Travail de session Analyse de candidats 18 octobre 2017 PDF

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Comportement organisationnel : l'individu...

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TRAVAIL DE SESSION SÉLECTION D’UN CANDIDAT – MUNICIPALITÉ DE MARIEVILLE

Rédigé par : SAMUEL BELJAARS DESTINÉE PERRAULT-HARVEY CÉDRIC PLANTE MICHAEL PRINCE JONATHAN ST-LAURENT PERRON

Travail présenté à : M. JÉRÔME VIGNEAULT

Université du Québec à Trois-Rivières Comportement organisationnel : l'individu Cours GPE-1012-E3 - Automne 2017 Mercredi, 18 octobre 2017

Profil psychologique des deux candidats a) Deux besoins prioritaires à satisfaire au travail selon la classification de Maslow La pyramide des besoins de Maslow est une théorie selon laquelle, les besoins de chaque individu peuvent se présentés de façon pyramidale. Celle-ci divisée de façon hiérarchique. Les besoins de base – soit ceux à la base de la pyramide - se doivent d’être comblés avant que ceux des rangs plus hauts puissent même être envisagés. De bas en haut ses catégories sont les besoins physiologiques, besoins de sécurité, besoins d’appartenance

et

d’amour,

besoins

d’estime

et

finalement

les

besoins

d’accomplissement de soi. Cette dite théorie est née du principe que pour atteindre un certain seuil de motivation, les besoins primaires (les plus importants selon lui) devaient être satisfaits. En a donc découlé l’analyse suivante pour nos les candidats que nous nous devons d’évaluer dans le cadre de ce projet. André Leblanc 1- Le besoin de reconnaissance et d’estime 2- Le besoin d’appartenance Dans le profil d’André, plusieurs de ses caractéristiques portent à croire que ses deux besoins prioritaires à satisfaire au travail sont celui de reconnaissance et d’estime ainsi que celui d’appartenance. Premièrement, on définit le besoin de reconnaissance et d’estime comme étant le besoin de recevoir de certaines personnes de son entourage des signes de reconnaissance positifs. Déjà, il compte parmi ses proches une femme depuis 11 ans et maintenant 4 enfants à l’intérieur de sa famille. Il désiré favoriser le développement de soi et de ses enfants par l’implication « […] dans tout type d’activités sociales, culturelles ou sportives ». De plus, il recherche un emploi ou il pourra être utile et apprécié. Il se doit d’être aussi satisfait de lui-même que ses supérieurs. Il en fait mention lui-même lors de son entrevue « Au travail comme ailleurs, j’aime aller au fond des choses. Je ne laisse jamais un dossier ou un projet avant d’être entièrement satisfait des résultats ». Avec des tâches déjà très variées, il cherche à participer à la définition des tâches de chacun et d’échanger avec autrui. Il croit fortement que l’on « […] peut comprendre les besoins de nos clients et 1

c’est aussi de cette façon qu’on se fait de bons amis au travail comme à l’extérieur […] » par le biais de la communication. Il n’est pas surprenant que pour André, la qualité des relations humaines et organisationnelles est tout aussi importante que la tâche à réaliser. Le pouvoir et le succès ne sont pas s’est principaux défis, mais plutôt l’équilibre entre les exigences du travail et celles de la vie sociale et familiale. André se veut de « […] rendre service aux autres en faisant de son milieu un endroit où il fait bon vivre et travailler.» Vient ensuite le besoin d’appartenance. Celui-ci se caractérise par le besoin de savoir que l’on compte pour les autres. Les signes positifs sont les éléments premiers pour satisfaire ce besoin : l’être humain va être prêt à faire beaucoup pour en recevoir. À ce propos, André est impliqué dans une organisation bénévole qui vient en aide aux personnes dans le besoin, depuis déjà plusieurs années. Selon lui, ces activités ne devraient pas être considérées comme des tâches, mais plutôt qu’elles soient effectuées de façon naturelle. Comme le besoin d’appartenance est un des éléments qui définit Mr. Leblanc, le bénévolat s’inscrit comme une responsabilité sociale et combiné à ses autres activités « […] forment un heureux complément à sa vie familiale et professionnelle.» André soulève l’importance pour lui d’évoluer dans une organisation qui lui offre une liberté décisionnelle. Malgré son plaisir à communiquer avec ses collègues et avec ses patrons, il se considère lui-même davantage travaillant et efficace à l’intérieur d’un système qui « […] limite au minimum les contraintes organisationnelles […] » Il ne cherche pas l’ascension professionnelle, mais davantage de poursuivre dans sa spécialisation. Claude Mercure 1- Besoin de réalisation de soi 2- Besoin de reconnaissance et d’estime À l’antipode d’André, se trouve Claude, le 2e candidat. Commençons par son besoin de réalisation. Ce besoin est défini comme étant le besoin d’affirmer d’une manière personnelle son caractère unique, de réaliser ses potentialités et ses dons. Plusieurs aspects présents dans le profil de Claude confirment ce besoin. En effet, sa recherche d’autonomie, de pouvoir et de succès professionnel n’en sont que quelque uns. Mr. Mercure cherche à profiter de la vie à son maximum et « […] d’apporter une 2

contribution importante à la vie des entreprises. » C’est pour l’atteinte de cet objectif que Claude considère le travail acharné, les nouveaux défis et la conscientisation de ses responsabilités, les seuls moyens efficaces. Ses efforts personnels à eux-seuls peuvent le faire gravir les échelons. Selon lui, « C’est de cette façon (en ayant un sens pratique et les deux pieds sur terre), qu’il est possible d’avoir des entreprises vraiment rentables » En ce qui a trait à son besoin de reconnaissance et d’estime, il n’est pas unique de posséder ce besoin. Chacun ressent un certain besoin d’être reconnus. Or, dans ce cas-ci, il tend davantage vers l’égoïsme, l’orgueil et la compétitivité personnelle. En plus d’avoir un lieu de contrôle interne, Claude affiche une grande confiance en ses capacités et leurs accordent une grande valeur. Comme le mentionne son entretient, « Claude voit dans son travail une façon de mettre à contribution tout son potentiel. Il dit éprouver une grande satisfaction quand il réussit à solutionner des problèmes qui, au départ, peuvent paraître insolubles. De plus, il aime la compétition et prouver qu’il est le meilleur. » De plus, en ce qui a trait à l’enrichissement de soi et de ses connaissances, « […] l’an dernier, il s’est inscrit à un certificat de premier cycle en administration. » Il présente des caractéristiques propres au besoin de reconnaissance. Par exemple, son sentiment de sécurité comblé par l’approbation et le soulignement de ses réussites par ses supérieurs. Son entretient en faisant mention ainsi « Il avait l’impression qu’on ne lui faisait pas confiance et qu’il s’enlisait tranquillement dans la monotonie d’un « travail pépère ». b) Les deux systèmes de valeurs dominantes par la classification d’Allport En ce qui a trait aux valeurs individuelles d’un individu, la classification des valeurs humaines d’Allport met l’accent sur six champs d’intérêt. On y retrouve ainsi les champs théorique, économique, esthétique, social, politique et finalement religieux. Maintenant, pour chacun des candidats, nous avons choisi les deux systèmes de valeurs qui avaient prédominance sur les autres. Pour André Leblanc, il s’agit du champ social et théorique et pour Claude Mercure, nous parlons du champ politique et économique. André Leblanc

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Premièrement, il convient de faire la définition de ce qu’est un champ social. Il s’agit en effet d’un certain intérêt véhiculé envers autrui et envers l’amour représentant une autre dimension des relations humaines. Dans la vie d’André, le champ d’intérêt social est très développé. En effet, il est possible de le déduire par les exemples suivants ; Les évaluations révèlent également qu’André aime beaucoup rencontrer les gens et échanger avec eux. « C’est de cette façon, dit-il, qu’on peut réellement comprendre les besoins de nos clients et c’est aussi de cette façon qu’on se fait de bons amis au travail comme à l’extérieur. Et pour moi, de véritables amis, c’est précieux » On peut comprendre ici que Mr. Leblanc est un homme qui apprécie être en contact avec les gens qui l’entourent. De plus, le fait d’échanger avec eux lui permet de comprendre avec efficacité ce qu’ils ont réellement besoin pour le travail à effectuer. Donc, il devient facile pour lui de faire un bon boulot sachant clairement et précisément de quoi ses clients ont besoin. L’action de se familiariser avec ceux-ci rend son travail plus simple et amène peut-être même à développer des amitiés à court ou long terme avec les clients. Pour André, la qualité des relations humaines au travail est tout aussi importante que la tâche à réaliser. Selon lui, pour affirmer avoir réussi dans la vie, il s’agit d’être transparent envers qui l’on est, « […] de se donner un style de vie qui permette l’équilibre entre les exigences du travail et celles de la vie sociale et familiale. La réussite professionnelle n’exclut pas le bonheur, et il est possible d’obtenir les deux si l’on s’en occupe sérieusement. Il suffit de bien connaître ses priorités et d’investir son talent dans des causes importantes où l’on peut rendre service aux autres en faisant de son milieu un endroit où il fait bon vivre et travailler. » L’entretien de Claude fait mention que pour lui, les relations humaines sont aussi importantes que la tâche à réaliser. Alors, celui-ci accorde une importance aussi élevée à son client qu’au travail qu’il a à effectuer pour celui-ci. Le fait d’accorder autant d’importance aux clients démontre de façon efficace la valeur du champ «social» dans la vie de Mr. Leblanc. De plus, celui-ci met beaucoup d’accent sur un équilibre professionnel, social et familial. Il souligne ainsi que son bonheur personnel est le résultat d’un équilibre où ses priorités et ses talents sont affichés en premier plan. Pour lui, sa 4

sociabilité lui permet de rendre le milieu où il travaille plus serein et où on peut facilement s’épanouir. « André s’implique depuis plusieurs années dans une organisation bénévole qui vient en aide aux personnes dans le besoin. Pour lui, ces activités sont tout à fait naturelles. Elles relèvent d’une responsabilité sociale et forment un heureux complément à sa vie familiale et professionnelle. » Le fait d’effectuer naturellement ce genre d’activités bénévoles nous démontre que Mr. Leblanc, en plus de vouloir s’impliquer dans sa communauté, veut propager son amour pour les gens en les aidant à subvenir à leurs propres besoins. Le « naturellement » vient mettre de l’avant le fait qu’il ne se sent pas forcer de faire ces activités, mais bien qu’il les fasse par pure plaisir et par engouement. Socialement parlant, pour lui, il est important d’aider son prochain et s’est par cette entraide qu’André sent qu’il peut se réaliser et qu’il obtient au final une vie comblée par sa famille, par son travail, ainsi que par sa contribution sociale. Ensuite vient le champ théorique. Celui-ci se définit comme étant l’intérêt pour une quête de la vérité fondée sur la raison et la pensée rationnelle. Un tel champ pourrait être soulevé, pour leur désir qu’ « Une fois leur situation financière stabilisée, ils envisagent tous deux de faire fructifier leur argent pour prendre une retraite assez jeunes et profiter de la vie et aussi pour permettre à leurs enfants de faire des études universitaires, s’ils le désirent, et de s’impliquer dans tout type d’activités sociales, culturelles ou sportives qui favorisera le développement de leur personnalité. ». Ou encore qu’ « Il est important pour lui d’évoluer dans une organisation qui lui offre, […] la possibilité d’évoluer dans un contexte où il puisse agir en toute liberté et faire les choses à sa façon. » . Ces affirmations ne sont pas reliées directement au champ théorique mais un désir d’approfondir ses connaissances et celles des autres est perceptible. De plus, comme le champ social en fait mention, il présente un intérêt pour autrui à travers la plupart de ses activités et qualifications. Le champ rationnel prime clairement sur l’émotif. Claude Mercure

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Définissions tout d’abord ce en quoi consiste un champ politique. On parle de champ politique lorsque l’on marque un certain intérêt pour le pouvoir et la persuasion. « La façon de s’y prendre consiste, selon lui, à assumer des responsabilités, à relever des défis et à gravir, étape par étape, les échelons dans une organisation en s’appuyant sur ses efforts personnels et ses succès. » Cet extrait démontre bien les qualités requises afin de gravir des échelons et ainsi obtenir un poste en tant que cadre d’une entreprise. Ce poste de cadre est aussi grandement associé à la possibilité de pouvoir, un pouvoir sur les autres particulièrement. De plus, il met l’emphase sur ses efforts et succès personnel et non sur un travail d’équipe ou son leadership l’aurait distingué des autres. Dans cette même ligne d’idée, Claude semble être quelqu’un de centrer sur lui-même et qu’un profond désir teint sa personnalité et ses techniques de gestion. « Je suis un homme d’action. Je n’aime pas attendre après du monde qui traîne. Il faut que ça bouge !». Nous pouvons ici bien sous-entendre qu’étant donné qu’il n’aime pas attendre après les autres, il pourrait être tenté, dans une telle situation, de persuader ceux-ci de se dépêcher et par le fait même de devoir bâcler leur travail afin que Mr. Mercure ne soit pas pénalisé par leur retard. De plus, « il aime la compétition et prouver qu’il est le meilleur. En fait, la compétition et la victoire sont, d’après lui, les aspects les plus excitants de son travail. Il se sent efficace seulement lorsqu’il se sent constamment mis au défi par des problèmes de taille ou des situations compétitives « car à ces moments, dit-il, je dois puiser en moimême toutes les idées à partir desquelles je trouverai des solutions vraiment originales ». Cet extrait nous mène à croire que, puisqu’il aime la compétition et qu’il n’est poussé que par celle-ci, son seul but est de se prouver lui, afin d’obtenir la victoire. Nous pouvons noter aussi qu’il ne se sent efficace que lorsqu’il est dans une situation compétitive. En effet, cela le représente à merveille, par contre, on y retrouve encore son désir de pouvoir, son désir de vouloir se mettre en valeur lui et seulement lui. Souvent, afin d’obtenir la victoire il faut persuader ces adversaires que notre façon de faire est la meilleure, malheureusement, dans cette situation, ces adversaires sont aussi ses collègues.

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« Dans les faits, on remarque qu’effectivement, Claude se démarque de ses collègues par l’excellence de son travail et impose de cette manière son leadership dans le groupe qui, d’une façon générale trouve que ce dernier « pousse un peu fort ». Ses compagnons de travail trouvent souvent difficile de faire valoir leurs idées devant les arguments bien arrêtés de leur collègue qui, plus souvent qu’autrement, adopte des positions radicales et inflexibles sur la façon de gérer les dossiers qui leur sont confiés. » Le fait de se démarquer par son excellence auprès de ses collègues est une très bonne chose en soi, par contre, d’imposer un niveau de travail qui ne convient peut-être pas à tous ses coéquipiers n’est pas une bonne manière de faire valoir son leadership. Le pouvoir d’un bon leader est de motiver son équipe à atteindre des buts communs, tout en respectant le rythme de chacun. Dans cette situation, il utilise son pouvoir pour imposer un rythme aux autres et ceux-ci se plaignent même qu’il «pousse un peu fort». De plus, il tente, par la persuasion, de démontrer à ses collègues que ses idées sont les meilleures et dès qu’ils tentent d’émettre les leurs, Claude se ferme à ceux-ci et adopte une position radicale et inflexible ne permettant donc pas aux autres de s’exprimer librement. Alors, le pouvoir qui lui est conférer par l’excellence dans son travail le met davantage dans une position de dictateur que dans une position de leader d’un groupe. « Selon lui, on n’y reconnaissait pas suffisamment son potentiel et on ne lui confiait pas assez de responsabilités et de défis de taille Et, aujourd’hui encore, il n’hésiterait pas à laisser son emploi actuel dont le salaire et les autres conditions le satisfont pleinement semble-t-il, pour un poste où il pourrait mettre à profit tout son talent. » Encore une fois, comme dans le premier extrait, on retrouve des tâches associées à un poste de cadre, mais cette fois-ci, il dit avoir quitter ses derniers emplois puisqu’on ne lui confiait pas ces tâches, donc on peut comprendre que pour Claude le fait de ne pas obtenir de pouvoir dans une organisation le mène à quitter ses fonctions et rechercher un emploi qui finalement pourrait lui offrir la liberté et le pouvoir qu’il recherche éperdument. Pour ce qui est du champ économique, il s’agit d’un intérêt pour tout ce qui est utile et pratique, y compris l’accumulation de bien. Comme le souligne son entretient, « Claude 7

et son épouse sont de grands amateurs de voile, d’excursions et de ski et profitent de la plupart de leurs moments libres pour s’adonner à ces activités de plein air avec des amis.» Ainsi, ce que représente le champ économique pour ce candidat est une des priorités de sa vie. Ce champ pourrait aussi être associé à son coté compétitif, voir égocentrique. c) Les 5 valeurs les plus importantes par la classification de Rokeach La classification de Rokeach est divisée en deux grandes catégories, soir les valeurs instrumentales et les valeurs finales. Les valeurs terminales sont les moyens qu’un individu va prendre pour atteindre ses buts alors que les valeurs finales sont, quant à elles, les choix de ses buts et de ses objectifs de vie. Voici donc le portrait des deux candidats que nous nous devons d’évaluer selon cette approche. André Leblanc 1. Sécurité familiale (Valeur finale) Cette valeur est très importante pour André, il est primordial pour lui de prendre soin de sa femme, avec qui il est marié depuis 11 ans, et de ses quatre enfants. L’extrait suivant démontre ce point assez explicitement : « Une fois leur situation financière stabilisée, ils envisagent tous deux de faire fructifier leur argent pour prendre une retraite assez jeune et profiter de la vie et aussi pour permettre à leurs enfants de faire des études universitaires, s’ils le désirent, et de s’impliquer dans tout type d’activités sociales, culturelles ou sportives qui favorisera le développement de leur personnalité. » 2. Liberté (Valeur finale) André est un homme qui adore la liberté, mais surtout l’indépendance professionnelle et la possibilité de prendre les choix qu’il désire. Tel que mentionné ci-haut, il rêve de pouvoir prendre sa retraire jeune et d’être indépendant financièrement. Les deux extraits suivants illustrent cette valeur importante pour André à leur tour : « Et cette dernière, comme il l’a souvent exprimé à ses patrons, vaut la peine d’être poursuivie dans la mesure où elle lui permet de mener sa vie comme il l’entend. » et puis « Il est important pour lui d’évoluer dans une organisation qui lui offre, en plus d’une stabilité financière et géographique, la possibilité d’évoluer dans un contexte où il puisse agir en toute liberté. »

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3. Volonté d’accomplissement (Valeur finale) Ce candidat prône les réalisations durables, telles que le bénévolat, l’investissement dans la scolarité et la personnalité de ses enfants. Dans cet extrait, il est clair que la volonté d’accomplissement fait partie de la vie d’André depuis un bon moment : « À ce propos, André s’implique depuis plusieurs années dans une organisation bénévole qui vient en aide aux personnes dans le besoin. Pour lui, ces activités sont tout à fait naturelles. Elles relèvent d’une responsabilité sociale et forment un heureux complément à sa vie familiale et professionnelle. »

4. Capacité (Valeur finale) Pour André, le fait d’être efficace et compétent au travail est essentiel. Il excelle dans ce qu’il fait, car il le fait avec soin et dans le but de remettre un travail de qualité supérieur, tel que mentionner dans l’extrait suivant : « Dans ces rapports, on souligne en particulier la qualité élevée de son travail et la minutie avec laquelle il prépare les comptes rendus de ses opérations. Rien ne lui échappe. Et comme il l’...