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Fiche de lecture sur le livre Surveiller et punir de Michel Foucault...

Description

LAURA SORIA SEGARRA

Michel FOUCAULT, Surveiller et punir : Naissance de la prison

Introduction : Michel Foucault était un philosophe français né à Poitiers le 15 octobre 1926 et décédé le 25 juin 1984 à Paris. Intéressé en psychologie, psychiatrie, sexualité et le système pénal il a été dans le Centre universitaire expérimental de Vincennes et titulaire d’une chaise au Collège de France. Cet ouvrage de recherche adresse des thèmes d’histoire politique et culturelle en donnant un point de vue personnel sur le système pénitentiaire. Dans le livre on trouve quatre grandes parties : Supplice (p.9-41) avec deux chapitres, Punition (p.87-123) avec deux chapitres, Discipline (p.159-228) avec trois chapitres et plusieurs sous parties, et Prison (267-343) avec trois chapitres. Au milieu il y a des illustrations variées entre les pages 168 et 169. Le livre fait une analyse du système punitive depuis le moyen âge jusqu’à aujourd’hui. On peut résumer la problématique cet ouvrage avec les mots de l’auteur à la fin de la deuxième partie du livre « Comment le modèle coercitif, corporel, solitaire, secret, du pouvoir de punir s’est-il substitué au modèle représentatif, scénique, signifiant, public, collectif ? »1

Résumé des chapitres : Chapitre I : La punition généralisée Le premier chapitre de la deuxième partie se centre sur la manière de punir pendant les années qui passent. L’auteur analyse comment les peines ont

1

Michel FOUCAULT, Surveiller et punir : Naissance de la prison, Paris, Gallimard, 1993,

360p.

LAURA SORIA SEGARRA évolué du XVII au XVIIIème siècle. Au commencement punir était plutôt un plaisir de ceux qui avaient le pouvoir mais après cette période de temps on voit un changement des peines au fur et à mesure que les lois changeaient. Comme les lois donnait plus et plus de droits et libertés les notions de plusieurs types de crimes ont apparu (crime passionnel, involontaire et irréfléchi). Même si on voit une évolution le criminel reste toujours comme l’ennemi de la loi et de la société. Dans ce chapitre l’auteur décrit aussi la relation entre crime et peine at les réformes faites aux peines pour les faires plus humains. Chapitre II : La douceur des peines Dans ce chapitre on voit plus spécifiquement comment les peines vont devenir plus douces. Elles vont passer de l’arbitrerait à l’humanité pour montrer l’évolution de la justice et la liberté.

On va passer de la punition corporelle aux travaux à perpétuité. L’objectif est de transformer l’homme. Mais l’idée d’une prisions donne à la pensée de tyrannie et cela provoque que pour la monarchie, punir était une manière de maintenir la terreur sur les gens. Conclusion : Cet ouvrage donne une analyse sur les institutions de pouvoir qui sont l’école et la prisions. L’auteur parle des deux institutions en ce qui concerne le genre administratif. Il montre une profonde recherche historique sur le sujet qui permet montrer comment ces pratiques ont évolué. Selon moi c’est clair que dans les deux cas des institutions, la prisions et l’école, sont un lieu ou ceux qui sont au pouvoir peuvent le montrer. Ce sont des lieux de discipline et contrôle. Pour montrer, dans les deux cas, ce qu’ils veulent que tu fasses ou que tu ne fasses pas. Pour enseigner et punir.

LAURA SORIA SEGARRA Pour moi c’était un livre un peu difficile à lire mais ça ma plu. Je suis intéressée a connaître le sujet et voir autres options sur le thème....