S5 Relations Economiques Internationales PDF

Title S5 Relations Economiques Internationales
Course Relations économiques internationales
Institution Université Rennes-II
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L3 S5 Licence AES Rennes 2...


Description

Relations Economiques Internationales. Docs sur cursus. Examen écrit d’1h30, 1 sujet au choix sur 2 sujets, questions transversales. Tirage au sort avec l’autre cours d’histoire des relations économiques peut être ? Examen début janvier. En pcp il y aura 4 chapitres. INTRODUCTION : Un paradigme est une façon de penser la réalité. Les économistes, à partir des réalités, fixent des outils pour pouvoir expliquer la réalité en question. Ces paradigmes vont évolués, c’est pourquoi on est passé du paradigme de l’économie internationale à celui de l’économie mondiale car il y a eu une modification des réalités (ex : mobilités des capitaux). - Paradigme de l’économie internationale qui s’intéresse aux interdépendances entre les Etats, il s’agit de voir les rapports économiques qui peuvent exister entre les Etats : conception traditionnelle des relations internationales. On se focalise sur la mobilité des biens et des services et à l’ensemble des systèmes monétaires définis par les Etats. - Paradigme de l’économie mondiale qui actuellement domine toute les réflexions, ce paradigme est beaucoup plus global en s’intéressant à la mondialisation. On s’intéressera au développement des firmes multinationales qui développent des stratégies qui vont contraindre les Etats à revoir leur politiques économiques, l’émergence de nouveaux acteurs qui de par leurs stratégies vont déterminer les rapports économiques entre tous les Etats. Sous l’effet de ces 2 phénomènes, on peut considérer que l’éco nationale aurait tendance à disparaitre pour laisser place à l’éco mondiale. - L’internationalisation est relative à la croissance des échanges matériels et immatériels entre pays. - Avec la mondialisation, il y a un phénomène d’ouverture croissante, mais aussi d’intégration croissante. Il n’y a pas de définition clairement arrêtée de celle-ci. Pour certains la mondialisation aurait commencé dès que les Etats ont commencé à échanger des biens, pour d’autres c’est arriver beaucoup plus tardivement. - La globalisation : Mais aussi pour certains la mondialisation et la globalisation sont la même chose, mais pour d’autres cela représente des processus de nature différente, la globalisation signifierait que les marchés globalisés fonctionnent comme un seul et même marché.

Chapitre 1 : Les grandes tendances des échanges Internationaux. L’objectif de ce chapitre est de faire un bref rappel des faits en matière de commerce international. L’intérêt de remonter dans le temps, c’est de permettre de comprendre les grandes évolutions qui ont pu caractériser ce commerce International (CI). Quand on parle de commerce international, on parle seulement des échanges de B et S. ce n’est donc que l’un des aspects du processus de mondialisation, mais s’en est un élément essentiel, qui va compléter les autre facteurs d’intégration éco, étant entendu que la mondialisation est un processus d’intégration croissante des écos nationales des unes par rapport aux autres. Une des difficultés qu’on a à l’heure actuelle, c’est que face à l’émergence d’un marché globalisé au niveau financier, les Etats ne se sont pas donné de structures de fonctionnement au niveau national. Depuis de très nombreuses années, la plupart des pays ont ouvert leur pays à leur éco au CI, que ce soit dans le cadre du système commercial multilatéral (càd l’OMC , qui régit les règles d’échanges des pays de l’OMC, elle ne fait que mettre en application des accords qui ont été négociés par les Etats), mais aussi dans le cadre d’accords de coopération International (càd l’UE), dans le cadre de libreéchange, ou dans le cadre de programme de réformes internes où les pays décident de lever un certains nb de barrières au CI. Cette question du CI et de la mondialisation peut être vue de 2 manières : - Vision positive du CI : Ceux qui y sont favorables, que cela a permis à certains pays d’augmenter leurs richesses. Cela permet des gains mutuels à l’échange. - Vision négative : Ceux qui n’y sont pas favorables, ce n’est pas un jeu à somme positive, car il y a des gagnants et des perdants, avec des échanges inégaux. Cela n’a fait qu’accroitre les inégalités de richesses dans le monde. La 1ère question est de savoir quel est le fondement de l’échange ? Pourquoi les pays échangent-t-ils ? La 2nde question est de savoir quel est le sens des échanges ? Quel pays échange quoi ? La 3ème question est de savoir comment se fait l’échange ? La dernière question est de savoir les termes des échanges ? Comment se répartissent l’échange ? Section 1 : Rappel historique du développement des échanges commerciaux. Le système commercial mondial préexistait avant, mais il prend son essor avec la révolution industriel, en raison tout d’abord des formidable progrès technologique, notamment dans les transports et les communications, qui vont permettre une très forte diminution des coûts de transport, mais aussi d’accroitre très fortement leur vitesse de déplacement. Ça réduit le coût de déplacement des marchandises, des capitaux, mais aussi de personnes à travers le monde. Cela à transformer l’appréhension de la distance, cette mort de la distance est un des principaux facteurs de mondialisation de l’éco depuis le 19ème siècle. Il y a aussi une redistribution des cartes au regard des types de mach échangés, mais aussi des types d’acteurs. Mais les forces politiques ont joués un rôle important dans la mondialisation, tantôt freinant, tantôt accélérant l’intégration des marchés mondiaux. Et parmi ces forces politiques il y a l’ensemble des accords multilatéraux noué entre les Etats, la création d’institution international voué à la l’essor du CI, notamment avec les accords de Bretton Woods, FMI, Banque mondiale, Accord du Gatt (sur le commerce et les tarifs douaniers, le système monétaire International à taux de change fixe). C’est l’interaction complexe entre les forces structurelles des écos, et y compris technologiques et politiques, qui expliquent les vagues successives d’intégration et de désintégration éco au cours des 2 derniers siècles. Il y a aussi des périodes de désintégration aussi du fait des récessions. La mondialisation est un processus qui s’étale dans le temps et qui s’accentue. Si la tendance à long termes va dans le sens d’une expansion du commerce et d’une intégration plus profonde des écos, des chocs géopolitiques ont périodiquement interrompus, ou inversés cette tendance à l’intégration croissante, comme par ex dans l’entre 2 GM.

§1 – le 1er Boom du CI : du 19ème siècle à la veille de la 1ère GM. C’est la 1ère vague de mondialisation. Ce début du 19ème a été un tournant décisif pour le CI. Dès le 17ème et 18ème une éco mondiale s’était dessiné, mais c’est véritablement avec la Révolution industrielle du 19ème que le CI va prendre son essor. Cela a déclenché l’expansion massive des échanges commerciaux, et des flux de capitaux et de technologies, mais aussi l’explosion des migrations internationales et des communications. Les 1ères théories de libéralisation des échanges sont nées en GB, avec leur boom industriel, sous la plume de Ricardo et Smith.  Théorie des avantages absolues de l’économiste classique Adam Smith (18e S), qui dans "La richesse des Nations" publié en 1776, explique que « Si un pays étranger peut nous fournir une marchandise à meilleur marché que nous ne sommes en état de l'établir nous-même, il vaut mieux que nous la lui achetons avec quelque partie du produit de notre propre industrie employée dans le genre avec lequel nous avons quelques avantages... » . Concrètement, selon Smith, le commerce entre deux pays serait mutuellement bénéfique si chaque pays se spécialisait dans la production des produits pour lesquels il détient un avantage absolu, c'est-à-dire s'il y consacrait toutes ses ressources. Le surplus de production causé par cette spécialisation servirait alors de "monnaie" d'échange pour obtenir un bien pour lequel le pays n'a pas d'avantage absolu.  La théorie de l'avantage comparatif (ou relatif) a été développée au 19e siècle par l'économiste britannique David Ricardo (1772-1823). Celle-ci explique que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production du ou des biens pour lesquels il dispose d'un avantage comparatif par rapport aux autres pays et à acheter les biens qu'il n'a pas produits. L'avantage est dit « comparatif » parce qu'il est envisagé par rapport aux autres pays et surtout par rapport aux autres biens que le pays est susceptible de produire. Cette théorie montre donc que les pays ont intérêt à se spécialiser même s'ils ne disposent d'aucun avantage absolu. C'est une théorie en faveur d'une division internationale du travail et du libre-échange. La spécialisation de chaque pays permet une économie de facteur travail favorisant les gains de productivité et la hausse du volume produit. Ex donné par Ricardo : les coûts de production du vin au Portugal représentent 66 % des coûts anglais (c'est-à-dire que cela revient moins cher d'un tiers de produire du vin au Portugal par rapport à l'Angleterre). De même, les coûts portugais pour le drap représentent 90 % des coûts anglais. L'Angleterre n'a donc pas d'avantage absolu par rapport au Portugal mais il est plus intéressant que l'Angleterre produise le drap et le Portugal, le vin, car les facteurs de production seront affectés là où ils sont relativement les plus efficaces Cela se prolonge avec les théories néo-classiques, avec l’idée que les pays vont échangés selon les avantages comparatifs : chaque pays va se spécialiser dans la production du bien où il a un avantage relatif. ILa nature des échanges. La 1ère phase d’accroissement spectaculaire des échanges a eu lieu au 19 ème grâce au progrès technologique des transports, mais aussi aux progrès technologiques dans la production, qui ont permis de produire à un moindre coût des quantités croissantes de marchandises, ou encore de produit manufacturés. D’où un impératif d’importation, notamment des Matières premières pour produire, mais aussi d’exportations pour écouler le surplus productif. Sur toute cette période, le

volume du CI se développe à un rythme beaucoup plus important que la production mondiale, il lui est 10 fois supérieur. IIL’orientation des échanges. Il y a une nouveauté qui apparait au 19ème, pour la 1ère fois va apparaitre un échange réciproque, reposant sur l’échange et la spécialisation internationale des pays. C’est un commerce monétaire établi sur les avantages comparés des pays en matière agricole et industriel. Alors qu’au 18 ème, on avait un commerce triangulaire qui s’était établis entre l’Europe, l’Amérique et l’Afrique, on échangeait les produits bas de gamme d’Europe, contre des esclaves d’Afrique, à leur tour échangé contre les produits agricoles d’Amérique. En Europe, il y avait le poids prédominant de la GB, qui à la veille de la 1ère GM représente 20% de ce CI, suivi de l’Allemagne et de la France. En 1913, le commerce intra européens représente 40% de ce CI, alors que les importations européennes de produits en provenance de pays tiers ne représentent que 25%, alors que les importations en dehors de l’Europe vers les pays tiers ne représentent que 15%. L’Europe est donc au cœur des ¾ du CI de l’époque. Ces exportations en pourcentages du PIB, cela passe de 1830 5% en 1830 à 16% en 1913. Ces pays européens exportent vers le reste du monde des produits manufacturés (représentent plus de 50% des exportations européennes au 19ème), marchandises. En contrepartie ils importent des produits primaires (produits agricole, minerais, charbon…), qui représentent en 1913 les 2 /3 des exportations mondiales, dont la moitié pour les produits agricoles. IIIL’ancienne DIT, Division International du Travail. Les pays à cette époque-là ont des exportations et des importations qui ne sont pas de même nature. Un aspect spécifique de cette DIT traditionnelle, c’est la colonisation. Les pays européens se sont constitués un espace impérial, sur lequel ils vont se replier lors de la crise de 1930. IVLes principaux facteurs. Au-delà du facteur technologique, il y a 2 autres facteurs de ce développement du CI : - La croissance éco : qui induit une hausse des revenus et de biens de consommation, mais aussi une augmentation de la D de matières 1ères et de biens d’investissement, en particulier dans les pays dis neufs comme les EU et les pays d’Amérique Latine. - Le développement du libre-échange : sous l’influence des idées libérales des classiques anglais et sous l’influence la politique libre échangiste de la GB. Il y a aussi la mise en place d’un système monétaire international à taux de change fixe basé sur l’or, l’étalon-or : considéré comme favorable car le prix reste le même. §2 – Le ralentissement de 1913 à la 2nd GM : la vague de « démondialisation ». La 1ère vague de mondialisation précédente était déjà en déclin quand la 1 ère GM a éclaté, ce qui a détruit non seulement l’ordre éco libéral prévalent, mais aussi la thèse selon laquelle l’intégration, l’interdépendance, et la prospérité fondé sur la technologie était suffisante pour maintenir la coopération Internationale et la paix. Et du coup le CI a été complètement désorganisé. Le système monétaire international fondé sur l’étalon-or s’est effondré. Les contrôles et les restrictions éco se sont généralisés. Et l’Europe qui était jusque-là au cœur de l’éco mondial s’est retrouvé dévasté et sans force. IUne période d’instabilité et de désordre économique. Cette instabilité et le désordre éco qui va marquer l’entre 2 GM, étaient dus à l’échec des tentatives des reconstructions des écos mondiales, et en partie dû à l’incapacité de reconnaitre que le monde éco d’après 1ère GM avait fondamentalement changé. Ça va être une période marqué par le manque de coopération. En particulier ont sous-estimé la difficulté de reconvertir les industries de Guerre,

ainsi aussi de trouver du travail pour les millions de soldats au chômage, mais aussi de faire face aux pénuries de matières 1ères et de produis alimentaires. Et une des conséquences importantes de la guerre a été de modifier la perception du rôle de l’Etat dans l’éco. Après la guerre il, y a de très forte pression pour que l’Etat continue de joué un rôle central pour gérer l’éco, pour promouvoir le plein emploi, la reconstruction et la justice sociale. Ces pressions nationalistes éco se sont heurtées aux pressions de de coopération internationales, avec les accords internationaux. Les difficultés éco d’après-guerre ont été aggravé par les difficultés financières, car face à l’instabilité financière généralisée et aux dévaluations compétitives, les pays ont maintenu ou rétabli les restrictions en matière de commerce et de taux de change, afin de freiner leurs importations et de consolider leur balance des paiements. Et quand les grands pays ont finalement décidé d’instaurer une version modifié du système de l’étalon-or en 1925, ils n’étaient pas certains de ce que devait être les parités entre monnaie après la guerre. Il en est donc résulté un déséquilibre entre les monnaies avec une livre sterling et un Fr Français qui étaient fortement surévalués. L’autre caractéristique de la période c’est l’absence de leadership éco et de coopération au niveau mondial, qui ont peut-être été le principal obstacle à la reprise éco dans l’entre 2 guerres. Et donc à la reprise du CI. Et un des facteurs qui a empêché cette coopération Internationale est la demande de réparation de guerre et de remboursement de l’emprunt, ce qui a sapé les efforts de redressement de l’Europe, et cela a compromis toute coopération internationale. Les EU n’ont pas réduit les obstacles aux exportations européennes, dont dépendaient le redressement de l’Europe alors qu’ils accumulaient encore plus d’excédents commerciaux. Et les prêts qu’ils ont consentis à l’Europe après 1924, n’ont fait que masquer les fragilités éco sousjacentes, et l’accentuation des déséquilibres mondiaux. Ce qui a joué fortement à l’époque, c’est l’effondrement de la bourse de Wall street du 24 octobre 1929, ce qui a révélé les faiblesses et plongé l’éco mondiale dans la grande dépression ( Cf : les raisons de la colère, Steinbeck). IIEntre montée du nationalisme/du protectionnisme et régression du CI. Sur cette période-là, la récession éco et le chômage ont été exacerbé par la montée du protectionnisme et du nationalisme éco. Et notamment avec le protectionnisme américain, qui a été impulsé sous la pression des agriculteurs, qui ont réclamés une protection contre la chute des prix et la concurrence étrangère. Ce qui a conduit les EU a adopté en 1930 une loi tarifaire appelé SmootHawley, qui a donc élevé les droits de douanes a des niveaux qui n’avaient jamais été atteints jusquelà, ce qui a conduit les autres pays a se retrancher derrière des barrières douanières et à se replier dans leurs blocs commerciaux. Cette guerre commerciale qui s’est livrés entre les pays a chambouler l’équilibre financier. En raison de ces obstacles au commerce, en raison de l’effondrement de la Demande, le CI s’est donc effondré pendant cette période, et il a perdu les 2/3 de sa valeur entre 1929 et 1934. Dans son analyse, Charles Kinderberger a expliqué que cette crise avait été profonde et durable, car ni les EU ni la GB n’a voulu assumé cette instabilité. Et en raison de l’expérience de la guerre et des turbulences de la guerre, les pays n’étaient pas très disposés à chercher des solutions coopératives. Et donc chaque pays à chercher à protéger ses intérêts nationaux, au détriment des intérêts collectifs. Ce qui n’a fait qu’accentuer l’effet de la récession éco. Cette période est marquée par une forte croissance du CI dans les années 192, avec une période de forte récession dans les années 1930.

La conséquence de la vague de protectionnisme généralisé et des dévaluations en cascade va se traduire par une redistribution des cartes entre pays. Cela va se traduire par le déclin relatif de l’Europe au sein du CI, au profit principalement des EU, qui prennent la 1 ère place. Le point de basculement se fait aux environs de 1938, où les exportations de produits manufacturés des EU représentent 20% du CI, ce qui est un poids équivalent à celui de la GB. Ensuite la GB voit sa part régresser. Globalement la structure du CI par groupes de produit ne se modifie pas, les produits primaires continuent de représenter les 2/3 du CI, et la DIT continuent à prévaloir. L’insécurité éco de l’entre 2 guerres a entretenu l’insécurité politique, aboutissant à la montée de l’extrémisme politique, à la disparition de la sécurité collective, à la course au réarmement, et enfin à l’éclatement de la 2nde GM. §3 – le 2ème Boom : de l’après 1945 à 1974. C’est la période des 30 glorieuses, c’est la 2nde vague de mondialisation. Après 1945, les échanges internationaux vont connaitre une vive expansion, surtout au sein des pays industrialisés de l’Ouest, car cette période coïncide aussi avec l’entrée dans la Guerre froide, donc les pays industrialisés de l’Est vont rester en dehors des flux commerciaux, mais c’est aussi la période de la décolonisation entrainant un affaiblissement du lien entre les métropoles européennes et les colonies. Cette période correspond à un processus de remondialisation, qui va reprendre à un rythme accéléré le chemin de l’intégration, qui avait été brutalement interrompus par les difficultés des années 1930 et la 2nde GM. Il y a quand une différence importante avec la 1ère vague de mondialisation du 19ème, car cette 1ère vague s’est accompagné d’efforts de coopération internationale mais sui restaient rudimentaires. Alors que la 2nde vague s’est accompagné d’efforts de coopérations internationales beaucoup plus importants Elle s’est basée sur la création des institutions internationales et des accords institués à Bretton Woods notamment avec la mise en place du FMI, de la Banque mondiale et de l’accord du GATT. IDes efforts de coopération éco Internationale. er Le 1 enseignement de l’entre guerre la été la prise de conscience que la coopération politique internationale et la paix durable dépendaient de la coopération éco internationale. Et ce sont les EU qui ont orchestré la mise en place de cette coopération internationale en prenant conscience que l’absence de coopération avec la dérive du protectionnisme économique avait conduit aux catastrophes d’entre-deux guerres ; Finalement ils ont voulu créer un nouvel ordre économique international fondé sur l’...


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