Cours entier de psychologie de la communication de Mr Castello PDF

Title Cours entier de psychologie de la communication de Mr Castello
Course Psychologie de la communication 
Institution Université Paris 8 Vincennes-Saint-Denis
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Cours entier de psychologie de la communication de Mr Castello...


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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION COURS 1 Connexion entre psychologie et communication : Psychologie : un savoir qui permet de comprendre, manipuler Communication : un phénomène, espace où il se passe des choses  Connaissances pour maîtriser le phénomène de communication Cela fonctionne aussi dans l’autre sens : la communication n’intervient-elle pas dans des phénomènes de psychologie ? Phénomènes psychologiques sont étudiés par la psychologie. De quelle manière la communication peut-elle intervenir sur le phénomène psychologie ? La psycho utilise déjà la communication Il n’y a pas qu’une seule théorie psychologique pour travailler le phénomène de communication : - La théorie comportementale étudie l’être humain et tous les aspects psychologiques à partir des phénomènes de comportements - La théorie cognitive : étudie l’être humain et tous les aspects psychologiques à partir de facultés cognitives (perception, mémoire, représentation, langage) - La théorie systémique : étudie l’être humain et les aspects psychologiques à partir d’interactions -

La théorie psychanalytique : étudie l’être humain et ses aspects psychologiques à partir du processus inconscient Tous les phénomènes psychologiques et de la communication vont être expliqués selon les concepts de chaque théorie : une théorie va dire une chose, et l’autre le contraire, ce sont des théories qui s’opposent. Cela s’applique aussi pour la communication. Du coté de la communication, il n’y a pas que des phénomènes psychologiques, il y a tout de la science de la communication. C’est aussi un ensemble de théories, qui étudient de manières différentes. Il y a deux modèles de la communication différents et opposés : - Le modèle de la transmission d’informations : modèle classique, on a d’un coté un émetteur, de l’autre un récepteur, on va définir à partir de ses 2 éléments la communication comme la transmission d’un élément entre les deux individus. Ce que le récepteur reçoit doit être + ou – similaire à ce que l’émetteur émet. La communication est bonne si c’est similaire. Ce que l’on transmet de l’un à l’autre, c’est l’information. Il faut que cette information passe quelque part : c’est le canal, qui va permettre au récepteur de recevoir l’information. Souvent cette information n’est pas pure, ça va souvent être définit par un code (des règles : syntaxe, grammaire, langage). Une fois que l’information est codée, elle devient un message. Pour qu’il y ait une bonne communication, on suppose que le canal peut être utilisé par les deux (E et R), que l’émetteur et le récepteur maîtrisent les mêmes codes, que l’information en elle-même en temps que message est « quelque chose » indépendante de l’émetteur et du récepteur (on passe une information d’un à l’autre, on suppose que l’information reste telle qu’elle, si il y a une modification, il ne reçoit pas le message tel qu’il a été émis il y a une mauvaise ou pas du tout de communication). Si il y a une mauvaise communication c’set à cause du récepteur, de l’émetteur ou de la transmission. 1. Pour que ce modèle fonctionne, on doit supposer que l’émetteur et le récepteur on déjà quelque chose en commun pour pouvoir communiquer (même code, même canal, ou capacités ou facultés en commun). 2. Communication : terme latin « Comunus », que l’on sépare : « Munus » qui veut dire « avoir la même charge » c’est à dire capacité à prendre en charge quelque chose (responsabilité politique, guerre) à l’époque c’est la police grecque. Selon cela, les autres (femmes, enfants, esclaves) ne communiquent pas. 3. Avec Descartes, on arrive à une autre forme de communication : à l’époque on cherchait la vérité, comment peut-on arriver à la vérité ? En observant, mais parfois il se trouve, donc ce n’est pas le bon moyen de connaître la vérité. Il dit alors de demander l’avis à plusieurs personnes, mais il arrivait à des choses différentes. Le malin génie ? La conclusion est qu’on peut douter de tout,

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION mais même quand on doute, on pense, donc on cherche encore la vérité -> « Je pense donc je suis » 4. L’être humain est nécessairement et fondamentalement rationnel. Descartes découvre de manière logique, que tout être humain est rationnel, nous avons tous la capacité de trouver la vérité par le phénomène du doute et de penser, donc tous les êtres humains ont cette faculté en commun. Mais cela a donné des conséquences totalement inverse, tout comportement irrationnel a été considéré comme inhumain. Mais il y a toujours des personnes qui sont totalement irrationnels. C’est ce qu’on a appelé avec le temps la « folie », c’est une pathologie. 5. Ces pathologies, il faut les traiter, sinon il faut exclure ou enfermer ceux qui ne sont pas rationnels. 6. A partir de cette idée, la communication est un phénomène qui dépend de chaque individu, dans la modernité, ce qu’on appelle une personne est nécessairement un individu, dans le sens où la raison lui appartient (à l’intérieur de lui, dans la tête). C’est une faculté rationnelle qui nous permet de dire aujourd’hui que chaque individu a la faculté de communiquer, parce que l’émetteur et le récepteur on les mêmes facultés (penser, raisonner, exprimer,…). Donc si la communication est mauvaise c’est parce qu’il y a quelque chose qui a perturbé les facultés de l’émetteur ou du récepteur. La communication est un effet, le résultat, ou la conséquence de cette transmission d’information. Cela suppose aussi qu’il y a quelque chose de commun entre l’émetteur et le récepteur, qui permet la communication. INFORMATION PUIS COMMUNICATION - Le modèle relationnel de la communication : c’est tout l’inverse du précédent. Ici, la communication précède ce qui est commun. Ce qui est commun entre nous ou pourrait l’être est le résultat de la communication. Cela veut dire aussi que la communication précède l’information, l’information est le résultat, la conséquence ou l’effet de la communication. La communication se définit comme une relation (non pas comme une transmission). On pas donc pas besoin d’un émetteur et d’un récepteur à la base, c’est la communication qui va les produire/créer. Les facultés ne sont pas requises, elles sont aussi le résultat de cette communication. Ce n’est pas l’individu qui va avoir une pathologie, c’est la relation qui va être pathologique. 7. COMMUNICATION PUIS INFORMATION 8. Jusqu’au XIXe siècle, ce que l’on appelle processus psychiques était dans un ensemble de chose appelé philosophie, il n’y avait pas de psychologie. C’est après que l’on aperçoit les disciplines sciences humaines, qui vont peut à peut se différencier de la philosophie. Il faut distinguer philosophie et la science. A partir du XIXe on voit apparaître des disciplines scientifiques, on fait la différence entre sciences humaines et sciences physiques ; pour se différencier de la philosophie il fallait trouver des connaissances certaines. Pour l’époque, c’était très important de savoir exactement ce qui peut définir une science (applique une méthode de vérification ou de falsification, pour valider une théorie). A ce moment là, on voit apparaître la psychologie, la sociologie, l’anthropologie et l’histoire, et il faut montrer que tous sont une science. La science est le déplacement d’un univers qualitatif vers un univers quantitatif. Pour la couleur, elle doit être quantifiée sinon il y a trop de nuance et on ne saura pas dire qui a vraiment raison ; la science ne va pas décider qui a raison, elle va trouver le moyen de faire que tout le monde se mettre d’accord sur la même chose. Ex : la couleur, la lumière se propage en particules ou en ondes ? C’est la théorie des ondes qui a été retenue, parce qu’on dit qu’un objet émane une certaine longueur d’ondes pour définir la couleur, avec un nanomètre. Il faut être dans le domaine quantitatif. La méthode d’introspection : la psychologie (processus psychisme) consiste à savoir ce qu’il y a un l’intérieur de quelqu’un, on pensait que le seul moyen de savoir cela était de rentrer à l’intérieur de l’individu, cette méthode consistait à écrire tout ce que l’on pensait, ce que l’on faisait etc. Mais cette méthode a été abandonnée parce qu’on faisait face au mensonge, que les chercheurs ne pouvaient pas savoir si ce qu’il était écrit sur les individus étaient vraies ou non, ou alors certaines pensées n’étaient pas écrites parce que l’individu pouvait avoir honte. Il y avait aussi l’erreur, que quelqu’un pensait quelque chose mais qu’en fait il se rende compte qu’il en pense une autre. Le troisième obstacle était l’inconscience de certaines choses, de ce qu’elle était en train de dire, sans se rendre compte de son incohérence (dans les cas

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION extrêmes c’est appelé la folie). Suite à cela, on ne pouvait pas faire de choses scientifiques puisque l’on était sûr de rien. Il faut trouver un paramètre pour pouvoir quantifier, mesurer (le nanomètre aujourd’hui, avec la lumière et la couleur par exemple). Comment peut-on quantifier la pensée ? Les actions/réactions d’une personne ? L’intelligence ? Le type de personnalité ? LA méthode d’introspection ne permettait pas ça parce qu’il n’y avait pas de paramètre pour quantifier cela. Il y avait un autre souci pour les psychologues : la naissance de la psychiatrie (le psychiatre est médecin contrairement au psychologue). Le médecin connaît comment fonctionnent les différents organes de notre corps, qui fonctionnent grâce aux substances qui se trouvent dans le corps Les médicaments sont des substances qui permettent de gérer le transfert des substances de chaque cellules des organes. Le psychiatre est spécialisé dans la connaissance de la physiologie du système nerveux, qui est composé de neurones, qui échangent des substances chimiques (organiques)/neuronales. Il y a des relations entre les neurones, « transmission de message électrique entre les neurones » : il y a un contact entre les deux, qui libère des substances, chargées électriquement, puis qui l’active, ce qui peut ensuite en charger d’autres, ou non. La psychiatrie a donc bien trouvé son paramètre. (Donner des médicaments pour activer/désactiver un ou des réseaux/interactions neuronales et psychothérapie).

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION COURS 2 La psychiatrie définit le psychisme à partir du fonctionnement du système nerveux. L’association que la psychiatrie fait entre le fonctionnement du système nerveux et du psychisme n’est pas prouvée. Il y a un passage du qualitatif au quantitatif, il faut qu’ils correspondent entre eux. La psychiatrie affirme qu’elle a trouvé les paramètres (la mesure pour que le qualitatif soit mesurable) : des substances permettent de modifier des états dans le système nerveux, selon ce que la personne dit (déprimée, fatiguée, triste, etc.). Ils ne font pas d’examen, c’est juste un entretien avec la personne, qui va lui permettre d’ensuite lui donner des médicaments, le problème est que les psychologues ne sont pas convaincus du passage du qualitatif au quantitatif. Historiquement, on a pu prouver que la psychiatrie se trompait de nombreuses fois. Ex : électrochocs directement sur le crâne, dans les années 20, avant d’apercevoir eux-mêmes (les psychiatres) que leur méthode/traitement ne fonctionnait pas. L’antipsychiatrie : moment où des psychiatres (Basilia en Italie) font des critiques contre des psychiatres et les lois = interdiction d’enfermer les patients si eux ou leur famille ne veulent pas, sauf acte grave contre eux ou les autres, mais seulement pour une courte durée. Un autre traitement qui a existé est la lobotomie, qui agit sur le cerveau : on divisait le cerveau dans des zones différentes, qui devaient correspondre à des activités psychiques différentes, et on estime qu’on pouvait modifier les processus mentaux en extrayant une de ces parties. A l’époque, on coupait carrément une partie du cerveau, ce qui a alors une contrepartie sur le patient. Fin dans les années 80, parce qu’elle ne servait à rien. Aujourd’hui la lobotomie agit sur une toute petite partie du cerveau. Mais le cerveau fonctionne en interactions, donc si on agit sur une partie, on agit aussi sur les relations que cette partie a avec les autres parties du cerveau. Livre : Visage noyé de Janet Frame La psychiatrie ne semble pas expliquer tout ce que les psychologues découvrent. Aujourd’hui il y a des psychiatres qui font du sevrage de médicaments, pour les patients qui ont une addiction à un médicament parce qu’il ne faut pas stopper les doses de médicaments d’un coup, ça se réduit petit à petit, jusqu’au moment où la personne puisse ne plus prendre de médicaments. La controverse entre psychiatre et psychologue existe encore, malgré qu’ils fassent équipe. 1.

La psychologie du comportement/comportementale/behaviorisme

Elle nait à la période où on cherche le passage de la qualité à la quantité, il faut trouver un paramètre au niveau du psychisme, qu’ils définissent d’une manière tout à fait singulière : Le psychisme se définit à partir du comportement. Tout ce qui est psychique est un comportement. Donc tout ce qui ne peut pas être observé comme un comportement va être considéré comme de la philosophie, de la métaphysique ou de la religion. Ils vont dissocier comportement et tout ce qui n’est pas lié au comportement. Par exemple : personne angoissée, on note les comportements : si elle parle vite, si c’est compréhensible. On note ce que l’on voit et ce qu’on entend. Par exemple quand elle parle elle se fatigue, elle est essoufflée, rythme cardiaque accélérer. On n’évalue pas ce qu’elle dit, on ne peut pas l’étudier, pour cela on note juste son comportement, que l’on peut observer, contrairement à la pensée. Grâce à la manière de parler. La pensée n’est pas quelque chose d’étudiable en psychologie, si on veut l’étudier c’est en philosophie, en religion ou en métaphysique. On étudie alors les mouvements, la vitesse du discours = on quantifie les comportements.

L’un des fondateurs de la psychologie du comportement est Ivan Pavlov, neurologue et psychiatre russe. Qui a fait ses recherches aux alentours de 1910-1915. Il avait un chien. Il appelait son chien il venait et lui donnait de la viande. Quand il venait pour manger, il avait le réflexe de saliver. C’est-à-dire un réflexe. Un réflex est un comportement régulé par le système nerveux végétatif, c’est un comportement involontaire. Le système nerveux et central est censé contrôler les comportements volontaires (ex : salive, transpiration, système rétinien).  Le système nerveux végétatif répond avec des comportements réflexes. 4

PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION En présence d’un stimulus (viande), le chien a un acte réflexe (saliver) : il existe la réponse inconditionnelle ou inconditionnée, qui est produit pas le stimulus inconditionnel. Dès que Pavlov fait sonner une cloche, il montre la viande, le chien salive parce qu’il voit la nourriture. Mais si il oublie la viande, si le chien entend le son de la cloche, il va quand même saliver (donc sans le stimulus de la viande). Pour Pavlov il y a une association entre le stimulus viande et le stimulus cloche (le stimulus neutre). Par effet d’association avec la viande, ce qui était un stimulus neutre devient un stimulus conditionné, qui conduit alors à une réponse conditionnée. Pavlov a appelé cela le conditionnement : association entre un stimulus conditionnel et neutre, qui produit un réflexe, de telle sorte que le stimulus neutre devient conditionné pour produire le stimulus reflexe. On passe d’une réponse inconditionnelle à une réponse conditionnée, par l’association entre les deux stimuli. Il peut maintenant produire des conditionnements. Le dressage des animaux est basé sur cette technique là. Film : Orange mécanique A cette association qui me permet de conditionner les réflexes d’une personne ou d’un animal, Pavlov l’appelle conditionnement réflexe/ conditionnement Pavlovien. (Actes involontaires) Dans les années 50, F. Skinner s’est demandé si on pouvait faire la même chose avec les comportements volontaires. Ici on parle de conditionnement instrumental/opérant. Skinner a travaillé avec son chat, on s’intéresse aux comportements (pas à l’intériorité). Il mettait de temps en temps son chat dans une cage, avec une petite porte, par laquelle le chat pouvait sortir, avec un levier pour l’ouvrir si on appuyait dessus. En dehors de la cage, il a mit de la nourriture. Puis il a observé ce qu’il se passait : le chat va commencer à bouger à l’intérieur de la cage, de manière hasardeuse, c’est un caractère volontaire, jusqu’à ce qu’il appuie sur le levier, que la porte s’ouvre, qu’il découvre la nourriture et mange. Il remet alors le chat à l’intérieur de la cage, et refait le même scénario. Et répète cela plusieurs fois. Il observe qu’au début, cela a pris 30 minutes pour que le chat sorte et mange. La deuxième pareil, mais à partir de la 5ème fois, il l’a fait après 20 minutes, la 6ème fois, en 10 minutes et la 7ème fois en 1 minute. On observe que le chat diminue de plus en plus le temps pour sortir. On peut l’observer, le mesurer et le capturer. On appelle cette diminution l’apprentissage. (L’apprentissage est une modification d’un comportement, c’est une résolution des problèmes, aboutir à une solution) On a un comportement volontaire (bouger), qui produit un effet (le stimulus), on calcule le temps qui diminue et on observe que le comportement volontaire augmente. C’est le comportement conditionnel, les comportements volontaires peuvent être aussi conditionnels. Quand le stimulus produit l’augmentation de la probabilité d’apparition ou de répétition d’un comportement, on l’appelle renforcement. Par exemple, la viande augmente la probabilité du comportement d’appuyer sur le levier. Mais il peut y avoir des stimuli qui produit la diminution d’apparition de répétition d’un comportement, on l’appelle punition. Il existe le renforcement positif ou négatif, il se produit toujours la même chose : augmentation des probabilités, c’est positif si il y a la présence d’un stimulus (nourriture) qui a produit le comportement. Si on retire un stimulus, c’est le renforcement négatif du comportement. La punition est aussi positive ou négative : dût à la présence d’un stimulus (positive) ou à l’absence ou retrait d’un stimulus (négative). Exemple : Super Nanny, fait de la psychologie du comportement : tout d’abord, elle observe ce qu’il se passe dans la famille, elle note ce qu’elle observe (c’est la ligne de base des comportements), elle montre leur comportement (ce qui a été filmé), elle parle avec les parents pour leur dire de ne rien faire, ne pas intervenir (elle romps la ligne de base des comportements): les parents sont en train de conditionner les enfants à faire ce qu’ils font, se comporter de cette manière là. Suite à cela, les enfants crient, pleurent, tapent, etc. Mais les comportements des parents sont les mêmes. Cela augment la probabilité que les enfants reproduisent les comportements des parents. Tous nos comportements sont déjà conditionnés. Cette théorie est dans le monde du travail, sur l’éducation, à l’école. Il faut faire le protocole de conditionnement variable, ex : les primes sont en plus du salaire, selon certains objectifs. Il faut que les objectifs soient variables, et qu’on puisse les atteindre.

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION La communication est un comportement, qui peut être quantifiée. Pour la psychologie comportementale, les facultés d’émetteurs et de récepteurs ne tiennent pas compte, on ne s’occupe que des comportements. Seulement s’il y a des changements entre les comportements. On peut orienter/maîtriser les comportements du récepteur.dera Ce qui est commun entre nous pour communiquer sont des comportements, malgré qu’ils soient différents, c’est le même objet d’observation et le même mécanisme. Il y a eu une dominance dans les années 50-70 de cette psychologie. Il y avait des psychologues qui continuaient à faire des expériences, et quelques uns continuaient à critiquer la psychologie comportementale.

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PSYCHOLOGIE DE LA COMMUNICATION Cours 3 LA PSYCHOLOGIE COGNITIVE Les psychologues ont abandonnés la théorie comportementale pour cette cognitive. E. Tolman, dans les années 50-60, a crée un labyrinthe, avec une souris qui va devoir entrer par un endroit et réussir à en sortir. L’appren...


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