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Title Chapitre 1
Course Psychologie du développement
Institution Université Paris Nanterre
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Les méthodes utilisés/point de vue en psychologie et une démarche scientifique.! Les méthodes,!

Les méthodes •Relève d’une question très génrérale, philosophique : comment appréhender la « réalité » (quelle est-elle ?), de la comprendre (comment « fonctionne-telle » ?),et éventuellement la maîtriser (comment anticiper, agir, prévoir ?) •L’usage des méthodes destinées à répondre à ces questions a été associé à la volonté de rationaliser l’appréhension du réel au cours du DVP des sciences, de le rendre manipulable et, par là, de le contrôler c’est ce qui caractérise la démarche scientifique. •

L’approche scientifique correspond à la volonté d’appréhender, de contrôler, de manipuler le réel, selon une démarche rationnelle et objective, afin de maîtriser le monde qui nous entoure et lutter contre le hasard. L’usage d’une démarche vise aussi a permettre à la réalité d’app sous un jour qui nous est pas possible d’anticiper par nous outils habituelles il va falloir prendre en compte néanmoins dans la description du monde qui nous entoure.

Introduction:

1-Démarche globale

2- Principes épistémologiques - Vérifiable - Répétable - Falsifiable La réalité n’est pas systématiquement comme elle nous apparaît Exemple de la figure de Böhring, on demande quelle est l’âge de la dame sur les 2 représentations.il y a en fait dans cette illusion d’optique,il y figure plusieurs répondes possible, pour l’illustration de gauche on pourrait supposer que Dans celle de droit, on voit le profil droit d’une jeune femme,collier

•L’effort d’inversion figure-fond que demandent ces 2 images n’est pas spontané chez tou.tes.s,cela montre alors que la réalité nous demande alors des efforts de perception.l’effort n’est pas toujours possible ou pas toujours suffisant •Il en va de même dans l’illusion suivante

Exemple avec les perceptions de couleurs avec la figure suivante: La couleur des carrés « A » et « B » sont identiques mêmes si dur à percevoir au début.le cerveau se force un maximum pour imager les carrés tels qu’ils devraient être , l’un obscure l’autre blanc..Peu lui m’importe qu’ils soient de la même couleur.les carrés contigus étant supposés être de couleur différente, notre cerveau fait en sorte qu’on les voit ainsi

Cet exemple est la preuve que l’important n’est pas dans ce qui compose le monde qui nous entoure, mais plutot comment nous le percevons.•Ces illusions illustrent la limite de notre perception visuelle•Ces illusions illustrent la limite de notre perception visuelle

Ces illusions illustrent la limite de notre perception visuelle, t •Il en va de même dans les autres activités sensorielles, tout nos sens sont également sujettes à des illusions. •Il en est ainsi également dans nos activités cognitives (ex. mémoire) et nos relations sociales, nous sommes aussi victime d’erreur d’appréciation, victimes de nous mêmes (ex. rumeurs). •Ces constats montrent que nous ne pouvions nous fier à nos sens pour l’observation du monde… nécessite alors de recourir à une démarche objectivante plus performante. 3- Le déclenchement d’une recherche dans des contextes - Social - Économique - Politique - Scientifique et technique

•Raisons multiples et souvent simultanées (socio-économique, sociopolitique, …)

Raisons Sociales •Exemples avec différentes interrogations: •1- L’inégalité devant les soins : A qui profitent les progrès réalisés en santé ? Les catégories favorisées sont les 1ères…), (INPES, 2010, http://www.inpes.sante.fr/CFESBases/catalogue/pdf/ 1333.pdf ), mise en place d’une politique (visée pratique). •2- Le Suicide : Etude de Durkheim (in Le suicide : étude de sociologie, Paris : Félix Alcan, 1897) qui s’intéresse au suicide comme phénomène « normal », qui évolue relativement peu et dont le taux varie d’une société à l’autre. Le suicide donc ne serait pas seulement un phénomène individuelle, c’est plutot un phénomène de société, du moinsla société en est en parti responsable, on distingue différent types de suicide selon le niveau d’intégration des personnes dans la société. •Constat et variabilité selon les sociétés •Hypothèse : la société est responsable (pas l’individu) ! typologie des suicides (égoïste, altruiste, anomique, fataliste).

Raisons Politiques •Ex. : La pauvreté •Etudes de P. Dickes et al. depuis 1983 au LASARE (Nancy)université Nancy 2 , aN 90-2000, en particulier avec l’INSEE. But (double). •1- Scientifique : Etablir une mesure du seuil de pauvreté Cette équipe de recherche se chargeait de mettre en place des indicateurs fiables de pauvreté, permettant de dire si une personne était en état de pauvreté.Ces indicateurs pouvaient être financiers et/ou culturelles entre autres.

catégories de personnes pouvant ainsi être identifiées comme population spécifique dans le cadre d’une politique sociale et économique (catégorie de « pauvres »).

Santé ->facteur de déclenchement de recherche, pb sanitaires dans la société poussaient les médecins à faire des recherches. •Grippe aviaire •Chikungunya •Sida •Vaccin Covid-19... •Ajouter les découvertes serendipiques •http://tinyurl.com/hm3dv2j la Penicilline •http://tinyurl.com/zgbp2cn le Vaccin •http://tinyurl.com/hkynmcc le Botox •http://tinyurl.com/zc52cec le LSD

4-Les 10 Principes éthiques d’une recherche 1.Équilibre des comptes financiers 2.Engager sa responsabilité de chercheur 3.Obtenir le consentement des sujets, parfois difficile à respecter, lorsqu’elle respecté LA PLUPART DU TEMPS, apporte des nuances aux résultats car résultats uniquement observés sur les consentants et pas les autres 4.Être ouvert et moral 5.Ne pas exploiter les sujets

6.Protéger les participants 7.Donner un feedback aux sujets sur le travail mené, si malheureusement les méthodes mises en places pour DVP ce que l’on souhaite dérangent en qqe mesures les sujets il faut alors les modifier 8.Corriger les éventuels effets négatifs 9.Respecter la confidentialité des sujets 10.Informer les sujets des risques de la recherche

1.Question de départ 2.Exploration 3.Problématique 4.Construction du modèle 5.Observation 6.Analyse 7.Conclusion

Chap. 1 : La question de départ, =c’est s’interroger sur un phénomène qui nous intéresse(phénomène sociale,physique,physiologique..)cette question de départ va se traduire par la mise en œuvre d’une démarche d’observation qui est précédé par une pertinence de réflexion. a. Les pièges -précipitation -Intellectualisation, réflexion trop poussé qui empêche de passer à l’acte -Réponse toute faite, -Crainte technique,c’est la crainte de ne pas maîtriser les outils de façons suffisantes afin de répondre à la question de départ -Ambition,on est tlm passionné par la question qu’on veut tout embrasser, étudie plusieurs phénomène complexe à la fois B.La théorie de référence -Définition =permet d’éviter les pièges et guider la réflexion et guide la façon dont on recueille des informations permet Valider,nuancer ou enrichir les théories desquelles on est parti. -Utilisations des théories déductive; ex. B.S. BLOOM, ; ex. J. LAUTREY, orientation ; ex. l’Ecole de Chicago

Théorie se base sur des faits rationnels,c’est la base entre les connexions qui constituent les théories.Faits observés,recuillies par la théorie. les faits sont généralement observés sur des échantillons qui dont on espère que la population doivent être soumis au fait , description des •Finalités : •Décrire •Expliquer •Prévoir •Démarche d’utilisation d’une théorie pour une élaborer une question : •Déduire •Hypothético-déductive •Orienter

Utilisation 1 Démarche déductive Benjamin Samuel BLOOM (1976) •: « Pédagogie de la maîtrise » •Description, Explication, Prédiction de l’apprentissage scolaire •Base : Etude américaine menée en 1966 à la demande des autorités US sur la réussite scolaire (Coleman report).À partir de ces données,il a élaborer une théorie qui explique l’apprentissage scolaire à travers de l’apprentissage -Comportements cognitifs de départ -Caractéristiques affectives de départ -Qualité de l’enseignement

caractéristique affectives correspondent au fait que l’élève aime bien ou pas les matières auxquels il a était confronté Rendement,vitesse et caractéristique affectives sont les résultats à la sortie de la tâche d’apprentissage Or l’apprentissage ne s’arrête pas à une seule tache. les différentes étapes de l’apprentissage constitue des taches d’apprentissage successives qui donnent des résultats en terme de vitesse,rendement et c. affectifs qui vont donner lez comportement cognitifs et C. affectif de la tache suivante. Le système de Bloom consiste à soumettre les élèves à une qualité d’apprentissage, un type de pédagogie et cette confrontation de la tâche d’apprentissage avec ces 3 ensembles (affectifs,cognitifs et enseignement,) vont déterminer le résultat qui vont etre des comportements cognitifs et affectifs de départ pour la 2e tache, c’est à l’issue de cette 2e tâche qu’on a d’autres apprentissages et ainsi de suite jusqu’à la fin de l’apprentissage de l’ensemble des objectifs pédagogiques fixés.

Apprentissage de +en+élaboré.

Rappel •Description de l’apprentissage : 3 ensembles, caractérise cette théorie. -Caractéristiques de l’élève -Enseignement -Résultats d’apprentissage

•Explication : -Pédagogie de la maîtrise, ex. : Calcul arithmétique •Prédiction ? On se demande si cette théorie peut prédire les résultats auxquels on aboutit avec des élèves en situation d’apprentissage

Les élèves qui auraient était confronté à une tache d’apprentissage qui aurait eu les même comportements cognitifs de départ verraient la variation de leurs groupes réduites de 50%, c a d que la moitié des élèves ont les mêmes comportements cognitifs pour aborder la 2e étape d’apprentissage.

Pour aller plus loin… •Réflexion : Compte-tenu de l’importance théorique des caractéristiques pédagogiques (élève, enseignement, résultats d’apprentissage), on peut en DEDUIRE que : plus l’enfant sera engagé dans le système scolaire (histoire pédagogique croissante), plus les caractéristiques définies auront d’importance dans les résultats(variation diminue), i.e. « plus la théorie fonctionne » à partir du moment ou l’élève prend de l’expérience dans le domaine scolaire. •Question de départ : On peut alors se demander si cette théorie fonctionne dès le depart, de l’apprentissage ? La théorie fonctionnet-elle aussi ? •Remarque : On utilise un modèle « général » pour l’appliquer dans un cas particulier = déduction •Résultats : MULLER (1985), on constate alors également que ce modèle fonctionne au tout début de l’école, ce qui veut dire que plus l’enfant est engagé dans le système scolaire plus le modèle est pertinent. Or le modèle est pertinent dès le début, ce qui veut dire que ce modèle doit être enrichi d’éléments qui explique les résultats scolaires et qui sont un peu plus étoffés que les simples caractéristique cognitifs et la qualité d’enseignement.En déduisant la théorie de BLOOM vers les enfants qui viennent de rentrer à l’école, on y inclue un certain nb de facteurs qui expliquent les résultats scolaires avec nT les facteurs de soumission au norme présente dans l’école et qui font que les enfants dès le début ont une appréciation particulière du système scolaire à laquelle ils adhèrent ,et que repèrent les enseignants.

Utilisation 2 hypothético-déductive J. LAUTREY (1979) La théorie HD, s’utilise lorsque le sujet auquel on s’intéresse est particulier ou assez complexe et ne dispose pas de théorie suffisamment organisé pour être observé.on a alors recours à d’autres théories qui sont axés sur le sujet auquel on s’intéresse et qui permettent de dégager les principes qu’on va pouvoir utilisé. C’est ce qu’a fait l’auteur J. Lautrey en cherchant à Décrire, expliquer, prévoir le développement cognitif de l’enfant il s’est intéressé à la théorie de J.PIAGET.

•Base : Inférence à partir de la théorie de l’intelligence de J. Piaget. (cheminement particulier à partir de la théorie…/…),IL. A DVP une théorie en observant ses enfants,cette théorie ne porte pas sur l’environnement mais sur la description des principes autour duquel se dvp l’intelligence chez l’enfant J.LAUTREY , lui s’est intéressé à des éléments de l’environnement en partant de la théorie de J.PIAGET.

Cheminement du questionnement de l’auteur •Intérêt : Le développement cognitif et ses facteurs explicatifs = Lectures, recherche d’informations •Constat : L’intelligence se développe aussi à partir de caractéristiques de l’environnement • •Constat : Environnements multiples: env scolaires, familiales etc... Ils se demandent quel est l’environnement prépondérant. Ils s’intéressent dans un 1er temps à l’env Familial •Constat : Environnement complexe, pas de théorie globale (évènements de vie, langage, éducation, …) la difficulté étant de ne pas tomber dans des spéculations afin de mieux décrire ce milieu de façon pertinente.il va alors s’intéresser aux pratiques éducatives des parents -> Lectures R.I. •Constat : Multiples acceptions du terme => 3 solutions -Renoncer -Choisir une acception, revenir à d’autres environnements moins polysémiques -Revoir la théorie de l’intelligence en particulier celle de J.PAGIET si on ne donne pas qqe principes qu’on pourrait retrouver dans le DVP cognitifs.

Dans la démarche hypothético-déductive •Intérêt de l’auteur : Décrire, expliquer, prévoir l’intelligence à partir des caractéristiques de l’environnement éducatif familial susceptibles d’intervenir dans l’objet d’étude (l’intelligence) •Base : Utiliser la Théorie de l’intelligence de J. Piaget,il en déduit de cette théorie les principes du dvp cognitif •Problème : La théorie ne dit rien de l’environnement… •Solution : Isoler ce que dit « implicitement » la théorie de l’environnement, l’auteur infère les caractéristiques de l’environnement •! application au milieu familial = Hypothèses d’organisation du milieu, desquelles il va déduire leur effet éventuel sur le développement cognitif.

Bases Théoriques 4concepts: Assimilation Accommodation.

L’environnement doit permettre aux organismes d’exercer le processus Ass/Acc pour consolider les acquis, mais il doit aussi offrir des situations nouvelles (qui provoquent un déséquilibre (désadaptation)). Elles remettent alors en oeuvre le processus Ass/ Acc qui va pouvoir « intégrer » ces variations environnementales dans l’arsenal adaptatif de l’organisme (« réponses adaptatives ») pour le faire tendre vers un nouvel équilibre Adaptation et enrichissement de l’organisme par de nouvelles acquisitions

On transforme ce que j’ai assimilé, je vais accommoder le fonctionnement de mon organisme, je vais utiliser ce que j’ai assimilé pour pouvoir procéder à des changements. Ce phénomène de recherche entre l’équilibre et l’accommodation on apl cela= L’ADAPTATION. J.PIAGET SE DEMANDE ALORS SI CES 4 concepts s’applique dans le milieu familial.

Appliqué au milieu familial… •Description d’un concept décrivant l’environnement familial (susceptible de rompre l’équilibre) : il se demande si cette env offre des opportunités d’assimilation et si ces choses sont suffisamment variés pour pouvoir ttes les assimilés de sorte que à chaque fois il est en situation de déséquilibre et donc recherche un nvl équilibre ce qui l’amène à se dvp et à s’enrichir par rapport aux opportunités. À partir de cette conception, J.LAUTREY définit 3 grandes catégories du concept décrivant l’env FAMILIAL qu’il appelle LA Structuration, Reposant sur les occasions fournies par l’env à l’enfant. Occasions rares,peu d’opp, aléatoires = env Faible Occasions prévisibles, adaptées = env Souple Occasions fixes, immuables = env Rigide

Conséquences inférées des caractéristiques de l’environnement •Faible •Pas de règles, ou trop de variété ->pas de consolidation de l’équilibre ->pas d’acquis ->pas de structuration de l’organisme -> pas de base adaptative -> Peu propice au développement intellectuel •Souple •Règles appliquées en fonction de critères variables, opportunités de situations variées ->consolidation des acquis, et en même temps occasions de déséquilibre -> Assimilationaccommodation -> adaptation récurrente -> propice au développement intellectuel •Rigide •Règles immuables et prévisibles -> consolidation mais pas de déséquilibre -> pas d’assimilation, ni d’accommodation -> pas d’adaptation ->peu propice au développement intellectuel

hypothèses déduites de la théorie de l’intelligence quant aux effets des types de structuration familiale •Faible : •Peu de déséquilibre-> peu de nécessité d’adaptation ->peu d’effet positif •Souple : •Déséquilibre possible ->nécessité d’adaptation -> Le plus positif •Rigide : •Pas de déséquilibre -> pas d’adaptation -> effet négatif sur l’adaptation de l’enfant

Résultats observés sur l’intelligence •Faible : •Le plus négatif •Souple : •Le plus positif sur le dvp de l’intelligence •Rigide : •Positif/Négatif •Remarque •L’environnement faible laisse apparaître des situations atypiques.

Rappel sur la démarche hypothético-déductive •Isoler ce que dit une théorie (implicitement ou explicitement) par rapport à un objet d’étude (ex. intelligence) et en déduire des hypothèses quant à la manifestation (variation) de cet objet d’étude au regard d’autres composantes présentes (implicitement ou explicitement) dans la théorie (ex. milieu)

Utilisation 3 Orientation L’école de Chicago On parle ici d’une orientation théorique. Exemple: •Relations performances cognitives variables environnementales, notamment du milieu familial (K. MARJORIBANKS (1972), BRONFENBRENNER (1978), …). •K.M a défini des objets d’études dans l’environnement familial et Ce à partir d’une « conception » de l’environnement (forces, pressions = « Construct »=observation qui sont ensuite concrétisée alors que les concepts sont des observations déduites d’une théorie de référence qui délimite le champs d’observation) … (ensemble d’attitudes, comportements, valeurs, …) : •Pression Performance, •Pression à la réalisation de soi, •Pression scolaire, •Pression linguistique, ...

•Bases Empiriques a) Orientations théoriques(approche théorique de ce qui nous entoure,on parle de base EMPIRIQUE) de Lewin b) Etudes corrélationnelles

Rappel sur l’usage de la théorie pour la question de départ •Particularité : Mode de pensée logique, rationnel : (déduction, hypothético-déductif, empirique) •Intérêt : -Balise précisément le champ d’étude (partie de la réalité) -Définit et précise l’acception des concepts utilisés -Se veut objective (car vérifiable, répétable, falsifiable) -Permet une compréhension (provisoire) d’un phénomène, tout en…. -Oriente la recherche de façon heuristique

•Inconvénients : -Approche parcellaire de la réalité -Raisonnement « mécanique » -logicomathématique, il n’est pas dit que les objets qui nous entoure répondent à une logique mathématique -Lourdeur du dispositif qui devra être mis en place, cette lourdeur nécessite un protocole pour guider la récolte d’informations. ‘...


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