Cours DE Serie Complet PDF

Title Cours DE Serie Complet
Author Aminta Samb
Course Série Télévisée
Institution Université Sorbonne Nouvelle
Pages 15
File Size 371.4 KB
File Type PDF
Total Downloads 102
Total Views 177

Summary

Cours de Série télévisée en UE spécialisé en lien avec les théories sur la réception...


Description

SERIES, GENRE, RECEPTION

Modalités : 50% Dossier à rendre : 7/01 --> Former des groupes 4 personnes, choisir une série télévisée et mener une étude de réception au prisme du genre. Nous allons en détailler pendant la séance du 4/12. Partiel : 11/12 Introduction : Les séries ont commencées aux Etats Unis : les autres pays ont ensuite repris les formats.. Il y a trois moments du même continium d’une sociologie de la culture de masse. Ce sont trois moments liés, ils ne vont pas les uns sans les autres. L’un influence toujours l’autre. La production : L’observation de ce qui est plié dans tel ou tel objet de la culture de masse (le contexte national ou international de production) La réception : L’analyse des formes d’appropriation et des formes d’action liées aux usages de ces objets (en l’occurence les séries). Les représentations : L’observation des traces culturelles ou symboliques que sont ces objets (et de ce qu’elles nous disent du monde qui les produits). Chapitre 1 : L’histoire des séries. Les séries sont partout , on en parle avec nos amis, notre famille.. Ce qui n’en regardent pas se sentent parfois obligés de regarder comme tout le monde en parle (la casa, got). Les séries sont devenues ce qu’était auparavent le cinéma : une forme audiovisuelle populaire capable de nous immerger dans des mondes fictionnels toujours plus vastes. Elles n’ont cependant pas remplacer le cinéma. Le cinéma à perdu sa pleinitude d’oeuvre total mais il ni concurrencé ni menacé. Pour comprendre les origines des séries il faut remonter à ce qui exister avant : les formes narratives sérielles (le feuilleton radiophonique, et avant lui le roman feuilleton.) Nées avec l’ère industrielle et ce qu’on appelle encore la culture de masse ces oeuvres sérielles visent à maintenanir le supenses sur le long terme souvent dans le but d’entretenir un public fidèle sur le long terme autour d’une même publication ou émission radio. A) Le feuilleton littéraire Les révolutions industrielles du 19ème siècle interviennent après des modifications plus progressive pendant les siècles précédents (apparition de la classe bourgeoise, école obligatoire). Public de plus en plus instruit et alphabétisé donc qui a de plus en plus soif de divertissements. La culture n’échappe pas à l’industrialisation de l’époque donc à une production de masse.

C’est ainsi qu’apparait le roman-feuilleton, divisé en épisodes publiés sur plusieurs semaines, ou plusieurs mois. Le feuilleton littéraire fut très critiqué à sa naissance comme à chaque fois que l’on a l’émergence d’un nouveau support médiatique. Accusé d’abêtissment des masses. Les romans-feuilletons s’attaquent à la société contemporaine à l’urbanisation, aux conditions de la classe ouvrière, en gros des sujets moins nobles qui les distinguent des oeuvres littéraires. Ils traitent de la vie quotidienne. Le feuilleton littéraire va systématiser et populariser le procédé Cliffhanger dans une démarche à la fois artistique ( gestion de la tension narrative) et commerciale (pousser à acheter les numéros suivants). Cliffhanger : Le fait d’être suspendu. Chaque épisode se conclu alors par une révélation ou un retournement de la situation qui sera résolu dans l’épisode suivant. Technique qui n’est pas récente : utilisée dans Shérazade. Le feuilleton littéraire va connaitre un succès de la seconde moitié du 19ème jusqu’au début du 20ème siècle. B) Le feuilleton radio diffusé et le serial cinématographique Apparition de la radio et donc de feuilletons radiophonique à partir du début du 20ème siècle. On recrutait des acteurs. On commnence à réaliser l’importance de fidéliser une audience. La cible choisi ce sont les femmes qui écoutent la radios chez elle en faisant le ménage --> Soap Opera qui traite de thématiques féminines.. Vers les années 1910 avec la naissance du cinéma on a le sérial cinématographique : des épisodes avec de acteurs récurrent et un cliffhanger --> une suite d’épisodes diffusé pendant quelques mois. 1. Les années 1950 : premier âge d’or des séries télévisées ABC, NBC, CBS Tous les foyers commence plus ou moins à s’équiper de téléviseur. On a la naissance des sitcoms, des séries policières, fantastiques, western. Les séries se sont développés en même temps que le dvlpt de la télévision. On a l’émergence des grandes chaines de télévision qui sont des entreprises privées le plus souvent de stations radios qui décident de se diversifiées : l’Etat ne s’empare pas de ce nouveau média. Avec le passage à la télé certaines techniques disparaiassent ( personnages récurrent, un acteur ne peut plus jouer deux rôles comme à la radio.) NBC : 1° Retranscription télévisée de rencontres sportives et notamment des matchs de boxe, dans une émission sponsorisée par Gilette et appelée The Gilette Cavalde of Sports. 2° Première grande émission de variétés, Hour Glass, animée par Helene Parrish et qui mêle sketches comiques et numéros musicaux. 3° Tous les dimanches soirs, la chaîne diffuse également une heure de théâtre filmé.

CBS : The texaco Star Theater, l’émission de variétés la plus regardée aux Etats-Unis entre 1948-1951. DuMont : se spécialise dans les programmes à faible cout comme les conseils destinés aux femmes au foyer ou bien les récits filmés à destination du jeune public. Les séries fidélisent le public et donne rendez vous aux gens semaine après semaine... La publicité est très importante elle permet de gagner de l’argent car la télévision est privée elle ne dépend pas de l’Etat. Année 50 : âge d’or, on se détache des techniques de radio pour se diriger vers celles du cinéma. a. Sitcoms Comique de situation. Toutes ces sitcoms parlent à la fois des petits conflits familiaux quotidiens mais aussi des changements sociaux en cours dans la société américaine de l’après guerre. Élévation au niveau du niveau de vie, naissance de la société de consomation., de la publicité de l’électroménager etc... de la persistance de la ségrégation, des préjugés, du racisme, des inégalités et de la diversité culturelle. Point Commun : Toutes les séries ont pour personnage principale, une femme, interprétée généralement par une actrice d’âge mur pleine d’énergie, de charisme et de franc parler. L’extravagante Lucy : Premier Sitcom Première série de l’âge d’or télévisuel. Il s’agit du programme le plus regadé par les américains entre 1953 et 1957. Série révolutionnaire sur plusieurs points : - Série tournée sur film plûtot que de jouer en direct et donc deux fois par soir pour les deux côtes américaines séparées de trois heures de décalage horaire. - Système d’éclairage à angles multiples qui permet de minimiser les ombres et donc filmer une même scène sous plusieurs angles en faisant tourner trois caméras en même temps sur un plateau. - Studio qui acceuille également un public de trois cents personnes dont les réactions sont enregistrées et incluses dans le montage sonore final. b. Séries Policières 1952 : Dragnet --> première série policière qui s’inspire de faits réels, racontée de facon linéaire et qui se concluent à la fin de l’épisode par la découverte du coupable avec des héros. Révolution sur le plan technique car s’est filmée dans des lieux extérieurs.

c. Western Télévisé Toutes les séries sont tournées à Hollywood. Depuis les années 1930 le western est un des genres les plus produits à Hollywood. Les séries bénéficient alors de studios déjà prêts à cet effet. d. Séries Fantastiques 1950 : The twilight Zone Cette série utilise l’étrange et le métaphorique pour aborder des questions philosophiques universelles comme la fragilité de la vie, le pouvoir, du mensonge et de la vérité. Le prétexte du fantastique permet aux scénaristes de contourner la censure de la chaîne et d’adopter un discours très libre et très politisé et plutôt de gauche. 2. Les années 1960-1970: L’âge classique A. Séries Judiciaires Perry Mason : un crime est commis et une structure familiale se retrouve en danger. Un innocent est accusé de meurtre et Perry Mason, figure paternelle charismatique et rassurante, chargé de sa défense. En préparant le procès, il comprend qui est le véritable couple et obtient la confession en plein tribunal tant que témoin. La justice et la morale triomphent à la fin. B. Séries médicales Docteur Marcus Welby : Série qui même si elle est caractérisé par un ton moraliste elle ose aborder des sujets parfois tabous comme le cancer, l’autisme, la toxicomanie. Ce genre de série est généralement représentées par un protagoniste masculin. C. Comédies dedéracinement Les américains de l’époque, dans un pays en pleine urbanisation aiment en effet toutes les séries qui se passent à la campagne et célèbrent la vie saine loin des villes, comme Andy Griffith Show. Toutefois ce changement social inspire à l’époque davantage le rire que la nostalgie. Ainsi, Les allumés de Beverly Hills est le programme le plus regardé en 1962 et 1964. (une famille du Texas qui fait fortune et part s’installer à Beverly Hills : comique de situation) D. Le gout de l’extrême Ex : L’île aux naufragés

E. Série d’espionnage Ex : Mission Impossible : Prolifération des séries d’espionnages, on est en pleine guerre froide donc le contexte se ressent dans les séries. Miroirs de leur époque, on a la conquête spaciale, la guerre, la question sociale qui se cachent derrière des métaphores. Meilleurs représentations des américains à partir de1970 et des femmes. Premier rôle majeur pour un noir dans une série et création de rôle beaucoup moins stéréotypés. Ainsi les femmes dans les séries ont la volonté de faire carrière. 3. Des années 1980 aux années 2000 troisième âge d’or. La compétition entre les chaînes s’accroissent. Fox : séries innovantes et politiquement incorrectes comme Mariés 2 ou les Simpsons. Les autres chaînes restent encore un peu conservatrices. A. Multiplication des chaînes et éparpillement dupublic. Les chaînes câblées ne proposent alors plus des programmes généralistes mais des émissions ciblées par genre (Biography, Channel, History Channel, SOAPnet etc...) Prolifération des séries dramatiques, des comédies et de soap-opera qui mettent en scène des adolescents (ex : Beverly Hills), des comédies familiales mettant en scène des afro américains et spécifiquement destinées à cette communauté (ex: le prince de Bel Air). La concurrence oblige donc les chaînes à séduire et fidéliser un groupe de téléspectateurs précis en leur offrant des programmes ciblés. Ce sont les téléspectateurs qui « choisissent » ce qu’ils veulent regarder. Changement technologique : (Télécommande, plus de chaîne et plus de postes) qui changent la manière de regarde la télé. B. La fin de la tyrannie du direct Remplacement des cassettes VHS analogiques par des DVD numériques. Les entreprises abandonnent les publicités au profit du placement de produit. C. Des récits de plus en plus addictifs Dallas : 1er feuilleton a être diffusé une fois par semaine. C’est grâce aux cliffhangers que les scénaristes fidélisent, voir rendent accro les téléspectateurs en créant le désir de voir absolument le prochain épisode afin d’obtenir la réponse à la question laissée en suspens au précédent. C’est à partir de là que l’on va le placer en prime time et qu’on va l’utiliser au max. - 80% des foyers américains soit 90 millions de personnes allient leur poste de télé en 1980 pour regarder le premier épisode de la troisième saison de Dallas après avoir passé tout l’été à se demander : « Qui a tiré sur JFK ».

Traite du pouvoir, de sexe et d’argent et de personnages antipathiques et pas nécessairement des personnages exemplaires : anti-héros. D. Multiplication des points de vue et mélange des genres Série chorale: série qui n’est pas centrée autour d’un ou deux héros charismatiques mais sur un groupe des personnages dont l’importance est égale (ex: Friends, Sex and the City). *FCC (Federal Communication Comission) : instance de régulation responsable de la règlementation de la radio et de la télévision aux États-Unis. « Ce n’est pas de la télévision, c’est HBO » À partir de 1985 HBO se met à produire des séries originales à destination d’un public riche, urbain et éduqué ( ses abonnés) en profitant de la liberté que leurs offre l’absence d’annonceurs publicitaires ( et donc la pression de l’audimat) et l’absence du contrôle de la FCC. Ainsi, les séries que la chaine produit brisent les tabous ( le sexe, les insultes, la mort) et imposent le politiquement incorrect. Post-télévision Dans la deuxième moitié des années 2000, la généralisation de l’internet permet de télécharge et d’échanger rapidement des vidéos, d’en diffuser à la demander ( streaming) etc. Il devient donc possible de regarder une série télévisée sur d’autres supports que celui de la télévision: ordinateur,, téléphone portable, tablettes, etc.

Séance 3 02/10/2019 Chapitre 2 : La fiction plurielle Feuilleton : Forme fictionnelle narrative dont l’unité diététique est fragmentée en plusieurs épisodes d’égale longueur. Les personnages peuvent vivrent plusieurs aventures, ils sont dynamique, et évoluent beaucoup plus que es personnages de séries normales. Dans le vocabulaire des études télévisuelles, la diégèse désigne le monde de la fiction : Le subjectif « diégétique » permet quand à lui de désigner des éléments constitutifs de monde frictionnel représenté (thèmes, personnages, lieux etc…). Série : Forme fictionnelle narrative dont chaque épisode possède sa propre unité diégétique et dont lés héros et/ou les thèmes ainsi que la structure narrative sont récurrents d’un épisode à l’autre. Téléfilm plus rare : fiction télévisuelle unitaire.

Les dernières années on assiste à un syncrétisme entre les séries et les feuilletons. Exemple : Grey’s Anatomy : macro-récit (vie privée des protagonistes, narrée d’un épisode à l’autre) et un micro récit : (une histoire particulière à chaque épisode) Les fictions télévisuelles actuelles peuvent en fait prendre des formes très diverses, déterminées en fonction du degré de mise en série et de mise en feuilleton de leurs structures narratives. En hybridant différentes logiques narratives, mais aussi en mélangeant différents mondes diégétiques (ex : vie professionnelle et vie sentimentale), la télévision actuelle s’adresse à un public de plus en plus large et propose donc dans chaque fiction plurielle, de nombreux « niveaux de lecture ». Il s’agit de nouvelles formes frictionnelles susceptibles de retenir l’attention de publics appartenant à différentes classes d’âge, différentes catégories socio-proffesionnelles et ayant des différents univers culturels. Plus Belle la vie : La mise en feuilleton consiste en l’étirement d’un récit fictionnel susceptible de subir :

- Des variations sémantiques (flexibilité des valeurs, évolutions des caractères des personnages, des idéologies). On pourrait penser que les feuilletons en tant que genre télévisuelles sont un peu conservateurs alors qu’ils sont beaucoup plus dynamique. - Des variations temporelles. - Et narratives (multiplications des possibles narratifs, rebondissements, suspens) Ces éléments sont contrebalancés par la stabilité (l’invariance) spatiale et discursive du récit.

La mise en série consiste à la déclinaison ( possiblement infinie ) d’un « prototype » ( d’une matrice), qui donne pour fixes ( invariables)…

1. Les schémas narratifs: la bible/ base de la série 2. Les paramètres sémantiques ( axiologiques & idéologiques) : on assiste pas a une évolution idéologique, on garde le même personnage jusqu’a la fin par exemple Friend’s c’est l’amitié. 3. Et temporelles ( temps diègétiques et rythmes narratifs semblables d’une occurence à l’autre). Les variations de la mise en série sont… 1. Spatiales ( multiplication des lieux et de milieux culturels ou sociaux possibles) 4. Discursives ( démultiplication de figures, thèmes, motifs ) qui apporteraient de la part d’imprévu du récit. Sémantique (idéologie, valeurs, évolution des personnages etc.)

Mise en feuilleton

Plutôt variable

Mise en série

Plutôt invariable

Temporel Spatial

Plutôt invariable Variable

Narratif

Discursif

(changement des rythmes)

(rebondissements, plusieurs possibilités)

( figures, thèmes, etc.)

Plutôt variable

Plutôt variable

Plutôt invariable

Invariable

Invariable

Variable

La matrice comme programme esthétique La matrice d’une oeuvre de fiction plurielle permettrait de définir, de qualifier et de fixer les invariants du récit ( et dont d’induire les variations possibles), déterminant ainsi d’une part sa forme narrative et d’autre part, ses principales caractéristiques diégétiques et idéologiques. La matrice se matérialise en premier lieu à travers la bible et se formalise dans le pilote de chaque oeuvre. Chaque formule repose sur les cinq paramètres que nous avons présenté ( sémantique, spatial, temporel, narratif et discursif ) affectés par la dialectique variation/ invariance lors des processus de mise en série et/de mise en feuilleton. La fonction première de la formule serait donc de définir, de qualifier et de fixer les invariants du récit, déterminant ainsi les principales caractéristiques diègétiques de la fiction sérielle. C’est de la matrice dont dépend la vie d’une oeuvre. Si une oeuvre fonctionne, on peut utiliser la même matrice, formule à succès pour développer une oeuvre seconde à partir de cette même Matrice.

La reprise dans une oeuvre seconde de la formule d’une oeuvre première dont on a modifié les invariants génère alors un mimi-texte qui prendra soit la forme d’une transposition (transformation sérieuse) Spin Off ; soit celle d’une forcerie (imitation sérieuse.) Terme de transfictionnalité : « il y a transfictionnalité lorsque des éléments fictifs sont repris dans plus d’un texte ». La cohérence du macro-texte peut être renforcée par la technique du crossover. On parle de crossover lorsqu’un élément fictif d’un texte télévisuel fait son apparition en tant que tel dans un autre texte similaire.

Chapitre 3 : Séries télévisées… Phénomène culturel ou événement artistique. Les séries télé ne bénéficie pas de vraies critiques, comme celles que l’on peut trouver sur les pages de cinéma, littérature ou de musique. Car on considère encore que ce sont des formes d’art tandis que les séries ne le sont pas. Au Etat unis les séries sont considérées comme de vraies objets d’études. En France cet objet est peu légitime. La série reste le plus souvent confinée. Les amateurs de séries ne seraient que des esprits dupés, abusés, niais peut être prisonniers de leurs pauvres vies ? Les industries culturelles les manipuleraient et les obligeraient à consommer des produits sans intérêts particulier. Joseph Kessel a écrit que la raison pour laquelle les américains aiment le cinéma doit être cherché dans leur alcoolisme généralisé. Adorno a affirmé qu’aucun spectacle n’est plus dégradant qu’un public de cinéma riant aux éclats devant Le dictateur de Chaplin. C’était il y a plus de 60 ans mais aujourd’hui nombreux sont ceux qui utilisent la télévision pour émettre des critiques contre les programmes habituels et les téléspectateur ordinaires, même si n’importe quelle étude ou expérience quotidienne prouvent que les façons de regarder la télévision sont très diverses : Il existe donc ni programme habituels ni téléspectateurs ordinaires.

Séries télévisées : objet en constant dialogue avec sa société Depuis la fin des années 90, des séries ont été plus loin, en profitant essentiellement du registre comique pour discuter des préoccupations féminines les plus osées. Sex and the city, qualifiée par un essayiste, d’examen non sentimental des relation et habitudes sexuelles des femmes new-yorkaises, comme un aboutissement de ce mouvement.

Le recueil de chronique de la journaliste Candace Bushnell sert de base à une série provocatrice qui prend soin d’employer des procédés venus de la comédie de situation afin d’atténuer les défis. Chaque épisode est consacré à une ou deux questions à la fois sociales et sexuelles : le rapport des femmes et des hommes mariés, l’usage des vibromasseurs, la fellation… Chacune de ces femmes a un point de vues différents sur toutes ses ...


Similar Free PDFs