Notes de cours, cours 1-7 - psychologie sociale de la communication PDF

Title Notes de cours, cours 1-7 - psychologie sociale de la communication
Course Psychologie sociale de la communication
Institution Université Libre de Bruxelles
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Psychologie sociale de la communication...


Description

Psychologie sociale de la communication Introduction: communication et psychologie sociale La communication est un thème transversal dans les sciences humaines. Elle est au centre de la psychologie sociale (qui elle permet d’enrichir la connaissance des processus de communication) Qu ’est-ce que la communication ? Ça suppose l’idée d’échange avec comme objets des signes qui composent un message et qui va d’un émetteur vers un récepteur. Les signes peuvent être verbaux ou non-verbaux. Le langage est un répertoire de signes partagé avec d’autres. Il ne faut pas confondre interaction et communication. Une communication ne nécessite pas nécessairement une interaction. La communication peut être unilatérale ou bilatérale.

Les modèles linéaires 1) Modèle de Harold Laswell (1948) : il s'intèresse à la communication de masse et il se focalise sur les effets de la communication. Il se base sur 5 questions : Qui ? Communique quoi ? De quelle manière ? A qui ? Avec quel effet ? 2) La théorie mathémathique du transfert de l'information : crée par Claude Shannon et Warren Weaver (1948). Leur modèle est le plus classique de l’information.

Source

Émetteur

Message

Canal

Signaux

Récepteur Destinataire Signaux

Message

Bruits

La réduction de l'incertitude : Pour Shannon , l'information est une opportunité de réduire l’incertitude d'un événement particulier parmi un ensemble fini d'événements possibles (choix) L'entropie vient de la thermodynamique, qui la décrit comme un processus qui fait passer la matière de l’organisation vers le chaos. Pour l'information on parlera d'un processus qui fait passer l’information d’un état de prédictibilité vers un état de hasard (équiprobabilité). La quantité d’information contenue dans un message correspond à sa capacité à combattre l’entropie. Le bruit : Le bruit est l'ennemi de l’information. C'est tout ce qui s’ajoute au signal qui n’était pas voulu par la source. Capacité du canal = information + bruit Comment lutter contre le bruit? Grâce à la redondance. C'est le modèle le plus critiqué : il ne parle pas de la signification, (il n'y a pas de feed-back?) et ce n'est qu'un modèle linéaire. Et puis cherche-t-on vraiment à réduire l’incertitude? La communication gagne parfois à être équivoque !

Psychologie sociale: «La psychologie sociale est la tentative scientifique de comprendre et d’expliquer comment les pensées, sentiments et comportements des individus sont influencés par la présence réelle, imaginée, ou implicite d’autres êtres humains » (Allport)

Les motivations de bases Il y a 5 motivations sociales à la base de toute la psychologie sociale qui facilitent la vie en groupe et augmentent les chances de survie. A) Appartenir : Les gens ont besoin de relations fortes et stables avec les autres et elles peuvent se former très rapidement. Il y a un lien entre les relations sociales et le bien-être subjectif (Baumeister, 1991). Durkheim à montré qu'il y a un lien entre le taux de suicide et le manque de liens. Le besoin d’appartenance facilite la vie de groupe. La coopération entre les membres du groupe augmente l'efficacité (par exemple les entreprises ont des stratégies afin de faciliter l’esprit d’équipe ce qui va augmenter le loyauté à l'intérieur du groupe) La motivation d’appartenance à un groupe aide les individus à survivre physiquement et psychologiquement. L’appartenance sous-tend les quatre autres motivations de base B) Comprendre : C'est la motivation cognitive fondamentale qui nous permet de comprendre son environnement, prédire ce qu’il va se passer et donner du sens à ce qu’il se passe. Les gens préfèrent se référer à des significations qui sont partagées avec d’autres. Comprendre permet aussi de faire face à l’incertitude « L’expérience de l’anxiété accroît de manière considérable le besoin des hommes de se retrouver en compagnie de leurs semblables » (Schachter, 1959) Hypothèses de Schachter (1959): (voir expérience avec condition faible et forte anxiété) - Quand les opinions, croyances, attitudes sont ébranlées, on recherche le contact d’autrui; -Les situations difficiles à interpréter font naître le besoin de rechercher des informations auprès d’autrui; -L’affiliation à autrui doit satisfaire ce besoin. Tous les événements significatifs demandent à être compris. On a tendance a répéter plutôt les informations que tout le monde sait déjà que de nouvelles informations (ex : étude de Larson avec les étudiants en médecine). Comprendre permet de s ’adapter et partager des représentations sociales. Ça permet aussi de fonctionner en groupe même si les représentations sont erronées (ex : secte) Ces ‘compréhensions partagées’ s’élaborent à travers la communication, il y a une recherche de signification, pas uniquement d’information. C) Contrôler : C'est une motivation cognitive. Il y a une relation entre ce que les gens font et ce qu’ils obtiennent et une contingence entre le comportement et les résultats. Le sentiment de maîtrise, d’efficacité, de compétence augmente la santé, le bonheur et la longévité. L’absence de contrôle entraîne la dépression et l’apathie (Impuissance apprise (Seligman, 1992)). On peut déléguer ce contrôle à d’autres individus ou on peut tenter de contrôler les choix des autres individus. On peut aussi déléguer le contrôle à son groupe d’appartenance (différence entre cultures individualistes / collectivistes). ==>Communication persuasive, propagande, etc.

D) Se valoriser : C'est le maintien ou l'augmentation de l’estime de soi (se sentir bon et aimable). Les individus préfèrent avoir des échanges avec quelqu’un qui les perçoit favorablement. Quel est l'apport de l’estime de soi au groupe? Si on a une faible estime de soi on augmente les comportements facilitant l’exclusion tandis que si on a une haute estime de soi on augmente les comportements facilitant l’inclusion. Les relations positives, la collaboration augmente la cohésion du groupe. En tant qu’individu unique c'est l'‘amour propre’ et en tant que membre d’un groupe c'est être un bon membre du groupe, on veut apprécier le rôle occupé au sein du groupe, ça permet l'identité sociale L'Estime de soi collective c'est l'estime de soi qui dérive de l’appartenance à un groupe social (ex : patriotisme) E) Faire confiance : C'est percevoir le monde qui nous entoure comme étant bienveillant, c'est la valorisation des autres. La confiance suppose « la foi ou le crédit accordé à quelqu’un d’autre – duquel on peut éventuellement dépendre – dans le fait que ses actions n’auront pas de conséquence négative pour nous » (Boon, 1995) La confiance est une réponse à la vulnérabilité, mais elle rend vulnérable, on parle de vulnérabilité réciproque. Généralement, les gens tendent à faire confiance à autrui. La confiance facilite la cohésion de groupe par l'attachement et l'interdépendance . Les gens peuvent compter sur autrui pour partager l’information et les ressources, ainsi que pour éviter les difficultés, si cette confiance est mise à mal, les gens tentent de la rétablir. On a une motivation à percevoir le monde comme juste et bon et il y a une sensibilité à la rupture de confiance.

Communication verbale il faut faire la distinction entre Verbale/ vocal : on parle de communication verbale dès que des mots sont utilisés (ex : parole, écriture, gestes (malentendants),...). La communication vocal ne fait pas que référence à la voix, il faut distingué la communication verbale et la communication non verbale (ex :Intonation, cris, soupirs, débit de parole, rires,...) Vocal

Non vocal

Verbal

Paroles

Mots écrits et certains gestes

Non verbal

Intonations, débits,...

Mouvements, expressions faciales

Le langage : On s'intéresse à se qui relie le monde empirique (monde perçue) et le monde symbolique (ce qui sert a représenter le monde empirique). Le but de ces réflexion est de comprendre la relation entre le langage et le monde empirique.

Le langage est un système des symboles : Symbole: tout ce qui prend la place de quelque chose ou le représente (le gens le savent et reconnaissent). Par exemple une image est un signe visuel de nature non verbale, c'est analogue au référent (ex : tableau de Magritte avec la pipe : lien non arbitraire).

Mais pour les signes verbaux, la relation est arbitraire (ex pourquoi POMME pour représenter un pomme?) Sémiologie: "la science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale" (de Saussure) Pour pouvoir utiliser ces symboles on utilise des systèmes de symbole. Par exemple, la langues est constitué de phonèmes (sons) assemblés en morphèmes et les morphèmes sont les plus petites unités porteuses de sens, mots ou syllabes porteuses de sens (préfixes, suffixes, désinences, etc.) La grammaire régit la formation des mots et des phrases (chaque langues a la sienne). Ces règles peuvent être explicites ou implicites partagées par un groupe donné qui considère que cette langue est la sienne.

Le lien entre les signes et le sens : Un signe peut être un mot, une image, un son, une odeur, un goût, un acte ou un objet (à condition qu'il soit associé à une convention). Il n'y a pas de lien naturel (aucune vrai raison) entre le référent et le signe verbal, le lien arbitraire établi à l’intérieur d’un groupe culturel donné partageant le même système de signes verbaux. Un stimulus va devenir un signe à partir du moment où nous lui donnons un sens « Rien n’est un signe s’il n’est pas interprété comme un signe » (Peirce, 1931) : on peut dire le contraire aussi. (ex : la vie de Brian)

Un modèle dyadique du signe : La base de la linguistique Française est le modèle de Saussure «Cours de linguistique générale» avec la théorie structuraliste du signe Le signifié est un concept (idée mentale qu'on a en tête), le signifiant est une association d’images acoustiques, c'est la dimension matérielle du signe. Le signe possède les deux, la signification est la relation entre le signifiant et le signifié. C'est ça qui a donné naissance au structuralisme (LeviStrauss, Barthes, Lacan, etc.). Un signe a nécessairement un signifié et un signifiant. Si le signifié est différent, le signe sera différent (ex « Open » en informatique = « ouvrir un fichier »), si le signifiant est différent, le signe sera différent (ex: i y a plusieurs manières de signifier « ouvrir ») Lien entre signes : A = plan du signifié (Le contenu) B = plan du signifiant (L'expression) Les pointillés sont les relations entre les deux plans formant des signes (par exemple, l'enseignement : Lien au plan du signifié: ‘apprentissage’, ‘éducation’ … et le lien au plan du signifiant: ‘Alignement’, ‘saignement’ …) La poésie est le travail sur l’interaction signifiant – signifié (ex : Rimes, allitérations, etc.)

Saussure ne s’intéressait qu’à la langue: Langage = langue + parole Langue = langage – parole (aspect pragmatique) Il s’intéresse à « l'ensemble des habitudes linguistiques qui permettent à un sujet de comprendre et de se faire comprendre » (Saussure) Dans son modèle, les sujets communicants n'intereviennent pas, le référent est également exclu du modèle. Le signifié est le concept, la représentation mentale de l’objet, MAIS pas l’objet lui-même, dans ce modèle le signe est totalement immatériel, tout dépend des relations entre signes mais pas du lien entre les signes et le réel

Un modèle triadique du signe : A la même époque, il y a Charles Sanders Peirce qui publie sa version du modèle du signe. Il va parler de « Representamen » qui est la forme que prend le signe (ressemble au signifiant) et parle aussi d'Interprétant qui est le sens donné au signe (pas confondre avec interprétateur) et ressemble au signifié, mais chez Peirce, l’interprétant est de nouveau un signe dans l’esprit de l’interprétateur. ==> Interprétations et réinterprétations à l’infini (voir utilisations du tableau de Magritte) « La signification d’une représentation ne peut être qu’une représentation elle-même » (Peirce) le troisième élément est l'objet auquel le signe se réfère Pour Pierce le Semiosis est la relation entre le representamen, l’interprétant et l’objet

Le triangle sémiotique : Ogden et Richards vont dériver du leur modèle du modèle de Peirce. Pour eux il y a une importance de l’interprétation, le sens d’un signe n’est pas contenu en lui-même, il émerge de l’interprétation, c'est un processus actif d’attribution de sens.

Référence ou pensée Signe

Symbole

Sign e

Référent

Nature du lien signifiant/signifié : Chez Saussure le lien est totalement arbitraire, pour Peirce il y a une typologie des types de liens (catégories de signes), il va répertorié 59049 types de signes différents. Chandler résume en trois catégories, en fonction du degré d’arbitraire : •

Symbolique: lien purement conventionnel



Iconique: le signifiant ressemble ou imite le signifié (ex : portrait, onomatopée, son réaliste, gestes d’imitation,...)



Indexique: le signifiant est directement lié au signifié (ex : Fumée feu ; traces de pas pieds, les photos, les symptôme médicaux par exemple la température...)

Signification et interprétation

La signification est une relation que nous établissons nous-mêmes entre un symbole et un référent. Nous utilisons des mots pour évoquer des représentations chez les autres, avec plus ou moins de succès « Je sais que vous croyez comprendre ce que vous pensez que j’ai dit, mais je ne suis pas certain que vous vous rendiez compte que ce que vous avez entendu n’est pas ce que j’ai voulu dire » (Myers & Myers) ==> Le sens n’est pas fixé, c'est flou, on doit toujours re-négocier Les niveaux de significations : • Le sens dénotatif est la signification objective ou descriptive d’un terme (le sens le plus évident), c'est le sens que les membres d’une même communauté culturelle attribuent généralement à un mot (un peu comme une définition du dictionnaire). C'est la signification de premier ordre (Roland Barthes) • Le sens connotatif est la signification émotionnelle ou idéologique qui s’ajoute à la signification de base d’un terme. C'est la signification de deuxième ordre (Barthes). Par exemple, le mot « mort » n’a pas la même connotation pour un médecin («le cerveau a cessé de fonctionner») que pour une mère en deuil (tristesse, injustice, maladie, etc.). Les injures ou mots doux expriment les sentiments du locuteur plutôt que le sens dénotatif, le signifiant peut aussi indiquer une connotation.

Les niveaux d'abstraction exemple : Divertissement – film – film américain – film américain récent – Avatar On passe de l'abstrait au concret. Plus le terme est abstrait, plus les associations (connotations différentes, permet le doute par exemple) seront nombreuses, plus l’interprétation est ambiguë (peut mener a plus de malentendu par exemple).

Langage et pensée : Hypothèse d'Edward Sapir et Benjamin Whorf : le langage nous sert à parler du monde, détermine ce que nous cherchons à voir et influence notre manière de penser les choses que nous percevons. Il y a une variabilité du découpage du réel par les langues. « Le fait est que la "réalité" est, dans une grande mesure, inconsciemment construite à partir des habitudes langagières du groupe. Deux langues ne sont jamais suffisamment semblables pour être considérées comme représentant la même réalité sociale. Les mondes où vivent des sociétés différentes sont des mondes distincts, pas simplement le même monde avec d'autres étiquettes. » (Détrie, Siblot) L’apprentissage de la langue impose une certaine façon de voir le monde. Les mots attirent notre attention sur certains aspects de la réalité et détournent notre attention d’autres aspects, par exemples : Les aborigènes australiens distinguent plusieurs essences d’arbres, mais n’ont pas d’équivalent pour le mot ‘arbre’.

Hypothèse de Sapir & Whorf « L'hypothèse énonce que le langage n'est pas seulement la capacité d'exprimer oralement des idées, mais est ce qui permet la formation même de ces idées. Quelqu'un ne peut penser en-dehors des limites de sa propre langue. Le résultat de cette analyse est qu'il y a autant de visions du monde qu’il y a de langues différentes . » C'est une hypothèse critiquée : – On peut oublier un mot sans oublier le concept – On peut oublier la signification d’un mot sans oublier le mot

– On peut apprendre des concepts qui n’existent pas dans sa langue – La pensée opère également en fonction d’images et de relations entre elles (sans qu'on passe par la relation verbale) (Paivio, 1986) – La communication interculturelle n’est pas impossible – Hypothèse de relativisme absolue

Langage et genre L’emploi du masculin comme forme générique et neutre entraînerait l’exclusion et la dépréciation des femmes. Par exemple, en anglais, ‘he’ est considéré comme épicène (forme neutre désignant aussi bien les hommes et les femmes) Études: on demande aux sujets de lire des textes utilisant un pronom Neutre (they); Masculin (he); ou Féminin (she) puis d'écrire une histoire ou choisir un dessin représentant le personnage, les résultats sont que quand l’épicène n’est pas neutre, il évoque des personnages masculins. Il y a un emploi générique de ‘Homme’ (Droits de l’Homme, homme des cavernes). Quand on dit ‘Homme’, les gens on tendance à voir un être humain adulte de sexe masculin.

Langage et catégorisation Le fait de réunir des référents différents sous la même appellation, ça attire notre attention sur ce qu’ils ont en commun et ça détourne notre attention de leurs différences (ex : chien) Même pour la catégorisation sociale et les stéréotypes ; ça gomme les différences entre ces gens et augmente la différence avec les autres (ex : Pensez à la personnalité d’un conducteur de BMW et à celle d’un conducteur de Fiat Punto)

Polarisation Le langage masque les nuances (ex : Trouver le contraire de heureux, riche, vie, santé, poli, généreux puis essayer de trouver des termes intermédiaires). Il y a beaucoup de mots pour désigner les extrêmes, peu pour nuancer La polarisation est la tendance à décrire le monde en termes dualistes (ex : « Tous ceux qui ne sont pas avec moi sont contre moi »). on a une motivation à comprendre sans fournir d’effort.

Langage et relations interpersonnelles Comment parvenir à communiquer verbalement de manière fructueuse? Il y a les messages directs ou indirects Ex : « Je m’ennuie tellement! Je n’ai rien à faire ce soir » = indirect. L’émetteur veut amener le récepteur à faire quelque chose sans s’engager lui-même « J’ai envie d’aller au cinéma. As-tu envie de venir avec moi? » = direct. L’émetteur exprime clairement ses préférences

Messages indirects Avantages de cette communication : – Exprimer un désir sans heurter l’autre (Ex: « Il se fait tard, je dois me lever tôt demain » plutôt que « J’en ai marre, je me casse ») – Susciter un compliment de manière discrète (Ex: « Je viens d’avoir 40 ans, ça ne me rajeunit pas » « Mais tu ne les fais pas! ) Inconvénients de cette communication: – malentendus ou conflits – Instoration d'un rapport perdant – gagnant (ressentiment, compétition, conflit,..)

Messages directs : On est sur un pied d’égalité donc on peut tenter de concilier leurs projets

Messages indirects et genre Stéréotype: Les femmes emploieraient plus souvent un style indirect pour formuler des demandes ou donner des ordres et ça serait une forme d’impuissance. Ce n'est pas une marque d’impuissance: « Le pouvoir, c’est la capacité de choisir son propre style de communication » Les hommes adoptent le style indirect dans d’autres situations: quand ils n’ont pas le pouvoir, pour dire des choses allant à l’encontre du stéréotype masculin, pour exprimer des sentiments Les cultures occidentales ont tendance à valoriser le style direct, a exprimer clairement ce que l’on ressent, ce que l’on désire par contre d’autres cultures valorisent le style indirect ; il y a une importance accordée à l’harmonie des relations à l’intérieur du groupe (ex : Japon)

Communicat...


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