Lectures Freud - Résumé Personnalité - Théorie et recherche 2e édition PDF

Title Lectures Freud - Résumé Personnalité - Théorie et recherche 2e édition
Author Isma Taleb
Course Psychologie de la personnalité
Institution Université de Montréal
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Summary

Les lectures pour le module portant sur Freud...


Description

LECTURES FREUD Activité 1 Chapitre 3 p.60-66 Mécanisme : mouvement intellectuel du 19e siècle selon lequel les principes de base des sciences naturelles peut expliquer non seulement le comportement des objets physiques, mais également le comportement et les pensées de l'être humain. Ce mouvement s'oppose au vitalisme qui considérait que la science biologique ne peut pas totalement expliquer la vie biologique puisque la vie elle-même vient de force immatérielle comme l'âme et l'esprit. L'adhésion de Brücke aux mécanismes constitue le fondement de la conception dynamique du fonctionnement psychique théorisée plus tard par Freud.

L'esprit humain comme système d'énergie Système d'énergie: conception freudienne de la personnalité selon laquelle celle-ci résulterait de l'interaction de diverses forces ou de source d'énergie. Cette conception de l'esprit comme système d'énergie s'oppose à d'autres conceptions qui considère l'esprit comme un système d'information. Dans le modèle freudien, les contenus psychique ne sont pas simplement stocké de manière inerte, ils font des choses. La vie psychique contient des pulsions qui sont en active et qui exerce sur l'appareil psychique une pression. Le psychisme est un système qui contient cette énergie qui la dirige. La conception freudienne de l'énergie psychique s'articule autour de trois idées principales.   

La 1re est que nous ne disposons que d'une quantité d'énergie limitée. La 2e est que lorsque l'énergie qui s'exprime par une certaine voie est bloquée, elle ne disparaît pas pour autant, elle trouvera une autre voix offrant moins de résistance. La 3e idée, fondamental dans le système d'énergie freudien, est que l'appareil psychique fonctionne dans le but de maintenir un niveau aussi bas que possible aussi constant que possible la quantité d'excitation qu'il contient.

Pour la psychanalyse, les idées existent sous forme d'énergie mentale stockées dans l'appareil psychique. Dans certaines circonstances, l'énergie associée à une idée peut être libéré. La question de savoir comment cette énergie est libérée est un élément crucial de la théorie psychanalytique. Breuer répond à cette question grâce à la patiente Anna O qui souffrait d'hystérie. Tous ces symptômes n'ont pas de causes biologiques. L'hystérie est considérée comme un trouble de conversion parce qu'un problème d'ordre émotionnel se transforme en un trouble psychologique qui altère la motricité et la perception. Le trouble de conversion est aussi connu

comme un trouble de type somatique parce que le contenu psychologique perturbe le fonctionnement du corps (ou soma). Anna elle-même a découvert que le fait de retrouver l'événement traumatique à l'origine du trouble pouvait la soulager de ses symptômes. Breuer et Freud ont donner à cette expérience psychologique le nom de catharsis. La catharsis : technique qui permet de libérer les émotions en parlant des problèmes qui sont à la source de ses émotions. Le concept de catharsis a contribué à améliorer la compréhension de l'esprit humain de deux façons. Premièrement il confirmait la vision de Freud voulant que l'esprit sont un système d'énergie. Deuxièmement, avant de vivre l'expérience cathartique, les patients de Freud semblait ignorer que leurs symptômes avaient leur origine dans des contenus psychiques. Il avait complètement oublié ces événements traumatiques alors que les symptômes liés à cet événement se manifestait, c'est dire que le contenu mental dont on a aucune conscience est constamment actif dans notre esprit. L'individu et la société Un 2e élément important dans la conception freudienne de la personne concerne la relation entre l'individu et la société. La vision de Freud s'oppose un autre conception qui est au cœur même de la culture occidentale et qui tient pour acquis que l'individu est fondamentalement bon, la société le corrompt. La psychanalyse considère que les pulsions sexuelles et agressives son innée et font partie de la nature elle-même. Le rôle de la société est de refréner ses tendances biologiques naturelle. Elle édicte des normes et des interdits en conséquence. La théorie générale de Freud n'est pas qu'une simple conception révolutionnaire de l'esprit, elle offre également une vision nouvelle de la relation entre individus et la société. LA SCIENCE DE LA PERSONNALITÉ SELON FREUD La vision scientifique de Freud et complexe. D'un côté, son engagement envers une science naturelle de la personne est totale, c'est la physique qui constitue son modèle à cet égard. D'autre part cela lui a permis d'apprécier le lien entre la théorie et la recherche, de même que l'importance des concepts théoriques bien définis. Cependant, ces méthodes étaient surprenantes. Il a créé une vaste théorie à partir de données probantes relativement limitées. Il s’est aussi écarter du point de vue scientifique par le type de données qu'il a ou qu'il n'a pas utilisé. Il n'a pas mené d'expérience de laboratoire n'y eut recours à des tests psychologiques standardisés. Il ne croyait uniquement qu’en l'étude de cas comme méthode de recherche. Ils procédaient par l'association libre, ce qui lui fournissait une mine d'informations sur les patients. Cependant, les scientifiques contemporains ne sont pas convaincus que les éléments probants que la libre association permet d'obtenir sont suffisant pour élaborer une théorie solide. Ils remettent particulièrement en question le manque d'intérêt de Fred pour la recherche en laboratoire.

Chapitre 3 p.90-93 Le développement des processus cognitifs

Freud détermine les stades du développement des pulsions sexuelles, c'est-à-dire les stades psychosexuels, mais il s'intéresse aussi au développement des processus cognitifs. Il établit une distinction théorique entre deux modes de pensée : le processus primaire et le processus secondaire. Il s'agit d'expliquer comment fonctionne la pensée humaine et quels sont les processus par lesquels l'individu traite l'information. On peut croire que l'esprit humain traite de la même manière toute l'information qu'il reçoit, mais Freud soutient plutôt que l'esprit humain a recours à deux processus bien distincts . Le processus primaire et celui de l'inconscient. La pensée primaire est illogique et irrationnel, et elle ne fait aucune distinction entre la réalité est le fantasme. Par exemple les enfants n’ont pas la capacité de formuler des arguments logiques, pourtant ils ont bel et bien un mode de pensée. Le processus secondaire est du domaine du conscient, de l'épreuve de la réalité et de la logique. Ce processus n'est possible qu'après que l'enfant a maîtriser le processus primaire et il s'installe parallèlement au développement du moi. Avec le développement du moi, l’individu devient une entité propre, se différenciant du reste du monde et cessant de se préoccuper uniquement de lui-même. Les psychologues contemporains établissent une distinction entre le processus cognitif expérientiel et le processus cognitif rationnel . Semblable au processus primaire, le processus expérientiel s'installe tout dans le développement et se caractérise par sa nature holistique, concrètes est déterminé par les émotions. Le processus rationnel, semblable processus secondaire, se développe un stade plus tardif il se caractérise comme plus abstraits analytique, s'appuie sur les règles de la logique et de l'évidence. Dans une expérience, on démontre l'existence d'un conflit entre le processus expérientiel est le processus rationnel. On donne deux choix aux participants : Choisir un bonbon rouge dans un bol contenant un bonbon rouge sur 10 bonbons, ou choisir un bonbon rouge dans un bol contenant 8 bonbons rouges sur 100 bonbons. Les participants savait rationnellement que les probabilités était meilleur s'il tirait au hasard dans le bol contenant un bonbon rouge sur 10. Pourtant plusieurs estimait que leur chance était meilleur s'il serait dans l'autre bol. C'est un conflit entre ce que l'ont sent et ce que l'ont sait. Selon Epstein, les deux systèmes de pensée sont parallèles et peut agir de manière conjointe ou conflictuel. On estime donc que Freud avait fait fondamentalement raison de poser le postulat de l'existence de plus qu'un processus cognitif.

Chapitre 4 p.102-110 LA PSYCHOPATHOLOGIE Selon Freud, les processus psychologiques détecter chez ces patients étaient fondamentalement

les mêmes que les processus psychologiques des gens qui n'avaient pas de névrose. Ainsi, ces analyses sur la pathologie font partie intégrante de sa théorie générale de la personnalité. Les types de personnalité Un des aspects de la conception freudienne de la pathologie concernait le développement. Pourquoi une pathologie apparaissait chez l'individu et pas un autre? C'est lié au stade psychosexuel. À tout stade, le développement des pulsions peut connaître des ratés, des fixations. Il y a fixation c'est l'individu trop peu de gratification pulsionnelle, il va craindre de passer au stade suivant. S'il obtient trop de gratification, il n'a pas d'incitation à poursuivre son développement. L'individu cherchera à tenir dans sa vie adulte le type de gratification qu'il était opportun de tenir un stade antérieur. La régression est un phénomène développemental lié à celui de la fixation. L'individu cherche à retourner à un mode de gratification antérieur un point de fixation antérieure. Elle apparaît souvent en situation de stress. Exemple, beaucoup de gens sans pire, film ou boire trop d'alcool uniquement lors des périodes de frustration ou d'angoisse. Le caractère de type oral résulte d'une fixation au stade oral. Se caractérisent par une préoccupation du fait de prendre et de recevoir. Les personnalité de type oral sont égocentrique, il ne perçoit les autres qu'en fonction de ce qu'ils peuvent lui offrir. Le succès = J’obtiens Le caractère de type anal prend son origine dans une fixation au stade anal. L'individu de ce type accorde aux excrétions un pouvoir symbolique considérable (exemple, appeler le bol de toilette un trône). Le caractère anal se reconnaît par un ensemble de trois traits (triade anal) : ordre et propreté, parcimonie et avarice, et obstination. Ces personnes éprouvent le besoin de faire régner l'ordre et la propreté (c’est une formation réactionnelle à l’intérêt porté au désordonné et à la saleté). La parcimonie et l'avarice correspond à l'intérêt qui le pousse à collectionner les choses (ça remonte au désir de retenir les fèces). L'obstination est liée à la résistance infantile (ne veut pas faire caca sur l’ordre d’autrui). Les personnes anal cherchent souvent à être maître des situations, avoir une emprise sur les autres, les dominer. (En gros, au stade anal il y a une lutte entre le plaisir de se retenir/relâcher et la lutte de pouvoir au sujet de l’apprentissage de la propreté. ) Le succès = Je contrôle Le caractère type phallique : La fixation a des répercussion différente chez l’homme et la femme. Chez l’homme, le succès= je suis un homme. Il doit nier toute suggestion de castration, doit manifester sa grandeur aux yeux des autres. Il doit affirmer sa masculinité et sa puissance. Le caractère excessif et exhibitionniste de ces personnes fait écho à l’angoisse de la castration. Chez la femme, on parle de personnalité hystérique plutôt que de caractère masculin. Enfant, pour se protéger de ses désirs envers son père, elle s’identifie de manière excessif à sa mère et à la féminité, emploie le charme et la séduction pour séduire son père, mais nie le dessein sexuelle. À l’âge adulte, elle attire les hommes avec la séduction tout en refusant d’admettre ses visées sexuelles. Les femmes de ce type idéalisent la vie, leurs partenaires et l’amour, les moments sombres de la vie les bouleversent. Le conflit et les mécanisme de défense

Selon Freud, la psychopathologie est causée par les tentatives que fait l'individu pour satisfaire des pulsions qui ont fait l'objet d'une fixation à un stade antérieur de développement. L'individu va chercher à satisfaire ses pulsions sous des formes infantiles. Mais en raison de son association avec un traumatisme passé, l'expression de ce désir peut signaler un danger pour le moi et engendrer de l'angoisse. Il y a donc une situation conflictuelle, un désir donné un comportement potentiel évoque à la fois le plaisir et la douleur. Pour atténuer la douleur aux expériences de l'angoisse, les mécanismes de défense entrent en jeu. L'individu peut nier ses pulsions agressives et sexuelles où les projeter sur autrui. Si les mécanismes réussissent, l'individu ne tient plus ses pulsions pour sienne, il éprouve ainsi moins d'angoisse devant l'interdit. Si les mécanismes échouent, l'énergie associée aux pulsions inconscientes peut s'exprimer dans des symptômes pathologiques. Le symptôme représente l'expression déguisée d'une pulsion refoulée. La nature du mécanisme de défense demeure inconscient. En résumé, selon la théorie psychanalytique freudienne, les troubles mentaux se caractérisent par un conflit entre une pulsion ou un désir et la défense du moi contre celui-ci en vue de diminuer l'angoisse signalant aucun danger s'ensuivra si le désir est exprimé. L'individu essaie de contrer l'angoisse qui constitue l'aspect douloureux de ce conflit en recourant à des mécanismes de défense. Mais si le conflit devient trop intense, ces mécanismes peuvent engendrer des symptômes névrotiques ou déboucher sur le retrait psychotique de la réalité.

LE CHANGEMENT PSYCHOLOGIQUE Comment les changements psychologiques se produit-il? Par quel processus la modification de la personnalité survient-elle? Selon la théorie, le développement normal de la personnalité humaine a lieu lorsque le niveau optimal de frustration est maintenant. Lorsque la frustration est trop faible ou trop fort à un stade de développement, la personnalité ne se développe pas normalement et on assiste à l'apparition d'une fixation. Comment peut-on interrompre le cycle répétitif et poursuivre le développement? L'exploration de l'inconscient : association libre et interprétation des rêves En thérapie, le principal défi est d'acquérir une compréhension profonde de la psychodynamique aux difficultés présentées par le patient. La méthode utilisée par Freud est l'association libre. Le patient est encouragé à faire part à l'analyste de tout ce qui lui vient à l'esprit. Freud s'intéresse aux associations libre que le patient faisait dans le contenu de sa vie quotidienne mais aussi dans le contenu de ses rêves. Les rêves fournissent des éléments de compréhension sur les désirs inconscients. Grâce à l'association libre, on peut dépasser le contenu manifeste du rêve pour atteindre le contenu latent. Au départ, il croyais qu'il suffisait de rendre l'inconscient conscient pour que s'opère le changement et la guérison. Ils s’est ensuite rendu compte qu'on ne pouvait pas se contenter de mettre au jour les souvenirs enfouis. Les patients ont besoin d'acquérir une compréhension émotionnelle de leurs désirs et conflits. Pour effectuer un changement thérapeutique, il faut s'attaquer aux émotions et au désir auparavant inconscient et faire face à ses expériences douloureuses dans un cadre où le patient se sent en sécurité.

Si le trouble provient d'une fixation à un stade, le patient et utilisera sa cure psychanalytique pour poursuivre son développement. Si le patient utilise son énergie à des fins défensives, la psychanalyse consistera à redistribuer son énergie afin que le patient en m'investisse davantage dans les activités plus gratifiantes. Si le trouble a trait aux conflits aux mécanismes de défense, la psychanalyse va viser à atténuer le conflit et à libérer le patient des barrières imposées par les mécanismes. Si le problème du patient et la domination par son inconscient est la tyrannie du ça, alors sa psychanalyse consistera à rendre conscient ce qui était inconscient et placer sous le contrôle du moi ce qui se trouvait auparavant sous la domination du ça et du surmoi. Le processus thérapeutique : le transfert On peut considérer la psychanalyse comme un processus d'apprentissage, le patient reprend le processus de développement interrompu lors de l'apparition de la névrose et le mène à terme. Le principe de base de ce processus consiste à remettre le patient en contact avec les situations affectives auxquelles il n'a pas pu faire face par le passé. La relation de transfert et le développement d'une névrose de transfert interviennent dans ce processus. Le transfert c'est le processus par lequel le patient acquiert envers l'analyste des attitudes et des sentiments éprouvés dans le passé à l'égard des figures parentales. Cela survient dans la vie quotidienne de tout un chacun et dans toutes les formes de psychothérapie. Cela s'opère d'une manière automatique et inconsciente. Par le transfert, le patient répète en thérapie ces interactions quotidiennes avec autrui et ses interactions avec des figures importantes du passé. Le transfert devient une force dynamique servant à changer le comportement. De nombreuses d'éléments du cadre analytique sont organisées de manière à favoriser le développement du transfert. Par exemple la position du patient allongé sur le divan invite au développement d'une relation qui n'est plus basée sur le modèle des interactions sociales. La fréquence des rencontres renforce l'importance affective de la relation analytique dans l'existence quotidienne du patient. Le patient en vient à investir émotionnellement dans l'analyste alors qu'il le connaît très peu, ses réactions sont donc presque totalement déterminé par son conflit névrotique. l'analyste est un miroir ou un écran vierge sur lequel le patient projette ses désirs et ses angoisses. Favoriser le transfert provoque l'apparition de la névrose de transfert. Dans ce cadre, le patient ne laisse libre cours à ses conflits intérieurs. Son but n'est plus de guérir, mais de tenir de l'analyste c'est donc il a été privé dans l'enfance. Au lieu de chercher le moyen de dépasser les rivalité, il cherchera à castrer l'analyste, plutôt que d'essayer d'être moins dépendant d'autrui, il cherchera à obtenir la de l'analyste qu'il satisfasse entièrement son besoin de dépendance. Le fait que ces attitudes se déploie dans le cadre de l'analyse va permettre au patient et à l'analyste de découvrir les aspects pulsionnelle et défensif du conflit infantile original et de les comprendre. Le changement survient lorsque le patient prends conscience intellectuellement et émotionnellement de la nature de ces conflits et il se sent libre de satisfaire ses pulsions avec maturité et libre de conflits. Le patient se retrouve face à ses conflits d'autrefois, pourquoi sa façon de réagir devrait-elle être différente cette fois? Le changement qui apparaît dans l'analyse est attribuable à trois facteurs.

1)Le conflit a moins d'intensité dans l'analyse qu'il en avait dans la situation première. 2)l'analyste adopte une attitude différente de celle des parents 3)le patient est plus âgé, à plus de maturité. Il peut donc utiliser des éléments de son moi qui se sont développées depuis pour faire face aux aspects de son fonctionnement qui sont restés sous-développés. C'est sur cela que s'appuie l'expérience affective correctrice.

Chapitre 4 p.128-132 L'ÉVALUATION CRITIQUE Les observations sont elle scientifique ? Une des caractéristiques les plus distinctifs de la psychanalyse et sa base de données. Freud a mis sur place une nouvelle forme d'observation scientifique, la technique de l'association libre, et c'est presque entièrement sur les données issues de cette technique qu'il a fondé sa théorie . Beaucoup de scientifiques lui reproche de s'être basé exclusivement sur cette technique. L'observation clinique des patients peut constituer un point de départ utile pour une théorie, le problème c'est que Fred la considére à la fois comme point de départ et point d'arrivée. Il ne s'est jamais engagé dans l'observation standardisé, objectifs et reproductible qui caractérise la science. De plus, il y a deux limites à l'association libre. Cette base de données n'est pas diversifié, la clientèle de Fred était composée de groupe relativement peu nombreux de personne plutôt instruit qui vivait dans une ville particulière au centre de l'Europe. De plus, la collecte de données n'offre aucune garantie d'objectivité. La personne qui a observé qui in...


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