Apuntes Chapitre 1 - economia PDF

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apuntes de economia internacional en francés, primer tema...

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OBJECTIF DU COURS Grandes problématiques soulevées par insertion des pays dans l’échange international

- PARTIE I. COMPRENDRE LA MONDIALISATION CHAPITRE 1. INTRODUCTION A L’ECONOMIE INTERNATIONALE CHAPITRE 2. LES THEORIES DU COMMERCE INTERNATIONAL : DES VISIONS DIVERGENTES DU COMMERCE INTERNATIONAL ET DE SES EFFETS.

- PARTIE II. COMMERCE INTERNATIONAL ET POLITIQUE ECONOMIQUE : MONDIALISATION ET ETATS-NATION CHAPITRE 3. LES GRANDS PRINCIPES DE LA POLITIQUE COMMERCIALE : LIBERALISME OU PROTECTIONNISME ? CHAPITRE 4. L’ORGANISATION DU COMMERCE INTERNATIONAL. 21EME SIECLE : LE SIECLE DU MULTILATERALISME ? CHAPITRE 5. LA MONDIALISATION CONTESTEE : CROISSANCE, DEVELOPPEMENT, INEGALITES ET DEGRADATIONS ENVIRONNEMENTALES.

CHAPITRE 1 : INTRODUCTION À L’ÉCONOMIE INTERNATIONALE -

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Jusqu’en L3 : pas de frontière, ou des frontières fermées.  Le marché en économie fermée  Pas de frontières, de localisation  Macroéconomie en économie fermée, IS-LM Le monde du 21ème siècle : Des interdépendances croissantes (la plupart du secteurs economiques)  Les évènements du reste du monde nous affectent  Réduction de la marge de manœuvre des politiques économiques nationales  Evènements systématiques au niveau international (crise de 2008) L’économie internationale à la source de la science économique (18 et 19ème siècle) (Adam Smith, mercantilismo, cómo un país crea riqueza y cómo funciona el mercado)

INTRODUCTION : OBJECTIFS -

Définir les notions principales

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Histoire des échanges internationaux Caractériser l’échange international ajouta Faire ressortir les principaux questionnements

INTRODUCTION : LE QUESTIONEMENT -

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Dans quels biens un pays doit-il se spécialiser et quels biens a-t-il intérêt, en contrepartie, à importer Quels impacts de l’ouverture sur l’extérieur, la spécialisation et l’échange, par rapport à l’autarcie ? Comment un pays régule-t-il la concurrence extérieure et quels sont les effets des mesures de protection sur le bien-être de la collectivité nationale et sur l’utilisation des facteurs de production au niveau mondial ? Quelles sont les modalités et les conséquences du multilatéralisme ou de la formation d’une union économique sur les échanges et sur le bien-être des pays membres et eds pays tiers ?

1. QU’EST-CE QUE L’ÉCHANGE INTERNATIONAL ? 1.1. DÉFINITIONS

- Economie international : subdisciplina de la economía que estudia las interacciones entre actores económicos de distintos países y moviliza los… empíricos de estos (micro: relaciones entre empresas de dos países e interacción en el mercado internacional con clientes de otros países) - Les acteurs économiques - Caractériser l’échange par :  Direction : import/export  Ce qu’on échange : ce qui est changé. Manufacturados o primarios y servicios, divisas, mano de obra (inmigración)  Biens et services, devises, facteurs de production : capitaux (ce qui caractérise notre époque), et travail  Secteurs d’activité  Biens finaux ou intermédiaires (los que se transforman para producir bienes)? Inter/intra-branche ? Interbranche : dos países intercambian bienes diferentes. Francia importa fresas y exporta produits du lux. Intrabranche: los alemanes compran coches japoneses y los japoneses coches alemanes. Biens et services échangeables: on peut eux importer et exporter (tradable) Non échangeables : service de proximité (ex : coiffeur)  Stratégie de production des firmes : composants ou produits finis ?

1.2. MESURER LES ÉCHANGES - Balance des paiements = 0 (équilibre). Utile de contabilité nationale qui va renconcer de manière systématique toutes les transactions entre un pays et le reste du monde dans une période du temps déterminé. Il se compose de :  Compte en capital  Compte financier : tous les échanges de capitaux financier. Investiments directs à l’étranger (ex : quand une entreprise achète une filial dans l’étranger) *Combien de capitaux entre et sortie ? Différence : excèdent (et à l’envers) et déficit financière (mois qui soit, plus que rentre) *Capitaux non financière : p.ex. des actives, des remises d… publique  Compte courant

*Resence les échanges de biens et services, des importations et des exportations, entre les biens et services que rentrent. * calculer un solde : à partir de ça, on peut mesurer la balance commerciale (valeur des exportations-importations. Résultat négative  déficit commercial. Résultat positive  excédent commercial. -

Balance commercial : déficit ou excédent commercial Pour les flux financiers, on mesure surtout les volumes d’Investissement direct à l’étranger : « Investissements d’une entreprise dans une société étrangère dont elle acquiert ou détient au moins 10% du capital (ou des droits de vote)… »

IDE : relation d’investissement direct établie dèrs lors qu’un investisseur acquiert au moins 10% du capital social d’une société résidente d’une autre économie (étrangère). Inclue l’investissement initial et toutes les opérations en capital ultérieures. (Comprend la création des sociétés, les fusions et acquisitions, le réinvestissement). *France : balance de biens : déficit. Balance de service : excédent La balance des paiements est toujours équilibrée. *chaque compte a un solde négative et/ou positive. La balance de paiements est toujours 0.

Tous flux financières qui sort…  no aparecen por arte de magia. Todo lo que entre en el país es un reflejo de… EL flujo financiero es la contrapartida de las cuentas corrientes EEUU: déficit por el uso del dólar, pero país muy rico

La France : *déficit comercial : en rojo, déficit de manufacturas etc. en naranja, déficit en general  En 2020, le solde de la Balance commercial en bien était déficitaire à hauteur de 65,2 milliards d’euros

*2020 : pire déficit commerciale depuis très longtemps, pas seulement pour l’importation de « hors énergie »  Poids énergie dans le déficit  Il est probable que le déficit commercial en biens ce soit encore dégradé en 2021, car malgré la hausse des exportations liées à la reprise mondiale, les importations ont-elles aussi augmentées. *avant 2005 : excédent commerciale - hausse au mix…  factor coyuntural (cambiante, nada fijo) VS estructural (situaciones provocadas por la propia estructura de la economía, la forma en que está organizada) - effet €: adoption - devise: prendre la valeur  para importación viene bien, es menos caro. Para la exportación viene mal, porque los bienes que se exportan pierden valor, se hacen más baratos Esto afecta (y beneficia) a Alemania, la devisa es muy elevada. Compétitivité: factor structurel. Problème de collocation du produit à cause de course salarial et fiscalité. Aussi problèmes de politique industriel

*Advantage competitive : dans l’áeronautique et spatial… *Luxemburgo por ejemplo: entra mucho flujo financiero, sale poco. No se produce (casi) nada, vive de importaciones mayoritariamente. Tiene muchos bancos, muchas cuentas de gente que no habita allí

Un déficit commercial est-il synonyme d’une mauvaise santé économique ou d’une croissance en berne ? Ça dépend. Etats-Unis  déficit commerciale. País desarrollado, pero con problemas económicos desde los 2000. Australia  déficit permanente, pero no tiene demasiados problemas económicos

Aucune relation simple entre balance commerciale et santé économique Consensus Washington 80-90 : OMC, Banque Mondial, FMI. Mis d’accord un doctrine/precepte liberale : liberaliser le marché, ouvrir ses frontières, libre échange, exporter, privatiser.  po resto surge la idea de que es necesario un excedente para la santé économique. Pero el déficit puede estar provocado por muchos factores que no afectan a la santé économique. La dégradation d’un seul commerciale peut être signe d’une très bonne santé commerciale. Peut-être provoqué par une faible compétitivité internationale, produits pas demandés.

Votre économie n’a pas changé mais le prix du pétrole a cru. Taux de change- la valeur de notre devise va fiancer doublement le seul de commerciale. Si la valeur de la devise allé elle ¿vex ? ¿¿ ?? alors la relation  on parle de ¿curvage ? ¿curage ? ¿courvage ?

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Les liens complexes entre croissance et solde commercial – Ex :  Croissance par la demande peut générer une hausse des importations  Gains de compétitivité internationale / hausse de la demande internationale = hausse des exportations : peuvent accroitre la croissance  Variations du prix des matières premières : modifie la valeur des importations (c’est une des raisons de l’amélioration du solde commercial entre 2011 et 2015 et de l’accroissement du déficit com. En 2018)  Taux de change

Faut-il préférer un déficit ou un excédent commercial ?

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Outils pour mesurer l’intégration d’un pays dans le commerce international : l’importance du choix des indicateurs :  Importations et exportations en $  Taux d’ouverture commerciale : (x+m)/PIB * 100 C’est la part des échanges commerciaux dans l’économie d’un pays  Taux de dépendance sur l’extérieur : m/PIB * 100 Compétitivité international : capacité à faire face à la concurrence internationale – prix et hors prix

Qu’on va mesurer ? Le puissance du pays et si il est dépendant de l’exterieur On pris des importations et exportations Le pays le plus puissant est les Etats Unis ; premier puissance commerciale. Si China no exportara, no tendría nada que hacer contra EEUU. Compétitivité internationale: n’a pas un valeur numérique, on ne peut pas le mesurer. Capacité d’un pays pu des entreprises d’un pays de faire face á : prix (beaucoup de productionbeaucoup de coûts en tant) et hors prix (on va remonter la qualité, technologie, capacité…)

De l’importance du choix des indicateurs. Etats-Unis ou France : qui est le plus ouvert au commerce international ? **France : EEUU es muy poderoso, importa y exporta mucho, pero está más centrado en el comercio interior, y Francia más en el exterior) -

Comparaison de données internationales :  Attention au rôle des taux de change qui ne sont pas toujours représentatif des niveaux de vie  Utilisation du $ en parité de pouvoir d’achat

2. LES ÉCHANGES D’UNE MONDIALISATION À L’AUTRE Mondialisation : phénomène multidimensionnel  Culturelle : homogénéisation  Géographique : amélioration des transports, compression de l’espace-temps, internationalisation et frontières  Institutionnelle et politique ; relation de pouvoir nation/firmes/organisation internationales ; instauration de normes institutionnelles internationales (business law, politique économique)  Economique

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Mondialisation économique : augmentation significative des interdépendances entre les économies nationales composant l’espace mondial, couplée d’une intégration croissante des marchés (tomamos varios países, cada uno con su mercado y sus

precios) de biens et services, capital et travail, le tout lié à une croissance des échanges *Imaginenmos que Francia e Italia no comercian. Francia vive una crisis de cereales por mal tiempo. El precio sube. A Italia no le afecta. Si comercian, esto puede afectar a Italia. Si el precio coevoluciona, pays integrés. *Spread: on regarde deux pays. Cuando dos países coevolucionan, ¿el spread aumenta o desciende? -

Pourquoi l’histoire économique est importante pour comprendre les phénomènes économiques actuels ?  Existence de path-dependency  Relativiser des phénomènes présents  Vision de long-terme pour une meilleur compréhension/prévision

2.1 LES ÉCHANGES INTERNATIONAUX : UNE HISTOIRE LONGUE - Fin des années 90 : histoire longue de l’économie mondiale et remise en question de la mondialisation comme phénomène « inédit ». O’Rourke et Williamson (1999). Globalization and History: The evolution of 19th century Atlantic Economy  Des biens ont été échangé à une échelle internationale depuis presque toujours  Les Egyptiens commerçaient des biens de luxe ; Les Phéniciens (zone équivalent Syrie-Liban-Israël, commerçant jusqu’en Angleterre)  Venise (1000-15000)  commerce jusqu’en Chine : XIV-XVIe les cités italiennes (Gênes, Florence) ; les villes hollandaises ; Espagne et le Portugal Les grandes civilisations presque toujours liées à un développement commercial

Révolution du 19ème siècle : -

Jusqu’au 19ème siècle, les périodes d’expansion commerciale ne vont pas toujours de pair avec une augmentation du revenu par tête moyen au niveau mondial 1820 : point de rupture. En 188 ans, le revenu par tête est multiplié par 11 (+1050%)  Révolution industrielle = Première mondialisation 1850-1913  O’Rourje et Williamson 1870-1913  Berger : 1830  Datation dépend de la définition de l’intégration commerciale et de l’idée de « décollage » des échanges

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Des chiffres :  1830-1914 : volume des échanges mondiaux x20  1800 : commerce mondial de marchandise = 3% du PIB mondial  1913 : 30%

3 phases : -

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1ère mondialisation 1850-1914 Le ralentissement :  Ralentissement : 1914 et la première guerre mondiale  Coup d’arrêt avec la crise des années 30 (les exportations en % du PIB reculent) jusqu’aux années 50 2ème vague de mondialisation 1950-aujourd’hui  Niveau d’intégration internationale de 1900 ne seront rattrapés que dans les années 70-80  Entre 1950 et aujourd’hui : les échanges se sont développés 2 fois plus vite que le PIB

** 2ème mondialisation (1970). PIB : explosion richesse/habitant  révolution industrielle. Le PIB se multiplie x20. 1930 : caída bolsa Wall Street ¿Deux mondialisations ? Ou une seule, mais avec une baisse qui remonte ? -

révolutions technologiques, mais pas la même (1 en communication et transport, 2 en nouvelle technologie) développement de théorie économique de livre échange (1 Adam Smith, Ricardo, 2 consensus de Washington, effondrement URSS) réduction des barrières (1 en 1915, 2 en 1960 ¿ ?) **

2.2. MONDIALISATION : UN MÊME PHÉNOMÈNE ? - Grandes innovations : transports et télécommunication - Avènement de la théorie du libre-échange  19ème : Adam Smith, Ricardo et la théorie des avantages comparatifs  Après 1980 : Avènement de l’idéologie libérale  Effondrement URSS, consensus de Washington 1980

2.2. MONDIALISATIONS : CONTINUITÉS ET RUPTURES - Réduction des barrières aux frontières

 1815 : Corn Laws, abrogées en 1846  1860 Accords Cobden-Chevalier : libre échange bilatéral France – RU o Libre échange inégalitaire, impérialiste (les colonies)  Baisse des droits de douane sous l’action : Action du GATT/OMC  Entre 1960 et aujourd’hui, droits de douane des pays signataires du GATT/OMC sont passés de 16,5% à environ 4% LECTURE : LES CORN LAWS - Qu’est-ce qui motive les anti-corn laws ?  Idéologie  Intérêts privés d’une classe d’entrepreneur - Quelles sources sociales profondes à l’abrogation des corn laws ?  Augmentation du pouvoir d’action collective d’une nouvelle classe : les entrepreneurs, capitalistes  Renversement de l’équilibre politique - Qu’est-ce que cette histoire des corn laws nous apprend sur notre époque ?

- Mondialisation du capital/financière et convergence des taux d’intérêt - Mouvements de capitaux  1ère mondialisation : l’émergence des grands conglomérats o Premières multinationales (anglaises comme Dunlop, allemandes – Siemens ou Bosch ; françaises – Saint-Gobain ; suisses – Nestlé)  2ème mondialisation : l’ère des multinationales o Début des années 1980, 7000 FMN. 2016 autour de 100 000 multinationales responsables d’environ la moitié des échanges commerciaux internationaux - Migration : mouvement du travail

- crash wall street  intégration (de marché) international faible - il n’y a pas des firmes internationaux (multinationales), surgen aquí, es el principio  phénomène émergent 2 : vraiment dominé et influencé pour les multinationales Migration : mouvement du travail XIX: origen y destino de flujo migratorio -

Plupart: d’Europe à Amérique Países entre países colonizadores y colonizados (en ambos sentidos)

En la actualidad: entre países del norte o developpés

3. UN PANORAMA DE L’ÉCONOMIE MONDIALE The top traders of goods and commercial services in 2019 were mainly economies in North America, Asia and Europe -

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USA is the leading services trader China (poor 30 years ago) has become the second largest global trader since 2010, with trade growing on average 5,8% a year from 2010 to 2019 *política comercial: industrialisation par promotion des exportations. Crea un excedente comercial que va creando más poder económico a partir de pequeñas inversiones en mejoras de la sociedad) Germany with its manufacturing-focused economy, continues to be a top trader France Canada and Mexico are the 13th and 14th largest global traders, benefiting from membership of NAFTA and its supply chain network with the USA Russian Federation is a top global trader with large hydrocarbon exports United Arab Emirates is a key services trader with strong transportation service trade and growing regional tourism Philippines, with average annual trade growth of nearly 9% from 2010 to 2019, is now the world’s 38th largest trader, with particular strength in other business service exports

Principaux importateurs et exportateurs de marchandises 2013 : États-Unis, Chine, Allemagne, Japon, France, Pays-Bas

Au cours des 10 dernières années (2008-2018), Hong Kong, Chine, l’Inde, le Mexique et l’Irlande ont connu la plus forte progression dans le classement mondial des 20 premiers importateurs et exportateurs de marchandises et de services Quels secteurs ont enregistré la plus forte augmentation ou la plus forte baisse ? (Source : OMC) -

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Les exportations de produits pharmaceutiques ont enregistré la plus forte augmentation parmi les produits manufacturés, avec une hausse de 4,2% par an entre 2008 et 2018 (+4,2%) Les exportations de fer et d’acier ont diminué à un taux annuel de 2,3% entre 2008 et 2018 Les exportations mondiales de services de transport maritime ont diminué à un taux annuel moyen de 1% entre 2008 et 2018. Le commerce mondial des services professionnels et des services de conseil en gestion a augmenté à un taux annuel moyen de 6,5% entre 2008 et 2018

*Comercio internacional claramente dominado por Europa. Malgré l’internationalisation on continue à commercer avec des pays voisons  il existe des accords commerciaux.

UE : sobre todo comercio entre ellos*

3.1. LA GÉOGRAPHIE DES ECHANGES - Régionalisation et commerce régional/intra-zone La part de l’Asie dans les exportations mondiales totales a augmenté de 6 points de pourcentage, passant de 28% en 2008 à 34% en 2018 -

Nouveaux pays industrialisés et commerce sud-sud

3.2. STRUCTURES DE BIENS ÉCHANGÉS  Les biens et les services. Echange-t-on plus de biens ou de services au niveau international ?  Le commerce intra-branche On échange encore surtout des marchandises (et surtout produits manufacturés) Revoir : notion de tradables et non-tradables On échange toujours plus de biens manufacturés que de services, malgré une croissance du commerce des services depuis une quinzaine d’années : Commerce mondial, 2016 : 57% produits manufacturés, 20% services, 11% énergie et minerais, 8% produits agroalimentaires Recul de la part des produits primaires dans les exportations des pays en développement Durant les quarante dernières années, la part des produits manufacturés dans les exportations des pays en développement a nettement augmenté **Qu’est qu’on échange aujourd’hui ? Plus de biens ou des services ? On échange encore surtout des marchandises. Des pays en développement exporte surtout produits manufacturés, à partir des années 90. (pas primaires). Produits à faible valeur ajoute, pire qualité (p.ex. textile) Services : ont aussi augmenté mais lentement. Autres services : financières, numériques (échangeable au niveau internationale).**

3.3....