TD HFE - Notes de cours 1-7 PDF

Title TD HFE - Notes de cours 1-7
Course Histoire des faits économiques
Institution Université de Paris-Cité
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Ensemble de notes de cours des td du cours d'HFE
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SEMESTRE 1 : HISTOIRE DES FAITS ÉCONOMIQUES/TD DOSSIER N°1 : Les fondements méthodologiques

Introduction : Opposition et complémentarité entre l’histoire et économie Contrôle : 27 octobre en TD L’histoire économiques est au carrefour de deux disciplines, l’histoire et l’économie. Ces deux disciplines ont pourtant des principes méthodologiques différents. è Quel statut l’histoire des faits économiques détient entre les deux disciplines ?

L’Histoire est une discipline empirique, elle est liée à l’expérience. Cette discipline ne peut exister sans faits historiques. Elle n’est pas considérée comme une discipline historique. Les historiens collectionnent des documents et les trient en les regroupements par thématique. L’Histoire n’a pas besoin du recours au concepts des autres sciences sociales. Elle peut cependant appliquées certaines approches et certains concepts statistiques. L’Économie est une discipline théorique. Sans la théorie, l’économie ne serai que de la géographie économique. Elle n’a pas vocation de décrire un système économique, elle cherche à interpréter le fonctionnement général de l’économie. Les économistes dégagent de grandes lois qui aboutissent aux prescriptions politiques économiques, des problèmes. Ils vont alors chercher à les résoudre. L’économie est une science à vocation normative. Cela signifie qu’elle s’intéresse à ce qui devrait être plutôt à ce qui existe dans la réalité. « Il n’y a pas d’économie de politique sans politique économiques ! » Le recours de l’histoire est seconda ire pour les économistes. Ils vérifient leurs modèles et leurs théories à travers l’histoire. Cependant, si les faits diffèrent de la théorie, celle-ci ne sera pas remis en cause par les économistes. Du côté de l’histoire, on assiste à un rapprochement avec l’économie. Au début du XXème siècle, Lucien Febvre et Marc March fonde l’école des annales. Pour les historiens de ce courant, l’histoire doit être une histoire globale, elle ne doit pas se limiter à l’évolution des institutions politiques. L’histoire englobe tout ce qui se relève des infrastructures fondamentales de la vie sociale dont l’économie fait partie. L’histoire doit englober l’histoire des mentalités. Au milieu des années 80, un autre mouvement historique proche de l’économie voie le jour. Ce courant s’intitule l’histoire quantitative et a eu beaucoup de succès aux Etats-Unis. Un des principes de ce mouvement est d’appliquer les méthodes de l’économie que ce soit l’économétrie ou la statistique au passé. Cela leur permet de reconstituer les systèmes économiques de façon chiffrer. Cette méthode rencontre tout de même un obstacle, celui du manque de donnée quantitative. Leurs évaluations sont parfois imprécises. Malgré tous, l’histoire quantitative a apporté beaucoup d’information à l’économie et à la recherche des économistes.

Grâce à l’école des annales et l’histoire quantitative, l’histoire a fait de l’économie une de ses préoccupations premières. Les histoires et les économistes adoptent une approche similaire. Le rapprochement permet un dialogue entre les deux disciplines au delà de leurs différences méthodologiques.

QUESTIONS : 1) Quels liens existent-t-ils entre cycles et conjonctures chez Kondratieff ? 2) Comment s’intitule chez Kondratieff les cycles longs et les cycles courts ? 3) Qu’est-ce-qui distingue les crises traditionnelles d’ancien régime des crises industrielles modernes ? 4) Qu’est ce qui fait due à Jean-Marie Gaillard « que la révolution industrielle en tant que période d’apparition de la grande industrie est bien plus qu’une simple révolution technique ? 5) Pourquoi le thème de la révolution industrielle est-il mal adapté et ne dois pas être au pied de la lettre ? 6) Quels sont les liens entre les révolutions démographiques agricoles et industrielles ? 7) Quelles crédibilités accordées à la thèse de l’accumulation primitive chez Marx ? 8) Peut-on construire une typologie des crises économiques ?

Correction questions : 1) Quels liens existent-t-ils entre cycles et conjonctures chez Kondratieff ?

L’état de conjoncture dépend de la phase du cycle, par rapport aux phases de hausse et de baisse de celle-ci. La conjoncture pour Kondratieff est une étude de la situation de l’économie sur une courte période, son étude relève de la dynamique économique. La dynamique économique, l’étude de l’économie en fonction de sa variation au cours du temps, s’effectue selon un double perceptif qui implique une double distinction méthodologique. Les deux perceptives étudiées correspondent aux changements quantitatifs et aux changements qualitatifs et implique la distinction entre des phénomène reproductibles ou réversibles et des phénomènes irréversibles. La thèse paradoxale de Kondratieff est que l’étude de la conjoncture relève plutôt d’une logique de changements quantitatifs et d’autre part, la conjoncture relève de phénomènes reproductibles et réversibles. Le cycle économique relève de changements qualitatifs et relève de phénomènes non reproductibles et donc irréversibles. L’étude de la conjoncture en tant que phénomène quantitatif et reproductible et le cycle en tant que phénomène qualitatif et irréversible peut paraître paradoxale. L’opposition entre un cycle et une conjoncture est tranchée pourtant les deux appartiennent à la dynamique économique. Conjoncture à inverse cycle à Un cycle est une répétition d’un même mouvement de manière périodique. Ce qui est contraire à la conjoncture qui peut paraître comme un événement ponctuel et irréversible. La vision de Kondratieff paraît donc paradoxale. On peut alors se demander pourquoi Kondratieff a cette vision des cycles et des conjonctures ? Ce paradoxe provient du fait que Kondratieff va privilégier sa propre théorie des cycles longs par rapport aux autres théories proposées sur les cycles. Kondratieff est l’auteur et le premier économiste qui stipula l’existence de cycles longs, de 45 à 50 ans. Si on étudie le caractère cyclique de l’économie, on remarque qu’entre chaque cycle, on assiste à des changements techniques et fondamentaux. Les changements sont donc des changements

qualitatifs qui introduisent un phénomène d’irréversibilité. Cette conception du cycle n’a de sens qui si l’on identifie le cycle à une cycle long. En faisant cela, Kondratieff. fait abstraction des autres types de cycles.

Les différentes théories sur les cycles : La première théorie des cycles de l’histoire de l’économie est celle des cycles moyens, les « Business cycles » de Clément Juglar (XIXème siècle). L’existence des cycles moyens et des cycles des affaires est incontestable, ils sont vérifiables empiriquement avec la succession de crises entre 18 20 et 1914. La théorie des cycles moyen met en relation l’investissement en capital fixe et la durée du cycle. D’après cette théorie, la durée du cycle est en lien avec la durée d’amortissement (le remboursement progressif) du capital fixe. C’est le temps qui permet à un agent économique de revenir au capital de départ. Durant la crise, la durée d’amortissement était de 10 ans, elle est de 5 ans Il existe une deuxième théorie des cycles, celle des cycles courts. À l’origine, se sont des cycles d’investissements. La crise est le résultat d’un phénomène de surinvestissements. L’arrêt des investissements provoque le retournement de la conjoncture. Le désendettement des entreprises permet la reprise, celle-ci vont être rachetées. Tout cela va faciliter la solvabilité des entreprises qui va amener de nouveau des investissements et permettre la reprise. Les cycles courts de Kitchin (1905-1906) sont liés aux politiques de stockage et de déstockage. En période de croissance où la demande adressée aux entreprises augmente, celles-ci vont vouloir répondre aux fluctuations de la demande avec la possession et l’accroissement de leur stock. Le taux de croissance de la production est alors supérieur à la demande. Lorsque la demande ralentie, les entreprises produisent moins Ces mouvements de stockage et de déstockage sont la cause des cycle courts, celle-ci sont de durée moyenne. La théorie des cycles longs de Kondratieff repose sur un schéma, à l’origine des cycles longs est investissement. À la différence des cycles moyens les investissements à l’origine des cycles longs sont des investissements qui impliquent des dépenses de capitales élevées et qui nécessitent une immobilisation du capital sur un long terme. Les cycles longs sont générés par un cycle d’investissement dans des biens capitaux essentiels qui interviennent dans l’infrastructure globale d’un pays par exemple dans construction des chemins de fer. L’amortissement de ces infrastructures est répartie sur 50 ans minimum. Les investissements dans les voies de communication/transports. Ces investissements génèrent beaucoup d’emploi et tire la croissance vers le haut, elle génèrent beaucoup d’activité. Lorsque ces investissements diminuent en intensité et lorsque les premiers investissements ont fini d’être réalisé, il n’y a plus de capital pour investir. On passe alors à la phase descendante. L’épargne se développe dans la phase descendante et va permettre de réinvestir et ainsi de repartir sur une phase ascendante. La théorie Kondratieff va être reprise par Schumpeter. Il va modifier sa théorie en montrant que ce sont des grappes d’innovations qui provoquent de nouveaux investissements et qui vont être susceptibles de relancer l’économie. On passe alors dans une phase de croissance de long terme. Ces deux visions des cycles sont complémentaires.

2) Comment s’intitule chez Kondratieff les cycles longs et les cycles courts ? Les cycles longs sont les cycles de Kondratieff. Dans chaque cycle moyen, il existe des cycles courts. Kondratieff conçoit l’articulation entre sa propre théorie des cycles longs et les cycles de Juglar. Cette articulation est compliquée puisque Kondratieff la conçoit selon un principe d’asymétrie où les cycles s’emboîtent. Kondratieff va supposer que dans la phase ascendante d’un cycle long, il existe deux cycles moyens, l’un plus long avec une croissance plus forte et l’autre avec une période de croissance moyenne. Cette conception soulève des problèmes : • Il ne propose pas de schéma unitaire des cycles. Il ne propose pas de théorie générale permettant l’articulation des cycles qui aboutirait à une théorie unitaire des cycles. Personne n’a proposé une théorie satisfaisante de l’emboitement des cycles. • De plus, ça manière de concevoir les cycles longs est problématique. Parmi les trois cycles, une seule est entièrement vérifiable empiriquement, il n’est pas contesté. Le cycle court est beaucoup plus difficile à faire apparaître, tous les économistes ne sont pas convaincus par l’existence des 2 cycles. D’autre part, les cycles longs sont le résultat d’une construction statistique qu’on peut considérer d’artificielle. Il prend 14 variables économiques fondamentales et pour chaque variable calcule son « trend », son taux de croissance en cherchant à le rendre le plus long possible. Pour son étude, Kondratieff se heurte aux manques de données En fonction de ce « trend », K. met en évidence l’écart positive par rapport à la moyenne. Puisqu’on a un écart positif sur une durée d’au moins, il y a forcément un écart négatif sur la même durée. K. élabore cette construction sur cela. Pour éliminer les irrégularités, il va faire un lissage statistique : moyenne mobile sur 9 ans = gommer fluctuation de long terme. Le problème est artificielle articulation des cycles par rapport aux autres. Il n’y a aucun cycle qui commence exactement la même date. Un cycle par variable. Aucun cycle ne commence à la même date. Il existe un grand flou dans la théorie de Kondratieff sur le départ et la fin d’un cycle long. Il prend toujours un intervalle pour le début de chaque cycle. Ce flou montre la difficulté de construire une théorie des cycles longs. L’existence des cycles longs reste encore problématique.

3) Qu’est-ce-qui distingue les crises traditionnelles d’ancien régime des crises industrielles modernes ? Il existe cinq caractéristiques qui distinguent ces deux types de crises : • Leurs causes : cause crise d’ancien régime est de nature exogène (accidents climatiques) alors que dans les crises industrielles modernes, les causes sont endogènes, elle est suscitée par les … de l’économie • rise industrielle moderne sont des crises de surproduction Crise d’ancien régime crises de manque de capacité de stockage - crise ancien régime sont suivi par hausse de prix/spéculation. Système de sous production - les crises d’ancien régime origine agricole, crise moderne origine moderne - crises ancien régime localisé (pas généralisé), contre dimension nationale/internationale (exemple : effet crise sur conjoncture mondiale) Crises d'Ancien Régime : crise de sous production agricole du fait des mauvaises récoltes, intempéries, guerre la p° insuffisante se traduit par une hausse des prix des produits

alimentaires en quantité insuffisante. L'alimentat° accapare l'essentiel du revenu des ménages modestes, d'où une diminution de la demande adressée à l'artisanat. La P° artisanale baisse et entraîne une hausse du chô. Crises modernes : vers la moitié du 19e s, crises de surproduction, agricole et industrielle. Lorsque la D. ralenti du fait d'un krach boursier par ex, les producteurs n'arrivent plus à écouler leurs P°, donc baisse leurs prix et leur profits. L'économie plonge dans la déflation.

C'est l'historien Ernest Labrousse a qui on doit la distinction entre les crise d'ancien régime et les crises modernes.

Le salaire réel diminue quand le salaire nom est constant et les prix augmente Dans les crise d'AR les crises ont un aspect local car elle touche une région victime d'un incident climatique Ce qui génère une diffusion internationale des CIM sont du au commerce international (surtout si elle touche la puissance économique dominant). Cette typologie de E . Labrousse est tjr actuelle mais il faut cependant la relativiser à la lumière en raison de l'apparition en 74 – 75 d'un type un peu nvx de crise économique caractérisé par le phénomène de stagflation. Stagflation : apparition simultanée de crise de stagflation économique (baisse production augmentation chômage) et qui donne une poussée inflationniste ; augmentation des prix. R. Boyer J. Mistral Pour eux ce qui explique le caractère inflationniste du au changement du mode de régulation au niv du mode salariale (compromis fordiste) Compromis qui veut qu'en échange de la liberté laisser aux entreprises d'organisé la P° pour permettre une augmentation permanente des gains de productivité les entreprises s'engagent a augmenter le salaire proportionnellement a l'augmentation de la productivité ainsi qu'a l'inflation. La tendance de la pdté du L c'est d’être tjr à la hausse → Productivité horaire apparente du travail (seul mesure du progrès technique, de l'augmentation totale) Elle a été seulement 2x a la baisse en 1941 (guerre) et 2009 ( crise Subprimes) ce qui montre la gravité de la crise de 2009.

Ce compromis fordiste s'est mis à l'avantage sociaux des salariés et ont conduit à une rigidification du rapport salarial qui a son tour à conduit à une diminution de la vitesse d'ajustement de l'emploi à la V° de la P°-> origine de la poussée inflationniste ex : tx d'inflat° au RU = 23% Italie = 23% Japon = 25% France = 15% USA = 9% RFA = 6% Les po de flexibilité ont été mené dans les grands pays industrialisé et ont permis la vitesse d'ajustement aux V° de la P°. La flexibilité consiste au développement des formes atypiques d'emploi, L précaire, développement de l'intérim, temps partiel, intérimaire... La crise de 92 - 93 on assiste a une crise presque aussi grv que la crise de 74 bien qu'on en parle pas bcp aujourd'hui mais au niv de la baisse du PIB ya une baisse + forte mais a la #ce de 74 – 75 on assistera pas a une envolée des prix, les prix resteront stable et donc en 92 93 on revient a une forme de crise industriel moderne du a l'introduction de dose massive de flexibilité permet aux entreprise la vitesse d'ajustement aux N du aux V° des entreprise L'introduction des flexibilités s'est facilité grc au chômage. On n’est pas revenu a la régulation concurrentielle du capitalisme du 19e s (sans protection sociale, sans droits collectif accordé aux salariés etc.) et le capitaliste fordiste des 30 glorieuses.

4) Qu’est ce qui fait dire à Jean-Marie Gaillard que « la révolution industrielle en tant que période d’apparition de la grande industrie est bien plus qu’une simple révolution technique » ? La RI est un changement quantitatif caractérisé par une accélération de la P°. La croissance était légèrement supérieur a 0 avec la RI on atteint des tx de croissance de la P° qui sont supérieur à 1% et atteint même 2% sans parler de la Chine qui a atteint 10% (pdt 35ans) Tx de croissance de la RI estimé entre 1.5 et 2% Ce changement quantitatif a donné lieu à des changements de nature qualitative tout simplement car si on reprend la méthodologie de Kondratieff « il n'y a pas de changement quantitatif sans changement qualitatif ». Ce changement qualitatif est un changement radical dans le mode de P° proprement dit, et ce changement est la somme de 3 transformation majeures : • Changement d'ordre technique : apparition de nvx types de machines. Avant les machines étaient dépendantes de l'énergie humaines. Ce nouveau type de machine sont des machines actionnées par une source extérieur étant la vapeur et le charbon. Une des machines extrêmement célèbres qui existe dps l'antiquité sont les moulins à eau et moulins à vent → utilisation d’une cour d'eau pr obtenir une force mécanique et ainsi obtenir un L. Les moulins à eau et à vent ont permi une augmentation de la pdté notamment au niveau de P° de la farine. Ex new machine : Machine a vapeur permet un contrôle de la force de L que celle ci peut produire, on peut contrôler la force que l'on veut obtenir puis elle produit un mouvement mécanique + régulier que le mouv mécanique utilisé par le mouv humain ou source d'énergie naturel, elle accroit la force productivité du L humain et est de

meilleur qualité. Un inconvénient a la machine a vapeur : celle ci doit avoir une certaine dimens° pr être efficace ; impossible d'utilisé la machine a vapeur pr une utilisat° demandant une énergie faible, dans ce cas rien ne vaut l'électricité. Sans l'électricité il n'y aurait pas eu d'électroménager ni d'introduction de machine dans les habitations des individus. •

Changement du cadre ou de l'organisation de la P° : avec le passage d'un mode de P° dispersé artisanale effectué sur la base du L manuelle à un système de P° concentré et mécanisé = le passage du « domestic system » (P° à domicile dans le cadre familial qui relève une P° artisanale et manuelle) au « factory system » (système concentré, DT , et nouveaux instrument mécanique de P°). #ts types de « domestic system » ou « P° à domicile » : la P° artisanale purement individuel qui aujourd'hui s'est préservé dans certain secteur, existe surtout au secteur locale d'artisale et de produit alimentaire (boulangerie). Autre type de P° artisanale ; un artisan qui devient dépendant du négociant fabriquant qui lui vend la matière 1re et le négociant lui rachète le produit fini. Historiquement on a assisté au passage du domestic system au factory system. Le domestic s'introduit dans la P° artisanale lorsque lartisan est dans l'incapacité de commercialisé lui meme c qu'il a produit tt simplement car les débouché sont éloigné ils doit de se remettre à un commerçant, négociant . L'artisan devient sous traitant du négociant, le négociant devient petit a petit « négociant - fabriquant ». Petit a petit il y'aura le passage au factory system, lorsque les artisans vont devoir s'endetter car la conjoncture n'est pas tjr régulière, quand il ya crise les négociant arrete de commander aux artisans = artisans au chômage. Les artisans s'edete au près des négociant , puis la dette devient important elle ne peut etre rembourser. Les négociant vont effacer la dette en echange de l'achat des instruments de l'artisan, ils deviennent donc propriétaire des outils. Les négociantq peuvent facilement rassembler les artisans dans une usine et donc une DT et l'introduction des machines Ceci...


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