est indépendante : c’est la relation entre les contenus que les locuteurs veulent transmettre. Ex : ta chambre est une porcherie. Avec la signification non naturelle les phrases sont utilisées pour communiquer et leur interprétation dépendant de leur acte de communication.

Définitions de Grice : - La signification naturelle : « dire qu’un locuteur a voulu dire quelque chose par une phrase c’est dire que ce locuteur a eu l’intention en produisant cette phrase de produire un effet sur son interlocuteur grâce à la reconnaissance par cet interlocuteur de son intention.» Ce qui est primordiale chez Grice est l’intention du locuteur et la reconnaissance de ces intentions par l’interlocuteur. Ce qui le différencie de Searle c’est que pour lui cette reconnaissance des intentions ne s’appuie pas sur la signification conventionnelle des mots ou des phrases.

2) Grice et la logique de la conversation L’un des articles les plus célèbre de Grice : « la logique de la conversation ». Dans cet article il développe la signification non naturelle. Il propose une approche qui n’est pas conventionnaliste c’est-à-dire que les mots ou les phrases ne sont pas attachés à un sens déterminé. Il s’appuie sur deux notions : - L’implicature - Le principe de coopération Pour lui l’interprétation d’une phrase dépasse la signification qu’on lui attribue. Dans cette perspective il faut distinguer la phrase et l’énoncé. La phrase est une unité abstraite, une suite de mots que l’on prononce dans des circonstances différentes mais qui ne va pas varier selon ces circonstances. L’énoncé au contraire est le résultat qui va varier selon les circonstances et suivant les locuteurs. Quand on est dans une perspective conventionnaliste la distinction phrase/énoncé n’est pas forcément pertinente. Le principe de coopération suppose que les interlocuteurs participent à une conversation et chacun d’entre eux contribue de manière rationnelle et coopérative en répondant aux quatre maximes conversationnelles. Il se décline en 4 maximes : - la maxime de quantité : fait qu’il y a un certain nombre d’infos requises. Il ne faut pas fournir plus ou moins d’infos - la maxime de qualité : fait de parler avec sincérité et avoir des preuves de ce que l’on affirme - la maxime de relation : fait de parler à propos - la maxime de manière : fait que l’on s’exprime avec clarté et sans ambiguïtés La signification non-naturelle prévoit un écart entre la situation de la phrase et son contexte, c'est à ce décalage que renvoie la notion d'implicature. L'implicature met en évidence ce décalage. Il existe deux moyens de dire ce que l'on veut dire : • un moyen conventionnel : une implicature conventionnelle • un moyen conversationnel : implicature conversationnelle Les anglais sont courageux. → aucune implicature conversationnelle, tout est explicité interlocuteurs ont des locuteurs, on s'attend à ce qu'il parle à propos et nous fournisse autant d'informations que requises. La théorie de Grice s'inscrit dans le courant du cognitivisme ; ces maximes reposent sur les capacités de l'interlocuteur à attribuer des intentions et sur la capacité du locuteur à avoir des états mentaux ; c'est en cela que c'est un courant cognitivisme.

La théorie de Grice prévoit également la transgression de ces maximes, c'est en cela qu'elles ne peuvent être considérées comme des normes. Jacques demande à Paul où habite Olivier ; et Paul répond quelque part dans le sud de la France. Paul viole donc la maxime de quantité en donnant des informations insuffisantes en quantité, on peut imaginer qu'il ne sait pas exactement où Olivier habite ou bien il ne souhaite pas lui dire où Olivier habite. Pourriez-vous : condition de capacité Voudriez-vous : condition de sincérité

3)

Grice, Searle et les actes de langage indirects

Grice et Searle n'ont pas la même conception des actes de langage. Searle en distingue deux types : • un primaire : un acte de requête accompli • un secondaire : une question Chez Searle la reconnaissance de l'attention passe avant tout par les règles sémantiques, on associe les matériaux linguistiques à un sens donné. Il va aussi s...


Similar Free PDFs