Le Conditionnement et l\'apprentissage PDF

Title Le Conditionnement et l\'apprentissage
Course Psychologie cognitive
Institution Université Paul-Valéry-Montpellier
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L1 Psychologie semestre 2...


Description

Le Conditionnement et l'apprentissage

10/03

Introduction par l’exemple 

Exemple 1 : histoire de tuyauterie. Ils tirent une chasse d’eau quand quelqu’un est sous la douche. Augmentation de l’eau chaude car – d’eau froide. Victime : sort de la douche en hurlant. Douleur engendre le réflexe de sortir en courant. Si on pense à la chasse d’eau, ce n’est pas un stimulus évocateur, ça ne déclenche normalement pas de réponse particulière. Pour les victimes de ce jeu, entendre un chasse d‘eau déclenchait une réaction épidermique. La réaction à un stimulus neutre, à l’origine, est le résultat d’un conditionnement classique.



Exemple 2 : 13h, petite faim à la fac, on va se diriger tout naturellement vers un distributeur automatique, si après avoir appuyé sur le bouton et avoir mis de l’argent, il ne se passe rien. Une personne normale réessaye, appelle un responsable, tente de récupérer son argent. Toujours rien, encore plus de faim, de mécontentement, oubliant ses bonnes manières, coup de pied dans la machine, qui se met à « ronronner », vous donne une barre chocolatée et 50 centimes. Une fois ceci produit, il est fort probable que vous réessayez la technique du coup de pied et pour peu que cela fonctionne, ça peut devenir un comportement régulier. Dans ce cas précis, l’apprentissage se fonde sur le conditionnement opérant/instrumental. Le conditionnements classique & opérant représentent une gde partie de nos apprentissages, ils se ramifient dans tous les domaines de notre vie.





Questions d’ensemble : - Qu’est-ce que l’apprentissage ? Ct est-il relié au comportement inné ? - Qu’est-ce que le conditionnement classique ? Sommes-ns tous conditionnés ? - Qu’est-ce que le conditionnement opérant ? Ct affecte-t-il le comportement humain ? - De quelle manière sommes-nous influencés par le conditionnement et les modes de récompense ? - Ct le conditionnement peut-il s’appliquer à des problèmes pratiques ? 1) Qu’est-ce que l’apprentissage : Est-il exact que l’on devient forgeron en forgeant ?



Exemple du Tisserin, oiseau africain qui a la particularité de nouer les brins d’herbes pour construire son nid. Ct le tisserin apprend-il à faire des nœuds. Il ne l’apprend pas, c’est un comportement inné. Les nœuds du tisserin représentent un mécanisme inné de réaction. On peut le définir c une chaîne de mouvements instinctifs que l’on trouve chez presque tous les membres d’une même espèce. Dans ce contexte, un réflexe constitue un comportement inné + simple. On constate que des comportements plus complexes, comme l’instinct maternel, chez les animaux de classe inférieure, conjuguent mécanismes innés et réflexes.



Qu’en est-il des humains ? On peut dire que les humains n’ont pas d’instincts, du moins tels que décrits par la plupart des psychologues. Pour être qualifié d’instinctif, un comportement doit être à la fois complexe et propre à l’espèce. Ainsi, outre les réflexes, aucun autre comportement humain ne remplit les conditions requises. Toutefois notre capacité d’apprentissage compense largement les lacunes de programmation instinctive. Notre capacité d’apprentissage est tellement évoluée, que la plupart de nos activités quotidiennes sont complètement apprises. Si on oublie tous nos apprentissages, on ne peut plus faire grand-chose : plus écrire, plus lire, plus parler, plus capable de se nourrir, plus trouver son chemin, plus conduire une voiture, plus jouer d’un instrument  totalement invalide et ennuyeux.



Définition de l’apprentissage : L’apprentissage est un changement de comportement relativement permanent causé par le renforcement. Cette définition exclu les changements temporels liés à la motivation, la fatigue, la maturation, la maladie, les blessures ou les drogues, lesquelles peuvent toutes modifier le comportement sans pour autant constituer un apprentissage.

2) Dans quelle mesure l’apprentissage est le résultat de la pratique ? 



Tout dépend de ce que l’on entend la pratique, la répétition d’une réaction ne se traduit pas nécessairement en apprentissage, à moins qu’un renforcement n’intervienne. Le renforcement représente tout événement qui favorise la répétition d’une réaction. On peut envisager, qu’un enfant que l’on félicite ou que l’on embrasse quand il ramasse ses jouets, apprendra à être ordonné ? 3) Les antécédents & les conséquences





Dans le conditionnement classique, toute l’action se produit avant la réaction, on utilise un stimulus qui déclenche déjà une réaction. Un jet d’air dirigé vers les yeux, entraîne, par réflexe, un clignement des yeux, ce clignement se produit sans apprentissage antérieur puisque c’est un réflexe. SI on utilise un klaxon juste avant le jet d’air, au bout d’un moment, le klaxon seul déclenche le clignement des yeux. Puisque le klaxon déclenche le clignement, un apprentissage a eu lieu. Lorsque vous salivez en mangeant un gâteau, vous pouvez apprendre à saliver en voyant un gâteau. Dans le conditionnement classique, les deux événements antécédents sont associés, un stimulus qui n’engendre pas de réaction et lié à un autre, qui lui, le fait. On dira que l’apprentissage est manifeste lorsque le nouveau stimulus commence également à déclencher des réactions. Le conditionnement opérant porte sur l’apprentissage affecté par les conséquences, une réaction peut être suivie d’un renforcement, d’une punition ou bien de rien. Ce sont ces résultats qui déterminent si la réaction est susceptible de se répéter. Par ex, si on porte un vêtement qui ns attire bon nombre de compliments, il est fort probable que vous le reporterez à nouveau, sans problème et avec plaisir. En revanche si en portant ce vêtement on se moque de vous, vous ne le remettrez sans doute pas.

I-

Le conditionnement de Pavlov (y a-t-il quelque chose qui cloche chez Pavlov ?)

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Le conditionnement classique ou répondant a débuté avec les travaux de Pavlov, physiologiste russe. L’xp portait au début de réflexes puis il a remarqué que les chiens salivaient dès que Pavlov entrait dans le labo, avant même qu’il ne leur donne de la nourriture. Cloche  Stimulus neutre à l’origine, et après conditionnement, réaction de salivation. Avant conditionnement, la viande constitue le stimulus inconditionnel (SI) qui déclenche une réaction inconditionnelle (RI) de salivation. Au cours du conditionnement, le son de la cloche est associé à la nourriture et devient un stimulus conditionnel (SC).  Une fois le conditionnement en place, la cloche seule déclenche la salivation.

Application à l’ex de la douche et de la chasse d’eau : La réaction à un SI, non apprise, était le recul réflexe devant l’eau chaude. Cette dernière constituait le SI et le son de la chasse d’eau, le SC. Le son de la chasse d’eau était neutre à l’origine, mais en raison du conditionnement, il déclencha un réflexe.



On va sonner une cloche, verser du jus de citron dans la bouche d’un enfant et conditionner la salivation au son de la cloche. 1) Les phases du conditionnement A. L’acquisition  Renforcer la réaction à un stimulus conditionnel, ce renforcement se produit chaque fois que SC est suivi ou doublé d’un SI  Cloche SC, Salivation RC, Jus de citron SI. On combine jus de citron et cloche et on constate que le conditionnement est + rapide si le SI succède immédiatement au SC. Dans la plupart des réflexes, le délai max, entre SC et SI se situe entre ½ et 5 secondes.

B. Le conditionnement d’ordre supérieur 

Une fois la réaction apprise, elle peut entraîner un conditionnement d’ordre supérieur, dans lequel on utilise un SC bien appris, afin de renforcer l’apprentissage ultérieur.  Le résultat de l’apprentissage est que la cloche engendre la salivation sans recours au jus de citron. Pour essayer d’aller plus loin, on claque des doigts et on sonne la cloche (tjrs pas de jus de citron), on constate assez rapidement que l’enfant apprend à saliver quand on claque les doigts. Avec ce conditionnement d’ordre supérieur, on peut mener l’apprentissage un peu plus loin qu’avec le SC d’origine. Le conditionnement d’ordre sup est largement utilisé par les publicitaires, ils vont coupler des images qui évoquent des sensations agréables avec des images de leurs produits. Ils espèrent que par association, ils éprouveront des sensations agréables à la vue de leurs produits. C. L’extinction et le recouvrement spontané



Si le SI ne succède plus jamais au SC, le conditionnement va s’éteindre. On peut dc affaiblir voire faire disparaitre le conditionnement classique en supprimant le renforcement. De la même façon qu’il faut du temps pour mettre en place un conditionnement, il en faut aussi pour le faire disparaître.  Dans le cas de l’enfant, s’il ne salive plus qd on sonne la cloche, on peut considérer que le conditionnement s’est éteint. Mais le lendemain, si on re-sonne la cloche, l’enfant réagit, au moins au début, au son de la cloche  Recouvrement spontané et

cet effet peut expliquer dans une certaine mesure, pq la personne victime d’un grave accident de la route a besoin de nombreuses promenades lentes et calmes pour que sa peur s’éteigne complètement. D. La généralisation 

Une fois qu’une personne ou animal a appris à réagir à un SC, des stimulus similaires à ce SC peuvent également déclencher une réaction. On pourrait découvrir que l’enfant conditionné à saliver au son de la cloche, se met à saliver en entendant le téléphone ou la sonnette. On peut voir l’utilité de la généralisation en considérant l’enf qui se brûle les doigts en jouant avec des allumettes, en vertu du principe du conditionnement, la vue d’une allumette en flamme devient un SC. L’enfant ne craindra pas que les allumettes, en raison de la généralisation, il peut concevoir une saine peur des flammes. La généralisation tend à étendre l’apprentissage à de nvx cadres et à des situations similaires, ce qui nous procure une grande capacité d’adaptation. La généralisation a des limites et les tests indiquent une diminution graduelle de la réaction au fur et à mesure que les stimuli ressemblent de – en – au SC initial. E. La discrimination



A titre d’xp, on fait entendre le son d’un sifflet à la place du son de la cloche, au début le son du sifflet va déclencher la salivation en raison de la généralisation, mais après l’avoir entendu plusieurs fois, l’enfant va cesser de réagir au son du sifflet, il aura désormais appris à discriminer, cad à réagir diff au son de la cloche et du sifflet. La réaction généralisée de l’enfant au sifflet s’est éteinte. Cette discrimination constitue une partie importante de l’apprentissage, par ex les tons de voix des parents qui annoncent une punition ou pas. 2) Le conditionnement classique chez les humains : un sujet émotif









 Dans quel proportion l’apprentissage humain se fonde sur ce conditionnement classique ? Ds sa forme la plus simple, le conditionnement classique dépend des réactions réflexes, un réflexe est fiable, puisqu’il s’agit d’une relation stimulus réaction innée. Par ex : la douleur entraîne le retrait réflexe de nombreuses de parties du corps. Mais on constate que les humains peuvent associer une de ces réactions réflexes à un nouveau stimulus. Les façons dont le conditionnement ns affecte sont sans doute encore + importantes, en plus des simples réflexes, des réactions viscérales/affectives, plus complexes peuvent être conditionnées à de nvx stimuli. Par ex : Si enfant rougissement si punition, possibilité de rougir quand on est embarrassé une fois adulte. De nbreuses réactions autonomes/involontaires sont liées à des situations et des nvx stimuli au moyen du conditionnement classique. Ex : personnes phobiques, peuvent svt associer leurs peurs à une occasion effrayante à la suite d’une réaction du stimulus craint. Les réactions de ce type appelées réaction affectives conditionnés peuvent se transformer en phobies à la faveur du mécanisme de généralisation. Il existe des thérapies pour éteindre ou contreconditionner des peurs, des anxiétés ou des phobies. Le but est de mettre progressivement la personne en présence de l’objet phobique. 17/03

conditionnement A. Le d’occasion

substitutif

ou



ditionnés et cela va accroitre leurs effets t à réagir affectivement à une lumière si la lumière s’allume. Elles ne sont que mière. On peut penser que les enfants qui umis à un conditionnement similaire. rvons les réactions affectives d’une autre de façon affective au même stimulus. Un ombreuses situations. Par ex, le film les dents de la mer a fait de la baignade dans l’océan un SC de peur pour de nombreux spectateurs. Si ces films peuvent ns affecter à ce point, on peut s’attendre à ce que les émotions de nos proches ns touchent encore d’avantage. Ct un enf de la ville apprend-il à craindre les serpents et à réagir affectivement à de simples images de serpent. L’avertissement « les serpents sont dangereux » ne suffit pas à expliquer la réaction de l’enfant, il est + vraisemblable que de telles peurs se transmettent en observant les réactions de peur d’autrui quand le mot est mentionné ou que son image apparaît à la télé. Les attitudes affectives que ns développons à l’égard de certains types d’aliments, de certains partis politiques, etc. ne sont probablement pas conditionné par l’xp directe, mais aussi de manière substitutive. Les parents qui se demande ct leur enfant a pu attraper une peur ou une attitude affective particulière devraient dc commencer par se regarder dans la glace.

II

Le conditionnement opérant

Il désigne la manière dt ns associons les réactions à leurs conséquences . Son principe fondamental est que les actions suivies de renforcements ont tendance à se répéter . Un des pionniers, le théoricien Edward Thorndike appelait ce principe «la loi de l’effet », selon lui l’apprentissage se trouve renforcé chaque fois qu’une réaction est suivie d’un résultat satisfaisant. A. Comparaison conditionnement classique & conditionnement opérant

 

Conditionnement classique : passif & involontaire, il se produit seulement qd un SC et SI sont associés. En revanche le conditionnement opérant permet d’agir sur le milieu, il désigne principalement l’apprentissage des conduites volontaires.

Nature de la réaction Renforcement

Rôle du sujet Nature de l’apprentissage

Conditionnement classique Conditionnement opérant Involontaire, réflexe. Spontanée, volontaire. Se produit avt la réaction (le SC Se produit après la réaction (la est associé au renforcement du réaction est suivie d’un stimulus stimulus). ou d’un événement de renforcement. Passif (réaction provoquée). Active (réaction émise). Association entre les stimuli Probabilité de réaction modifiée antécédents. par les conséquences.

B. La notion de récompense 

L’idée selon laquelle les récompenses affectent l’apprentissage n’est pas nouvelle aux yeux des parents, toutefois les parents, à l’instar des professeurs, des politiciens, etc. peuvent se servir de récompenses de manière fortuite, inexacte ou mal inspirée. Le terme même de récompense est inexact, on devrait plutôt parler de renforçateur puisque les récompenses n’augmentent pas toujours la réaction. Ce qui va constituer un renforcement chez une

personne ne l’est pas forcément chez une autre, dans la pratique les psychologues définissent un renforçateur opérant c tt événement qui succède à une réaction et en augmente la probabilité. 1)

Les étapes du renforcement A. L’acquisition d’une réaction opérante



La plupart des études ont eu lieu dans une boite de conditionnement : la boite de Skinner. Il travaillait essentiellement avec des rats, une boite sans rien avec juste un levier qui amène nourriture. Le rat n’a pas appris de nvelles aptitudes , il possédait déjà les réactions nécessaires pour appuyer sur le levier, le renforcement ne change que la fréquence à laquelle il appui sur le levier. Ce conditionnement opérant utilise le renforcement afin de modifier la fréquence des réactions ou d’en changer la structure.





Classe avec comportement déviant, avt et après un conditionnement pour avoir une bonne attitude, on a renforcé la bonne attitude et on constate que le nbre de comportements déviants a baissé. Pour être efficace, le renforcement opérant doit être contingent à la réaction, cad qu’on ne doit l’accorder qu’immédiatement après l’apparition de la réaction. S’ils avaient reçu le conditionnement à l’aveuglette, cela n’aurait eu aucun effet.

B. Le façonnement 







Même dans une boite de Skinner nue, il se peut que le rat mette bcp de temps à appuyer, par hasard, sur le levier. Et il est possible que ns devions attendre une éternité avt qu’une action plus complexe se produise Ex :il est possible que vous attendiez longtemps qu’un canard sorte de sa cage, allume la lumière, joue du piano, éteigne la lumière et retourne dans sa cage. Alors ct est-il possible d’enseigner des tours compliqués aux animaux ? C’est grâce au façonnement qui est le modelage graduel des réactions en une structure finale planifiée. Si on met un rat dans la boite de Skinner, il peut ne pas s’intéresser au levier, on peut alors façonner ses réactions pour qu’il touche le levier. - On va lui montrer le levier et dès qu’il le regarde, on lui donne une boulette de nourriture. En vertu du conditionnement, il va passer son temps à regarder le levier. - On va l’amener à se diriger vers le levier pour avoir de la nourriture, s’il ne fait que le regarder, il ne reçoit rien. - Jusqu’à ce qu’il appuie sur le levier. En changeant les règles afin d’obtenir une réponse favorable, on peut graduellement entraîner le rat à s’approcher du levier et ensuite à l’abaisser pour obtenir son renforcement. On récompense dc les réactions qd elles se rapprochent de + en + du mode final désiré, jusqu’à l’obtention de ce dernier. On dira dc que le principe de façonnement réside dc dans le renforcement des approximations successives vers la réaction désirée.





   

Skinner a réussi à apprendre à des pigeons à jouer au ping pong . La réussite de Skinner est en gde partie au fait que les pigeons picorent de manière naturelle les objets à leur portée. Les psychologues ont pensé que tt réactions volontaires pouvait s’enseigner au moyen du conditionnement opérant. On sait maintenant que certaines réactions s’acquièrent mieux que d’autres et il existe un certain nbre de contraintes bio ou limites au conditionnement opérant en particulier chez les animaux. 2 psychologues se sont lancés dans le dressage d’animaux pour des émissions télévisées, des zoo ou des parcs d’attractions. Et de pair avec leurs succès, ils ont connu quelques échecs révélateurs, ntmt dans le cadre d’une pub ils ont tenté de conditionner un raton laveur à insérer des pièces de monnaie dans une tirelire. Le raton laveur frottait plutôt les pièces les unes contre les autres de manière répétitive, (d’un air radin, ont rajouté les psy). Malgré tous leurs efforts, ils n’ont pas pu venir à bout de ce comportement. Ils ont connu d’autres échecs avec d’autres animaux, dans chacun de ces cas, un mo de de comportement inné empêchait l’apprentissage. Ils ont appelé ce phénomène le mouvement instinctif. Mvt instinctif = Les réactions acquises ont tendance à dériver vers celles qui sont innées. A la lumière de ces observations, il faut comprendre que les lois de l’apprentissage sont restreintes par le carcan des limites et des possibilités biologiques. On peut également appliquer le façonnement aux humains. On peut façonner les hommes en faisant une série d’objectifs progressifs quotidiens et de s’auto-récompenser.

C. L’extinction 

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On pourrait...


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