Travail et technique fiche de révision PDF

Title Travail et technique fiche de révision
Course Philosophie
Institution Lycée Général
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Fiche de révision sur le travail et la technique au programme de terminale. contient définitions, théorie d'auteurs, tableaux récapitulatifs....


Description

Travail et technique Intro : → Progrès technique semble consister en un accroissement continu de nos possibilités d'action, autrement dit de notre liberté. → À l'inverse, travail = souvent perçu comme une contrainte, qlq chose de pénible, certes nécessaire, mais dont on aimerait bien se débarrasser. => Peut-on considérer comme une bonne chose le fait de ne plus pouvoir se passer d'un objet technique comme le téléphone portable ? => La question mérite donc notre intérêt : le travail et la technique nous libèrent-ils, ou au contraire, nous aliènent-ils (voire nous mettent-ils en danger) ? I. Définitions et origines du travail et de la technique : quels liens entre les deux ? 1. Qu'est-ce que le travail ? Est-il le propre de l'homme ? → L= - une activité - transformatrice d'un donné - utile - consciente - création de valeur pr autant qu'il y a utilité à cette création, qu'elle profite à qlqu'un. → Pr Marx, spécificité du L humain réside ds le fait que l'homme =, selon lui, le seul être vivant qui a conscience du but qu'il cherche à atteindre par le L, du projet qu'il s'efforce de réaliser. → Cf. texte de Marx, Le Capital, 1867 → Gilbert Simondon : "Le travail = l'activité humaine par laquelle l'homme réalise en lui-même sa médiation entre l'espèce humaine et la nature" => L devient ce qui permet à l'homme non pas seulement de nier le donné naturel (ce en quoi consiste l'activité transformatrice), mais aussi de nier ce qui en lui relève de la nature. Cela amène certains à dire que par le travail, l'homme nie son animalité. → Cf. texte de Bataille, L'Érotisme → En définissant L comme ce qui permet de transformer le donné naturel, on rejoint la notion de technique. En effet, celle-ci n'est-elle pas ce qui permet justement de maîtriser la nature ? 2. Qu'est-ce que la technique ? Quelle est son origine ? a. Définition du terme - Technique : ensemble de savoir-faire (ou de procédés) permettant l'obtention de résultats déterminés, càd conformes à des projets, ds des domaines divers, que ce soient ceux de nos activités de la vie courante ou ceux d'un domaine spécialisé (d'un art, d'une science ou d'un métier). → Pierre Clastres définit par ex la technique comme : "l'ensemble des procédés dont se dotent les hommes […] pour s'assurer une maîtrise du milieu naturel adaptée et relative à leurs besoins." → La technique = aussi le mde des objets techniques (= ensemble des objets et procédés qui permettent à l'homme de transformer la nature pour satisfaire à ses besoins). → Si on réunit les différents sens du mot "technique" => on peut dire que technique = à l'origine de la culture humaine, càd de la domination de la nature. → Ms on sait ajd que de nbreuses espèces animales ont développé des techniques leur permettant, comme l'homme, de mieux maîtriser leur environnement. b. Origine de la technique. Rapport entre science et technique. Distinct° pratique/technique. → Depuis fin XVIe / début XVIIe, techniques ont pris leur point de départ ds des connaissances scientifiques. → Auparavant : existait techniques davantage reliées à savoir-faire qu'à connaissances théoriques.

→ C'est avec Galilée que conception de la science change : Galilée = ingénieur militaire à Venise, fonction = construire machines efficaces + résistantes, ms = aussi un très grand savant qui marque historiquemt + théoriquemt 1 nvelle manière de penser physique à partir des machines. => Ce n'est donc que récemment (depuis trois ou quatre siècles) que technique et la science = dans une dépendance réciproque. → Principes de la rationalité technique = les mêmes que ceux de la pensée scientifique parmi lesquels le principe d'économie + de simplicité qui conduisent à poser sans cesse la Q de l'optimisation : comment obtenir le résultat cherché au meilleur coût. → La technique, càd, émergence et la construction d’objets destinés à agir sur la nature, est donc, à la base, le produit de l’inadaptation de l’homme. → Pour l’homme, émergence technique = bien la sortie hors de la nature, et une modification de la relation qu’il entretient, en tant que conscience, avec l’extériorité. c. Les objets techniques → Si la technique ne se ramenait qu'à l'ensemble des savoir-faire, = + judicieux de parler des techniques. → On emploie encore ajd le terme au singulier car la technique désigne aussi ensemble matériel produit par les savoir-faire : = objets techniques. → 3 types objets techniques : - Les outils : déf que donne Hans Jonas: "Un outil est un objet inerte fabriqué artificiellement, à dessein, qui va être interposé, en médiateur, c'est-à-dire en tant que moyen, entre l'organe corporel qui agit (le plus souvent la main) et l'objet extracorporel sur lequel s'exerce l'action." → Les outils = dc le prolongemt du corps humain, ils dépendent de gestes techniques, incorporés, qui supposent 1 apprentissage. → les outils sont des médiatisations de l'action. On peut par ailleurs les distinguer des instruments, qui peuvent être définis quant à eux comme "l'objet technique qui permet de prolonger et d'adapter le corps pour obtenir une meilleure perception". L'instrument = dc "outil de perception". - Les machines : d'après Simondon, = la forme la + générale de l'individu technique. indépendantes des actions et de l'énergie humaine, elles exécutent des tâches que l'homme ne pourrait accomplir sans elles, ou bien pas aussi vite, ni si précisément ; ms elle restent confinées à des projets précis, définis par les ingénieurs. - Les robots : disposant de programmes informatiques "souples", ainsi que de "sens artificiels" (l'équivalent d'un "voir" ou d'un "toucher"), ils peuvent s'adapter à des déplacemts, à des pièces, à des tâches différentes. Cpdt, demeurent dépendants des programmateurs. → Gilbert Simondon précise qu'il y a trois niveaux de l'objet technique : l'élément, l'individu, et l'ensemble. 3. Lien et distinction entre travail et technique → On ne peut pas penser une technique sans travail, ni un travail sans technique → Tout travail nécessite le recours à une technique → Hannah Arendt → distinction entre travail et œuvre : En tant qu'animal laborans (animal travailleur), l'homme = soumis aux cycles vitaux du L par lesquels il doit sans cesse entretenir + renouveler la vie. En tant qu'homo faber (animal fabricateur d'outils), il fabrique des œuvres techniques qui construisent un monde stable et durable. → L = activité qui correspond au processus biologique le plus fondamental → La logique du L = celle, biologique, de la répétition et du cycle sans fin, où ce qui est produit doit être immédiatement consommé. → Ns travaillons pr besoins vitaux : faim, soif, ... → Or ceux-ci se renouvellent perpétuellement, c'est pq L suit la même logique.

=> L = le domaine de l'éphémère, de ce qui ne dure pas. C'est pq le travail est une activité qui ne connaît jamais de fin. → Le geste technique, au contraire, fabrique des objets destinés à durer. Si le travail est le règne de l'éphémère, la technique est celui de la durabilité. → Arendt critique cependant la modernité pour avoir brouillé ces distinctions : si la technique, essentiellement, = construction du monde humain, son assujettissement à la logique du L conduit à la perte du monde (world alienation). => cf. texte de Hannah Arendt, La condition de l'homme moderne "Aujourd'hui on ne ravaude plus les vêtements, on n'affûte plus les ciseaux, on ne répare plus les montres, on préfère changer de voiture automobile plutôt que de changer de moteur, on ne fait plus durer les choses car elles ne sont plus faites pour durer et perdurer" → Gilbert Simondon insiste lui aussi sur la différence entre le travail et la technique, même si sa justification diffère quelque peu de celle d'Hannah Arendt. → Pr Simondon, L = un médiateur entre l'homme (entendu comme humanité) et la nature. II. A quoi servent le travail et la technique ? (le travail et la technique : pour quoi faire ?) 1. Subvenir aux besoins vitaux par la maîtrise de la nature → "Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus." Saint-Paul, Seconde épître aux Thessaloniciens, III, 10. → Comme l'écrit Bergson, "d'une manière générale, le L humain consiste à créer de l'utilité". → Pr Bergson, tte action humaine (et le travail en particulier) a comme origine 1 insatisfaction. → On agit car on se propose un but, si on recherche qlq chose, = car on en ressent la privation : "Toute action vise à obtenir un objet dont on se sent privé, ou à créer quelque chose qui n'existe pas encore." => L permet dc ds 1 premier tps de subvenir aux besoins vitaux. → La technique associée au L permet maîtrise de la nature. Cf. Descartes : "se rendre maître et possesseur de la nature". → Ms si au départ, homme ne travaille que pour satisfaire ses propres besoins vitaux, L = très vite dévié de ce but primitif, notammt qd il s'agit de travailler non plus seulemt pr soi-même, ms pr autrui. → = ce que montre Pierre Clastres lorsqu'il analyse rapport des hommes au L ds sociétés primitives, & l'apparition d'un L "aliéné" qui coïncide justemt selon lui avec la disparit° de la société primitive. → cf. texte de Pierre Clastres, La société contre l'État => On voit dc que but recherché dans L peut être multiple, que selon but que l'on prend en cpte, sens + la valeur du L changent. 2. Sens et valeur du travail : différentes situations a. Le travail comme contrainte → "Le travail, c'est ce qu'on ne peut pas s'arrêter de faire quand on a envie de s'arrêter de le faire." Boris Vian → "La meilleure preuve que le travail n'enrichit pas c'est que les pauvres travaillent sans fin." Jean d’Ormesson (1959). → Pierre Clastres explique: chez indiens des tribus amazoniennes, L = perçu comme 1 nécessité (dont on aimerait bien se passer) + = réduit au min (environ 4 h/ jour), et le reste du tps = employé à des activités où hommes trouvent 1 réel plaisir. → L'étymologie du mot fr "travail" désignait à origine 1 "instrument de torture". Littéralement, il s'agissait d'une machine faite de trois (tri) pieux (palus). → De même,"travailler" a d'abord signifié "tourmenter, peiner, souffrir", notammt en parlant d'1 femme qui va accoucher. C'est d'ailleurs le seul sens du mot jusqu'au XVIe siècle. → Si ajd L cpte parmi valeurs auxquelles Européens attachent 1 gde importance, histoire du mot L montre qu'il n'en a pas tjrs été ainsi. → Ds mde grec, L suscitait d'abord mépris car exprimait 1 rapport de subordination.

→ Il s'opposait alors à liberté + était incompatible avec exercice de la citoyenneté. → cf. texte de Hannah Arendt, La condition de l’homme moderne → Ds récit de la Genèse : L = décrit comme 1 punition, celle du péché originel. → Jusqu'à la fin MÂ, L = pas valorisé. Significations perdurent à travers la théologie chrétienne (Tu travailleras à la sueur de ton front) et l'éthique protestante. En de rares circonstances, L évoque fait de voyager (anglais : travel). → Plutôt connoté négativemt, au Moyen Âge, terme "L" est d'ailleurs bcp - utilisé qu'ajd. b. Le travail valorisé → "Il ne manque à l'oisiveté du sage qu'un meilleur nom, et que méditer, parler, lire et être tranquille s'appelât travailler." Jean de La Bruyère, Les Caractères → A partir XVIIe et XVIII s, voix commencent à se faire entendre pr considérer L comme 1 antidote efficace à l'oisiveté et à la pauvreté. → "Un homme n'est pas pauvre parce qu'il n'a rien, mais parce qu'il ne travaille pas" Montesquieu écrit dans L'Esprit des lois → D'autres philo des Lumières,ex Rousseau , ft du L l'instrument de civilisat° + de fondemt de la citoyenneté. → Révolution industrielle achève de mettre le L au centre de l'organisation sociale. → Adam Smith, en 1776, le décrit, dans La Richesse des nations, comme la source légitime de richesse. → Pr Marx, L a 2 significations : = ce par quoi l'homme s'émancipe de la nature + désigne aussi bien le labeur du paysan, l'art de l'artisan que le travail de l'ouvrier. Ms ds éco capitaliste, devient source d'aliénation. → Aujourd'hui encore, la représentation dominante du travail oscille entre ces deux visions. c. Le travail permet à l'homme de se réaliser → Le processus qui était à l'œuvre ds cps de concentration, et + encore ds camps d'extermination nazis, était un processus de déshumanisation. Or, le statut du L révèle à la fois son côté avilissant et son côté valorisant, selon la nature du travail fourni. → " […] il est horloger de son métier, [...] travaille ds la mécanique de précision. Cela fait de lui un des rares détenus à avoir conservé cette dignité + cette assurance qui naissent de l'exercice d'un métier ds lequel on se sent compétent". → Ici, L permet à l'homme de se réaliser en tant qu'homme. Ms à l'inverse, le travail peut devenir un esclavage et même tuer, de sorte que les prisonniers en arrivent à préférer les coups au L. → Bruno Bettelheim expose lui aussi ce dble statut du L : "Les nvx prisonniers en particulier étaient contraints d'accomplir des tâches absurdes […]. Il se sentaient avilis […] et préféraient un travail, même plus dur, qui produisît quelque chose d'utile…" →Michel Del Castillo : "Le L était devenu parfaitement inutile. On recommençait des gestes qui n'avaient ni sens ni but. À la fatigue du labeur physique s'ajoutait la rage de savoir que ce que l'on faisait ne servait à rien et que l'on ne travaillait même pas." => On voit donc bien qu'il y a deux types de travail : un travail qui a du sens, et qui confère sa dignité à l'homme, et un travail qui n'en a pas, et par là-même avilit l'homme. 3. Le progrès technique facilite la vie III. Le rapport à l'objet technique → def de la technique ns a fait dire que technique = avant tt utilitaire. Or, Simondon s'oppose à cette vision de l'objet technique comme purement utilitaire. Selon lui, il existe 2 rapports possibles à objet technique : un rapport d'utilité et un rapport de compréhension.

→ Ds premier rapport, homme reste extérieur à obj technique, et = pr cette raison, qu'il peut se retrouver aliéné par celui-ci. Ds deuxième rapport, il y a compréhension de l'obj technique, càd que homme s'approprie réellemt l'obj technique. → On peut ajouter 1 autre rapport à l'obj technique : le rapport de dépendance. Ds mesure où obj techniques effectuent à notre place certaines tâches ou ns permettent d'effectuer de nouvelles tâches, permettent d'assouvir un certain nbr de besoins que nous sommes incapables d'assouvir sans eux. En ce sens, obj technique peut apparaître comme 1 mal plus que comme 1 bien. IV. Le travail et la technique : progrès ou dangers pour l'homme ? 1. Le temps de travail : travail et loisir → "Il faut travailler, sinon par goût, au moins par désespoir, puisque, tout bien vérifié, travailler est moins ennuyeux que s’amuser." Baudelaire, Mon coeur mis à nu : journal intime (1887) → Pierre Clastres : ds sociétés primitives, L prend peu de temps, loisir prend + de temps. 2. Le travail aliénant →cf plus haut → L peut ê 1 outil d'asservissemt pr l'homme qd il est détourné de son but originel Ms même quand L remplit sa fonction d'activité productrice, il peut être 1 source d'aliénation comme l'a notamment montré Marx. → Cf. texte de Marx, Manuscrits de 1844 → Cf. texte de Lafargue, Le droit à la paresse, 1880 3. Y a t-il réellement un progrès technique ? Changement

Évolution

Progrès

C'est le passage d'un état à un C'est un changement, mais qui C'est une évolution, mais qui se autre (différent). se fait de manière continue et fait vers le mieux (implique une Synonymes : transformation, dans une certaine direction, un amélioration). modification. certain sens. a. Le progrès des objets techniques → Simondon définit le progrès technique (il faut entendre par là le progrès des objets techniques) comme 1 processus de concrétisation, càd passage de l'abstrait au concret. → Objet technique développe de nvelles fonctions → De + objet, ttes choses = par ailleurs, ira : - vers 1 moindre volume,1 moindre poids, 1 moindre nbr de pièces, 1 moindre tps de réponse, 1 moindre prix. → On peut ajouter aussi trois "nouvelles lois d'évolution" qui peuvent être énoncées suivant un concept d'augmentation qui voudrait que l'objet aille : -vers une augmentation de l'auto-régulation, 1 augmentation de l'auto-corrélation, 1 augmentation de l'auto-suffisance (ex. : batteries des appareils électroniques, portables, etc.). → Ces 3 lois peuvent ê regroupées au titre d'1 évolution vers l'auto-adaptation. L'auto-adaptation serait 1 capacité de réponse autonome aux perturbations + accidents externes et internes ds 1 zone de fonctionnemt déterminé. (ex : verres progressifs, tel portables,...) → Cpdt, progrès n'est pas indéfini ; il y a des limites pratiques à la concrétisation. Les raisons de ces limitations = prioritairemt la maintenance + sécurité, ms peut aussi s'agir de limites physiques : par ex la taille des transistors qui atteint celle de l'atome. b. Remise en cause de la notion même de progrès technique → Cf. texte de Pierre Clastres, La société contre l'État, chapitre 11 : la société contre l'État (1974).

c. Les revers du progrès technique - L'aliénation par la machine → Cf. texte de Marx et Engels, Le manifeste communiste → Cf. texte de Lafargue, Le droit à la paresse → Cf. texte de Simondon, Du mode d’existence des objets techniques - La perte des repères et l'infantilisation → Simondon souligne un effet pervers du dvpmt technique. Selon lui, lorsque celui-ci devient trop rapide, transforme les hommes en perpétuels adolescents. → Simondon distingue en effet entre l'enfant, qui est l'être du successif, et l'adulte, qui est l'être de la simultanéité. → Enfant = fait de virtualités, se modifie ds le tps, + a conscience de ce changement. Vit d'après 1 schématisme intuitif au nv des choses matérielles. → Adulte = celui qui a conceptualisé les qualités sensibles, vit selon 1 ordre qui stabilise l'ordre du successif en déf de la nature + de la destinée de l'homme. d. Les dangers de la technique → 1 des conséquences les + importantes du progrès techn = celle de la modificat° de notre environnemt. Cette prise de conscience a donné naissance à un nv courant pol : l'écologisme : but = défense environnemt contre méfaits de l'action humaine. → 1972 : Conférence mdiale sur environnement de Stockholm, organisée cadre Nations unies, a posé premiers droits + devoirs ds domaine préservation evironnemt. Principe 9 de la déclaration de Stockholm énonce : "L'homme a un droit fondamental à la liberté, à l'égalité et à des conditions de vie satisfaisantes, dans un environnement dont la qualité lui permette de vivre dans la dignité et le bien-être. Il a le devoir solennel de protéger et d'améliorer l'environnement pour les générations présentes et futures". → Par la suite, philo all Hans Jonas a théorisé 1 éthique écologiste ds son livre : Le principe responsabilité (1979). → Pr Jonas, l'homme se retrouve ajd ds 1 situation inédite. Avant XXe s , action humaine = pas de forte influence sur environnemt ; homme pouvait dc se développer techniquemt sans véritablemt se préoccuper des conséquences sur celui-ci. → Ms au XXe siècle, progrès techn a pris proportions telles que effets sur environnemt ont commencé à être visibles. + encore, nn seulemt activité humaine altère l'environnemt, ms il est devenu impossible de prévoir ttes les conséquences de cette activité. → = pq Hans Jonas évoque "la grandeur excessive de notre pvoir qui est un excès de notre pvoir de faire sur notre pvoir de prévoir et sur notre pvoir d'évaluer et de juger". → Afin d'éviter 1 catastrophe, devient dc urgent de réguler activités humaines, d'autoriser ou interdire certaines pratiques. → Entrons dc ds domaine éthique, car = elle qui en disant ce qui est bien ou mal règle activités humaines. Le pbm pr Jonas, = que éthiques traditionnelles (les éthiques qui ont réglé les sociétés humaines jusqu'à présent) = impuissantes à régler les pbm nvx que pose le développemt technique : → Ce qui caractérise éthiques traditionnelles, = qu' elles s'intéressent aux conséquences de nos actions sur notre entourage et ds le présent ou 1 futur proche : → C'est pq il y a besoin d'une éthique nouvelle qui remplace les éthiques traditionnelles. → Cette éthique nouvelle se fonde sur principe de responsabilité → Il ns faut dc adopter un nouvel impératif, que Jonas énonce ainsi : "Agis de façon que les effets de ton action soient compatibles avec la Permanence d'une vie authentiquement humaine sur terre" → Cf. texte de Hans Jonas, Le Principe res...


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