Actionsetpratiquessociales Mme Houdayer PDF

Title Actionsetpratiquessociales Mme Houdayer
Course Sociologie
Institution EDHEC Business School
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Prise de notes exhaustive - Sociologie - Intervenant M.Despins...


Description

Actions et pratiques sociales / Mme. Houdayer Plan du cours I. Intro II. Les solidarités par rapport au lien social III. Les =/ sociétés à travers le temps/ Les =/ modifications de sociétés IV. La société du risque : une nouvelles sociétés ? V. La sociologie de l’éducation VI. La sociologie de la mort VII. La sociologie de l’imaginaire VIII. La sociologie du son

I.

Intro

Contexte social et historique La sociologie pourrait être la fille de la philo et des sciences pol car la science pol a pour premier objectif de s’occuper des affaires de la cité et donc de la soc. Certains veulent que la socio puisse anticiper les phénos, on peut trouver des méca sur les péhno sociaux ( socio déterministe). E.D dit que les phéno sociaux sont determiner par le sexe, l’age, les groupes sociaux ect. Certains pensent que les inds sont libres, font des choix et sont responsables. Mais les deterministe pensent que non, c’est une illusion de liberté, des méca intériorisés nous guident. La socio de Weber dit que malgré les determinisme sociaux, les inds peuvent faire des actions volontaires et réflechi. La socio va se calquer au début des sc dures : la physique et la chimie. Pour comprendre la naissance de la socio, il faut remonter au 18ème siècle pendant la période où le capitalisme indus nait. Le passage d’une soc traditionelle à une soc indus et moderne. La soc du 18ème siècle c’est un monde qui veut être démocratique et indus, et il ne fait pas que des prgrès. C’est aussi le synonime de nouveau pauvres, déséquilibrés. ⇒ C’est ce déséquilibre qui va pousser les précurseurs de la siocio à se poser la Q de comment faire pour changer,, pour acompagner ces bouleversements sociaux Différence entre la sociétés trad et moderne Société trad fait référence à 4 éléments : - la parenté : le lien familial entre les inds. - la terre : la plupart des inds appartiennent à 1 T. - La religion : elle explique tout, ce qu’il doivent faire et le pk ils sont là - La monarchie : on obéit à une autorité

Avec la révo pol, des repères vont sécrouler, pour donner lieu à une soc “moderne”.

→ 1789 : Prise de la Bastille/ Mise en place de cette soc moderne Soc moderne : - plus de T : inds libre, égaux et fraternel la rel devient la science : Dieu n’existe pas, les philosophes des lumières trouvent des explications aux phéno rationnel. La rel n’existe plus du tout, c’est la science. - Apparition de la démocratie : la raison prédomine, le rationnel donne des causes aux phéno. 2 évènements historiques : - Révolution pol : changement de valeurs. Révolution brutale qui a choqué les penseurs de l’époque. L’idée était de libérer les inds, l’ancienne soc profondément inégale devait être détruite. Ce qui est condamné, ce n’est pas le chgt c’est la façon dont il s’est opéré : sans réflexion derrière. Les réformes qui sont faites sont bcp trop en désaccord avec cette idée qu’il faut accompagner les inds. La loi Chapelier interdit toutes formes d’assoc au nom des libertés de W et d’expressions. Les valeurs de la soc changent, ce n’est plus Dieu mais la raison. Ce n’est plus le père mais le patron. Ce n’est pas parce que l’on change ce qui domine que l’on change les formes de cette domination. Les radicaux sont décidés à changer la soc et tant pis si le changement est brusque, ce n’est qu’une étape. Les conservateurs veulent que la soc change mais pas si brutalement, il faut maintenir les assocs car elle permettent à l’H de trouver du réconfort. - Révo indus : W à la chaine, vapeur et électicité. La Fr se modernise grâce au progrès techniques, s’opère une transformation des conditions de vie et de W : les conditions se dégradent, les usines n’ont pas prévu de logement par ex. Il y a une perte des valeurs car il n’y a plus la présence de la famille, il y a une soumission de l’H à la machine. Des nouveaux pbm surgissent : les conditions de vie se dégradent, pas d’hygiène, alcoolisme, prostitution, délinquance et naissances illégitimes. Il faut analyser les conditions de vie pour essayer de changer. La soc rêve de progrès, de bonheur et de liberté, mais dans les faits c’est tout autre chose. C’est à partir de là qu’apparait une réflexion sociale, un objectif très précis : il s’agit de réduire le malaise de la soc.

La future sc qu’est la socio va devoir repondre aux préocupations de son époque liées au contexte historique : - la communauté : Q sont les relations soc qui permettent aux inds de s’unir et de vivre ensemble ? Q sont les sentiments qui anime les inds? Cmt les H doivent s’orga ?

-

le pouvoir : Qui doit détenir le pouvoir ? Le + riche, le + instruit, l’H scientifique, le pol ? les valeurs : Q sont les bonnes valeurs portées par la soc? Que faut il privilégier : le présent, le passé, le futur ?

La socialisation : C’est le processus au cours duquel un individus va apprendre et intériorisé les valeurs de son groupe, ça se fait par étapes et ça ne s’arrête jamais. Cela se fait au sein d’une communauté. Cette socialisation permet de construire une I.D soc, ce qui fait qu’en tant qu’inds je me suis trouvé une place dans le groupe, dans la soc, j’ai un objectif et des choix. On va trouver un conflit entre ceux qui pensent que la socialisation c’est les contraintes qu’appliquent un groupe sur un ind, et d’autres qui pensent que c’est une interaction entre l’ind et son environnement. Cmt fabrique t-on un être social ? → Via un apprentissage de choses qui nous paraissent naturelles. C’est une grande partie le résultat de l’éducation, dont une des missions est de transmettre des valeurs et des normes. C’est d’abord transmis par les parents et la famille ( socialisation primaire) puis l’école. → Via les autres (amis, voisins) ensuite. → Via les médium et le W pour finir. Ces =/ socialisation expliquent pk il y a des conflits dans la soc. Chaque culture possède ses propres valeurs et normes, et chaque génération aussi. Elle peut se faire par genre, par ex la répartition sexuelles des taches. Liste d’auteur: E.D - la socialisation c’est l’éducation, tous les méca qui attire l’ind vers elle. Bourdieu - l’objectif du groupe c’est d’amener les inds à penser et à faire comme le groupe Weber - la socialisation n’est pas qu’un effet de la soc, c’est le reflet des l’interaction entre l’ind et le groupe, c’est le partage des opinions qui nous influence. Piaget - la socialisation est c qui favorise le chgt soc, on prend conscience des opinions qui nous influence

II. Les solidarités par rapport au lien social ( Le lien social de S.Paugram dans la collection “Que sais je ?”) Dans le soc d’auj, on peut se demander si le lien social peut survivre aux =/ conditions qui habitent les conditions, qui habitent le plus démunis ? Peut il y avoir encore de la solidarité dans nos soc? Dans la soc traditionnelle, on vivait ensemble par association, la trad nous imposait comment vivre les uns avec les autres. Avec la soc moderne, le developpement de la liberté et d’une certaine manière d’individualisme ( intêret perso > interet coll) Tonnies dit que dans la communauté, la conscience individuelle n’existe pas, on agit toujours dans l’interet du groupe. Mais dans les socs modernes on a des particuliarités : on parle d’un groupe mais qui peut survivre sans nous.

On parle souvent de crise du lien soc : on la retrouve quand on parle des quartiers, banlieues, emplois précaires, de l’insécurité, du contrôle, du manque de confiance inspiré par les grandes instit ( état, police) Pour lutter contre cette crise, les sociologues répondent qu’ont peut lutter en utilisant des formes de solidarités, repenser des formes de liens sociaux ou penser les métamorphoses de la Q soc. → La confiance est une relation, ce n’est pas une proposition que l’on va attacher à un individu. Comment les grandes instit instaurent elles ce lien de confiance? 1896: Pensée solidaire de Léon Bourgeois. Quand on regarde l’histoire des H, elle est faite d’assoc, et d’H, l’H doit bcp à l’assoc de =/ groupes, c’est ce qu’il appelle la dette sociale. C’est une forme d’accumulation au niveau de la nourriture, du logement, des transports ect. Si l’H en est arrivé à un certain niveau de developpement c’est car il a su s’approprier tout ce que les autres avait fait avant lui. “La doctrine du solidarisme est fondée sur le principe de la dette entre les =/ générations. Cette dette est soc et doit être mutualisée” ⇒ L’etar doit intervenir sur la formulation de cette dette et sa formulation ⇒ C’est le début de l’etat providence. 1930 : Protection sociale maladie. 1946 : Protection maladie, accident du W ⇒ Naissance d’un état social. ⇒ L’état attend de la part des inds un échange, donc une réciprocité. L’état impose la protection sociale et en échange le citoyen est censé remplir un certains nombre de devoir citoyen ( travailler, payer ces impôts) Robert Castel relativise bcp cette protection sociale, c’est le minimum pour ne pas tomber dans la déchéance, pour survivre avec sa famille. Ce n’est pas une soc égalitaire, mais on met en avant les différences des inds, c’est en réalité une soc individualiste. Une soc de semblable n’est pas une soc égalitaire, mais une soc où l’on considère que tous ont le droit à la meme protection soc. Avant il existait une relation entre le statut des salariés et la protection sociale ce n’était pas autorisé aux femmes, artisans, enfants… Cependant malgré le statut des salariés et cette solidarité il y a toujours de grandes =/ entre les inds ( de salaire par ex) La synthèse entre l’ordre et le progrès pensé par A.Comte : les soc devraient se projeter dans le futur car il serait forcément meilleur grâce aux techniques ect.. Il y aurait une amélioration des conditions de vie. La Q sociale : les droits et les devoirs de la soc envers le citoyen et réciproquement. Q de la santé avec la protection soc.

Q du logt avec la Q de permettre à ces citoyens de se loger dans des conditions décentes. C’est à cette époque qu’on va construire des tours qui vont construire des tours qui vont déboucher sur la pbm des banlieues. → Regrouper des gens qui ont les memes valeurs et conditions de vies dans un meme endroit. Ces tours avaient l’avantage de mettre bcp de gens dnas un espace restreint. L’éducation fait aussi parti de la Q sociale. Peut on parler du déclin des instit et de la solidarité/ la cohésion sociale? Castel dénonce le monde de l’entreprise car elle sape la cohésion sociale. A partir des années 1980 l’orgaisation des entreprises/ du monde pro exige de la flexibilité ( l’idée que les travailleurs sont interchangeables, peuvent passer d’une tache à une autre. Le travailleur doit être multitache donc indé’ de son W) Cela demande au travailleur aucune attache, pas de liens avec ces collègues. Comment peut il s’épanouir sur le plan familial si il doit changer de consition de W? Tout cela place le milieu pro et les salariés dans une ambiance non propice aux liens sociaux. Dans la crise des instis, il y a d’abord le W, mais aussi les partis pol, les syndicats qui avaient pour fonction de faire intériorisés aux inds des règles de conduites pour s’int”grer dans un gpe. Ils ont tendance à se bureaucratiser, à ne servir que leur interet au détriment de la confiance que les inds pouvaient avoir en eux. Ils prennent de la distance par rapport aux autres, à eux. Quand tout tombe en miettes, il reste seulement la famille, c’est cella qui reste la + solide, c’est une valeur refuge. → C’est donc l’état qui est contesté, il ne maintient plus les formes de cohésion souhaitées. L’état est accusé de ne plus remplir son rôle social, qui protège les inds ( contre la maladie) On a l’impression que la soc es duale, les inds s’opposent les uns aux autres. Dans les années 2000, on passe de la soc semblable à une soc duale.

III. Les =/ socs. ●

Société primitive : soc sans écriture, très peu de % du W sinon primitif dans le sens premier.



Soc trad : insister sur le passé que l’on voudrait retrouver dans le présent, une sorte de tradition, d’héritage.

Sommes nous encore dans une soc moderne ? Peut etre que non, des chgts soc très fort en plus il existe l’écologie qui pose des Q sur l’orga et la production de notre soc moderne, sur le capitalisme.

Ensuite il y a une remise en cause de la technique e du progrès, on pense mtn que le progrès n’est pas forcément synonime d’améliorations. Ensuite il y aurait la soc hyper ou post moderne, il faut changer le paradigme ( pt de vue, angle d’attaque, manière d’envisager une situation), il faut changer la manière de penser la soc. ● Soc de classe : idée de K. Marx. La soc n’existe qu’à travers l’opposition de 2 groupes : bourgeois et prolétaire. Il nous pousse à penser la soc en terme de conflit/ de lutte. une cl. soc pour lui c’est : la classe joue un role dans le rapport de production, ensuite il y a une idée de conscience de cl et pour finir il y a une idée de conflit. Pour MArx, le chgt est lié à des chgts de catégorisation de cl car ces definitions ne sont plus a jour meme si le rapport employé/employeurs est toujours là. Pierre Bourdieu pense aussi que les inds sont % en cl et qu’ils sont en luttte pour la domination, pour s’approprier de la richesse et dominer les autres. Si on parle des conditions de vie, on parle de soc de conso depuis les années 70, où les gens ont accédé à la conso de masse. L’idée de conso est lié à l’idée de propriété : developpement explosif des B de conso, la TV. J.Baudrillard, pour lui consommer c’est pour les inds une manière de montrer aux autres ces valeurs et essayer de convaincre les autres que c’est les meilleurs valeurs. Les choses ne comptent pas pour elle, même si il faut les posséder. L’idée de la soc de spectacle par Debord c’est le ciné, les reproduction d’images qui pour lui dénaturent les relations sociales. L4ind au lieu d’avoir des relations avec les gens en a avec les objets. L’autre devient un instru pour consommer. Les années 80 une soc de communication : le rêve d’une soc où tout le monde auaient tous les objets de conso est obsolète. Grâce à la technologie, grâce aux réseaux sociaux, tous le sinds vont être reliés, ils vont partager des choses. Mais est ce que les gens sont vraiment reliés ? Existe il une vraie solidarité ? Les =/ formes de soc indiquent des choses sur les relations soc. Une soc est un ensemble très vaste qui ne veut pas forcément dire grand chose, les gens ont rassemblés mais pas des choses =/ ( valeurs, techniques) ●

La soc du risque : notre manière d’être au monde, nos rapports aux autres seraient determiner par cette idée de risque. Le risque c’est la mise en avant d’un danger, la mise en danger de soi meme, des autres, de la soc ou des soc. Pour comp la soc du risque, il faut se placer aux cotés des instit : on remarque que les termes de secu dominent, c’est donc qu’il y a une possibilité de danger. Pratiquement tous les objets et toutes les attitudes peuvent être dangereux/ses.

Finallement quelles seraient la dimension de la soc où on ne trouverais pas de risques ? → 2 auteurs : le fondateur Y.Beck et Perreti - Watel. Le danger est subjectif, on ne les vois pas tous de la meme manière, les inds peuvent décider de s’y exposer ou non. Il y a une idée de calcul, d’évaluation du risque. 2 types de risques : - immédiat et accidentel, appartient à la fatalité/ au hasard - où l’on se projette, on évalue la danger ( soit ind, soit les pairs, soit les instit) Critères de l’évaluation du risque et de la sanction : - effet autro destructeur - notion de conscience/ préméditation - violence - passivité La soc essaye de nous dire les choses à faire et à ne pas faire. La dimension morale de la santé est devenue une valeur centrale. Ce que l’on peut reprocher à la prévention, c’est ce jugt de valeur. La soc ne reflechis pas assez sur le pk de ce compt à risque, il faudrait ré inventer la prévention et la placer du coté des inds. Il existe un lien très fort entre les ados et les risques. Pour comp cette pbm, il faut se remettre dans la soc trad : l’ado n’existe pas, c’est soit un enfant soit un adulte. La transition entre les 2 est brutale : c’est un rite de passage, une épreuve physique souvent douloureuse et orientée sur le corps. c’est une épreuve qui va introduire l’enfant dans le groupe d’adulte. La groupe va marquer physiquement l’enfant. Dans nos soc actu, ce risque n’existe pas, on a l’adolescence. Prendre un risque c’est un peu l’équivalent des rites de passages de soc trad. Cmt l’ind choisi son gpe et ces appartenances ? Il le fait en utilisant son corps. Si la prise de risque est fréquente et répéée, c’est de l’ordre de la révolte et pas de l’initiation. On retrouve ces comportements à riques chez les ados mais pas seulement. Il existe un lien entre l’instinct de survie et l’adolescence on test sa capacité à survivre à des situations critiques.

IV. Une nouvelle soc : la soc du risque Dans le cadre du risques, les stats servent de preuve pour contrer la menace. Il y a 4 phases de cette nouvelles soc. La première, dans les année 80, onpasse d’une technique de controle, de surveillance qui s’aplliquent plutôt aux choses ( 70’s) à une technique qui s’applique aussi aux inds. Par ex avec Tchernobyl

En Fr, découverte des choses que l’on ne peut controler. C’est aussi la découverte d’un esprit mensonger venant d’instit dans le but de ne pas faire paniquer la pop. A la fin des 80’s montée du système assurencié de notre soc. La 4ème phase: une procédure de légitimité des =/ services et controles mis ne place par la soc, avec un déplacement de “technologie = danger” vers “comportement de la pers = risque” Il faut alors porter son attention sur la prévention. Pour R.Duclos , on est passé de la gestion d’un risque lié à la technologie à un jugt moral censer controler les pratique des inds. Cela permet d’oublier les défaillances de notre soc à gerer. Ulrich Beck : Cet auteur essaye de nous montrer la nouvelle soc. Dans son ouvrage il ne fait pas mention de l’explosion de la centrale de Tchernobyl car ce n’etait pas encore arrivé. La grande idée de Beck c’est de dire que les socs occidentales ont voulu se placer dans une position de sécu en externalisant les risques ( mettre à l’exterieur les risques) Ce qui viendrait inquiéter nos soc, ce ne serait plus, par ex, la manque d’argt ou de W… mais le fait d’avoir placé les facteurs risques à l’exterieur et du coup de penser que le danger n’est plus dans la soc. La soc du risque est un leurre car notre état et les inds pensent avoir éloigné le rique mais en fait le risque est interne à la soc. ● Premier thème : la répartition des richesses. Les industries du risqe qui mettent leur technologie plus risquée dans les pays du tiers monde, ces industries là provoque un effet boomerang de par les catastrophes arrivent dans les pays les - developpe, par l’achat de poissons venant d’une mercontaminée par ex. Le risque qu’ils ont tenté de déplacer leur est retomber dessus. Une conscience coll qui sait qu’elle compose avec des risques dont le gouv en on t conscience , et malgré tout, on continue à nous servir des risques sous reserve de controle, d’expertise… On peut “penser” qu’on est toujours dans une soc à risque. Cmt vivre dans une soc où le risque est omniprésent ? On a reproché à Beck de ne pas apporter de solutions. A cette misère vient subsister la peur ; carences d’infos, de css sur ce que l’on produit, ce qu’on fabrique, une nouvelle forme de paupérisation, de pauvreté intelectuelle car l’on n’a pas réussi à avoir une connsaissance sur ce que l’on produit/ fabrique, pour que ce ne soit pas risqué. Ex : pesticides - les limiter au lieu de les enlever. Aux USA, il a tout un quartier où ils ont trouvé un haut taux de leucémie, cancer … On s’est intérogé sur les raisons, on a enqueter et le resultat le + probable etait que ces gens là vivaient sur des lignes hautes tensions. On les a déplacés, indemnisés. Seulement il y avait des gens en pleins forme, de pers. agées, qui elles étaient en parfaite santé. R.Castel parle de soc d’incertitude plutot que de soc du risque : on ne sait pas, on ne maitrise pas ce que ‘lon produit car les eventuelles csq seront présentes ds 40, 50 ans.

La famille : ce qui comptent dans la famille, ce n’est pas que l’amour mais aussi la repartition des taches, de l’orga zi...


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