Madame Bovary, résumé Partie III PDF

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quelques chapitres résumés de la Partie III ...

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Résumés Madame Bovary

Partie III

Chapitre I - Le lendemain de l’Opéra, Emma et Léon se revoient à l’auberge où les Bovary ont couché, dans le quartier Beauvoisine o Léon fait croire à Emma qu’il a été guidé par instinct jusque son auberge, qu’il avait cherché dans tous les hôtels du coin pour la trouver o Il est content qu’elle aie choisi de rester mais elle répond avoir peur de faire un caprice « quand on a autour de soi mille exigences » « Oh ! je m’imagine » « non, car vous n’êtes pas une femme » o Emma dévoile la misère des affections terrestre et Léon explique (à tord) à quel point il s’est ennuyé à Paris « elle ne confessa point sa passion pour un autre ; il ne dit pas qu’il l’avait oubliée » o Léon dit penser à elle devant une sculpture de Muse dans une boutique ou lui écrire tant de lettres qu’il déchirait ensuite o Emma dit qu’elle a failli mourir de tristesse, ce à quoi Léon répond qu’il a, un soir, rédigé son propre testament et voulait se faire enterrer o Puis Léon dit enfin « Parce que je vous ai tant aimé » o Ils se rappellent des souvenirs, des promenades, des moments précis etc o Ils se prennent les mains, Léon propose de tout recommencer mais Emma refuse, disant qu’il a la vie devant lui et lui présentant les impossibilités de leur amour - Léon souhaitant la revoir une dernière fois avant qu’elle ne parte, ils se donnent rendez vous à la cathédrale à onze heures o Elle lui écrit une lettre dans laquelle elle dit que leur amour est impossible et qu’ils doivent s’oublier mais n’ayant pas son adresse, elle décide qu’elle la lui apportera le lendemain o Léon est vraiment content de ce rendez-vous, il se prépare bien, est en avance, achète des fleurs o Emma arrive enfin dans l’église, lui donne la lettre et se met à prier, elle accepte la visite guidée du suisse o Léon, au bout d’un long moment, prend Emma et s’enfuit avec elle - Il appelle un fiacre et s’en vont o Emma n’aime pas ce comportement o Ils se baladent dans Paris en fiacre, traversant de nombreux endroits « pont neuf, statue pierre corneille, la place des arts, quai Napoléon… », ils firent le tour de Paris et ne descendirent pas - Lieu : l’église o « les voûtes s’inclinaient pour recueillir dans l’ombre la confession de son amour ; les vitraux resplendissaient pour illuminer son visage, et les encensoirs allient brûler pour qu’elle apparût comme un ange, dans la fumée des parfums » o Le Suisse de l’église : lui propose une première fois une visite et s’indigne devant cet homme, Léon qui ose visiter seul pendant un long moment - Léon o A Paris, il fréquentait la Chaumière, où il rencontrait de belles jeunes filles auprès desquelles il avait beaucoup de succès o Les filles l’appréciaient car elles lui trouvaient un air distingué ; les cheveux ni trop longs ni trop courts ; il ne dépensait pas tout son argent du mois en un jour ; et ne faisait jamais aucun excès o De temps en temps, il lui arrivait de penser à Emma mais cette pensée était rapidement ensevelie par d’autres préoccupations = au final, il ne pensait pas tant à elle que ça o Mais sa passion pour Emma se renflamma quand il la vit à nouveau o Depuis qu’il était à Paris, il était moins timide, mépris de la province, à l’aise, sûr qu’il éblouirait

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Partie III

Dans la cathédrale, son amour pour Emma semble se figer à l’image des pierres, et de peur qu’il ne s’envole, décide de prendre Emma par de bras et de s’enfuir

Emma o Jamais aucun homme ne lui avait paru si beau, elle sentait une invincible envie d’y porter ses lèvres (à sa joue rose)

Chapitre II - Au retour à l’auberge, Emma voit que Hivert ne l’avait attendu que 53 minutes et était parti sans elle. Elle savait que rien ne l’empêchait de rester mais elle avait dit à Charles qu’elle serait de retour ce soir là et il allait l’attendre o Elle fit sa malle, et rattrapa en diligence l’Hirondelle au niveau de Quincampoix - Félicité l’attendait et la presse chez M. Homais o Description : la pharmacie avait un tas beaucoup plus gros de confitures o Quand elle rentra dans la pharmacie, tout était en désordre : scandale, Justin était entré dans le capharnaüm o Homais s’emporte car Justin s’est approché d’une bouteille d’arsenic, il pète un câble car il aurait pu tous les empoisonner, « age quod agis »  fait ce que tu dois faire et rien d’autre ; « voilà comment tu reconnais les bontés qu’on a pour toi », il compare Justin à une bête o Homais dit alors de manière sèche que son beau-père est mort « d’une attaque d’apoplexie, au sortir de table » - Emma rentre chez Charles, celui-ci la prend dans ses bras et l’embrasse, elle se retire « le souvenir de l’autre » o Il lui montra la lettre où mèreBov contait l’histoire, sans « hypocrisie sentimentale », elle regrettait qu’il n’ait pas reçu les sacrements religieux, il était mort à Doudeville, dans la rue, au sortir d’un repas avec d’anciens camarades officiers, à l’âge de 58 ans o A table, Emma tente de formuler quelques questions pour montrer un intérêt quelconque, Charles s’inquiète sur le futur de sa mère o Emma : « il lui semblait chétif, faible, nul, enfin être un pauvre homme, de toutes les façons. Comment se débarrasser de lui ? Quelle interminable soirée ! » o Hippolyte vient déposer les bagages d’Emma, Charles (honteux) le paye un patard o Charles fait une remarque sur la beauté du bouquet violet d’Emma, qu’elle dit avoir acheté à une mendiante - Mère Bovary arriva le lendemain, ils pleuraient beaucoup, Emma disparut o Affaires de deuil o Charles s’étonne d’éprouver autant d’émotions alors qu’avant il s’en foutant, mère Bovary pensait que même les pires jours étaient enviables, Emma pensait à Léon - Visite de M.Lheureux o Emma et lui vont à l’écart o Il évoque les ‘difficultés du couple’  les bagages de voyage o Il lui propose des affaires, en ces temps sombres (après avoir félicité pour la ‘succession’) « elle ne comprenait pas » o Suite à cela, Emma demande à Charles de pouvoir avoir des droits de signature de billets et tout, et prétendant l’infidélité des notaire, elle part rendre visite à Léon pour ‘avoir un avis professionnel » - Homais o S’emporte contre Justin  il n’a pas le droit de posséder de l’arsenic, c’est trop dangereux o « il citait du latin, tant il était exaspéré » o « roulant des yeux, suffoqué, tuméfié, apoplectique » o Il est question d’un livre, écrit par un médecin, qu’Homais refuse que ses enfants touchent

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Partie III

Chapitre III - Emma passe trois jours à Rouen en compagnie de Léon « ce furent trois jours pleins, exquis, splendides, une vraie lune de miel », ils descendaient à l’hôtel de Boulogne, volets fermés, fleurs par terre et sirop de glace dès le matin, puis le soir allaient dîner sur l’île - Ils amarraient au milieu des bateaux, allaient dans une salle basse de cabaret, ils se couchaient sur l’herbe, ils s’embrassaient sous les peupliers… ils voulaient vivre là toute leur vie ensemble et seuls - « comme si la nature n’existait pas auparavant, ou qu’elle n’eût commencé à être belle que depuis l’assouvissance de leurs désirs » - Ils rentraient sur leur barque, elle chantait - Tandis qu’ils parlent, Léon dit qu’il a croisé un certain ‘Dodolphe’ en affaire quelques jours avant, elle eut des frissons - Les adieux furent tristes, ils se promettent de s’écrire par le biais de la mère Rolet Chapitre IV - Léon se perdait dans son travail et ne pensait qu’aux lettres - Un samedi, il s’enfuit de son étude et partit pour Yonville, il fut chaleureusement accueilli par Madame Lefrançois, et après avoir fait quelques tours de la maison, il se décida à toquer à la porte de Bovary o Discussions avec Charles, qui ne bougea pas de la soirée, et il ne vit Emma seul que le soir derrière la ruelle « -dans la ruelle comme avec l’autre » o Leur séparation était intolérable - Emma acheta des rideaux, un tapis, elle fut prise d’une grande ardeur musicale o Elle jouait quatre fois la même chose, pendant plusieurs jours et Charles applaudissait, ravi ; Emma cependant n’est pas satisfaite o Elle demande des leçons de piano, mais elles sont trop chères o « mais, lorsqu’elle passait auprès [de son piano] (si Bovary se trouvait là), elle soupirait », on la plaignait aussi o Homais pousse Charles à accepter, citant Rousseau ‘les femmes doivent faire l’éducation de l’enfant’ et disant que ce serait un avantage économique, Emma pourrait apprendre la musique à Berthe o Emma dit qu’ils n’ont cas vendre le piano, mais il refuse « une leçon de temps à autre ne serait pas trop ruineux » « mais les leçons, ne sont profitables, que suivies » - « et voilà comment elle s’y prit pour obtenir de son époux la permission d’aller à la ville, une fois la semaine, voir son amant »...