Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie , Partie Fouchet PDF

Title Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie , Partie Fouchet
Course Psychopathologie, psychiatrie et psychopharmacologie
Institution Université Libre de Bruxelles
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PSYCHOPATHOLOGIEPartie : Philippe Fouchet2021 -PsychopathologiePhilippe Fouchetcairn/l-autre-pratique-clinique--9782749210544-page-11.htmIntroduction au cours :Support de lecture vivement conseillées mais non obligatoire – Examen qui ressemble plus à la vie de tous les jours et à notre futur profess...


Description

PSYCHOPATHOLOGIE Partie : Philippe Fouchet

2021-2022

Psychopathologie Philippe Fouchet

https://www.cairn.info/l-autre-pratique-clinique--9782749210544-page-11.htm

Introduction au cours : Support de lecture vivement conseillées mais non obligatoire – Examen qui ressemble plus à la vie de tous les jours et à notre futur professionnel – Possibilité de réaliser l’évaluation à plusieurs (1-4) – En distanciel - En une page maximum, répondre à une question – Remettre le travail pour une date et une heure précise - Parler positivement (des faits et pas par négation) – Synthétiser, faire des plan, faire en trois tirets – Construire texte avec des phrases pour montrer sa compréhension – Aller lire des ouvrages Question d’examen : « En vous appuyant sur les éléments développés au cours, présentez, de manière synthétique, les principales caractéristiques d’une approche structurale de la clinique sur le plan : des soubassements épistémologiques et théoriques, du diagnostic, de l’accompagnement thérapeutique » L’autre pratique clinique - Alfredo Zenoni | Cairn.info Logique et dynamique La logique subjective correspond à tenter d’appréhender… Ce à quoi est confronté le sujet et ses façon singulière d’y répondre. La logique subjective se construit avec peu de choses. On entre dans un univers de logique et de dynamique qui implique une série d’éléments et les relations qu’il y a entre ces différents éléments de cette logique subjective. Ce sont des choses très concrètes, quand un sujet parle, il parle de ses rencontres dans son existence. La dimension singulière est le fait que nous nous intéressons à ce que le sujet qui est devant nous nous raconte. Il nous raconte ses parcours de vie « je me suis construit avec presque rien » « ma vie est un éternel combat » … Parfois jusqu’à un moment, ou jusqu’à une rencontre.

Le désir n’a pas vraiment besoin d’objet, c’est un élan qui ne s’arrête pas même lorsque l’objet est obtenu. Le désir est une dynamique, un point d’appuis. La structure : nous allons parler de ce qui concerne proprement les êtres humains. L’idée est que les êtres humains ont des difficultés communes. La notion centrale est donc la structure. Cette dernière est dynamique dans son rapport à l’autre, un ensemble de relation au cœur des dynamique entre les êtres humains. L’être humain partage énormément de choses avec les autres espèces animale, mais en même temps nous avons certaines spécificités. Ce sont ces spécificités qui vont nous intéresser. Au fond quand on parle du sujet on parle de l’espèce même. Sujet – Institution – Corps – Autres Les relations entre ces choses, la dynamique et la structure. C’est un schéma qui oblige de poser les quatre sujets, c’est la dynamique qui compte, elle implique toujours l’ensemble des éléments. Les institutions sont extrêmement importantes en ce qui concerne le rapport entre les êtres humains, entre l’humain avec son propre corps. L’institution du droit par exemple est l’un des meilleurs exemples de notre différence avec les autres êtres vivants. Le droit à un effet sur nous. Une institution est un produit humain qui nous construit en même temps. Il y a cependant des espèces qui sont sensible aux dimensions sociales culturelles, jusqu’à un certain point. L’une des hypothèses centrales est la capacité de vie corporelle de l’être humain de se faire saisir par ces dimensions symboliques et institutionnelles. Les institutions dans une vision très générale, comme le droit ou le langage, qui viennent nous saisir, par un investissement fait de symbole. Ces symboles vont venir nous singulariser, nous faire comprendre que nous sommes des êtres uniques. Il y a évidemment des institutions qui se basent sur la santé mentale. Aujourd’hui les institutions changent et sont plus dynamiques qu’il y a quelque temps (ex : le mariage). Le fait que ces institutions changent offre la possibilité de changer également les dynamiques. Pour certaines sujets, ces libertés sont considérées comme un espace dans lequel on peut se perdre, un manque fondamental de repères. La liberté peut être anxiogène est avoir des effets d’inhibition. Lorsque l’on rencontre un sujet, il y a toujours deux faces à la médaille à prendre en compte. Les institutions peuvent mener à des exclusions. Ca montre la complexité. L’institution, influe sur le sujet, s’attache à nos CORPS est présente dans L’AUTRE, c’est cette dynamique que nous voulons mettre en avant. Ces dynamiques nous construisent et participe à

notre évolution même que nous ne le savons pas. La notion de structure s’efface aujourd’hui au profit de l’individualité. Nous n’avons pas de mode d’emploi pour supporter notre humanité, il n’y a rien qui soit intemporel et universel. C’est pour cela que certaines INSTITUTIONS offrent des minis modes d’emploi, elles servent de réponse à certaines questions. Mais cela est compliqué de rencontrer une institution qui offre le mode d’emploi complet. Le but est de trouver notre trajectoire singulière dans un espace démocratique, et non pas des réductions des liberté. Notre trajectoire s’inscrit dans un rapport au corps, à l’autre et à une institution. Pour pouvoir y accéder il faut être dans un milieu où l’on peut être un être de droit. Cette démocratie offre au sujet une marche de manœuvre ou il peut trouver sa singularité. Institution psychiatrique : on parle des institutions aux sens large, les institutions basées sur la santé mentale en font partie. Cette institution a une fonction sociale, l’accueil d’un sujet a un moment de son existence où les autres instituions n’offrent plus de point d’encrage suffisant pour que sur le plan du rapport à l’autre, quelque chose puisse tenir. Certains sujets décrochent sur le plan du rapport à l’autre. Ces personnes peuvent arriver avec un état du corps hallucinant, avec un sujet débranché de lui-même qui ne semble même plus ressentir la douleur de son présent. Comment faire pour que l’accueil remplisse sa fonction pour le sujet ? Comment faire pour qu’il ne voit pas cette institution comme une chose supplémentaire qui le rejette des autres, de la société. Ce n’est pas possible de faire sans l’autre, et ce n’est pas possible de faire sans le corps. Avec cela il faut composer, le but est de proposé au sujet un rapport à l’autre qui lui est le moins problématique. Le sujet va être confronté à une série de règle. Il faut prendre le sujet avec le professionnel, ils font tous partie de la même institution qui fixe des règles. C’est toutes une série de processus et de personnes garants des droits des sujets. Il faut une pluralité d’institutions pour pouvoir répondre aux différents états du sujet à travers le temps. Le sujet ne va pas forcément vouloir lier un lien avec une institution « je ne suis pas fou pourquoi irai-je dans un lieu où il y a que des fous ». Il faut réfléchir à ce qu’il se passe pour le sujet, c’est l’offre qui crée la demande. En fonction de l’état d’esprit du sujet il va se tourner vers l’une ou l’autre institution. La clinique se construit toujours avec la dimension institutionnelle. Cette dimension ayant un effet direct sur le sujet et sur le corps ainsi que sur l’autre. L’institution va être l’autre, un autre qui tient un discours. Il y a des choses qui vont paraître acceptable a un moment pour un sujet et pas a un autre. Les sujets au sein d’une même institution peuvent également voir besoin d’accueils différents.

C’est évident que c’est l’offre qui crée la demande, si l’institution se présente comme spécialiste de la toxicomanie, le but est de discuter et de prendre conscience de sa toxicomanie, mais les sujets qui consomme mais qui ne se rendent pas compte qu’ils sont dans une dépendance n’iront pas taper à cette porte. Une force de l’institution sur la dynamique et chacun de ses éléments. L’une des grandes difficultés que l’on rencontre est que les petites solutions qu’on trouve dans l’institution mais ailleurs, en dehors de l’institution, dans les autres espaces sociaux ne seront pas aussi conciliantes. Le sujet peut trouver des solutions qui fonctionne dans cette institution mais qui ne fonctionneront pas en dehors, voir le marginalisera. Ce qui ne sera pas négociable, c’est ce qui est au centre de la dynamique du sujet (ex : le cornichon). On ne renonce pas à accueillir ce qui est non négociable pour le sujet. Il faut donc être inventif pour créer des choses autour de ce qui n’est pas négociable. Le sujet peut faire usage de ce qu’il a pu bricoler avec quelques autres présents de l’institution. L’autre, la présence de l’autre dans sa dimension symbolique, sociale et culturelle. On ne choisit pas sur ce quoi on tombe, cela dépend de ou nous sommes né dans quelle culture et dans quelle société. Ce rapport à l’autre est toujours compliqué. Le social c’est ce qui nous construit et c’est la première violence. C’est l’autre dans cette dimension là que nous ne choisissons pas. Des dimensions sont prises et institutionnalisé par l’autre (ex : prénom). L’autre est aussi celui du désir, l’autre va nous individualiser et nous singulariser (ex : l’expérience dans laquelle les enfants meurent car pas d’apport d’amour). L’attention de l’autre est à a fois une conviction de la vie et un encombrement. Car l’autre interagit avec nous en fonction de ses désirs également. L’autre existe, l’autre dit « non ». Plus le non est affirmé plus l’autre est présent, plus il est encombrant, plus il dit non. C’est encore une fois une dynamique. L’autre à une présence vivante. L’autre à une dimension imaginaire et identificatoire, dans cette dynamique à l’autre on trouve des points d’appuis pour se construire mais aussi des complications. Cette dynamique de construction se repose sur notre vision de l’autre, la vision de l’autre sur moi ou celle que l’on suppose que l’autre à de nous. Cela est une source d’angoisse mais aussi une obligation. Est-ce possible de rencontrer quelqu’un qui n’a pas de rapport problématique avec un de ces concepts ? Pour chacun des êtres humain le rapport à chacun de ses instances et problématique. C’est pour cela qu’il y a des moments difficiles, des ruptures, des reconstructions, des changements de points d’appuis. -

C’est donc toujours problématique, du fait de la structure, pour tout le monde.

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Certains sujets sont tellement en difficulté avec une de ces instances que les autres ne peuvent plus lui servir de point d’ancrage. Ils sont là pour nous permettre de se guider dans notre humanité. Les institutions de la santé mentale sont la pour accueillir le sujet dans ce moment-là.

Trois rôles des éléments de la dynamique Chacun des éléments de la dynamique (autre – sujet – institution – corps) peut être envisager selon au moins trois rôle. La façon donc Lacan a proposé dans la structure, dans ce qui détermine des dynamique subjective, de considérer différents registres dans lesquels s’inscrivent ces dynamiques, les points d’appuis du sujet, les difficultés du sujet. Ces rôles sont le réel – imaginaire – symbolique. L’autre dans le registre symbolique, la manière dont chacun et chacune est saisi est singulière, et va faire que toute une série d’éléments hautement déterminés dans le corps. Ce qui est hautement déterminer dépend des besoins du corps. Notre saisie et notre réponse subjective singulière. L’autre est là au rendez-vous, avec une dimension imaginaire, au sens d’une série d’image sur lesquelles on s’appuie dans une dynamique d’identification et de points d’appuis pour forger sa propre image (le MOI de Freud). La dynamique identificatoire se base sur les images que propose l’autre à propos du sujet, par exemple avec des paroles. Le sujet va y répondre à sa façon. Cela ne va pas déterminer la vie du sujet, mais participera à son image de soi. Cet hyper individualisme, ce culte du « moi » d’aujourd’hui est un leurre, on ne se construit qu’à travers une image, l‘image que l’autre nous renvois. L’image que le sujet SUPPOSE que l’autre a de soi, cela peut avoir des effets de rupture ou d’angoisse. On peut être paralyser par la supposition de ce que l’autre pense de soi. Le champ de l’imaginaire, on parle aussi du symbolisme et du réel. Le symbolisme est ce qui, a travers des nominations et des discours nous assigne à certaines places. Ce sont des points d‘appuis avec l’autre face de difficulté. Il y a des moments de passage d’un statut à un autre, cela change la manière dont on habite dans notre corps et dans notre existence, dans la vie. Avec sans doute les plus grandes difficultés quand justement il y a peu de possibilités de se dégager dans les assignations symboliques.

Les choses deviennent compliquées à partir du moment ou on ne peut pas faire fonctionner les deux faces de la médaille. C’est vrai dans toutes les nominations symboliques quand la séparation n’est plus possible cela apporte de l’angoisse. C’est vrai aussi par rapport à cette troisième dimension de L’AUTRE, la dimension réelle. C’est le registre réel du désir de l’autre et de la volonté de l’autre. Le fait d’être objet du désir de l’autre est une condition à la vie de l’être humain. L’enfant peut très mal réagir au fait de ne pas être pris comme objet du désir de l’autre, de son parent. C’est une condition à la vie, la dimension réelle du désir de l’autre. C’est à la fois un point d’appuis, être assigner au stade d’objet désiré nous porte, nous simule, nous donne de la vie. Mais l’autre face de la médaille c’est que le désir de l’autre peut être une difficulté et être à l’origine d’angoisse, d’où le besoin du « NON ». La présence réelle de l’autre à travers le regard peut faire surgir l’angoisse, car on est assigné à la place de l’objet de ce regard, sans espace de liberté. Ce sont donc extrêmement lié l’un a l’autre, ces trois dimensions de l’autre dans la dynamique du sujet tout au long de son existence. Avec une double face à la médaille qui est la connexion, être en lien et l’extraction, la séparation. Il y a des modalités singulières de faire entrer en jeu cette double face qui ne peut pas faire l’une sans l’autre. Exemple de la capuche : dans l’institution les intervenant auraient pu faire le choix de rejeter cette capuche, comme rejeter le cornichon. Le choix a été de se dire qu’on fait le pari de l’invention subjective du sujet, d’accueillir cela. Ce qui a été extraordinaire, c’est qu’avec cette capuche elle a développé un art incroyable de la spéculation. Alors qu’il n’y avait pas moyens de parler avec elle à cause des regards, elle peut maintenant, interagir avec d’autre protégé par cette capuche. Être protégé par quelque chose qui va faire écran sera dans son existence une ligne de conduite, une invention. Elle a produit une invention qui lui parle. Pour certains sujets on peut émettre l’hypothèse que dans quelque chose de compliqué, pris dans cette dynamique de la double face de la médaille, vont produire quelque chose qui va devenir central dans leur existence au point que « le sujet à réussi de faire de son symptôme un métier, un point d’appuis ». Le non, sur le plan de la nourriture par exemple, la nourriture entre dans un processus déterminant au niveau biologique mais aussi au rapport à l’autre, aux désirs de l’autre… Aux codes sociaux et culturels qui entoure et encadre au fait de manger. Et c’est à la fois quelque chose qui va nous connecter à l’autre, partager selon certains code son repas avec l’autre. Manger pour certains sujets peut devenir un encombrement, le fait d’être prix dans le regard de l’autre. Ce qui se joue c’est ce paradoxe, cette médaille à deux faces, pour se connecter il faut savoir se déconnecter. Les processus humains sont des processus qui semple comporter par eux même ces

paradoxes de lien et de séparation. D’où l’importance du non, comme sur le plan de la nourriture. Et cela peut devenir un jeu, ou ça peut devenir un non très affirmer qui peut inquiéter. Exemple de la psychopathologie de la vie quotidienne : l’enfant qui dit non à tout, elle ne veut pas manger ça, elle n’aime pas ça. Les parents sont désespérés, cela peut donner lieu à des choses très dure, pour les parents, qui sont directement impliqué. Le truc que l’enfant aime manger ce sont les cornichons. Les parents se disent que c’est bien mais cela ne fait pas un repas, ils voudraient qu’elle mange autre chose que des cornichons. Mais à chaque fois elle dit ce petit mot magique « NON ! ». C’est la double face de la médaille, le lien à condition de la séparation, la connexion à la demande de l’autre à condition que je puisse m’en dégager. Cela qualifie toutes les expériences humaines. Qu’elle a été la voie de sortie ? C’est s’appuyer sur le fait qu’on est devant cette médaille a deux faces, d’une part, et donc d’autre part, à partir de là, à saisir toute l’impact, la fonction de ce « non ». Une fonction qui est d’’opérer une séparation qui permet que le lien puisse se maintenir. Ces cornichons ont donc une place déterminante. C’est différent de se dire que les cornichons sont ses caprices et donc qu’il faut l’amener à manger autre chose, il faut abandonner cela qui mène à l’affrontement. Et donc abandonner la volonté d’écarter le cornichon mais d’en faire la star au centre de l’assiette, lui demander à elle, lui faire participer aux courses pour choisir les accompagnements du cornichon. Une porte est alors ouverte, accueillant la fonction du cornichon on peut avoir un rapport plus léger aux repas, et de s’autoriser à découvrir d’autres choses. Un accueil de la fonction que ça occupe pour un sujet dans sa rencontre avec l’autre, avec des dimensions de l’autre qui participe à ce que ça veut dire « manger » pour le sujet. A propos de la nourriture, cette dimension de l’autre surgit dans notre implication du corps dans la vie. Aussi bien dans chacun des moments de notre existence que dans notre parcours de vie. Atteinte faite au corps et ce n’est pas la même chose pour les être humains quand c’est pris dans un registre social et culturel donc symbolique et imaginaire (ex : rituel) qui donne sens et fonction. Qu’est ce qui nous reste en propre en tant que sujet ? La réponse du sujet n’est pas si évidente que ça car elles sont au départ très difficile à cerner et énigmatique y compris pour le sujet lui-même. Mais cette réponse singulière est également prise dans une dynamique. C’est en m’appropriant ma réponse que je sors du pur déterminisme en termes d’engagement. L’approche dans la clinique est de tenter de saisir un fonctionnement singulier lié à une réponse singulière lié à quoi tout être humain est confronté. Tous les êtres humains sont plongés sans en avoir fait le choix dans un bain d’institutions, dans un bain social et culturel. Ce bain offre des repères et des nécessités fondamentales. Les institutions occupent une fonction qui est d’abord sociale. Les institutions psychiatriques ont comme but d’accueil un sujet à ce point en défaut de points d’appuis

que d’autres institutions ne suffisent pas. Ou que le sujet y perçoit un lieu de repos où il peut parler de son intimité. Parler de son intimité n’est pas toujours facile. Pour pouvoir parler il faut aussi trouver quelqu’un qui puisse nous écouter et ça c’est très difficile. Parce que dès qu’on parle à quelqu’un de sois, il va répondre et interpréter les choses en fonction de lui-même. Dès lors les métiers qui ont avoir avec la clinique sont des métiers qui ont avoir avec une façon d’être et d’écouter différente de celle qu’on peut rencontrer ailleurs. Parler toujours compliquer, il y a des moments où parler est même douloureux, le clinicien lui va apercevoir ce moment où la parole est douloureuse finalement la parole traduit un traumatisme ou la parole, est presque le traumatisme. Quand la parole est difficile c’est finalement le point saisie qu’il y a quelque chose qui compte, que la dynamique singulière est engagée. On peut se retrouver face à des patients que l'on va pouvoir considérer comme des mauvais patients des passions qui nous attaquent des passions qui nous font nous mettre dans une position de victime. Cela peut être des patients qui nous manipulent, qui nous mentent… Mais ces patients-là qui se trouve dans une dimension ou c'est l'autre le problème ou l'autre est un lieu d'exclusion et ils utilisent le mensonge pour s'en sortir et de ce fait nous devons nous calquer sur cette perception, nous devons prendre en compte cette m...


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