Letteratura Francese II-convertito PDF

Title Letteratura Francese II-convertito
Course Letteratura francese i
Institution Università degli Studi di Ferrara
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LETTERATURA FRANCESE II 23/09 Le thème de cette année sera la guerre. La littérature de guerre. Pourquoi la guerre ? Parce que la guerre, tout comme la vie, est l'un de thème le plus représentatif de la langue de violence surtout si on parle du XXème siècle qui est un siècle qui a forcément connu la violence de la guerre à travers la première guerre mondiale et la deuxième guerre. La structure culturelle est une structure née à travers un processus de création et de détachement. La guerre est l’un des éléments le plus présent dans la littérature. Même dans la bible. D'un point de vue anthropologique la guerre est un moteur narratif très poussant, important. Qu’est-ce que c’est la guerre ? Une tentative de s’imposer sur les autres. Élément essentiel : la guerre existe seulement lorsqu’on a deux éléments : moi et toi. La présence d’autrui. La guerre est différente par rapport aux autres choses parce qu’il y a deux éléments qui sont moi et toi par exemple, qui sont très différent par rapport au pouvoir, par exemple, mais la différence principale c’est qu’une personne veut détruire l’autre et pas l’aider par exemple. Quel est la différence entre assassinat et guerre ? (esempio di uno che uccide un altro e sono soli in una stanza) la différence est que s’il n’y a pas une collectivité donc il n’y a pas la guerre. C’est une action collective dont la finalité est la destruction d’une autre collectivité. Dualité entre deux collectivités, entre deux systèmes. Résumé : dualité ente deux collectivité, une autre collectivité qui répond au nom détruit, action violente qui a comme premier but la destruction de l’autre ; un fait global et total. Le thème de la guerre touche aussi d’autre thème qui sont : l’attende, la guerre est aussi une question d’attendre quelque chose ; est une question d’espace, vision de l’espace différente, temps, volonté d’agir, peur. Donc la guerre est quelque chose qui nous donne un ‘idée de collectivité mais au même temps volonté, peur, attente sont des catégories qui concernent le sujet au singulier. La littérature de guerre donc nous permet d’avoir une vision subjective et collective de la réalité. Avec la guerre on peut voir un sort de rupture du quotidienne. Avec la guerre il y a la suspension du quotidien. On bouleverse la règle du quotidien et on crée la règle de l’anti-quotidien qui est un antiquotidien collectif. Lorsqu’on est en guerre chaque sujet doit déposer sa propre liberté d’homme pour devenir un mécanisme qui va agir à l’intérieur d’un macromechanisme qui a des règles qui sont les règles de l’anti-quotidien. La guerre même si est perçue comme quelque chose lointain de l’homme, d’autre part est quelque chose qui appartient à l’homme, qui est enraciné à l’identité de l’homme. Jung à partir de l’idée de la définition de subconscient collectif créé une liste des images qui sont récursive pour L’histoire de la littérature : les archétypes (images recourantes qui organise la façon de raconter, d’utiliser le langage de l’homme. L’un des archétypes c’est la guerre. Le thème de la guerre est strictement lié au langage ; on vit la guerre mais aussi on a une perception de la guerre. Quel est la différence entre réalité et perception de la guerre ? La perception change la réalité. Exemple : deux soldats qui doivent combattre la même bataille, Mais le premier soldat fait partie de l’aviation survolé le camp de bataille avec son avion et doit mitrailler l’ennemie par son avion, il verra la bataille à travers le viseur ; le deuxième soldat doit marcher pour des heures et il va décrire la bataille comme l’autre soldat. Ils auront deux différentes visions de la bataille. La perception est un thème qui est essentiel pour parler de littérature parce que la littérature n’est qu’un grand mécanisme de perception.

Souvent les histoires de guerre sont écrites à la première personne. Avec la guerre il y a l’élément du témoignage direct par les soldats. Le témoignage existe parce qu’une personne veut raconter sa vérité qui doit devenir La vérité. Pourquoi le récit de guerre est un récit qui a un tel besoin de vérité ? Lorsque la guerre est terminée les personnes qui ont survécus ont besoin de revendiquer le fait d’avoir échappé à cette …. À la fin de la guerre on retourne à notre temps et on commence à écrire, d’un temps passé et on essaye de reproduire cette réalité pour dire “ma vérité est quelque chose qui est arrivé à survivre à cette volonté de destruction totale”. Dans la même pensée de Jung, il y a George Dumezil, un historien de religion qui a étudié les religions de tous les populations indo-européennes et il soutient que l’imaginât culturelle d’esux à été construit à partir d’une structure qui est fait en trois fonctions : magique, de la guerre et économie, production : ils sont à la base de toutes culture indo-européenne. La deuxième fonction, la militaire, dit que la guerre appartient à un espace liminaire de la société (che sta ai limiti, ai confini), fait partie de quelque chose qui est lointaine mais eu même temps fait partie du social. Les anthropologues, les sociologues pensent que la guerre est perçue toujours comme un moteur puissant mythopoïétique, de narration poétique. -La première guerre mondial c’est une guerre de tranchée. La littérature qui représente la guerre sera une littérature fortement animée par des images qui sont tout à fait des images physiques. Dans les tranchées tu ne peux pas voir ce qui se passe au-delà de la tranchée. Beaucoup de narration concerne le “sentir avec les oreilles”, les sons e pas la vue. Il y a aussi une surexposition sensorielle. Souvent l’idée de la guerre décrite par les décrivant de la première guerre mondiale est une idée qui voix la physicite de la guerre et au même temps on a une surexposition sensorielle. Les descriptions sont, donc, désorganisées. 24/09 Collectivité de la guerre. Tous les soldats. Doublement entre un sujet collectif et un sujet de solitude. Les anthropologues Marcel Mauss, Max Durkheim et Claude Lévi-Strauss ont défini la guerre comme un fait social global, un fait réalisé par une collectivité. Une guerre est une guerre être deux cultures. Lorsqu'on est en guerre, la guerre concerne toute la société. Il y a un décalage entre le temps du quotidien et les lois, le temps de la guerre. La guerre a sa propre loi qui se superpose sur les lois du quotidien. Il faut sortir de la guerre pour récupérer les lois du quotidien. Le fait social de la guerre concerné tous les aspects des hommes. Global parce que concerne tous les aspects de la vie. SLAUZNKA DRAKULIC dit que la guerre c’est un SUBSTANTIF COLLECTIF. On doit considérer trois aspects : • • •

Aspect de la société L’histoire La psychologie

La guerre est faite à travers les corps. Détruire quelqu’un signifie détruire son corps. Selon Levistrauss parle de l’aspect physique. Deuxièmement l’aspect de la violence, la haine, le nuit, etc… il faut considérer la guerre comme animal caméléon, (si mimetizza) liée à sa propre culture, une guerre ne peut pas se rapprocher à une autre guerre. Selon Klausevitz ? la guerre à la capacité de se réarticuler selon des situations historiques. Tout guerre est à soi mais si je pense sa alors je dois m’arrêter là. De l’autre part la guerre (coinvolge) tout l’humanité.

Mais si chaque guerre est différent on ne peut parler de façon générale, mais de l’autre part la guerre a des lois communes. Selon les théories de Freud et Yung, l’esprit est divisé en deux parties : le conscient et l’inconscient. La première contienne des mémoires que nous pouvons évoquer. La deuxième concerne une partie cachée, contienne toutes les pensées et les mémoires de que je me ne souviens pas et qui joue en grand rôle dans notre comportement. Selon Jung, l’inconscient est divisé un deux parties : personnelle qui est unique à chaque personne et il est influencé par nos actions quotidienne, et de l’autre part le collectif, qui est partagé entre tous les humaines. Par exemple la peur. Les archétypes : la peur, la vie, le désir et aussi la guerre. Ces sont des thèmes communs à tout l’humanité. La guerre représente la société qui la crée et au même temps elle est au dehors de la société La Grande Guerre Elle a impliqué des puissances européennes et puis elle s’étendue aux autres pays. 1914-18. Guerre brève mais qui a (causato più morti di tutte le altre guerre). 28/06/14 assassiné de Francesco Ferdinando. Les pays ont des colonies au dehors de l’Europe. Destruction jamais vue auparavant. 10 millions de civils et de militaires et environ 20 millions de blessés. (Comme Cendrars (la main coupée) il écrit à sa main gauche.) La structuration des combats Se déroule sur différents fronts, en Europe, en Asie, en Afrique. En Europe au front de l’ouest il y a des tranchés. 600km à l’est et ouest. Qui joue un rôle tactique sont le ballon fixe ou le dirigeable. On peut regarder tous les ennemis. Aussi les véhicules blindés qui ont la possibilité d’apporter les médicaments pour les blessés. Les tranchées allemandes sont en peu plus vivables, ils ont décidé de les bétonner (renderla impermeabile). Les tranchées sont séparées par des no mans land. A la fin de la guerre la France a (sparato) 150 millions des (cannonate) en quatre ans. 70% des morts (e dovuta all’artiglieria pesante). Les avions Zeppelin (dirigibili). La première guerre verra l’utilisation des armes chimiques. 1914 le troupes Français utilisent le gaz (lacrimogene) et les allemandes utilisent le clore. Il y a la naissance des masques anti gaz, aussi les chiens porte la masque anti gaz. Le clore est terrible parce que range le partie vive du corps après quelque jours. Les soldats meurent de douleur. La technologie permet de décider le déroulement de la bataille. 6 millions de morts par jour et une grande partie sont français. Paths of glory – seq Trincea e attacco (1a parte) VIDEO YOUTUBE Le capitan regard l’horloge pour donner le signal selon une stratégie précise. Le coup vient du ciel. Pour la première fois on commence à avoir une aviation. Les soldats ne peuvent pas regarder rien. On n’a pas la vision directe des objets, l’horizon est caché par les barbelés et par la fumée qui s’élève à cause de coups. Le soldat seul ne comprend rien de la bataille, mais le collectif est comme s’il avait une pensée à soi. Le système avance et appliqué la stratégie qui est connue seulement par le capitan. Il dirige une collectivité formée par individuels. Il y a un surchargement des bruits mais aussi de sensations.

Guerre cubiste : développé dans la même année de la guerre. (Guernica – Picasso).

La première partie est une longue perspective à l’intérieur des tranchées. Tous les soldats ont une vision empêchée, ils attendent le signal du capitan. C’est un guerre de position, faite de très longs attentes. Les tranchées est un sortie de Min 1:02:00. Ils devront vivre à côté de rats, de maladies. La deuxième partie, la bataille. Le capitan siffle toujours pour donner le signal et les soldats doivent simplement suivre le signal.

B. Cendrars, La main coupée et autres récits de guerre, Denoël Il a participé comme volontaire à la guerre, et il a été naturalisé français. Son vrai nom : Il décide de s’appeler comme ça parce que le nom contient le mot cendra (cenere). Cendra comme l’araba fenice) qui per (rinascere dalle sue ceneri). Le pouvoir de 1:23:30 est plus fort de la mort. Il est un poète. Il écrit la transsibérien. Le livre est divisé en deux parties : 1. J’ai tué Première chose, J’ai tué présuppose un MOI, une personne qui ne raconte une action. L’action de tuer est une action de détruire, de violence et donc le thème principal c'est la violence qu’il a fait à une autre personne. Il a survécu à cette violence. Avec la mentalité de guerre on comprend qu’il a tué mais qu'il a gagné. Avec notre mentalité il est coupable d’avoir fait ça. Si le soldat tue pendant la guerre il devient un héros. •

‘Ils viennent de tout horizon jour et nuit…’

Nous ne savons pas qui vient. Il y a une collectivité sans nom, une collectivité énorme. Il s’agit d’un langage très ponctuel, il semble un télégramme. Language qui parle continûment d’une multitude. (Le frasi sono telegrafiche, ci fanno capire che siamo in guerra.) •

“Le soir nous traversons la ville déserte”

Opposition entre une quantité d’homme qui arrive et tout d’un coup la ville déserte. •

“dans cette ville il y a un hôtel vide, c’est…”

Ville déserte, grand hôtel, cartier général, 30/09 Première guerre mondiale, il écrit au passe, souvenirs de guerre, il nous raconte la guerre et il nous dit qu’il a tué. Dans le système de la guerre tuer n’est pas quelque chose dont on se sent coupable. (Céline – voyage au bout d la nuit.) Apollinaire exalté la guerre par exemple. On verra la position de Cendras. “ils viennent…” Pour la première fois, les blessés sont IRRICONOSCIBILI (problèmes identitaire). Problème identitaire face à la multitude, mais aussi face à la singularité. (Anna Coleman Ladd’s studio for….. – elle redonne identité à des jeunes blessés. Après la guerre, le Moi singulier reprend identité face à le Moi collectif) ils sont blessés pour Les balles, poue les CANNONATE. La chirurgie plastique devait opérer sans anesthésie. La médicine et la chirurgie sont complètement bouleversés par la guerre. Ils devaient forcément amputer pour éviter les virus.) On a une opposition entre multitude qui arrive (liquide des hommes) et tout suit il y a une ville déserte et silencieux. Il y a le cartier général, où toutes les décisions sont prises. Il y a une espèce d’attente (chauffeurs qui vont partir). Il y a une villa qu’on ne voit pas trop bien. (Une tâche blanche)

“la route passe… et on marche” On impersonnel, donc “group”. ‘Les bruits des milieux de pas” Image de la lourdeur de pas. Les personnes bougent de la même façon. Un seul corps formé par tous les hommes qui marchent et qui font des choses. Dans la Villa vive “le plus grand général de la France”, Opposition : hommes qui font des bruits, qui marchent et le silence de la Villa. “machine à prier” ironie vers la mécanisation de la guerre, il utilise “les logarithmes”. Ils ont fait une guerre sans savoir où aller, sans avoir une stratégie utile, efficace. Le général décide par hasard ou envoyer les soldats. La sporcizia. Il fango sarà uno dei temi centrali della letteratura sulla guerra Puis, on passe de la description du corps militaire, du corps humain et on parle du matériel. “Les camions ronflent”. La description des objets est humanisée. On passe du silence de la Villa à l’avion qui s’élève et la bataille commence. On commence une espèce d’image hallucinée. Superposition des sensations, perspective visuelle empêchée et surabondance de bruits. Language éclaté. Phrase avec sujet+verbe, très bref. Le luci danno un effetto che assomiglia allo sbattere le palpebre. Sembra che stiano scattando delle fotografie. Description cubiste de la bataille (buchi neri delle trincee, mare fosforescente). Thème important : ATTENTE. Mais lorsqu’on attende, les avions commencé à BOMBARDARE Puis il y a l’aube, et ils voient la “terre mort”. Persino le pietre sono sofferenti. Cendras humanise les objets. On donne une identité animale : miagolamento folle del 75, l’ansimare del 240, la trottola che ronfa del 155. Il y a de sons qui sont de sons males et femelles. La technologie devient un véritable personnage dans le texte, elle est très poussante. Beaucoup de fois la multitude est plus important de l’individu. La descrizione degli aerei e dei rumori da una parte fa paura dall’altra sembra essere vista come qualcosa di grandioso. Una bocca grande dalla quale cadono parole incomprensibili, inarticolate, enormi come balene. Il y a l’ “on” contre le “ cela”. La cosa da bestiale passa a diventare umana, poetica che ha una cadenza ritmica. Musique de sphère : dans la philosophie de la renaissance, les philosophes parlent de pitagore qui pour première a parlé de musique de sphère. Gli astri muovendosi creano la musica che muove tutto il mondo. Ascoltando la musica delle sfere siamo in armonia con il cosmo. Fontana - JEU D’EAU– Calligrames di Apollinaire. Les calligrames sont des poésies qui prennent la forme des choses, des animaux des objets. Gli aerei che combattono sono il respiro del mondo. Puis pour la première fois il y a le “JE”, per iniziare a parlare dell’io, Cendras si deve trovare all’interno di un discorso poetico e non di un combattimento. All’inizio si trova con gli altri soldati, non può essere la persona singola, il poeta. Il marche il assiste à la bataille, puis il entende les avions mais au

moment où les avions lui rappelle un Langage poétique, dans le moment où la poésie arrive alors il retrouve soi-même et il devient Cendras. I suoni animaleschi diventano, attraverso la poesia, il petto di una donna che respira, immagine seducente. Lui pensa una poesia di Baudelaire. Siamo all’interno di un sistema di “poetizzazione” del linguaggio. Citazione evidente opposta alla citazione velata di Apollinaire. cette vision est interrompu par le sifflet d’argent qui signifie qui l’attac commence. 02/10 On est passé de la description de la marche des soldats qui vont au lieu de la bataille. Langage disphorique au début du texte. La lourder du langage. La bataille est quelque chose de très physique. On commence à percevoir le corps. Élément physique Les personnes qui occupaient une (posizione di spicco, sono licenziati alla fine ) La bataille n’est pas encore la guerre des corps mais, au début, c’est la guerre de la technologie. Puis, Cendras nous communique une sorte de fascination de la guerre. Il arrive à nous décrire le combat comme une bouche énorme qui parle un langage au début incompréhensible, ma depuis un langage de condition animal à une Langage humaine, un langage qui pour lui est bien connu, qu’est la façon la plus haute de parler de quelque chose. La bouche parle par “terzine”, et Cendras fait l’exemple de Baudelaire et de sa poésie. Lorsque le langage poétique entre dans le texte, Cendras retrouve sa subjectivité. Il prend parole en tant que poète. La poésie change de temps dans le sensé que la guerre représente un univers différent par rapport au quotidien. Mais encore un fois, le sifflet, fait revenir Cendras à l’univers autre de la guerre. Le texte est construit sur des perceptions sonores. Lorsque la guerre reprend le JE retourne ON. Encore un fois le thème de la peur ; dans le chaos de la bataille il y a plus de chef, le règles de la bataille ne sont plus humaines. “il y a plus des bleuf?” MAIS la bataille nous révèle la vérité. Description de ce que les soldats font. Peur ! Les soldats se sentent martyrisés comme le christ. “on est entouré …” encore une fois le ON “Une peur insensé” Thème de l’éclat de la nature détruite ? la nature participe de la destruction de la guerre. “il faut traverser de feu de barrage” (si vedono membra che volano per aria. Ici il y a le thème du corps. ”Des membres volet en l’air”. On passe au JE lorsque le sange (sangue) arrive sur le visage de Cendras, le shock est tellement grand que le soldat reprend conscience de soi. Depuis le shock il y a plus le JE mais l’ ON. “paquet de chiffonnier”: pacchetti di stracci. lo chiffon è lo straccio. Chiffonnier : straccivendolo. Le corps sont vus comme des paquets de chiffonnier. Identité des morts indécentes. Paragona i morti a qualcosa che era legato all’epoca alla mancanza di dignità. C’est la guerre qui est indigne clairement, pas les morts. “poubelle”: pattumiere Thème du corps, devient indécent (pentole riempite di qualsiasi cosa di cui non si riconosce il contenuto). On voit un regard bouleversent par rapport au thème de la mort. Généralement c’est un

thème héroïque. La mort ici n’a rien de valoreu (valoroso), il y a une représentation qui nous fait rapprocher les morts à des animaux qui doivent être tués et mangés. “il y a les morts ridicules”. Morti immobili, come mummie, che fanno la loro rappresentazione di Pompei. Non c’è mai una rappresentazione della morte che sia degna. Le JE retourne, il aura détacher la tête d’un soldat allemande. Titre : J’ai tué. Singularité de l’homme au moment où il va faire une action terrible, qui pour lui c’est la première action de mort qu’il va faire. Il y a le shock encore un fois. A partir de ce moment, pour 15 lignes, il parle...


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