CHO - Notes de cours Cours complet sur la dynamique de groupe PDF

Title CHO - Notes de cours Cours complet sur la dynamique de groupe
Author Quentin Berrous
Course Outils d’analyse du comportement du consommateur
Institution Université d'Orléans
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Summary

Litterature complète concernant la dynamique de groupe (théorie, exemples, cours..)...


Description

Introduction La dynamique de groupe recense un nombre important d’éléments pouvant être avantageux ou non, que ce soit à une entreprise ou encore à un sport d’équipe. Typiquement, plusieurs notions interviennent lorsque qu’on parle de « dynamique de groupe » dont notamment : la cohésion de groupe, le leadership, les phénomènes d’influences ou encore les prises de décisions. De plus, créativité, implication, et valeur ajoutée sont des mots que l’on peut facilement associer à la dynamique de groupe au premier abord. Toutefois, celle-ci n’est pas toujours bénéfique à un groupe. En effet, elle peut même avoir un effet contraire et néfaste à la productivité du groupe en question. Dans notre revue scientifique, nous analyserons dans un premier temps le concept de “dynamique de groupe” sous différents aspects pour ensuite vous présenter ses avantages et ses limites.

I.

Définition et termes relatifs à la dynamique de groupe a) Les fondateurs du concept

L’étude de la dynamique de groupe voit le jour aux Etats-Unis dans les années 30 et 40 sous l’impulsion de trois psychologues que sont Mayo, Lewin et Moreno 1. Pour retracer l’histoire de ce concept, revenons entre 1927 et 1932, le psychologue Elton Mayo et son équipe décident de mener une étude sur l’impact des conditions de travail sur la productivité. Pour ce faire, ils vont observer un groupe d’ouvrières au sein d’une grande entreprise industrielle, située près de Chicago. Le premier constat qu’ils retirent de de cette étude va être, sans surprise, l’amélioration de ces conditions, notamment via l’augmentation de l’intensité de la lumière. En revanche, le deuxième constat est plus étonnant. En effet, les chercheurs vont noter que tout changement dans ces conditions, même négatif, va entraîner une augmentation de la productivité. Mayo va alors interpréter ceci comme étant la résultante d’un processus de groupe. En devenant les sujets d’une expérience, les ouvrières ont acquis un statut particulier au sein de l’entreprise. Elles sont devenues un véritable groupe spécifique avec ses propres normes et son identité collective. Ce processus porte, aujourd’hui, le nom “d’effet Hawthorne”. En effet, les sujets ayant conscience de l’expérience, ils se sentent impliqué et associés aux objectifs de l’entreprise. Ils se sentent solidaires d’un groupe, ceci a donc un impact bénéfique sur la productivité, considéré d’ailleurs comme bien supérieur aux seuls effets des conditions matérielles du travail. Ce constat est très novateur car à cette même époque, c’est l’Organisation Scientifique du Travail de Taylor qui régnait dans les entreprises. Selon Taylor, les ouvriers sont naturellement porté par la paresse et n'accomplissent alors leurs tâches que par motivation économique. Le constat de Mayo a donc remis cette théorie en question, montrant que la motivation économique n’est pas le seul facteur capable d’améliorer l’efficacité et la productivité. En effet, la motivation sociale est tout aussi importante. Chaque individu attend de son travail qu’il lui fournisse de la considération et des relations interpersonnelles. Cette étude est donc à l’origine des Relations Humaines au sein d’une entreprise, l’individu n’est plus une mécanique dont on cherche à favoriser les conditions de fonctionnement, mais un réel sujet inséré dans un groupe auquel il se sent appartenir. Dans le même temps, Moreno, psychiatre américain, met au point la sociométrie. Cette méthode permet d’analyser les relations au sein d’un groupe. Pour ce faire, on demande à chaque membre du groupe d’exprimer les affinités et empathies ressenties à l’égard des autres membres de ce groupe. Un tableau, appelé sociogramme, permet de visualiser ces relations. La sociométrie a permis de mettre en évidence que l’organisation d’un groupe ne dépend pas uniquement de facteurs 1

https://moodle.insa-toulouse.fr/pluginfile.php/50603/mod_resource/content/2/La%20dynamique%20des%20 groupes-600Ko.pdf

rationnels, mais aussi de données affectives. L’utilité du sociographe va être de représenter les attirances et les rejets des individus au sein d’un groupe qui va permettre par la suite de revoir l’organisation du travail par exemple.

Des théoriciens comme Anzieu ou Muchielli ont également prolongé le travail. Leur but : voir ce qui se produit à l’intérieur des “petits groupes”, tenter de comprendre les facteurs entrant en jeu dans les processus de cohésion et de dissociation des groupes, décrire les processus de changement et comprendre la nature des relations hiérarchiques qui s’y produisent. A travers ses recherches, Anzieu parlera d’état fusionnel collectif, pour lui, le groupe sert en quelque sorte de substitut à la mère. Il nommera sa recherche “Illusion Groupale”. Muchielli, quant à lui, révèle dans son ouvrage “La dynamique des groupes” le fait que “tout groupe s’organisant produit de l’autorité”. Ainsi, l’autorité serait nécessaire au groupe pour qu’il puisse survivre et pour pouvoir traiter tous les problèmes qu’il peut avoir. L’autorité ne serait donc pas vécue comme une contrainte ou une oppression mais comme une condition voulue et acceptée par l’ensemble du groupe. Pour autant, on peut noter que dans une organisation, le “chef statuaire” dispose d’une autorité formelle liée à son poste hiérarchique. Néanmoins, l’autorité réelle peut être disposée par un autre individu, qui, au sein d’un groupe, sera “un leader”. De manière tacite, son autorité va être reconnue et acceptée par les autres, “les suiveurs”, sans pour autant que cette autorité soit considérée comme officielle par la hiérarchie. b) la notion de groupe Le groupe est considéré comme un ensemble social organisé avec ses composantes spécifiques, mais également à travers les formes de relation et de communication qu’il engendre. On parle aussi de « réunion de plusieurs personnes dans un même lieu ». En psychologie, R.K Merton le définit plus précisément à travers deux critères : « l’existence d’une interaction entre les personnes composant le groupe et la conscience d’une appartenance commune. » Donan et Al en donne la définition suivante : “un ensemble de personnes qui ont un but commun, partagent des normes, et des besoins, et qui vont interagir en s'influencent mutuellement dans leur attitude et leur comportement.” On parle de groupe si les critères suivants sont réunis : -

La présence de relations interpersonnelles : les individus communiquent personnellement avec les autres membres

-

La poursuite d’un but commun : l’intérêt de chacun va se confondre avec l’intérêt du groupe

-

L’influence réciproque : Une interdépendance existe entre les membres du groupe

-

La mise en place d’une organisation : Chaque membre se verra confier un rôle, un statut. Des valeurs et des normes de groupe vont alors se créer.

Un groupe peut par ailleurs prendre différentes formes sociales : Groupe informel : c’est le cas d’un regroupement de personne dans une file d’attente, ou par exemple une audience dans une salle de spectacle ou de cinéma. -

Groupe formel : c’est un ensemble d’individu qui se rassemble autour d’un but commun et ils le savent. C’est le cas d’une équipe sportive, ou bien de bénévole pour une association par exemple.

-

Groupe de référence : c’est un ensemble d’individu qui se retrouvent autour d’une même cause, tel que supporter un partie politique ou faire partie d’une religion. Les membres de ce type de groupe agissent en fonction du groupe de référence, qu’ils soient perçu ou non comme faisant partie du groupe.

-

Groupe d’appartenance : c’est un ensemble d’individu qui font partie d’un groupe et qui le savent et qui sont reconnus par les autres membres du groupes comme faisant partie du groupe. C’est le cas d’une famille, ou d’une classe.

-

Autres : groupe hiérarchique, groupe par affinité, groupe d’intérêt, groupe de travail.Les groupes primaires (restreint) : petit groupe qui rassemble environ trois à vingt individus. Ils renferment une communication aisée et assez importante. Le groupe primaire est soumis à la dynamique de groupe (de la famille à l’équipe de travail)

Il y a cinq grandes catégories de groupes : la foule, la bande, le groupement, le groupe primaire et le groupe secondaire. La distinction de ces cinq catégories est expliquée par des auteurs tels que Anzieu et Martin ou encore Harold J. Leavitt. La foule : c’est un grand nombre d’individu qui se réunissent mais qui n’ont pas forcément cherché à se réunir. S’ils se réunissent, c’est parce qu’ils ont une motivation individuelle mutuelle qu’ils cherchent à satisfaire. De manière générale, on considère qu’une foule à une durée de vie très faible et que la structure du groupe est également très faible. On note aussi que dans une foule, les membres qui la composent ont une faible connaissance des buts. Exemple de foule : pèlerinage, concours, concert. La bande : à la différence de la foule, la bande se caractérise par un faible nombre d’individu qui vont se rassembler autour d’un point commun. Ils recherchent le semblable et c’est pour cela que ces individus se rassemblent. Cela leur apporte également un sentiment de sécurité et de soutien affectif. Les membres cherchent par ailleurs à multiplier les signes extérieurs de ressemblance. Globalement, on dit que ces individus ont une conscience des buts du groupe. Exemple : bande de jeunes Le groupement : le nombre d’individu faisant partie d’un groupement est très variable puisqu’il peut être petit, moyen ou grand. Les regroupements se font de manière plus ou moins fréquente et les individus poursuivent un intérêt commun. Ces groupements sont davantage organisés que la bande ou la foule, avec une gestion des rassemblements ou bien des systèmes de représentants ou dirigeants en interne. Exemple : académie, ligue, parti politique, syndicat. L e groupe primaire (ou restreint) : il se compose d’un petit nombre d’individus qui possède des liens directs et qui interagissent tous ensemble. Leurs relations humaines sont donc riches, avec de

nombreuses actions communes, spontanées et novatrices. Par ailleurs, tous les membres ont une forte conscience des buts communs, et œuvrent en ce sens. Un groupe primaire est par nature structuré avec une différenciations des rôles entre les membres et une constitution de normes, croyances et rites propres au groupe. Selon Homans (1950), cette taille de groupe permet une meilleure communication en interne et permet un échange en face-à-face entre tous les membres. La construction d’un groupe primaire ne correspond pas à une catégorie abstraite (par exemple fumeurs, cyclistes), ni à une catégorie démographique (médecins, femmes, hommes), ni à des réalités économiques (cadres, ouvriers, employés) et ni à des données socioculturelles (français, indiens, chinois…). Exemples : famille, amis, voisins, groupe de travail à l’université Le groupe secondaire (ou organisation) : le groupe secondaire est composé d’un très grand nombre d’individus qui interagissent au sein d’une structure formalisée. Ces individus entretiennent des relations impersonnelles, rationnelles, contractuelles ou/et formelles. En générale, les relations sont donc indirectes et les individus ne se connaissent pas forcément entre eux. Par ailleurs, ces individus poursuivent des objectifs déterminés, qui sont identiques ou complémentaires. Exemple : Entreprise, école Notre sujet portant sur la dynamique de groupe, nous avons décidé de nous centrer davantage sur le groupe restreint. Ainsi, il existe quatre types de groupes restreints qui vont venir se décliner sous plusieurs formes : -

Selon le but : centré sur la tâche ou sur le groupe lui-même

-

Selon le degré d’interactivité : groupe formel ou informel

Groupe formel

Groupe informel

Centré sur le groupe

Participants à un stage intensif Réunions d’anciens collègues axé sur la cohésion d’une équipe

Centré sur la tâche

Étudiants devant réaliser un projet sur la « dynamique de groupe »

Témoins d’un accident

Nous allons plus particulièrement nous intéresser ici au groupe formel centré sur la tâche. Les principales caractéristiques de ce groupe vont rassembler :

-

La connaissance des individus entre eux

-

Un but collectif

-

Un inconscient collectif (valeurs partagées, idéologie, communauté etc.

c) La notion de dynamique de groupe Le terme dynamique de groupe doit son nom à Lewin, qui l’utilise pour la première fois dans un article en 1939. Emprunté d’abord aux sciences physiques, en particulier à la mécanique, le terme « dynamique » s’oppose à « statique ». Dans sa première vision, étudier la dynamique, était déterminer quelles forces entrent en jeu, comment elles s’opposent entre elles, se combinent et entre en mouvement pour faire fonctionner le système. C’est ainsi que Krech & Crutchield définissent en 1948 la dynamique de groupe comme « l’ensemble des changements adaptatifs qui se produisent dans un groupe et qui assurent sa pérennité » Mais quelles sont ces changements adaptatifs ? Comment assurer la pérennité d’un groupe ? Avant d’arriver à maturation et de fonctionner de façon autonome. Un groupe passe par plusieurs étapes. Un modèle retraçant ces étapes est fondé en 1977 par Tuckman et Ann Jensen . Etape 1 : formation ou constitution A ce stade, il n’y a aucune certitude ou du moins de nombreuses incertitudes concernant le but, la structure et les leaders du groupe. Les membres se rencontrent, apprennent à se connaître, et découvrent la légitimité de chacun. La constitution d’un groupe est complexe à expliquer, mais il existe des hypothèses formulées par des philosophes ou sociologues. Selon Sartre et son modèle utilitaire 2, le groupe peut se former lorsqu’il va y avoir une prise de conscience individuelle concernant le fait qu’une lutte ne pourra être surmontée que si elle est collective. Cela pousse à établir des liens et se rassembler avec ceux qui partagent les mêmes intérêts. Selon Schachter (1959) et son modèle de l’identification, ce qui pousse les individus à se rapprocher et à créer des groupes, c’est l’attirance sociale. Ainsi, lors de la formation, les membres du groupe se testent afin d’établir leur position dans le projet. Ils sont généralement inquiets car ils ne savent pas encore comment ils vont être amené à travailler ensemble. Ils vont alors se jauger pour connaître les capacités et compétences de chacun. Etape 2 : Tension, agitation ou confrontation Lors de cette étape, des luttes de pouvoir et des différences d’opinions apparaissent. Il est nécessaire de déterminer comment l’équipe travaillera ensemble. Les membres de l’équipe rivalisent pour que leurs idées soient entendues et implémentées. Des divergences de points de vue apparaissent, ce qui génère alors des conflits. L’idée est alors d’établir des règles qui viendront résoudre les différends. Ces règles vont être des règles de confidentialité, de non-jugement ou de non représailles face à une 2

http://www.psychoweb.fr/articles/psychologie-sociale/137-notion-de-groupe-caracteristiques-et-for mation-des-groupes-restr.html

opinion. Cette phase peut être considérée comme l’une des plus importantes car si elle est mal gérée, elle peut aboutir à l’éclatement du groupe ou à une division au sein du groupe. Le rôle du Leader est, ici, très important. Etape 3 : Normalisation ou cohésion Lors de cette étape, l’équipe se structure et établit une véritable confiance interpersonnelle. Des règles sont essentielles au bon fonctionnement du groupe et elles doivent être acceptées par toutes et tous. De façon autonome, le groupe se structure peu à peu et des rôles apparaissent en fonction des membres et de leurs compétences. Pour cadrer le travail, chacun doit avoir des missions définies et suivre son temps imparti. Un consensus autour d’un cadre commun de travail est donc de mise pour parvenir au bout du projet.

Etape 4 : Performance ou production Lors de cette étape, les règles de fonctionnement mises en place vont permettre un travail réalisé en temps et en heure. On considère que la structure est complètement opérationnelle et acceptée par tous les membres qui composent ce groupe. L’efficacité et la coopération sont essentielles pour atteindre les objectifs fixé par le groupe. L’idée ici est de développer la participation de chacun, et faire en sorte que tout le monde se sente concerné par le projet. L’esprit d’équipe est de mise afin de travailler ensemble. Le fonctionnement du groupe s’auto-régule peu à peu et chacun est capable de mesurer s’il avance positivement ou non. Etape 5 : Dissolution C’est l’étape ultime, celle qui marque la fin de vie du groupe. Elle intervient après deux sous étapes qui sont le démantèlement et la dispersion. Souvent, on atteint cette étape lorsque l’on considère que les objectifs sont atteints et qu’il est impossible d’en fixer de nouveau. Cela peut être également dû au fait que le groupe n’a jamais atteint les objectifs fixés et que les solutions ne sont pas trouvées pour les atteindre. Cela peut être par exemple la fin d’un projet ou l’échec d’un projet. Dans cette étape, il est important de se remercier les uns et les autres pour l’implication de chacun d’entre nous. Cette étape est essentielle car elle permet de valoriser chaque tâche effectuée de manière personnelle mais aussi de reconnaître l’ensemble du travail. Un sentiment de reconnaissance se dégage alors, rendant la possibilité d’être tout aussi efficace et montrer la même implication lors d’un nouveau projet par exemple.

II. L’influence de la dynamique de groupe dans une organisation a) Quelle est l’influence des membres d’un groupe selon leur rôle ? Dans un groupe, le rôle des différents membres va avoir une influence sur la dynamique de groupe dans l’organisation. Un rôle peut être joué par plusieurs individus à la fois au sein d’un groupe. Selon le Docteur Belbin, on peut classer les rôles en trois catégories : -

Rôles de réflexion

-

Rôles d’action

-

Rôles de relation

Les rôles de réflexion : Il y a le contrôleur, qui joue un rôle d’évaluateur des différentes options avant de prendre une décision. Son jugement est basé sur le sérieux mais n’est pas basé sur l’émotionnel. De plus, il a un jugement assez objectif. Il est décrit comme manquant d’inspiration et éprouve des difficultés à guider les autres. Auprès des autres, il peut paraître comme ennuyeux. Le concepteur est le créatif de l’équipe qui est source d’idées et de propositions créatives. Il éprouve une certaine facilité pour résoudre des problèmes complexes. L’expert est celui qui est doté de compétences et connaissances pointues dans son domaine d’expertise. Il est souvent introverti et apparaît comme quelqu’un de très concentré. En revanche, il peut rencontrer des problèmes de sociabilisation car souvent il ne s’intéresse pas aux sujets traités par les autres personnes du groupe.

Les rôles d’action : Il y a l‘organisateur, c’est celui qui transforme les idées en actions concrètes et réalisables. C’est quelqu’un de nature confiante, organisée et peu stressée. Ils peuvent rencontrer des difficultés avec les autres membres car ils se montrent souvent conservateurs et manquent de flexibilité, donc les membres du groupe ont l’impression de ne pas être écouté ou d’être contraint de suivre des règles impossibles à changer. Il a le fonceur, qui est la personne ultra dynamique du groupe. Il parvient à motiver les autres membres à passer à l’action, il déborde d’énergie. Souvent, il peut se montrer agressif, provocateur et cela peut conduire à offenser les autres membres, ce qui n’est pas bon pour la dynamique du groupe et peut créer des tensions et conflits. C’est là que le rôle du Leader intervient à nouveau, afin d’éviter un éclatement du groupe. Il y a aussi le perfectionneur, qui est consciencieux et aime s’assurer que le travail est bien fini et sans erreur. Il sait respecter les deadlines et porte beau...


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