Sociologie : Contrôle social et déviance PDF

Title Sociologie : Contrôle social et déviance
Author Blandine COSTES ARGUS
Course Sociologie
Institution Université Côte d'Azur
Pages 22
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sociologie...


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CONTRÔLE SOCIAL et DÉVIANCE Déviance : transgression d’une norme en vigueur au sein du groupe social dans laquelle elle se produit. Mais ce qui est déviant doit être objectivé. La norme peut être une règle de politesse, une loi.. Une déviance peut être un vol, un meurtre, une insulte, une impolitesse… Norme : règle de conduite communément admise au sein d’un groupe social. = Il n’existe pas d’actes qui sont des normes ou qui sont déviants par essence. Ce qui est une norme quelque part ne l’est pas forcément ailleurs. ⇒ Ces définitions ne présupposent aucun contenu. La déviance, la norme et le contrôle social sont toujours relatifs au milieu dans lequel ils se produisent ou s’appliquent. La déviance ne passe pas inaperçue, l’acte déviant entraîne une réaction sociale (réprimande, amende, peine de prison..). Si généralement on ne commet pas d’acte déviant, c’est parce-qu'on a une connaissance des normes sociales en vigueur dans notre société ou groupe. Ces normes ont été acquises durant la socialisation. Tous les dispositifs qui mènent les individus qui se conformer à la norme relèvent du contrôle social.

Chapitre 1 : Le contrôle social I.

Comment et par qui s’exerce le contrôle social ?

Les sociétés ont tendance à se reproduire car des normes régissent la vie en société, permettent le lien social et les interactions. Le fait que ces normes soient généralement appliquées est le signe de l’existence d’un contrôle social. Contrôle social (= régulation sociale) : ensemble de pressions directes ou indirectes qui s’exercent sur les membres d’un groupe ou d’une société afin d’obtenir des comportements ou des attitudes adaptées ou pour corriger leurs écarts par rapport aux normes. Il en existe 2 dimensions : -

Pouvoir, contrainte, surveillance.

Relatifs au philosophe Michel Foucault Une certaine dimension du contrôle social est élaborée de façon à surveiller les comportements, à la contrôler et à les faire rentrer dans la norme. -

Intégration sociale.

Relatifs à Durkheim. Mais le contrôle social étant efficace, il génère de l’intégration sociale. Il existe de nombreux et divers moyens pour faire respecter la norme : violence, exclusion, justice, menaces, félicitations, encouragements, promotions.

A. Le contrôle social exercé par les individus eux-mêmes (interne) Les individus ont acquis les normes et les ont intériorisées par la socialisation. N. Elias L  a civilisation des moeurs 1939 On connaît une civilisation des moeurs progressive et continuelle depuis la fin du MA. Pour lui la civilisation signifie processus d’émergence et de développement de règles de civilité. Remarque qu’on parle de civilisation au sens culturaliste à partir du moment où les règles se généralisent au sein des sociétés occidentales. Réalise travail socio historique : à partir du 16ème siècle, des manuels de civilité émergent. Quand à la fin du MA la cours du Roi s’ouvre à la grande bourgeoisie et pas seulement aux nobles, la grande bourgeoisie va tendre à se comporter comme les nobles. Les règles de ces manuels dictent les comportement permettant de montrer son rang. Ces manuels accompagnent un processus de civilisation des moeurs que vont finir par intérioriser les individus qui les pratiquent. Ainsi les personnalités évoluent à mesure que les moeurs se modifient car les individus intériorisent les nouvelles normes. Ce processus consiste d’abord à refouler tout ce qui peut paraître à animal (gestion des fonctions corporelles, des passions = naissance de la pudeur). Apparaît alors la sensibilité sensorielle et affective (ex : on n’urine plus partout. l’évo des moeurs a donc un effet sur les sens = sensibilité aux odeurs). Ce processus s’est fait sur 5 niveaux : -

la politesse : courtoisie et évitement des conflits l’exclusion de toute forme de violence la maîtrise, voire la répression, des émotions. ⇒ suppose une autodiscipline, il faut être convaincu de l’intérêt de ce comportement

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la mise à distance, discrétion corporelle  : les moeurs valorisées à partir de la renaissance imposent une limitation des contacts corporels en dehors de ceux qui sont ritualisés (bise, serrage de main). ⇒ passe par le développement de la proxémie (règles implicites qui régulent l’éloignement des corps dans les interactions), ⇒ lié aussi au développement de la pudeur, y compris dans la sphère familiale. ⇒ changement des manières de tables (on ne mange plus dans le même plat, développement des couverts) ⇒ répression des fonctions corporelles : se cacher pour faire ses besoins, se moucher dans un mouchoir l’ obligation de se ménager une sphère privée : pour respecter les normes précentes, obligés de se construire cette sphère. On le voit comme une obligation mais aussi une opportunité de prendre conscience de soi.

⇒ Tout ceci a conduit à l’individualisation. La civilisation des moeurs engendre une distinction entre les civilisés et les non civilisés. Fait naître uen sensibilité ayant rapport à la honte, au dégoût… Entraîne une intériroisation des normes sociales. Les indvidus sont alors les premiers à exercer un contrôle social (interne). Fait naître aussi un contrôle social externe via une surveillance mutuelle. Impact en termes de lien social mais aussi de stratification social : toutes les catégories s’entendent sur des normes sociales permettant de vivre ensemble mais ce contrôle social permet aussi de consolider son rang social et de se distinguer des classes sociales inférieures. Ce processus de civilisation a aussi fait naître l’Etat comme une institution ayant le monopole de la violence. Dans La  dynamique de l’occident, Elias montre que à l’ère mdoerne les règmes de civilité devienent des contrats entre les idnvidus car les principes capitalistes tendent à contractualiser les échanges sociaux.

La socialisation est le processus de l’acuqisition des normes au sein d’un groupe. Elle apprend les règles à respecter et à faitre respecter. Elle permet aux individus d’adopter une autodisicpline (contrôle social interne). Durkheim ne parle pas de contrôle social mais sa théorie en parle sans le nommer. Il parle de coercition, de contrainte sociale. cf doc distribué

Il illustre la contrainte sociale par la violation de la loi mais également des entorses aux règles de l’habillement, le fait d’utiliser la langue et la monnaie du groupe. Il explique comment tout ce qui peut faire objet de la sociologie peut être lu en terme de contrainte social. Cela est du au fait que la société, à travers le processus de socialisation, réalise une éducation morale sur les individus. La morale est un ensemble d’idées relatives au convenable, au non convenable, au permis, à l’interdit. L’éducation morale est cruciale, se réalise dans la famille mais surtout à l’école. L’école est pour Durkheim en mesure d’inculquer les normes à tous les citoyens leur permettant de vivre ensemble. Il parle des conséquences du non respect des règles sociales. Ex : si on ne s’habille pas comme il faut, on fait rire. Si on ne parle pas la langue, on est mis à l’écart. Ainsi, la sanction sociale est constitutive de la contrainte sociale. C’est la réaction sociale qui valide ou réprime un acte, un comportement, une attitude. La moquerie et la peine en sont des exemples. Il existe également des sanctions sociales positives. Le contrôle social s’exerce tout autant au moyen de sanctions négatives que positives. Il rapproche les règles de la loi des règles de l’habillement, d’où deux types de contraintes sociales : B. Le contrôle social externe 1. Le contrôle social informel -

celles qui s'exercent dans les interactions : le contrôle social informel. Il s'exerce au cours des interactions sociales de la vie quotidienne, il a un caractère non institutionnel. Prédominant dans les G1 comme la famille ou les groupes de pairs. Il régule à travers et par les interactions sociales. Il vient de l’intérieur du groupe. Les groupes ont donc tendance à s’autoréguler. Il s’exerce par des sanctions informelles positives (sourire, cadeau, félicitations) et négatives (réprimande, froncement de sourcils, rires moqueurs…). Il observe les conduites au prisme des conventions et de la conformité.

R. Ogien dans “Sanctions diffuses, sarcasmes, rires et mépris” : ces sanctions s’appliquent dans l’ordre des interactions. Difficiles à quantifier. Durkheim a fait passer les sanctions informelles pour une version atténuée de la répression pénale. Mais ce n’est pas seulement ça, il répond d’un autre ordre de la vie sociale.

Exemple : E  lias et Scotson Les  logiques de l’exclusion 1965 Monographie d’une ville de banlieue, 3 groupes sociaux observables. Ceux installés depuis plus longtemps prennent le dessus dans la hiérarchie sociale à niveau de capital éco égal, en faisant circuler des rumeurs et en excluant les nouveaux venus. Le contrôle social informel s’affaiblirait. Son efficacité est souvent remise en question car la société se différencie de plus en plus. Le fait de ne pas se reconnaître dans les individus qu'il côtoie fait qu’on a pas tellement de normes communes. Donc, le G1 est beaucoup moins présent dans les sociétés modernes. Il dominait dans les sociétés traditionnelles. Aujourd’hui, le CSF va se développer comme une nécessité. 2. Le contrôle social formel -

celles qui sont institutionnalisées (loi) : le contrôle social formel.

Il est assuré par des groupes sociaux et des institutions spécifiques (justice, inspection du travail, ordre des médecins…) Ses sanctions s’énoncent le plus souvent sous forme écrite et impersonnelle (règlement, code). Leur nature est variée : sanctions administratives (blâme, promotion), religieuses (pénitence), juridiques (amendes, prison). Il est organisé et spécialisé. Essentiellement exercé par le G2. Les sanctions formelles sont organisées, prévues. Il est principalement exercé par l’Etat mais aussi des groupes secondaires tels que l’entreprise, la mafia. Il a longtemps été assuré par les instances religieuses. Mais dans les démocraties modernes il est largement défini par l’Etat, concerne les crimes, les délits mais aussi d’autres transgressions de normes comme les insultes, les bagarres, le fait de fumer dans un lieu public, de taguer… L’ETat régule maintenant des normes qui autrefois étaient réglées par le groupe primaire. La modernité et l'individualisation de la société correspond au moment où le contrôle social formel s’étend. Ce CSF est effectué par des organes spécialisés investis de l’autorité par le détenteur du pouvoir. Les organes spécialisés qui l’exercent sont légitimés dans leur tâche de faire respecter les normes en vigueur.

Weber (n’emploie pas la notion de contrôle social, mais domination) ⇒ L  es normes sont donc efficientes pcq elles sont légitimes. Cette légitimité est maintenue par le pouvoir en place. Le groupe social dominant peut mettre en place sa domination pcq il détient les instruments de la violence légitime ( police, justice, armée) L’utilisation de cette violence est un dernier recours pour l’Etat. Le fait que ces institutions soient légitimes imposent néanmoins un ordre Cette légitimité s’appuie sur 3 fondements (cf science po) Dans les sociétés modernes, le contrôle social qui s’impose est légitimé par des fondements légaux-rationnels. Durkheim et Weber se rejoignent sur le fait qu’il existe des institutions sociales qui peuvent imposer des règles et les faire appliquer. Durkheim envisage le CS à travers l’éducation morale, Weber pense plutôt le CS en termes de domination et de légitimité.

Conclusion CS interne (autocontrôle via la socialisation) et CS externe (informel via les sanctions diffuses appliquées par les G1 et informel appliqué par des institutions sociales légitimées par leurs fonctions)

II.

Quels sont les effets du contrôle social ? cf texte mucchielli

Durkheim et Elias postulent un affaiblissement du CSI du à la division du travail social, à la modernité, à la complexification des relations sociales… Entraîne la diversification des modes de CS. Moins régi de façon spontané, tentative de formalisation des moeurs. On constate donc une extension du domaine du CSF illustrée par l’extension du droit dans des domaines allant jusqu’à l’intime. Ex : droit de la famille, du travail. D’autres groupes sociaux peuvent codifier leurs propres règlements mais dans le cadre prévu par l’ETat. Aujourd’hui, des normes relevant du CSI relèvent du CSF. Ex : interdiction de fumer dans les lieux publics. Le CS peut donc être réfléchi en termes de pouvoir, de surveillance. La criminologie a fourni des analyses du CS visant à donner des clés de résolution de la délinquance aux PP.

Cette discipline se réclame de la théorie du choix rationnel : la plupart des criminologues et des sociologues s'intéressant partent du postulat que les personnes qui contreviennent aux règles sociales ont choisi rationnellement de le faire. M. Cusson “L’effet structurant du contrôle social” : a mis en lumière ce qui peut dissuader les transgressions normatives. S’est demandé dans quelle mesure le CS influence t il le comportement des délinquants et le dissuader. Relève 4 mécanismes pouvant dissuader le délinquant : - les mécanismes de CS rendent difficile la réalisation des délits, (ex : mettre une serrure sur une porte) - les mécanismes qui augmentent les risques auxquels s’exposent les délinquants, (ex : peines plus importantes pour délits les plus problématiques) - les mécanismes qui font baisser les espérances de gain des délinquants (ex : caisses régulièrement vidées), - les mécanismes moraux qui discréditent les actes délictueux et qui y associent des sentiments de culpabilité et de honte (concerne + le CSI) (ex : fraude fiscale) ⇒ effet structurant de ces mécanismes qui réduisent la fréquence de certains crimes, rendent obsolètes certaines tactiques criminelles (voiture difficile à faire démarrer). Limites : orientent les délinquants vers des cibles plus vulnérables (on braque + un petit commerçant qu’une banque) JL Loubet Del Bayle 2005 “Vers une monopolisation policière du contrôle social ?” Prend pour exemple des termes qui qualifient les nouveaux services de police dans les sociétés modernes : - “police de proximité” pouvait être représentée comme une police de prévention + que de répression qui pouvait se retrouver à gérer + des incivilités que des crimes. Exemple : loi de 2004 pour interdire les rassemblements dans les hall des immeubles. ⇒ loi visant à réduire les incivilités et non les crimes. Cette nouvelle mission de la police a donc amené une représentation ambiguë de la police dans l’opinion publique. ⇒ La judiciarisation des incivilités a amené la police a une représentation ambivalente. Le contrôle social peut aussi en venir à contrôler les corps : c’est le bio-pouvoir (M.  Foucauld). Exemple : obligation de vaccination, encadrement de l’IVG. Dominique Memmi Faire vivre et laisser mourir 2003 : montre comment l’Etat enjoint les individus à prendre soin d’eux car il est chargé du contrôle de la santé publique. Notamment bio-pouvoir sur le corps des femmes qui veulent avorter, sur les personnes en soins palliatifs souhaitant abréger leurs souffrances. Le développement du bio-pouvoir entraîne une nécessité de justification des individus pour disposer librement de leur corps.

G.T Marx 1988 “La société de sécurité maximale” : développement de différentes technologies de CS. Les techniques et l’ethos de la prison s’imposent de façon douce à l’ensemble de la société. L’observation permanente, la surveillance de chaque personne sont des méthodes de CS qui ont toujours été réservées aux criminels. Dans les 80’s, l’ensemble des citoyens accepte pourtant d’être régi par ces normes. La société de sécurité maximale a 6 dimensions : - elle est programmée : préventive. Ex : la ville de Nice a été approchée par une start up souhaitant vendre un logiciel de reconnaissance faciale décryptant les expressions faciales pour prévoir des délits. - elle accumule des données - elle est prédictive : elle s’appuie sur l'intelligence artificielle pour prédire des évènements - elle est poreuse : tout devient visible, fuites d’informations continue. Ex : réseaux sociaux - elle est basée sur l’autosurveillance : les individus en sont les premiers acteurs ⇒ remplissent souvent eux-mêmes les bases de données. - elle est soupçonneuse : part de l’hypothèse que les individus sont potentiellement coupables.

Autre effet : la stigmatisation renvoie un ind ou un groupe soc à une de ses caractéristiques socialement construites comme négatives, indignantes. EX : la mise en place de politiques sécuritaires de “tolérance 0” peut produire de la stigmatisation. R. Giuliani à  New York : politique tolérance 0 . Le but de cette politique est de dissuader les personnes potentiellement délinquantes de commettre ces actes en multipliant les contrôles. Ainsi, la moindre incivilité peut conduire à interpellation et dressement d’un PV. Utilise les techniques de surveillance. Policiers + présents dans l’espace pub de façon physique et symbolique et technologique (caméras). Les amènent à multiplier les contrôles en fonction de catégories souvent subjectives. Cela amène notamment à réaliser des contrôles d’identité au faciès. cf F. JObar : les contrôles d’identité à paris se focalisent pas forcément consciemment sur certaines catégories sociales (hommes jeunes maghrébins ou noirs). Ex : les shaming penalties. Aux USA, certains états autorisent ces sanctions qui affichent le nom et ma photo des délinquants. (ex : fichier des délinquants sexuels) But : renforcer le CS. Limite (effet pervers) : stigmatise les personnes ayant commis des dates délinquants même s'ils ont payé leur dette, provoque difficultés de réinsertion.  n 1975 a travaillé sur comment les ind La notion de stigmate a été développé par I Goffman e s'accommodent du stigmate.

Ce stigmate disqualifie les ind lors des échanges sociaux car quand on est en interaction avec une personne stigmatisée on la considère comme “pas tout à fait humaine”; On en a pas les mêmes attentes et on ne la considère pas comme notre égale. Peut amener des comportements négatifs ou excessivement bienveillants. La stigmatisation amène les ind à mettre en place certaines stratégies comme tenter de masquer son stigmate, inverser le stigmate (assumer son stigmate et tenter de le construire comme positif) ex : dire qu’avoir fait de la prison a permis de prendre du recul - se regrouper avec d’autres personnes stigmatisées, cela permet d’oublier le stigmate dans leurs rapports courants et de se construire des normes valables pour cette communauté. Mais cela nécessite de gérer les rapports avec la société majoritaire. Ce type de stratégie consistant à produire des sous-cultures stigmatisées peut amener les individus à militer pour leurs droits.

Chapitre 2 : La déviance. Déviance : transgression d’une norme en vigueur au sein du groupe social dans laquelle elle se produit. C’est ce que le CS est sensé limiter, sinon annuler. Définition de M  . Cusson “ ensemble des conduites et des états que les membres d’un groupe jugent non conformes à leurs attentes, normes ou valeurs et qui de ce fait risquent de susciter de leur part réprobation et sanction”. ⇒ la notion de jugement souligne qu’il existe un dynamique morale allant de la simple transgression à la réaction sociale (sanction) éventuelle. ⇒ la notion d’attentes permet de voir qu’il y a des comportements attendus, les ind peuvent se montrer indignes des attentes du groupe de façon involontaire. On peut être déviant par incapacité à se conformer aux attentes. ⇒ les valeurs (idéaux collectifs vers lesquels il faut tendre) jouent également un rôle aux côtés des normes. Le rapport entre normes et valeurs fait que les normes sont en fait des règles qui tentent de faire se r”aliser ces idéaux collectifs = les normes découlent des valeurs. Ex : on a comme valeur le respect d’autrui. Des normes en découlent : politesse, loi visant à respecter l’intégrité physique, propriété privée.. La déviance peut être atteinte aux valeurs Déviance VS délinquance, crime : ces notions sont en relation mais la délinquance es...


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