QCM info avec reponse - Notes de cours 3.4.5 PDF

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Economie - Gestion L3 ...

Description

1) Le format de cellule de type nombre permet : o De compter combien de valeurs peut prendre une cellule. o De préciser la formule de calcul d’une cellule. o D’indiquer à Excel comment interpréter une donnée et comment l’afficher. o De limiter les valeurs possibles pour une cellule. 2) L’opération qui consiste à présenter une liste de données dans un ordre et selon des critères choisis est : (cours 3 page 8) o L’opération de tri. o L’opération de filtre. o L’opération de sous-totaux. o L’utilisation de fonctions de bases de données. 3) L’opération qui consiste à sélectionner une partie de liste de données pour l’affichage selon des critères est : (cours 3 page 10) o L’opération de tri. o L’opération de filtre. o L’opération de sous-totaux. o L’utilisation de fonctions de bases de données. 4) L’utilisation de tableaux croisés dynamiques peut permettre dans certains cas de : (cours 4 p 20) o Synthétiser des scénarios analogues à ceux obtenus par la synthèse de scénarios. o Extraire d’une liste des informations identiques à celles extraites par fonctions de bases de données. o Construire des tableaux semblables à ceux que l’on pourrait obtenir par tables d’hypothèses. o Générer directement des documents Word de publipostage. 5) Quelle catégorie de format de cellule permet de préciser le type d’une donnée contenue dans une cellule : p22 o Motifs. o Nombre. o Alignement. o Police. 6) Qu’appelle-t-on la partie dynamique d’un tableau sur une feuille de calcul : o L’ensemble des cellules dont la valeur est calculée à partir d’autres cellules. o L’ensemble des cellules dont la valeur change aléatoirement. o L’ensemble des cellules contenant au moins une fonction de la bibliothèque. o L’ensemble des cellules dont la valeur est fixe et saisie par l’utilisateur. 7) La notion de sous-total sur les listes de données : (cours 3 p13) o Ne peut être appliquée que pour un seul regroupement d’information. o Produit le calcul d’une fonction statique par regroupement de fiches, suite à un tri. o Ordonne les informations selon un critère choisi. o Fonctionne après la mise en place d’un plan sur le tableau constituant la liste.

8) Qu’est ce qui différencie la partie statique de la partie dynamique d’un tableau de données ? : (Page 4) o Aucune information clairement identifiée. o La partie statique contient les valeurs de paramètres de calcul alors que la partie dynamique contient des formules de calcul. o La partie dynamique ne contient que des constantes pour exprimer les calculs. o La partie statique ne contient que des références à d’autres cellules et des formules. 9) L’adressage relatif dans un tableur est utile pour : (page 11) o Permettre de recopier une formule valable tout au long d’une ligne et/ou d’une colonne. o Référencer toujours la même cellule. o Pouvoir utiliser des valeurs entières négatives en plus des positives. o Placer un nom de cellule. 10) L’opération de tri d’une liste de données : o Permet de présenter une vue partielle de la liste. o Permet de présenter la liste dans un ordre déterminé par un maximum de 3 clés. o Est nécessaire à l’utilisation des fonctions de bases de données. o Ne présente d’intérêt que pour les valeurs numériques dans les listes. 11) L’opération de filtrage d’une liste de données : o Doit se réaliser avec des informations extérieures à la liste. o Se calcule par une formule faisant intervenir des fonctions de la bibliothèque. o Ordonne les informations selon un ou plusieurs critères choisis. o Sélectionne une partie des informations de la liste pour affichage. 12) L’opération qui consiste à extraire des informations quantitatives d’une liste de données selon des critères et suite à un tri est : (cours 3 page 13) o L’opération de filtre. o L’opération de sous-totaux. o L’utilisation de fonctions de bases de données. o L’opération de tri. 13) Ce qui consiste à extraire des informations quantitatives d’une liste de données selon des critères et quelque soit l’ordre de présentation de la liste est : (cours 3 page 2) o L’utilisation de fonctions de bases de données. o L’opération de tri. o L’opération de filtre. o L’opération de sous-totaux. 14)Pour le calcul de remboursements constants par période d’un emprunt à taux annuel fixe, une cellule contient « =VPM (tauxAnnuel/périodes ;durée ;emprunt) » La cellule nommée «durée » contient « =nbAnnées*périodes ». La cellule nommée « périodes » contient : o Une valeur entre 1 et 12. o N’importe quelle valeur représentant un nombre de périodes de remboursement par an.

o La valeur du taux d’intérêt annuel de l’emprunt ramené à une période de remboursement. o Obligatoirement 12.

15) Le gestionnaire de scénarios : o Permet de faire converger un résultat calculé dynamiquement vers une valeur choisie. o Affiche sur demande des ensembles de valeurs de certaines cellules préalablement mémorisées. o Permet de lier plusieurs classeurs entre eux par fonction de la bibliothèque. o Réalise des simulations de calcul d’une formule donnée. 16) Lequel des outils suivants d’Excel ne permet pas d’extraire des informations d’une liste de données ? (Cours 4 page 17) o Les tableaux croisés dynamiques. o Le gestionnaire de scénarios. o Les sous-totaux. o Les fonctions de base de données. 17) Une zone de critères pour fonction de base de données : (cours 4 page 18) o Détermine quelle fonction de calcul doit être utilisée. o Est différente d’une zone de critères pour filtres élaborés. o Doit être remplie dans une boite de dialogue propre à Excel. o Permet d’exprimer des conditions de sélection d’éléments de la liste. 18) A propos des tableaux croisés dynamiques d’Excel, laquelle des affirmations suivantes est FAUSSE : (cours 4 page 20) o Ils permettent d’extraire des informations statistiques d’une liste de données. o Ils nécessitent une liste de données en référence. o Ils ont essentiellement la même utilité que les tables d’hypothèses (ou de données) o Certains peuvent être assimilés en utilisant des fonctions de bases de données. 19) A propos des tableaux croisés dynamiques d’Excel, laquelle des affirmations suivantes est VRAI : (cours 4 page 20) o Ils peuvent être modifiés structurellement par action avec la souris. o Ils permettent de modifier la fonction statistique appliquée par action avec la souris. o Ils permettent de régénérer le détail des informations qu’ils synthétisent par action avec la souris. o Ils nécessitent l’utilisation d’un assistant pour leur création mais aussi pour leur modification. 20) Une source de données de publipostage : (cours 5 page 3) o Est obligatoirement une liste de données d’un tableur. B o Contient des champs auxquels on peut faire référence dans un document type. o Est le résultat d’une opération de publipostage. o Décrit les documents textes à gérer par publipostage.

21) A propos de publipostage dans Word et Excel, laquelle des propositions suivantes est FAUSSE : o Il consiste à insérer dans un document texte des champs correspondant aux noms de colonnes d’une liste source de données. o Il ne peut pas être utilisé pour générer un courrier électronique. o Il combine la gestion de listes sous Excel et les possibilités de fusion de documents de Word. o Il nécessite la création d’un document principal, celle d’une source de données puis l’association des 2. 22) L’outil valeur cible d’Excel permet : o De réaliser une somme de cellules sous une condition spécifiée dans une zone de critère. o De déterminer la valeur d’une cellule pour atteindre la valeur d’un résultat de calcul qui dépend de la cellule, sans possibilité de contrainte. o (horizontalement) de rechercher dans une ligne la valeur de cellule associée à une cellule de recherche, dans une colonne indiquée. o D’exprimer des contraintes pour réaliser une résolution de problème linéaire simple. 23) Le solveur d’Excel : (cours 6 page 24) o Permet de résoudre des problèmes qu’il est impossible de résoudre à la main. o Ne permet pas d’optimiser des fonctions de cout linéaires. o Nécessite de faire apparaître les variables du problème à résoudre explicitement dans des cellules. o Modifie une feuille de calcul à partir des paramètres d’une résolution entrés dans une autre feuille. 24) Quelle consigne ne pas suivre pour poser un problème de résolution avec le solveur : o Faire apparaître précisément les résultats du calcul (intermédiaires et fonctions de cout) sous forme de formules. o Faire apparaître précisément la manière de poser de manière aussi proche possible de la manière de le faire mathématiquement. o Faire apparaître précisément les données d’entrées du problème. o Faire apparaître précisément les variables dites « de décision ». 25) Lors de l’expression des contraintes d’un problème d’optimisation avec le solveur, il ne faut pas : o Travailler dans une zone de la feuille de calcul indépendante du problème défini. o Utiliser des noms de cellule. o Faire intervenir des variables de décision, de manière plus ou moins direct. o Utiliser des boites de dialogue spécifique. 26) L’utilisation de macro dans un logiciel : (cours 7 page 3)

o Ne permet de manipuler par programme que les objets disponibles dans le logiciel. o Ne permet d’automatiser que les commandes les plus utiliser du logiciel. o Permet d’automatiser des séquence de commande que l’’on doit réaliser a plusieurs reprise. o Est réserver au informaticien programmeur.

27) Une bonne manière de réaliser une macro consiste à : (cours 7 page 10) o Enregistrer une séquence d’action réaliser à la main, puis de modifier le résultat obtenu. o Faire appel a une société de service en informatique. o Noter la suite des actions intéressantes réaliser à la main, puis de trouver l’équivalent dans le système d’aide en ligne. o Ecrire son programme grâce à l’aide en ligne, en partant d’une « page blanche ». 28) Les fonctionnalités suivantes sont fournies par l’environnement de programmation de macro VisualBasic SAUF : (cours 7 page 10) o Visualiser le programme de macro enregistrées. o Modifier la séquence d’action d’une macro. o Obtenir de l’aide sur un objet, une propriété ou une méthode. o Réaliser des copier/coller de bloc de cellules contiguës. 29) Le langage de programmation VisualBasic fournit pour Excel, est un langage : o Entièrement dédié a Excel sans caractéristique utilisable hors ce logiciel. o Entièrement dédié a Excel avec quelques caractéristiques utilisables hors ce logiciel seulement. o Généraliste avec des objets spécifiques a l’utilisation de classeur Excel. o Généraliste sans support particulier à Excel. 30) La propriété ActiveCell d’ExcelBasic pour un classeur ouvert représente : (cours 8 page 20) o La feuille active. o La sélection en cours qui est la cellule active. o La cellule active qui n’est pas la sélection en cours. o La sélection active. 31) L’instruction ExcelBasic CellsFind permet : o De rechercher une cellule contenant des informations conforme a ce qu’indique les paramètres (…) o De rechercher en une fois toute les cellules conformes (…). o De ce déplacer par rapport a la cellule active courante. o De sélectionner un bloc de cellule contiguë dans une feuille de calcul 32) L’instruction VisualBasic Sheets (« ZZZ ») Select permet : o De rechercher en une fois toutes les cellules conforment nommée « ZZZ ». o De se déplacer par rapport a la cellule active courante en feuille nommée « ZZZ ». o De sélectionner un bloc de cellule contiguë dans une feuille de calcul nommée « ZZZ ». o De se placer par programme dans la feuille nommée « ZZZ ». 33) En quoi consiste l’utilisation de formules dans un tableur ?

o o o o

Faire apparaître le graphe de dépendance des cellules. Construire des tableaux dynamiques à partir d’un tableau donné. Déterminer la valeur d’une cellule à partir de valeurs d’autres cellules. Utiliser des fonctions de la bibliothèque.

34) En quoi consiste l’utilisation de formules dans un tableur ? o Construire des tableaux dynamiques à partir d’un tableau donné. o Calculer le contenu d’une cellule en fonction du contenu d’autres cellules référencées. o Utiliser des fonctions de la bibliothèque. o Faire apparaître le graphe de dépendance des cellules. 35) L’adressage (ou référence) par noms de cellules ou de blocs de cellules est utiles car : o Il remplace selon les cas l’adressage absolu ou relatif mais permet d’écrire des formules moins lisibles. o Il remplace l’adressage absolu et permet d’écrire des formules plus lisibles. o Il remplace l’adressage relatif et permet d’écrire des formules plus lisibles. o Il remplace selon les cas l’adressage absolu ou relatif et permet d’écrire des formules plus lisibles. 36) Le gestionnaire de scénarios : o Permet de faire converger un résultat calculé dynamiquement vers une valeur choisie. o Affiche sur demande des ensembles de valeurs de certaines cellules préalablement mémorisées. o Permet de lier plusieurs classeurs entre eux par une fonction de la bibliothèque. o Réalise des simulations de calcul d’une formule donnée. 37) A propos des champs conditionnels (mot clé Si … Alors … Sinon…) pour le publipostage : o Ils peuvent être imbriqués en utilisant l’option d’affichage des codes de champs. o Ils peuvent être imbriqués sans utiliser l’option d’affichage des codes de champs. o Ils ne peuvent pas être imbriqués o Ils ne sont pas disponibles pour toutes les sources de données. 38) Le format de cellule de type nombre permet : o De limiter les valeurs possibles pour une cellule. o De compter combien de valeurs peut prendre une cellule. o De préciser la formule de calcul d’une cellule. o D’indiquer à Excel comment interpréter une donnée et comment l’afficher. 40) Parmi les objets suivants, lesquels ne sont pas vraiment manipulables dans un tableur Excel (pas de mise en forme, ni de référence…) ? o Feuilles. R o Pages. Q o Lignes et colonnes.

o Cellules.

41) Quel est l’intérêt de connaître les différents types d’objets manipulables dans un tableur ? o Pouvoir appliquer des mises en formes répétitives à la main. o Pouvoir manipuler le même fichier de tableaux avec plusieurs logiciels différents. o Aucun. o Savoir isoler ce sur qui peut porter une fonction du système. 42) Auquel des couples de fonctions suivants correspondent les deux états possibles d’une cellule : o Copier et coller. o Visualiser et mettre à jour. o Enregistrer et sauvegarder. o Sélectionner et agir. 44) Par quoi est idéalement constitué le contenu d’une cellule calculée par formule : o Plus de constantes que de variables (adresses d’autres cellules ou références). o Plus de variables que de constantes. o Que des variables. o Que des constantes (valeur fixes saisies). 45) Les cellules d’entrée d’une table d’hypothèses (ou de données) o Sont les cellules contenant les rappels de formule de calcul à généraliser. o Doivent contenir des valeurs qui ne peuvent pas changer. o Contiennent les valeurs des paramètres de l’optimisation à réaliser. o Sont les cellules contenant les valeurs de paramètres dans l’exemple de calcul à généraliser. 46) L’objet de la gestion des listes de données dans un tableur N’EST PAS de : o Produire des représentations graphiques de type « camembert » ou « histogramme ». o Présenter des informations de même nature rangées dans un tableau. o Structurer des informations similaires pour pouvoir les manipuler de manière plus ou moins automatique. o Traiter de petites bases de données avec des fonctions classiques de tri, sélection, etc,. 47) A partir de quelle information Excel peut-il créer automatiquement une grille de saisie des valeurs d’une liste de données ? o Un fichier Word. o Les noms des champs de la structure de la liste. o L’ensemble des fiches (enregistrements ou lignes) qui la constituent. o Une zone de filtre externe à la liste. 48) Quel est l’intérêt de connaître les différents types d’objets manipulables dans un tableur ? o Savoir isoler ce sur quoi peut porter une fonction du système. o Pouvoir appliquer des mises en forme répétitives à la main. o Pouvoir manipuler le même fichier de tableaux avec plusieurs logiciels différents.

o Aucun 49) Auquel des couples de fonctions suivants correspondent les deux états possibles d’une cellule ? o Copier et coller o Visualiser et mettre à jour o Enregistrer et sauvegarder o Sélectionner et agir 50) Lequel des éléments suivants n’est-il pas nécessaire de connaître pour pouvoir écrire des formules dans un tableur ? o Les opérateurs et/ou fonctions o Les cellules de valeurs constantes o Les modes d’adressages de cellules o Les tables d’hypothèses (ou de données). 51) Les tables d’hypothèses (ou de données) o Permettent de mémoriser des jeux de valeurs d’un calcul o Sont utiles pour extraire des informations d’une liste de données o Permettent d’optimiser des fonctions de coût o Permettent d’évaluer la valeur d’une formule en fonction d’un ou deux paramètres 52) Les listes de données o Présentent uniquement des informations croisées o Ne sont utiles que pour faire du publipostage (mailing) o Ne permettent pas d’être analysées par tri croisé o Permettent de gérer des bases de données simples avec Excel 53) Qu’est ce qui définit la structure d’une liste de données dans Excel ? o Un fichier Word o Les noms des champs de la liste (colonnes) o L’ensemble des fiches (ou enregistrements : lignes) qui la constituent o Une zone de filtre externe à la liste. 55) Laquelle des fonctions suivantes N’est PAS standard dans un tableur ? o Structuration de tableaux statiques et dynamiques. o Utilisation d’index pour référencer des adresses de cellule. o Représentation graphique de données. o Mise en forme des constituants : contenus, cellules, lignes, ect… 56) Laquelle des explications suivantes NE convient PAS sur l’utilité de l’adressage relatif : o Permettre de référencer approximativement une valeur dans un tableau, à une valeur donnée prés.

o Permettre de recopier des cellules sans avoir besoin de mettre à jour leur contenu. o Exprimer une seule fois un calcul par une formule et obltenir plusieurs résultats en faisant varier le placement. o Parler d’une cellule définie par rapport à l’endroit (la cellule) ou l’on en parle. 57) L’objet de la gestion de listes de données dans un tableur N’EST PAS de : o Traiter de petites bases de données avec des fonctions classiques de tri, sélection, ect… o Appliquer des règles classiques de gestion sur des informations comptable. o Présenter des informations de même nature rangées dans un tableau. o Structurer des informations similaires pour pouvoir les manipuler de manière plus ou moins automatiques. 58) A propos de l’expression de contraintes lors de l’utilisation du solveur : o On doit travailler sur des cellules individuelles. o Certaines d’entre elles n’existent que pour assurer un résultat cohérent. o On ne peut pas utiliser des noms de cellules. o On doit les exprimer à nouveau pour toute nouvelle résolution demandée. 59) La programmation et l’exécution de macros consistent respectivement à : o Enregistrer des actions réalisées à la main et les modifier. o Sélectionner des objets (ou collections) et leur appliquer des actions (méthodes et fonctions). o Faire mémoriser des actions et demander de les réaliser automatiquement. o Sélectionner un blocs de cellule contigus et les copier/coller. 60) Les fonctions de bases de données : o Incluent les fonctions « Si(… ;… ;…) » et « et(… ;…) » o Référencent obligatoirement une zone de liste de données en paramètre. o Permettent de construire des tableaux croisés. o Ne permettent pas de construire de table d’hypothèse à partir d’une formule en contenant. 61) Les liens entre un tableau croisé et les données qu’il permet d’analyser : o Sont dynamiques et réalisent une mise à jour immédiate sur modification de la liste. o Sont dynamiques mais nécessitent une mise à jour demandée. o Ne permettent pas de mise à jour si les données changent. o Disparaissent à la fermeture du classeur utilisé.

62) La méthode SpecialCells d’ExcelBasic pour la cellule active permet d’obtenir : o La sélection en cours qui est la cellule active. o La cellule active qui n’est pas la sélection en cours. o Certaines cellules particulières de la feuille active. o Une sélection de cellules aléatoire. 63)La propriété Range d’ExcelBasic pour la feuille active représente : o La sélection en cours qui est la cellule active.

o La cellule active qui n’est pas la sélection e...