Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie 2019-2020 PDF

Title Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie 2019-2020
Course Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie
Institution Université Libre de Bruxelles
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Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie Partie Philippe FOUCHET BA3 Faculté des Sciences psychologiques et de l’Education

Année académique : 2019-2020

2019 – 2020

ASLANOV Vlada

Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie Examen : 1 question ouverte -

Répondre directement à la question : ne faut pas écrire tous ce qu’on a étudié → il y a plusieurs façons d’y répondre mais il faut choisir une seule ; faut réfléchir à une construction, sans nous répéter ; faut être synthétique !

CHAPITRE 1 - La perspective classificatoire On va analyser une perspective par reprendre les éléments fondamentaux de la psychopathologie d’aujourd’hui, cad celle construite dans une perspective classificatoire et on va tenter de repérer d’abord comment ça s’est construits (les éléments importantes) et quelles sont les implications que cette façon de concevoir la psychopathologie en a sur tous les individus (parce que la psychologie est forte présente dans la société, on en parle d’elle beaucoup ; c’est pas un champ exclus pour quelques personnes! Dans les médias on n’attend pas quelles sont les aperçus de la physique nucléaire par ex). La perspective classificatoire n’est pas limitée à une classification, car il en existe un certain nombre des classifications qui ont une présence organisatrice dans des institutions (classer des patients) et une présence importante au niveau de la recherche (recherche sur les populations cible concernant les troubles). D’une part la classification est produite par l’OMS (organisation mondiale de la sante), actuellement c’est la CIM 11 version du 2018 qui fait l’autorité (chapitre 5 des classifications internationales des maladies, chapitre 7 : troubles mentaux et du comportement). Et d’une autre part on a la classification qui existe dans le fameux DSM V, version du 2013 (manuel diagnostic et statistique des troubles mentaux) publie par l’Association Américaine de la Psychiatrie. Ce qu’on remarque c’est que la classification publie par OSM existe et fait l’autorité mais elle est moins connue et présente que le DSM publie par l’Association Américaine de la Psychiatrie. Sur quoi s’appuient ses classifications ? Quel est l’un des outils essentiels sur lequel ses classifications ont construit ses chapitres ? → Les statistiques ! Ce n’est pas seulement que c’est normal qu’on ait des cours des statistiques, mais comme toute la recherche de la psychologie s’organise sur base de cet outil, c’est sans doute indispensable de l’étudier. On a donc à faire dans cette perspective a une approche normative au sens statistique du terme qui convoque notamment la notion de norme statistique, cad la moyenne, et les écarts par rapport à la moyenne. Dans le champ de la psychopathologie c’est n’est pas tout à fait au hasard que la classification s’appelle ‘manuel diagnostique et STATISTIQUE’ ! 1

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Quand on dit ‘approche normative’ il faut garder à l’esprit qu’il existe PLUSIEURS sortes d’approches NORMATIVES, il y a différentes façons de construire une approche sur le normatif. Une manière c’est de s’appuyer comme précisé plus haut sur la moyenne et les ET (et un sujet peut entrer soit dans la norme au sens statistique du terme, soit dans des population écarté par rapport à la norme). Mais une autre possibilité, en termes d’approche normative, c’est de construire une classification sur base des normes sociales en vigueurs. Mais le problème c’est que les normes sociales c’est qqch qui bouge en fonction du moment qu’on les a produits ou du type de société où on se trouve, et l’une des particularités du monde dans lequel nous vivons c’est de produire de plus en plus une pluralité et une diversité des normes. Aujourd’hui, au fond, dans certaines espaces, on a la possibilité d’aller à l’encontre des normes sociales construits d’une façon un peu plus diversifiée que celles dans d’autre espaces où les normes sont plus monolithiques (c’est vrai à travers l’histoire et l’espace). Ses représentations sociales à valeur normative ont des effets, y compris sur le fait aussi de ce qu’on se représente comme la norme de qqn qui en peut être classé dans le pathologique et l’autre qui ne peut pas. Il est évident de distinguer ses deux types de norme, statistiques et socialement construites. Dans la société on est confronté à des discours comme ‘Il est normal que’, ‘il est évident que ça’, donc à des représentations normatives même si elles ne sont pas explicitées comme des normes, même présentes dans un espace démocratique de pluralité (comme BE). La pluralité des normes c’est le propre des régimes démocratiques et donc c’est ça qui fait que ses normes vont avoir des effets prescriptifs, vont s’imposer aux individus mais qui peuvent être aussi comme points d’appuis plus pluriels (elles vont amener les individus à ses positionner autrement que si elles étaient imposées à tout le monde). Quand on va aborder ses classifications et ses troubles, on va voir comment concrètement ce définit ses troubles, nous verrons qu’il n’est pas toujours évident de considérer que cette psychopathologie classificatoire repose uniquement sur des normes statistiques. Nous verrons que, dans un part important, ce sont des normes sociales qui structurent la définition même des certaines troubles. Ça nous amènera assez vite à percevoir la dimension politique de ses usages des statistiques au sens que finalement ce n’est pas juste un discours en dehors du social, mais c’est un discours qui influence le social, qui transforme le social, les individus, qui a des implications sur les individus, qui produits certaines normes. C’est un discours a valeur prescriptive même si ce discours se présente comme descriptif ! Elle fonction de manière prescriptive en proposant les normes pour la société ! Les discours psychologiques sur ce qu’il faut faire – il bouge avec le temps. Les psys sont là pour nous dire sur ‘Voilà comment il faut faire’ = les prescriptions mais qui se présentent comme des descriptions ! et en disant cela, ils offrent un monde des représentations sur comment il faut faire. Les psychologues contribuent à proposer des repères. Par exemple, a un certain moment les psys disent que dans l’éducation des enfants il faut laisser ouverte la créativité, la liberté qui puisse s’exprimer et puis a un autre moment il émerge un autre discours qui dit qu’il faut quand même cadrer, offrir des repérer à l’enfant ; et ça change et bouge avec le temps. Et au fond, à travers ceci, quand les psys parlent ce n’est ce qu’ils disent qui est important mais c’est le fait qu’ils le disent. Le fait qu’ils le dissent offre la possibilité de s’appuyer sur des repères. Les discours psy sont plus présent que l’astrophysique par ex. Ce genre de discours a valeur prescription ne sont pas nouveaux, avant la religion a eu cette fonction. Effectivement, si les religions dans des bons séries d’espaces sociaux sont devenu qqch important à protéger dans le privé (on offre la liberté à chacun de croire ou de ne pas croire), alors les espaces publics s’organisent sur autre chose, sur des discours psy en termes de création de norme. 2

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Finalement, la parole des psys vient se substituer au discours religieux sur ce qu’il faut faire dans la vie, comment il faut se comporter. Ça accentue encore plus fort le regard de discours politique dans la discipline psychologique. Donc il y a une place importante des stats dans la psychiatrie commence à se distingue de la neurologie mais qui se construit au départ sur des bases similaires qui font partie de toute une série de procédures diagnostique, thérapeutique, d’accompagnement de suivi qui parle finalement tous de l’institution (la même chose est valable pour la psychologie clinique). Mais qu’est-ce qui se passe à l’intérieur de ses cellules ? Comment traitons-nous les personnes internées dans des institutions psychiatriques ? Il y a une prévention de droit de la liberté. Les hôpitaux psychiatriques existent encore, les services de psychiatrie au centre de l’hôpital général ça existe encore, toute une série de postures psychiatrique ou des alternatives à la psychiatrie ça existe encore, de manière telle qu’au fond la psychologie s’est entendu sur le tout social. Aujourd’hui les enjeux de la psychopathologie sont plus limités à l’intérieur des institutions, mais c’est dans le social lui-même. Adolf QUETELET Quételet présente un programme de recherche des statistiques et de la naissance de la psychopathologie/ de la santé mentale. Elle consiste à « étudier les lois qui concerne l’espèce humaine » (c’est récente cette affaire-là). Aussi c’est un programme politique, donc les deux sont là en même temps parce que on essaie de penser au social en se privant de la fiction, et comment organiser ce social, comment produire des normes, comment exercer un contrôle social : ça n’a rien à avoir avec les croyances de qqn, mais on parle des FONCTION que ça a occupé dans le social (les institutions qui sont en dehors des croyances, de la religion), et notamment les fonctions en lien avec le contrôle social, les espaces de manouvre avec ce qui est dit. Il y a des discours psy qui existent encore dans des régimes totalitaires, ou peu démocratiques. Ce qui concerne Quételet ce sont les phénomènes de naturel, d’objectivable (ex. la mort). L’idée c’est de partir de là avec les instruments statistiques pour aller à l’encontre de toute une série des phénomènes mais beaucoup moins objectivables et plus en accord avec les comportements humains dans toute leur variabilité, pour tenter finalement les réduire a qqch qui permet un contrôle social. C’était le souci des administrations du peuple (comment administrer le social) qui est un souci présent aussi aujourd’hui (appart la mort et la torture). Il y a eu des mobilisations pour trouver des mesures de faire après le déclin du discours religieux, cad à la fois de faire une pluralité, organiser, exercer du control, rester compatible avec la démocratie. Sur quoi alors c’appui la psychopathologie ? Ce n’est pas étonnant alors d’analyser ce qui est devenu la psychopathologie. Pour Adolf Quételet qqch qui l’a frappé au départ c’était « tout ce qui se rapporte au crime ; les mêmes nombres se reproduisent avec une frappante constance » ce qui lui permet d’apercevoir l’usage des statistiques, « les instruments sont employés dans les mêmes proportions. Cette constance dans laquelle les mêmes crimes se reproduisent dans le même ordre et qui attire la même proportion est un effet le plus curieux qu’on les appelle les statistiques des tribunaux – triste condition de l’espèce humaine ». On a à la fois une position épistémologique (les bases sur lesquels repose l’approche et les méthodes scientifiques qu’on mobilise ; les fondements de cette approche) et en plus on en a une 3

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conception de l’être humain. Il considère que ce qui est important à saisir chez l’être humain c’est ce qui permet d’avoir accès aux choses qui se reproduisent assez suivant. D’abord on fait disparaitre ce qui est de singulier, car ce qui en ressorte de ses outils ce sont des tableaux statistiques qui nous permettent une série d’inférences, mais les données individuelles de chaque personne qu’on a rencontrées dispersaient, c’est plus ça qui nous intéresse. La deuxième chose qu’il faut disparaitre c’est ce qui est d’accidentel, cad de la contingence, du hasard, ce qui ne peut pas être repris dans le tableau statistique qui permet d’observer ce qui se répète. Dans ce qui se répète on peut prédire la proportion d’individus qui commettront des crimes X ou Y, mais on ne peut pas prédire si tel individu va commettre un crime ou pas ; donc on peut prédire que sur base des groupes. Mais ce n’est pas banal cette affaire-là, car d’un autre point de vue, si la psychopathologie s’occupe non pas des populations mais d’individu pris un par un, ce qui singularise chaque individu a un rapport étroit avec le hasard (l’ordre des rencontres qui sont pas prévisibles mais qui ont des influences sur l’individu ; des rencontres avec un livre, personnes, idéologie, histoires) – la place déterminante de la contingence lie à la singularité la plus intime de chacun peut être considéré comme au contraire de ce qui est plus central et donc on ne peut pas se débarrasser. Quel que soit les approches, les conceptions théoriques, les savoir, les méthodologies, il faut se demander quelle est la conception de l’être humain qui repose et que produisent ses savoirs et ses méthodologies. Ça a une influence sur nous, sur nos pensées, sur nos catégorisations, sur ce qu’on est. On élimine l’accidentel, la contingence afin de regrouper des individus en population des individus, qui devient à la fois homogène à chaque groupe avec des caractéristiques communes, donc des populations prédictibles dans leurs caractéristiques. C’est important à retenir que c’est pour le bien de l’humanité, car quand ses auteurs ont pensé ses outils-la et l’ont fait avec le succès en termes d’organisation (notamment d’administration) ce n’était que rarement et presque jamais l’intention de faire disparaitre les caractéristiques individuelles. Ce n’est pas pour mette des étiquettes sur les gens car elles sont aussi utiles et sont qqch dont on a besoin, mais ce sont les processus, les formes qui prennent ses étiquettes qui compte. [« Pour le bien d’humanité » c’est fréquent cet argument-là. Pour le bien d’humanité ça ne veut rien dire et que ça peut produire le meilleur comme le pire. C’est difficile de dialoguer avec une discipline avec un regard critique sur cette discipline.] Cet auteur explique comment faire améliorer les hommes en modifiant leurs institutions, leur habitudes, l’état de leur lumière et, de manière générale, tout ce qui influe sur leur manière d’être. On voit ici comment la discipline s’inscrit dans un projet politique, cad qu’on va améliorer l’être humain, le social pour une organisation sociale qui évitera les agréments (singularités). Ce qu’il y a de plus singulier, c’est potentiellement de moins partageable. Plus c’est singulier, contingent, lié à une trajectoire de vie, moins potentiellement c’est compatible avec les autres. C’est une difficulté pour tous les espaces sociaux à faire avec la singularité. [Tout se joue dans une multitude des institutions, dans une place de présence du discours psy dans l’espace public, dans la demande d’une série d’acteurs qui se saisit de ses discours psy et de ses classifications pour organiser leur pratique.] 4

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Au départ, le premier pas réalisé par cet auteur, c’est de faire des constats sur des caractéristiques physiques et objectivables et de se dire que ça va pouvoir s’appliquer sur toutes les autres caractéristiques des êtres humains, y compris des facultés morales ce qui désigne toutes les facultés psychologiques. Cet outil va être au cœur de l’exercice d’organisation du social. Si l’on devient un psy clinicien, on va observer de l’extérieur l’ensemble des individus pour en déterminer ses caractéristiques pour finalement trancher ce qui ne va pas. Mais non, on n’est pas des observateurs extérieurs, mais on en fait part avec les autres, on est avec, on est immergé, car on est affecté de ce discours et on est les représentants de ses discours (même si on n’en réfléchit pas, on est en un régime de croyance). Le contexte d’émergence de ce dispositif est le moment où un philosophe a dit « Dieu est mort », cad au 18, 19-ème siècle, dans la création de qqch qui protège la croyance et la religion en un espace privé et l’espace public est structuré par des institutions qui doivent être eux protégées des enjeux de sorte qu’elles n’imposent pas à tous un modelé de fonctionnement unique (relation avec la pluralité ici). Cette rupture avec la religion se base sur différents discours comme l’individualisme, la notion d’individu va émerger qui n’est pas une notion universelle selon l’espace et le temps ; c’est qqch qui nait à ce moment déterminant de la modernité. Un individu qui a ses caractéristiques propres et cette notion est indispensables à la constitution dans les dispositifs méthodologiques des populations (il faut des individus qui ont des caractéristiques qu’on peut les mesurer pour pouvoir les classer dans des populations). Ce dispositif s’appui sur l’individu. C’est une conception qui va un peu à l’encontre de ce qui dit Quételet. Donc cette approche nous pousse à envisager plus rigoureusement ce qui dit Quételet, et ce qu’elle propose de mettre à cote ce ne sont pas les individus, car on en a besoin d’eux, ce qu’il faut mettre à cote c’est la singularité de chaque individu d’un part et d’autre part la place de hasard. Mais l’individu est central dans son dispositif. Ensuite le libéralisme, l’utilitarisme, les discours de la science, les discours capitalistes sur le marché, l’ensemble de ses discours et les dispositifs mis en place vont proposer une nouvelle conception de l’être humain et des rapports sociaux. Ça va amener les êtres humains, selon cette approche, à penser à leur difficulté, leur souffrance, la façon de se catégoriser soi-même, de catégoriser les autres, de distinguer ce qui est pathologique et ce qui est normal. Dans un dispositif où les savoir et les méthodes décrivent ce qui ne va pas, comment ça va mal et comment ça peut aller mieux chez les gens, ça participe à la manière dont ça va se mettre en forme les expressions de ce qui va mal. La souffrance est là, elle s’exprime quel que soit l’époque, mais la manière d’exprimer la souffrance, la façon dont elle va être interprété, catégorisé, ça c’est en même temps crée par le dispositif qui décrive ses souffrances. Il est impossible de se positionner comme observateur extérieur ! On joue un rôle. RAPPEL : La principale perspective d’organisation de la psychopathologie c’est classificatoire qui se base sur les statistiques à la fois dans des termes méthodologiques, épistémologique mais aussi en connexion avec la dimension politique (gestion de la population, d’identification d’individu à inclure dans cette population) qui caractérise cette discipline de sa naissance. C’est une relation avec les statistiques, cad d’éliminer ce qui relève de l’accidentel (ce qui est éliminé c’est le contingent). Les conditions qui ont permet à cette discipline à se développer se sont situé au 18-19-eme siècle dans des discours psy qui prennent une place déterminante dans la société, surtout la notion d’INDIVIDU. 5

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Ian HACKING La psychopathologie fait partie de ce qu’Hacking classifie comme des sciences qui classifient les gens. Ce n’est pas la seule science mais c’est celle dont la présence sur le social a le plus d’impact sur le social lui-même, sur la façon dont les gens pensent et organisent les difficultés, se penser eux-mêmes et pensent les autres. Hacking a produit quelques lésons précieux autour de ses sciences qui classifient les gens, en les définissant comme « des sciences qui utilisent des classifications des individus et de leurs comportements dans leur recherche, leurs prédictions, leurs explications, et leur conseil sur le contrôle et l’amélioration des individus et de leurs conditions de vie ». L’élément important dans cette définition c’est qu’au fond ses sciences ne sont pas uniquement des sciences descriptives (qui opèrent une description de ce qui se passent), mais ce sont des sciences qui ont un projet actif de modification des individus et de leur comportement ‘pour leur bien, pour le bien de l’humanité’ (mais la notion de BIEN est débattue et est difficile à définir ce qui est le bien de tous. Le bien des uns n’est pas nécessairement le bien des autres, et que parfois ça s’oppose ! On entre donc bien dans un registre politique ! Dire qu’on fait ceci ‘pour le bien’ c’est un argument FAUX car si on le dit qu’on veut avancer la connaissance, alors on sait qu’aujourd’hui qu’il y a des priorités autres que celle d’avancer la science ; mais quand on dit que c’est pour le bien, alors on va avoir plus des chances d’être entendu plus fort. Le fait de le dire est un argument faux pour accepter la démarche. Une autre dimension c’est celle de prédiction, qui est lie à l’usage des statistiq...


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